La surveillance revêt trois dimensions, explique Vanessa Codaccioni : il s’agit en premier lieu de celle des gouvernés par les gouvernants, c’est-à-dire des populations par les appareils d’État et leurs services de police et de renseignement, en second lieu de celle qui s’exerce au sein des communautés par le regard que leurs propres membres portent les uns sur les autres, et enfin en troisième lieu de celle que les gouvernés exercent sur les gouvernants. Les deux premières connaissent actuellement une très forte intensification.
Le développement des possibilités techniques et les politiques sécuritaires généralisent la vidéo-surveillance, désormais menée non plus seulement par caméras fixes mais aussi par drones, avec usage de la reconnaissance faciale et archivage des données. En France, le Conseil d’État vient d’entériner le fichage des opinions politiques et religieuses ainsi que des engagements politiques et syndicaux des individus, qui pourra désormais être utilisé par les autorités dans un cadre et à des fins mal définies.
À cet arsenal de contrôle et de répression par les appareils d’État s’ajoute le fort développement de ce que V. Codaccioni appelle la « surveillance latérale » ou « participative », par laquelle les populations sont incitées, via une politique de la peur, à être sur leurs gardes et signaler aux forces de police tous les comportements, toutes les attitudes qui peuvent apparaître suspects : les réseaux de « voisins vigilants », les plate-formes de signalement en ligne prolifèrent. A l’inverse, et dans le même temps, le droit de regard des citoyens sur l’action publique et la probité individuelles des dirigeants est de moins en moins effectif.
Les conflits d’intérêts, malversations et scandales de tous ordre prêtent de moins en moins à conséquence sur la carrière des hommes et femmes politiques concernés. Les erreurs et les excès systématiques de la police, en particulier dans la répression de l’exercice du droit démocratique de manifestation contre les politiques menées ou les projets politiques, sont presque toujours couverts par les hiérarchies et impunis devant les tribunaux. La tentation est d’ailleurs très forte, du côté de l’État, d’empêcher mieux encore tout contrôle en limitant la possibilité de filmer les interventions policières.
La crise sanitaire actuelle, enfin, illustre bien la manière dont le personnel politique tend à revendiquer et organiser son irresponsabilité, en imputant aux mauvais comportements individuels l’incapacité des institutions publiques à protéger les populations.
Connue / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1414652716861861891
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Le Média @LeMediaTV
COMMENT LE FICHAGE DES CITOYENS PERMET L'IMPUNITÉ DES DIRIGEANTS
"Les pouvoirs publics veulent complètement affaiblir la vigilance du peuple sur l’État. [...] C'est pour ça qu’on veut nous empêcher de filmer les interventions policières." @VCodaccioni - 24 - 1 - 34
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#SecuriteGlobale 2 113 vues - 280 - 3 - 19,8 k abonnés
🔴 En direct de l'Assemblée nationale et à quelques heures de l'audience devant le Conseil constitutionnel contre la loi #SecuriteGlobale, je vous présente les motifs de notre recours avec l'une des rédactrices du recours Gabrielle Cathala, collaboratrice du groupe de la France insoumise.
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Connu / https://framasphere.org/posts/11859539
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Dom - il y a environ 6 jours / Basta ! - il y a environ 6 jours
Un collectif d’associations et de syndicats a saisi le Conseil constitutionnel, ce 29 avril, contre l’article 1°bis A de la #LoiSecuriteGlobale. Cette disposition élargit le périmètre des sanctions contre les occupations, notamment militantes.
... article de la loi « Sécurité globale » passé sous les radars. Il constitue pourtant « une porte étroite, par laquelle la loi “Sécurité globale” ouvre tout un champ de déploiement des pouvoirs de police » introduit Anthony Ikni, délégué général du collectif Romeurope. Alertées, plusieurs associations de solidarité, parmi lesquelles Droit au logement (DAL), la Fondation Abbé Pierre, Médecins du Monde ou encore le Secours Catholique ont saisi collectivement le Conseil constitutionnel, hier, pour tenter de le faire invalider.
Cet article, issu d’un amendement déposé par Les Républicains, n’est apparu dans le projet de loi qu’à l’issue de la commission mixte paritaire, fin mars. Il fait monter d’un cran la législation anti-squat. Le code pénal punissait déjà, via son article 226-4, l’intrusion dans le domicile d’autrui, par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende. L’article 1°bis A de la loi de sécurité globale triple les sanctions : trois ans d’emprisonnement, 45 000 euros d’amende.
