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Portraits de gens de Mer : Niels Joyeux - Vendredi 13 septembre 2024 / Chroniques littorales - France inter
Portrait de marin ©Getty - Ryan McVay
Niels Joyeux est un marin, bien évidemment, mais c'est un marin participatif, coopératif. C'est un des co-fondateurs de Windcoop, Windcoop c'est une grande aventure de la construction d'un cargo à voiles, avec des voiles très technologiques. Mais comment a commencé la vie du marin Niels Joyeux ?...
Niels Joyeux : " J'ai eu la chance d'habiter un peu en voilier avec mes parents. Ça a commencé tôt, le bateau pour moi. Et puis après, j'ai fait l'école de la marine marchande et donc j'ai travaillé un peu sur différents cargos en tant que jeune officier de la marine marchande, avant de me lancer dans la création d'abord de Zéphyr et Borée, et puis maintenant de Windcoop. Zéphyr et Borée, c'est du transport à la voile.
En fait, dans le cadre de ma formation à l'école de la Marine marchande, j'avais fait un mémoire avec un bon ami qui aujourd'hui, est un de mes associés sur la possibilité d'utiliser de nouveau le vent pour propulser les cargos modernes. C'est un mémoire de fin d'études qui nous a bien inspiré puisqu'après on a décidé de créer une entreprise. L'idée, c'est de développer, construire et exploiter des cargos à voile pour proposer un service de transport bas carbone."
Clés : Monde Société Transports Mers et océans Transport maritime
L'équipe Jose Manuel Lamarque
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Mediacoop est un média créé en 2015 par Matthias Simonet et Eloïse Lebourg. Documentaristes et journalistes, ils veulent créer un media indépendant et respectueux à la fois du lecteur que du salarié. Leur structure sera donc une SCOP (société coopérative) sans patron ni actionnaire.
Voulant à tout prix être libres, les créateurs décident de ne pas faire appel à la publicité ni même au paiement des articles afin que tous y aient accès. Ainsi, Mediacoop sera libre et gratuit. Pourtant, avec deux voire trois salariés depuis ses débuts, la structure doit financer les salaires. Mediacoop a trois axes de travail :
– L’actualité locale (Clermont-Ferrand et ses environs) L’équipe compte sur les dons qui sont versés sur Okpal en ligne ... l’information ne se fait pas sans salarié.
– L’éducation aux médias. Mediacoop intervient dans les établissements scolaires, hospitaliers, pénitenciers, médiathèque afin de former les gens à la critique des médias, à les alerter sur le principe des fake news, etc…Ces interventions sont payées par les structures ou par le biais de subvention
– La réalisation de documentaires : Mediacoop réalise et produit des films documentaires. Leur vente en dvd mais aussi leur passage en cinéma aide à diversifier les ressources de la structure.
Mediacoop peut prétendre à la subvention mise ne place par le ministère de la culture dans le cadre du financement des médias de proximité. De plus Mediacoop a un numéro CPPAP et est reconnu IPG ( Information politique et générale) , permettant la reconnaissance de la qualité de service de presse en ligne et ainsi considérer notre structure comme un média et ses salariés comme journalistes professionnels.
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donner la parole à ceux que nous n’avons pas l’habitude d’entendre. Notre premier documentaire racontait notre atelier d’écriture à l’accueil de jour de Clermont-Ferrand avec les SDF, relayé par le blog « la rue au quotidien » de Politis.fr . Un premier blog pour les sans abris…
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Nous avons créé avec pas mal d’autres médias un nouveau monde de la presse, un univers essentiel pour l’indépendance de l’information sous la forme de la CPML (Coordination Permanente des Medias Libres). 74 titres qui existent et qui résistent, qui offre une autre vision du monde ! Nous en faisons partie, nous avons ces mêmes valeurs, ces mêmes combats…
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édité par : Mediacoop Scop SARL redaction@mediacoop.fr
26 route de Manson, Charade 63130 Royat
SIRET : 812 286 888
Capital variable
Directrice de publication : Antoine Legrand
Création du site internet Agence Code Couleurs
Hébergeur : O2switch
Bâtiments ; Économie circulaire / Déchets ; Société / Politiques publiques
Installé dans un ancien entrepôt portuaire, le Hangar Zéro est un laboratoire de la transition écologique et citoyenne. La coopérative expérimente en effet de nouveaux modes de production, de consommation et de vivre ensemble. Il se veut aussi le fer de lance d’une architecture plus circulaire.
