Ce JEUDI 24 Août 2023, une trentaine de scientifiques, personnalités ET militants du monde associatif CO-SIGNENT UNE TRIBUNE à l’attention du géant de la volaille LDC :
Aujourd’hui, dans un bâtiment anonyme de la zone industrielle de Sablé-sur-Sarthe (Pays de la Loire), un groupe agroalimentaire français tient son Assemblée générale dans la plus grande discrétion. Les actionnaires s’y félicitent de résultats financiers vertigineux, obtenus grâce aux pires méthodes de l’élevage intensif. Ce groupe méconnu du grand public s’appelle LDC, et c’est le n°1 de l’exploitation des animaux en France.
LDC, mastodonte de l’élevage intensif
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Le groupe LDC est un habitué des chiffres démesurés. Composé des initiales de ses fondateurs, Lambert, Dodart et Chancereul, son nom en porte la trace : la famille Lambert, principale actionnaire, figure dans le classement des 200 plus grandes fortunes françaises.
L’un des secrets de ces résultats ? LDC mure la majorité des animaux en élevages intensifs : une manière d’optimiser les coûts, au détriment de toute responsabilité morale et sociétale. Ces derniers mois, des images de chevreaux, de poulets ou de lapins à l’agonie, tournées dans des élevages sous contrat avec le groupe, ont rappelé que de nombreuses espèces subissent la claustration et des densités d’élevage excessives.
Ce sont les résultats du pôle Volaille qui tirent les bénéfices de LDC à la hausse. Le groupe détient en effet 40 % du marché des oiseaux d’élevage, notamment des poulets dits « de chair ». En France, 741 millions de poulets sont abattus chaque année. Pour le groupe LDC, ils sont destinés à fournir des marques bien connues : Le Gaulois, Marie, ou encore Maître CoQ.
Une rentabilité basée sur la cruauté
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TRIBUNE CO-SIGNÉE PAR :
ARNAL Muriel, présidente fondatrice de One Voice
BARLERIN Laetitia, docteure vétérinaire et journaliste
BISMUTH Jérémy, FLAHAULT Laura et RASSI Hadi, de la série Ami des lobbies
BOVET Dalila, éthologue, professeur à l’Université Paris Nanterre
BURGAT Florence, directrice de recherche (ENS/INRAE)
CRONIER Nathalie, présidente de l’association Neuvy Nouvel Horizon
DEL AMO, Jean-Baptiste, écrivain
DUFAURE Esther, membre fondatrice de l’association Eaux Secours Agissons
DUPUIS Sandrine, présidente de l’association Bien Vivre à Saint Péreuse
FERNANDEZ Lisa, présidente de l’association Les 3 Dindes, Ferme-Refuge
FOMBONNE Jacques-Charles, président de la SPA
FRIGNET Jérôme, directeur programme de Greenpeace France
GABRIELE Gaëtan, activiste et créateur de contenu
GEINDREAU Léa, porte-parole d’Alternatiba Paris
GOSSELIN Michel, docteur en médecine et président de l’association Bressolles Bien Vivre
GOTHIÈRE Brigitte, directrice cofondatrice de L214
HOUPLON Pascal, président d’Aube-Durable
KENAN Galitt, directrice du Jane Goodall Institute France
LAHIANI Yves, docteur vétérinaire
LAMART Stéphane, président fondateur de l’Association Stéphane LAMART
MERSCH Manuel, docteur vétérinaire, président de l’OABA
MEURICE Guillaume, humoriste
NAYAK Lucie, chargée de sensibilisation & développement, Refuge GroinGroin
OECHSNER Magali, membre du collectif Non à la mégaporcherie
PELLUCHON Corine, philosophe, professeure à l’université Gustave Eiffel
PUVANESWARAN Vipulan, militant écologiste
RICARD Matthieu, docteur en génétique
SANVISENS Amandine, cofondatrice de PAZ
WAGNER Thomas, fondateur du média Bon Pote
ZUCCOLO Ghislain, directeur général de Welfarm – Protection mondiale des animaux de ferme
Connu / https://twitter.com/GreenpeaceMans/status/1696069516407501172
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Greenpeace - Groupe local du Mans @GreenpeaceMans · 14h
Vous aussi, interpellez LDC sur leurs pratiques d'élevage d'une cruauté sans nom 😖
Surtout que :
Le jeudi 24 août 2023, une trentaine de scientifiques, personnalités et militants du monde associatif co-signent une tribune à l’attention de LDC
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Femmes et enfants yanomami se reposant dans un jardin forestier, Brésil. Les Yanomami cultivent environ 60 plantes dans ces jardins, qui représentent 80 % de leur alimentation.
Des milliers de travailleurs miniers clandestins détruisent le territoire du peuple autochtone yanomami dans le nord de l'Amazonie.
Ils apportent violence et maladies contagieuses, comme la Covid-19 ou la malaria, aux communautés qui vivent sur place et empoisonnent les rivières et les poissons avec du mercure.
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Dans les années 1980, Davi Kopenawa Yanomami et les sympathisants des Yanomami à travers le monde ont lutté pour la protection du territoire yanomami – et ont gagné. Ensemble, nous pouvons remporter une nouvelle victoire. S'il vous plait, agissez maintenant en signe de votre solidarité avec Davi et les Yanomami pour mettre fin au génocide qui se déroule au Brésil.
Envoyez maintenant un mail au gouvernement brésilien.