Surtout, l’article 1bis-A élargit la définition de «domicile d’autrui» contenue dans le code pénal. Les sanctions s’appliqueront bien au-delà des seules personnes sans domicile squattant un lieu vacant. Les occupations de locaux professionnels mais aussi les #ZAD sont visées.
... décryptage ...
#stoploisécuritéglobale #libertespubliques #logement #droitsaulogement #Repression #Occupation #Squat #Zad #Greve #Manifestation #sansdomicilefixe #vulnerable #Inegalites #Mobilisation #MouvementSocial
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Jeudi 15 avril, Ugo Bernalicis intervenait dans l'hémicycle pour défendre la motion de rejet de la loi "sécurité globale" déposée par le groupe parlementaire de la France insoumise.
Malgré son nouveau nom, le contenu de la loi dite "pour une sécurité globale respectueuse des libertés" n'en devient pas moins liberticide, bien au contraire !
Sous couvert d'une réécriture de l'article 24, qui par son application punira les français, y compris les journalistes, qui filmeront des interventions policières, le gouvernement persiste dans la surrenchère sécuritaire en intégrant de nouvelles mesures qui figurent dans les revendications des syndicats de police les plus radicaux.
Alors que ce nouveau nom laisse penser que le texte protègera nos concitoyens de la reconnaissance faciale, il n'en est rien non plus. En revanche, il généralisera bel l'usage des drônes en maintien de l'ordre, notamment pour couvrir les manifestations.
En votant cette loi, la majorité a fait le choix de la surveillance généralisée pour combler les bilans désastreux des ministres de l'Intérieur en matière de sécurité publique.
#StopLoiSécuritéGlobale
185 commentaires
4 005 vues - 452 - 2 - 19,4 k abonnés
Le 15 avril, lors de l'examen de loi "sécurité globale" en 2ème lecture, le député Ugo Bernalicis a dénoncé une mesure portée par le rapporteur Fauvergue sur fond de suspicion de conflit d'intérêts.
72 commentaires
Les émissions spéciales
Gouvernement ; Politique ; Violences policières
Loi de sécurité globale - Face au beauvau #1 - 18 février 2021 - 18H30 / Par Le Média
C’était en novembre 2020. Le début de la mobilisation contre la proposition de loi Sécurité globale. Une loi à l’origine d’une mobilisation massive rassemblant des syndicats de journalistes, des familles de victimes de violences policières et de nombreuses associations de défense des droits humains comme la LDH ou encore Amnesty International.
Et pour cause, cette loi posait les fondations d’une surveillance de masse notamment à l’aide d’un élargissement du recours aux drones. Des dispositions liberticides qui s’accompagnaient également d’une interdiction de filmer les forces de l’ordre pour les citoyens, quels qu’ils soient.
Après un mois de janvier plus calme, la coordination Stop Loi Sécurité Globale relance une série de mobilisations sous différentes formes. C’est dans cette nouvelle vague que s’inscrit cette émission, hébergée par Le Média, “Face au Beauvau”. La première d’une série organisée par la coordination. Au programme pour cette première édition : deux plateaux. Un premier autour du lien entre la police et le reste de la population, avec Boubacar Dramé, ancien médiateur à Gennevilliers victime de violences policières, le sociologue Fabien Jobard et Anthony Caillé, policier syndiqué à la CGT. Ce premier échange sera animé par Violette Voldoire, journaliste et rédactrice en chef à Radio Parleur. La deuxième discussion, centrée sur le contenu de la loi, sera animée par notre journaliste Rémi-Kenzo Pagès, en présence de l’avocat Martin Méchin, la secrétaire nationale du Syndicat de la Magistrature Sarah Massoud, et d’Arthur Messaud, le porte-parole de La Quadrature du Net.
Tr.: ... violence systémique ... sondage ELABE ...
@MathildePanot 🔴
Elles distribuent des colis alimentaires, assurent le lien social, accueillent et accompagnent des femmes victimes de violences...
Les associations sont l'honneur de notre République.
2,3 k vues 1:04 / 3:07 1:32 PM · 9 févr. 2021· 83 Retweets 1 Tweet cité 150 J'aime
Connu / https://twitter.com/86Greenpeace/status/1355596834656432129
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 14 min
#Angoulême a aussi dit NON à la loi #SécuritéGlobale
Sous la pluie, mais déterminé.e.s les plus motivé.e.s ont écouté les orateurs puis défilé dans la ville pour le #RetraitDuProjetDeLoi
#MarchesDesLibertes #StopLoiSecuriteGlobale #StopAmazon
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en attendant samedi 30 janvier qui sera marqué par une nouvelle mobilisation nationale
En France **en 30 ans, 31 lois sécuritaires ! Nos libertés sont en danger**.