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« 65 % des matériaux utilisés pour les travaux sont de récupération. C’est le plus gros chantier de réemploi en France ! se félicite Katy Miesiaczek, coordinatrice administrative et financière ... structurer et professionnaliser toute une filière régionale autour du réemploi des matériaux de construction.
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"Des tiers-lieux, il y en a plein. Mais peu sont aussi engagés sur la sobriété."
Chloé Saint-Martin, ingénieure économie circulaire à l’ADEME
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les habitants sont invités à investir l’agora ou les jardins ouvriers et les écoles à venir visiter la ferme aquaponique. Les entreprises peuvent louer des bureaux, les artisans utiliser l’atelier de menuiserie. Tout cela doit contribuer à dessiner un avenir plus durable, respectueux de la planète et des humains.
Assemblée Générale du tiers-lieu L'Avant-Poste à Die (Drôme) soutenu par la coopérative "Villages Vivants" - © Gaïl
Aujourd'hui dans les Carnets, une idée pour donner du sens à votre épargne en aidant au développement de projets en milieu rural, par exemple des ouvertures de commerces. Ensuite, on enfourche notre vélo jusqu’à Auxerre pour une "vélorution" d’automne, prévue ce samedi.
La coopérative "Villages vivants"
Que peut-on faire, chacun à son échelle, pour que revivent les villages ? Pour que fleurissent des commerces de proximité et des lieux de vie ? On peut, par exemple, investir dans une coopérative foncière. Cette société coopérative s'appelle “Villages Vivants”. Elle est née dans la Drôme il y a six ans et agit aujourd'hui dans toute la France pour lutter contre la désertification des zones rurales. “Villages Vivants” vient de lancer un appel à l'épargne citoyenne. On en parle avec la présidente du conseil d'administration Dominique Marcon.
Si vous souhaitez devenir sociétaire de la coopérative “Villages Vivants” cliquez ici. https://villagesvivants.coophub.fr/register/fr-fr/VIV
La coopérative "Villages Vivants" permet à des projets de voir le jour comme ici "L'Hostel Quartier Libre" installé à Saint-Jean-en-Royans dans la Drôme - ©tim.futurorg
L'association "Roue libre"
Pour militer pour la place du vélo dans la ville d’Auxerre, l’association “La Roue Libre” organise ce week-end sa Vélorution d'Automne. Un rassemblement présenté par Yves Le Goff, président de l’association.
Pour rejoindre la Vélorution de “La Roue Libre” rendez-vous le samedi 30 septembre à 14h30 place Charles Surugue à Auxerre, devant la statue de Cadet Roussel.
L’association organise quatre vélorutions par an à Auxerre et propose régulièrement des ateliers d’entretien pour son vélo L’association organise quatre vélorutions par an à Auxerre et propose régulièrement des ateliers d’entretien pour son vélo - © La Roue Libre
Les brèves de Carnets
C’est l’automne et un nouveau numéro du magazine Regain vient de paraitre. Regain est un journal de campagne, qui célèbre la ruralité sous toutes ses coutures. Un très beau magazine dans lequel le soin apporté aux images est immense. Dans ce nouveau numéro, automne 2023, vous trouverez notamment : un entretien avec Claude Ponti et sa fascination pour les champignons, un reportage en Auvergne chez un vigneron qui mène des expérimentations sur le « widre », boisson pétillante légère en alcool à mi-chemin entre le cidre et le vin et puis un libraire-caviste-épicier du Morvan qui raconte son village de Quarré les Tombes : commune de l'Yonne.
Pour en savoir plus sur le numéro 22 de Regain, automne 2023, vivement recommandé par les Carnets, c'est ici : www.regain-magazine.com
Clés : Société Économie Économie sociale et solidaire
Depuis 2019, la coopérative Fréquence Commune accompagne les habitant.e.s, agent.e.s et élu.e.s qui réinventent la démocratie par le bas pour opérer une transformation écologique et sociale de notre société.
Ce que nous proposons
... accompagner les élus et habitants dans la transformation démocratique des communes ...
