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Intervention de Jean-Luc Mélenchon à l'Assemblée nationale le 29 novembre 2021 contre la proposition de résolution en faveur de l’association de Taïwan aux travaux des organisations internationales et des forums de coopération multilatérale.
Le député insoumis a fait valoir le fait que depuis la décision du général de Gaulle de reconnaître la Chine en 1964, aux yeux de la France, Taïwan est une province chinoise et qu'il n'y a qu'une seule Chine dont la capitale est Pékin. Il a dénoncé la logique de guerre froide que les États-Unis essaient de mettre en place contre la Chine en prenant Taïwan pour prétexte. Il a expliqué que la position de la France devait être de favoriser la paix, en traitant la Chine avec respect et en évitant toute logique de tensions et d'affrontements. Il a, enfin, dénoncé les mesures ultra-restrictives de libertés mises en oeuvre par Taïwan prétendument pour lutter contre la pandémie.
Ndlr : questionner la cause des tensions (la chine ou les usa ?) ACT
... Jean Jacques Bourdin ... entretien ... après trois ans d’absence dans la matinale de BFM ... la Chine comme prête à intervenir militairement pour « envahir » Taïwan
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sur la manifestations en faveur des ouïghours ... Clémentine Autain nous y représentait. Les droits des Ouïghours doivent être respectés et aussi ceux des Rohingyas (en Birmanie). J’ai toujours défendu la liberté et la dignité humaine. Ce qui ne veut pas dire que je m’alignerai sur ceux qui parlent de génocide, ce que ne fait aucune grande ONG. Et cela ne fera pas de moi un partisan de la guerre froide avec la Chine, j’y suis absolument opposé ! »
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réaffirmation du statu quo semble la meilleure des solutions
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si exotique que puisse paraitre le sujet, dans la mesure où il implique les deux premières puissances du monde actuel , il ne faut jamais laisser passer la propagande visant à banaliser l’idée d’un conflit avec la Chine. Surtout pour laisser ranger la France dans le camp le plus absurde qu’incarnent Taiwan et les USA.
Ndlr : est-ce qu'être pour le statut quo c'est être pour la chine ? ACT
Linas Kojala @LinasKojala · 2h
La dépendance de la Lituanie au marché chinois n’est pas très grande, et « l’ampleur de la riposte ne devrait pas constituer une menace trop importante », estime Linas Kojala, directeur d’un centre de recherche sur l’Europe de l’Est @EESC_LT @Asialyst
Taïwan ouvre une ambassade de facto en Lituanie, camouflet pour la Chine en Europe
Le ministère taïwanais des Affaires étrangères de Taïwan a annoncé le 19 juillet l’ouverture d’un bureau à Vilnius en Lituanie. Sa particularité : son nom officiel est "Bureau de Représentation de...
asialyst.com
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La Chine mène une guerre de propagande mondiale dans le but de faire taire les critiques d'outre-mer, tout en lançant les représailles les plus répressives contre la contestation interne depuis le massacre de la place Tiananmen il y a 30 ans.
Article publié originellement en anglais par Benedict Rogers le 5 mai 2019 par le journal Hong Kong Free Press. Pour accéder à la version originale : https://www.hongkongfp.com/2019/05/05/chinas-overseas-confucius-institutes-pose-powerful-threat-academic-freedom/
Mots-clés censure chine contrôle droits de l'homme influence institut Confucius monde ouighour parti communiste chinois propagande recherche soft power Taîwan Tibet Turkestan oriental Université
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comme le soutient le rapport du comité des affaires étrangères de la Chambre des communes du Royaume-Uni publié la semaine dernière, nous devons recalibrer nos relations et accorder la priorité à la sécurité nationale.
Dans le cadre de ce recalibrage, nous devrions réexaminer non seulement la balance entre le commerce et les droits de l'homme, les problèmes de sécurité autour de Huawei et les questions d'influence politique, mais aussi la question des Instituts Confucius.
Hamilton Hall à l'Université McMaster. Photo: Wiki Commons Hamilton Hall à l'Université McMaster. Photo: Wiki Commons
«Je connais la pression et la peur», déclare Sonia Zhao. «Personne ne mérite ça. J'espère que les Instituts Confucius pourront être fermés afin que les enseignants puissent enseigner la langue chinoise librement et que les étudiants puissent en apprendre davantage sur la vraie Chine et la culture chinoise, et non sur la culture des communistes chinois."
Si nous ne voulons pas fermer tout de suite les Instituts Confucius, nous devrions au moins envisager des mesures analogues à la législation américaine - procéder à un examen approfondi, suspendre toute nouvelle transaction avec les Instituts Confucius jusqu'à ce que l'examen soit achevé et veiller à ce que des mesures soient mises en place pour garantir la liberté académique et la liberté d'expression, la non-discrimination et la transparence totale des sources de financement.
Nous ferions bien de nous rappeler les paroles du diplomate britannique à la retraite Roger Garside, qui a déclaré que «la liberté académique est fondamentalement compromise en permettant à une agence de l’État contrôlée par le Parti communiste chinois d’établir une opération d’enseignement dans une école ou une université».
Ou bien, comme le dit Rachelle Peterson, «il existe une menace non seulement pour l'intégrité de nos institutions aujourd'hui, mais également pour l'avenir de l'enseignement supérieur de tous les pays libres». C'est certainement une raison d'agir.
A propos de l’auteur :
Benedict Rogers est un écrivain et militant des droits de l'homme, spécialiste de l’Asie. Il est également un ancien candidat au Parlement et cofondateur et vice-président de la Commission des droits de l'homme du Parti conservateur au Royaume-Uni. Ben a vécu à Hong Kong de 1997 à 2002 et se rend régulièrement dans la région. Il est le fondateur et président de Hong Kong Watch.