A POITIERS, manifestations du 9 et du 16 Janvier 2021 (vidéo de 3’20)
Merci à « Points de Vue Citoyens » pour ce travail… citoyen !
*Connu /* https://twitter.com/86Greenpeace/status/1351227916387020801
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace
.\#Poitiers \#Manifestation contre la \#LoiSecuriteGlobale
Merci pour le retour de @web86info
avec l'aide de \#PointsDeVueCitoyens notemnt la \#Danse sur le \#ChantDesPartisans de \#CatherineRibeiro
\#StopLoiSécuritéGlobale \#MarchesDesLibertés \#LeDésordreVientDeLIntérieur
Citer le Tweet web86.info @web86info · 1h
[Vidéo] Le 9, le 16 janvier : retour en images sur les mobilisations…
7:00 PM · 18 janv. 2021·- 1 Retweet 1 J'aime
Et pour les amateurs de #ChantÀcapella :
\#CatherineRIBEIRO interprète a cappella "Le chant des Partisans" Institut National de l'Audiovisuel, \#INA \#Musique \#live \#ChantDesPartisans
Catherine Ribeiro "Le chant des Partisans" (live officiel) | Archive...
Abonnez-vous http://www.youtube.com/channel/UC8USS0SAt08of1TfC9Vh4rw?sub_confirmation=1Le cercle de minuit 29/11/1995Catherine RIBEIRO interprète a cappella ... - 0 -0 - 0
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Vidéo aussi à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?u6T-Cw
42 797 vues - 4,4 k - 40 - 425 k abonnés
Mediapart a collecté et analysé des centaines de vidéos prises le 12 décembre à Paris lors de la manifestation contre la loi « Sécurité globale ». Notre enquête démontre le caractère illicite de plusieurs dizaines de charges policières effectuées ce jour-là et documente les arrestations arbitraires de manifestants, les coups portés sans raisons et la communication mensongère de Gérald Darmanin, notamment au regard du bilan judiciaire.
487 commentaires
Tour de l'actu sécuritaire #LQDoN
• 201 vues / Avatar de la chaîneAvatar du compte La Quadrature du Net Par lqdn
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Pour en savoir plus sur la loi sécurité globale :
https://www.laquadrature.net/2020/11/24/securite-globale-lassemblee-nationale-vote-pour-la-technopolice/
Pour en savoir plus sur les décrets du 2 décembre :
https://www.laquadrature.net/2020/12/08/decrets-pasp-fichage-massif-des-militants-politiques/
Dessin du manège sécuritaire : Alexis https://www.instagram.com/drawingomme/
Vie privée : Publique - Catégorie Actualité & Politique
Licence Attribution - Langue Français
Étiquettes : lqdon ; sécurité globale ; surveillance ; technopolice
Durée : 3 min 57 sec - 0 Commentaires
Tr.: ... jeux olympiques de 2024 ... attaques contre la liberté d'association ...
SOCIAL Reportage - 145 commentaires
Le 5 décembre, la manifestation traditionnelle contre la précarité et le chômage a accueilli les défenseurs des libertés fondamentales. Une convergence des luttes qui s’est transformée en affrontements entre les forces de l’ordre et une minorité de manifestants.
Mots-clés article 24 ; chômage ; manifestation ; PPL sécurité globale ; précarité ; violences
Le mot d’ordre était double : contre le chômage et la précarité, mais aussi pour les libertés fondamentales et pour le retrait de la proposition de loi « Sécurité globale ». Une convergence des luttes en quelque sorte rassemblée sous un slogan : « Pas de sécurité globale, de la sécurité sociale ». En plus de la vingtaine de rassemblements ou défilés organisés en France, une manifestation parisienne partait de la porte des Lilas (XXe arrondissement) jusqu’à la place de la République (XIe) ce samedi 5 décembre.
...
Pierre Granodier, de la CGT Chômeurs et précaires ... privés d'emploi ... Emmanuel Vire, à la tête du syndicat des journalistes et membre du collectif organisateur de la mobilisation pour les libertés ... un cordon de forces de l’ordre qui lui impose le rythme en tête ... collectif Art en grève ... les tensions sont vives rapidement. Quelques gilets jaunes invectivent devant le carré officiel des syndicats ... À plusieurs reprises, les policiers bloquent le cortège ... Grenades de désencerclement et lacrymogènes vont répondre aux jets de pierres et de feux d’artifice durant une heure, la nasse des rues adjacentes se détend de temps en temps permettant à une partie des manifestants de quitter l’itinéraire désormais impraticable ... Trop de tensions induites par le dispositif ont eu raison d’une somme de slogans pourtant légitimes et urgents.