Nos activités
Nous sommes organisé‧e‧s en trois cercles d’actions :
- Accompagner Animations et formations de dynamiques participatives
- Mettre en Réseau Rencontres, partage d’expériences et apprentissages
- Raconter Documentation, recherche et communication
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Le réseau Actions Communes
Fréquence Commune a soutenu la naissance du réseau Actions Communes. Parce que l’action locale ne suffira pas à transformer la démocratie, la mise en réseau entre élus et habitants est fondamentale.
Ensemble, ils s’inspirent de leurs réussites et de leurs erreurs.
Nous travaillons à élargir ce réseau et ses actions pour prouver que fonctionner de manière démocratique est plus efficace, plus pérenne et plus impactant.
Ensemble nous préparons l’amplification de ce mouvement pour les Municipales 2026.
Les trois objectifs du réseau :
- Montrer qu’on peut décider autrement, faire ensemble, citoyen·nes et élu·es.
- Développer l’entraide entre communes participatives. Partager les expériences.
- Soutenir l’émergence de listes citoyennes et participatives aux élections municipales de 2026.
Ressources
... les contenus créés par la coopérative pour nourrir les élu·e·s et les habitant·e·s qui transforment la démocratie.
- Cartographie Carte des municipalités, collectifs et élu‧e‧s minoritaires qui réinventent la démocratie locale
- Lundis en Commun Rencontres en ligne mensuelles et thématiques pour les élu·e·s et habitant·e·s du réseau
- Blog Nos articles de terrain et de suivis des actions des collectifs et municipalités
- Documentaire Un film produit par Fréquence Commune sur la campagne des municipales de 2020 de la liste participative « Nous sommes » à Montpellier
association coopérative
L’exemple de Jeune Montagne / Clothilde Arribet Dans Pour 2016/2 (N° 230), pages 137 à 141
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située à Laguiole (12) sur le plateau de l’Aubrac, est assez connue pour sa capacité à rémunérer ses coopérateurs et la vitalité de son développement économique en Aveyron. [1]
[1]« Le bel appétit de l’Union fromagère Jeune Montagne », Centre…
Créée en 1960 pour faire face à la disparition de la fabrication artisanale du fromage sur le plateau, celle-ci compte aujourd’hui 109 salariés, regroupe 79 exploitations fermières et 114 adhérents coopérateurs. Elle transforme chaque année 15 millions de litres de lait. La moitié est transformée en fromage Laguiole AOP, l’autre moitié en tomme fraîche, laquelle est vendue principalement transformée en aligot.
Malgré le dynamisme du territoire et de son agriculture, en 2010 35% des exploitations de l’Aubrac aveyronnais comptant au moins un associé ayant plus de 50 ans n’avaient pas de succession [2]
[2]« L’Aubrac, de nouveau à la croisée des chemins ? », Aubrac…
. Le prix du foncier, qui peut atteindre 10 000 euros l’hectare sur le plateau, est un véritable frein à l’installation et beaucoup de fermes sont démantelées et vendues à l’agrandissement plutôt que d’accueillir un nouvel agriculteur. Or ce n’est pas seulement l’agriculture qui est menacée par la chute du nombre d’actifs agricoles, mais également les activités en aval de la filière qui sont génératrices de nombreux emplois locaux, et donc la vitalité et le dynamisme du territoire.
Face à cela la coopérative Jeune Montagne a fait le choix d’investir dans le renouvellement des générations et de mettre en place des outils favorisant l’insertion, les échanges et l’implication de ses membres.
L’utilisation de fonds propres de la coopérative pour aider les jeunes à s’installer
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Notes
[1] « Le bel appétit de l’Union fromagère Jeune Montagne », Centre Presse Aveyron, 23/11/2015 [http://www.centrepresseaveyron.fr/2015/11/23/le-bel-appetit-economique-de-l-union-fromagere-jeune-montagne,981353.php]
Sophie Chapelle, « Cette petite coopérative fromagère qui paie ses agriculteurs bien mieux que les géants agroalimentaires », Bastamag, 20/09/2016.
[http://www.bastamag.net/Cette-petite-cooperative-fromagere-qui-paie-ses-agriculteurs-bien-mieux-que-les]
[2] « L’Aubrac, de nouveau à la croisée des chemins ? », Aubrac Info : Bulletin de liaison et d’informations racial, n° 63, décembre 2014, p. 8.