FRANCE 3 PICARDIE
Loi de "Sécurité globale" : le retrait sinon rien ! - •7 déc. 2020 / Ugo Bernalicis
15 318 vues - 928 - 15 - 17,1 k abonnés
Dimanche 6 décembre, Ugo Bernalicis était l'invité de Dimanche en Politique sur France 3 Hauts-de-France, pour débattre du projet de loi #SécuritéGlobale face à la députée Carole Bureau-Bonnard (LREM). #StopSécuritéGlobale 294 commentaires
Manifestation du 5 décembre : les forces du désordre à l'oeuvre - 6 décembre 2020 - 18H00 | Le Média
Samedi 5 décembre avait lieu une nouvelle journée de mobilisation nationale contre la loi de sécurité globale. A Paris, le cortège rassemble également ceux qui luttent contre la précarité. Mais dès le départ des tensions très importantes ont lieu, provoquées en partie par la lourdeur du dispositif policier.
Au départ de la porte des Lilas, près du périphérique, les organisateurs de la manifestation sont plutôt joyeux. Lundi, la majorité a reculé devant la forte mobilisation du week-end. Elle a annoncé une réécriture totale de l’article 24 en s'enlisant par la même, dans un imbroglio législatif puisque la loi a déjà été votée. Et vendredi, Emmanuel Macron sur Brut, reconnaît enfin que les violences policières existent après l’avoir nié pendant des mois. Cette déclaration provoque d’ailleurs l’ire des policiers qui menacent d’arrêter les contrôles.
Ce contexte explique peut-être en partie l’encadrement dont bénéficie la manifestation. Nasse mobile, gendarmes au contact qui font avancer les gens au pas, dès le début les tensions sont vives. Les forces de l’ordre bloquent la manifestation et subissent des jets de projectiles. Chaque intersection est synonyme de nouveaux heurts avec les policiers. Au bout d’une heure le cortège n’a fait que quelques centaines de mètres et la situation dégénère définitivement. Les forces de l’ordre coupent la manifestation en deux. Une barricade est dressée par des Black Blocs et des voitures sont incendiées. Les manifestants se dispersent pour la plupart sur le lieu même du départ. Quelques-uns arriveront à la place de la République où de nouveaux affrontements auront lieu. Les images des violences ont pu faire le tour des télévisions. Mais si l’objectif de la préfecture était de permettre à la manifestation de bien se dérouler, l’échec est complet.
AFP
Natacha Polony reçoit le secrétaire général du syndicat Alternative Police CFDT. Violences policières, loi Sécurité globale, inquiétude et défiance des citoyens envers leur Police : comment en est-on arrivé là ?
Thèmes abordés : Police ; Violence policière ; Sécurité ; Loi de Sécurité globale ; France
Auteur Natacha POLONY
Connue / https://twitter.com/Marianne_TVoff/status/1335137595874025472
La semaine qui vient de s’écouler restera comme une des plus folles de la vie parlementaire. Jamais dans l’histoire agitée de la Ve République, un président et son Premier ministre n’avaient autant brutalisé les institutions. Surpris par la mobilisation inattendue contre l’article 24 de la loi de sécurité globale, mobilisation qu’est venu renforcer le télescopage des images du tabassage de journalistes et du producteur Michel Zecler, l’Élysée et Matignon cherchent une sortie.
C’est Emmanuel Macron lui-même qui a promis aux syndicats policiers que l’on ne pourrait plus diffuser l’image des forces de l’ordre en action. Prisonnier de cet engagement, le pouvoir ne veut pas retirer le texte. Alors il s’invente des solutions. Des solutions qui remettent de l’huile sur le feu plutôt que de l’éteindre. Voilà que l’article 24 pourrait migrer vers un autre texte législatif. En l’occurrence le projet de loi “confortant les principes républicains” que doit examiner le Conseil des ministres le 9 décembre.
L’exécutif qui piétine allègrement l’Assemblée et le Sénat pour sauver l’article 24, on en parle tout de suite dans le numéro 97 du P’tit coup de Bourbon.
33 544 vues - 5,3 k - 106 - 193 k abonnés - #MichelZecler #Macron #Censure - 656 commentaires
Épinglé par Le Fil d'Actu - Officiel il y a 1 jour
[LA VIDÉO DU SCANDALE]
https://youtu.be/W7ROH0-c3Bs
[LA PROPOSITION DE LOI « RELATIVE À LA SÉCURITÉ GLOBALE »]
http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3452_proposition-loi
[SOURCES]
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/27/interpellation-d-un-producteur-de-musique-une-pluie-de-coups-et-de-mensonges_6061286_3224.html
https://www.sudouest.fr/2020/12/01/qui-est-michel-zecler-le-producteur-de-musique-roue-de-coups-par-des-policiers-8138576-11066.php
https://www.20minutes.fr/societe/2920507-20201130-producteur-tabasse-paris-attention-fausses-affirmations-interpellation-michel-zecler
https://www.ladepeche.fr/2020/11/30/tabassage-de-michel-zecler-producteur-de-musique-les-quatre-policiers-mis-en-examen-deux-ecroues-9229003.php
https://www.sudouest.fr/2020/12/01/tabassage-de-michel-zecler-l-histoire-des-images-du-scandale-8139491-11066.php
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/30/affaire-michel-zecler-le-parquet-requiert-la-mise-en-examen-de-quatre-policiers_6061598_3224.html
https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/11/27/police-une-grave-crise-de-commandement_6061354_3232.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/27/violences-policieres-darmanin-assume-l-evacuation-musclee-place-de-la-republique_6061324_3224.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/24/evacuation-des-migrants-place-de-la-republique-une-reponse-uniquement-repressive-alors-que-l-enjeu-est-avant-tout-sanitaire_6060904_3224.html
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/violences-policieres/plus-des-trois-quart-des-francais-ont-une-bonne-opinion-des-policiers-mais-leur-image-s-est-degradee-en-cinq-ans-selon-un-sondage_4005001.html
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/pres-de-deux-francais-sur-trois-ont-une-bonne-image-de-la-police-selon-un-sondage_2128784.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/12/un-policier-condamne-a-huit-mois-avec-sursis-pour-des-violences-sur-des-gilets-jaunes_6059529_3224.html
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/ce-que-contient-le-projet-de-loi-securite-globale-20201130
https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2020/11/17/quelles-sont-les-principales-mesures-de-la-loi-de-securite-globale-examinee-a-l-assemblee_6060063_1653578.html
Connu / https://twitter.com/LeFildActu1/status/1334599317500391427
4 709 vues - 401 - 16 - 17 k abonnés
Mardi 1er décembre, le député Ugo Bernalicis était l'invité de "Ça vous regarde" sur #LCP pour débattre de la loi de #SécuritéGlobale face à Xavier Bellamy (LR), Agnès Firmin le Bodo (Agir) et François Bersani (Unité SGP-Police).
Le mea culpa du ministre de l'Intérieur devant la représentation nationale ne suffit pas. Si Gérald Darmanin pense vraiment qu'il a fait n'importe quoi depuis quatre mois, dans la continuité de ses prédécesseurs, qu'il s'en aille ! Il n'est pas vraiment le candidat le plus appropriée pour faire le contraire de tout ce qu'il a fait jusqu'à présent." #CVR #StopLoiSécuritéGlobale
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Le dimanche 29 novembre, j'étais l'invité de Ronald Guintrange pour parler de l'agression du producteur de musique Michel Zecler. J'ai expliqué l'utilité vitale de pouvoir filmer l'action des policiers, notamment dans le cas concerné. Car sinon, tout se serait résumé à une parole contre une autre, à celle des policiers contre celle de Michel Zecler.
J'ai dit tout le problème qu'il y avait lorsque le pays des droits de l'homme était condamné par l'ONU pour mise en cause des droits de l'homme. J'ai appelé les policiers droits, honnêtes et justes à sortir du rang quand des actes comme ceux-ci étaient commis et j'ai dit qu'il fallait une police respectable pour qu'elle soit respectée.
SOMMAIRE
00:00 : Introduction
00:43 : Début de l'émission
07:45 : Première intervention : échange avec un policier
12:30 : Suite de l'émission
16:22 : Deuxième intervention : échange sur la loi sécurité globale
19:29 : Fin de l'émission et conclusion
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Gérard Miller @millerofficiel
Un grand, un très grand moment à l’Assemblée Nationale. Dans un cas comme ça, on peut le dire : la République, c’est elle.
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De Mathilde Panot 4:56 PM · 27 nov. 2020·- 577 Retweets 70 Tweets cités 1,4 k J'aime