Connu / TG le 15/07/23 à 05:20
Tél : 05 59 40 46 92 - capm-pau.courrier.fct@intradef.gouv.fr
Connu / https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F36472/3_0?idFicheParent=F1398#3_0
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Attestation des services accomplis (service militaire ou service national) - Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre situation
Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre lieu de recensement : la métropole
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&
Lettre envoyée à partir de https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R41470
ATT rép
👉 Télécharger le plan des Colibris -> https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?9S-Taw
Une feuille de route citoyenne, politique, alternative et coopérative, construite autour de 6 enjeux majeurs :
- L’économie
Pour une économie remise à sa place : au service de l'intérêt général, c'est à dire à la fois du bien-être, de l'autonomie et de la liberté des êtres humains, et de la restauration des écosystèmes. - L’agriculture
à manger pour tous, sans endommager la nature, ni la santé et sans compromettre la liberté et la capacité des populations à se nourrir par elles-mêmes. Assurer sécurité, salubrité et autonomie alimentaire pour tous, durablement. - L’éducation
Accompagner chaque être humain dans la découverte de lui-même (de ses aptitudes, de ses talents), des autres (vie sociale, règles...) et lui transmettre les savoirs et connaissances dont il aura besoin pour s'épanouir dans la société et relever les défis du siècle. - L’énergie
L'accès à l'énergie pour tous avec la plus grande autonomie possible sans mettre en péril les équilibres naturels (température du globe, biodiversité, ressources naturelles) ni la santé humaine. - L’habitat
Inventer d’autres manière d’habiter la terre plus conviviales et respectueuse des écosystèmes. - La démocratie
Une véritable démocratie, garantissant que les décisions politiques sont toujours conformes à l'intérêt général, aux équilibres écologiques et sont l'émanation d'une vraie volonté populaire, élaborée à travers de nombreux, intenses et authentiques débats entre les membres de la société.
Ndlr : sans le mot "climat" supposément compris dans"température du globe" ??
Durée de lecture : 7 minutes - Séries d’été Quotidien
Prendre part à un chantier collectif quand on n’a aucune compétence de bricolage, est-ce vraiment possible ? Notre journaliste a tenté l’expérience, et a été agréablement surprise. [SÉRIE 2/4]
Vous lisez la seconde partie de notre série « Le chemin de l’autonomie ». La première est ici https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?0nNeVA, la troisième ici https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?wvwQEg et la dernière là https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?e93PxQ.
Au programme : du bricolage entre femmes, un chantier participatif, une cueillette sauvage et l’éloge de la lenteur.
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il existe des chantiers partout en France https://fr.twiza.org/, qu’ils sont gratuits, et qu’un hébergement est souvent mis à disposition des bénévoles. Cet été, un « appel pour des reprises de savoirs » a même été lancé https://www.reprisesdesavoirs.org/lappel/ par des activistes, des chercheurs et des enseignants (entre autres) pour organiser un maximum de chantiers collectifs et retrouver « une autonomie politique et matérielle »
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Frédéric, architecte et animateur du chantier participatif, m’accueille et m’emmène dans le quartier des docks découvrir le fameux Hangar Zéro [1]. Là, le grand entrepôt aux briques rouges fait face au canal. Quelques goélands le survolent.
Frédéric m’explique qu’en 2016, des habitants se sont réunis pour fonder l’association LH-Ø (devenue une coopérative en 2019) et investir cet ancien hangar de stockage. Le but : le transformer en un lieu ouvert à tous, « un laboratoire citoyen de la rupture écologique ». « À terme, il y aura une ressourcerie, des ateliers partagés pour aider les gens à réparer leurs objets du quotidien », développe Frédéric. Ainsi qu’un potager, une salle de documentation, un restaurant, une boutique et des bureaux. « On veut que les gens du quartier s’approprient le lieu, on ne veut pas faire un truc de bobos hors-sol », précise Brice, ingénieur impliqué dans le projet.
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Notes
[1] Pour Hangar « zéro déchet, zéro énergie carbonée et zéro exclusion ».
[2] Avec du polystyrène et des dalles de faux plafond de réemploi, recouvertes de toiles de jute enduites de terre.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?1rIA-g
PROCÈS
Nous avons appris par voie de presse la volonté du Ministre de l’Intérieur de dissoudre le « mouvement DefCo », à la demande notamment du Front National, et ce au motif d’appels au « soulèvement ».
A notre connaissance, aucun courrier en vue d’une réelle procédure ne nous a été envoyé, nous n’avons donc aucune idée des motivations de cette éventuelle dissolution ni de l’entité qui serait visée. En effet, l’appellation « DefCo », employée par le ministre est à Rennes un terme que l’on retrouve régulièrement dans les dossiers judiciaires, les PV de la préfecture et les articles de presse pour désigner toute pratique dite « contestataire »
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Connu / https://twitter.com/Defense_Co/status/1643139159639375872
Le Rambolium, point d'éclairage bioluminescent grâce à des bactéries marines, en test à Rambouillet dans les Yvelines - Nicolas Duprey
Et on éclairait nos rues grâce à la mer? La bioluminescence le permettra peut-être. L'entreprise Glowee, basée à Evry, y travaille.
La lumière dans la nature... On pense aux lucioles et aux vers luisants, mais on sait peu que 80% des organismes marins, produisent aussi de la lumière. Glowee développe des bactéries marines naturellement bioluminescentes qui produisent une lumière bleue verte liquide, lorsqu’on leur permet de se développer dans l’eau. Le projet de cette start-up, pionnière dans ce domaine est de développer une gamme d’éclairage public. Elle mène une expérience à Rambouillet, dans les Yvelines : le projet Rambolium. Un point d’éclairage bioluminescent est testé devant la salle de spectacle La Lanterne.
Sandra Rey est la fondatrice et présidente de Glowee
Archipossible, plateforme qui met en lien celles et ceux qui construisent ou rénovent leur maison
Nous voici à Arpajon, toujours dans l'Essonne, pour causer bricolage ! Avec une société coopérative baptisée Archipossible. Son but : favoriser l'entraide entre ceux et celles qui construisent ou rénovent leur maison, dans une logique de transition.
Franck Mathieu, à l'initiative d'Archipossible https://archipossible.fr
-> https://rf.proxycast.org/b88ba942-3aac-42d9-bf2e-0794f32d781d/10205-15.03.2023-ITEMA_23317345-2023F10767S0074-22.mp3
ndlr : autoconstruction ? ACT
«Équilibre» ?
Dans un monde aux ressources limitées, nous recherchons un équilibre stable:
- entre liberté individuelle et besoins de la collectivité;
- et entre consommation et renouvellement des ressources naturelles.
Qui est Équilibre ?
Ce sont des citoyens d’âges et de milieux différents souhaitant participer ensemble à un projet d’habitat qui associe qualité de vie et pérennité, en tenant compte des besoins de chacun, ici et ailleurs, aujourd’hui et demain qui forme la coopérative Équilibre.
Principes
- contribuer au développement d’un habitat où il fait bon vivre, aujourd’hui comme demain;
- que les loyers reflètent les coûts réels de la construction et du terrain en dehors du marché spéculatif;
- développer un habitat où densification du territoire rime avec qualité de vie;
- rechercher l’équilibre stipulé dans l’article 73 de la Constitution fédérale de la Confédération suisse!
Régulièrement de nouveaux membres sont accueillis, ils doivent adhérer à la Charte éthique et aux Statuts de la coopérative. http://www.cooperative-equilibre.ch/presentation/charte/
Équilibre, une coopérative participative
Participer tous ensemble en restant en adéquation avec notre Charte éthique et dans le respect de nos statuts explicitement sans but lucratif et distants de toute spéculation sur les parts sociales:
- à la réflexion pour développer un habitat respectueux des personnes et de l’environnement;
- aux assemblées décisionnelles;
- à la gestion des espaces communs;
Un autre regard sur l’habitat
En tant que coopérative participative, Équilibre permet à ses membres de:
- participer à la conception d’un projet;
- planifier sa gestion;
- favoriser les relations entre habitants et futurs habitants;
- créer des liens entre les générations;
- s’enrichir des différences de chacun;
- privilégier verdure et lumière;
- promouvoir les énergies renouvelables;
- préserver l’environnement.
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Historique
La création d’un groupe de réflexion sur le logement date du début 2005 ... version électronique du livre des 10 ans ! http://www.cooperative-equilibre.ch/wp/wp-content/uploads/2016/09/EQ_LIVRE_10ans_BD.pdf
Le premier fou de mon histoire s’appelle Pierre Colombot. Je l’ai rencontré en 1986 à Nyons dans la Drôme. A l’époque, Pierre était directeur du CEDER (Centre de documentation et de recherche en énergies renouvelables). Moi j’avais 21 ans et je débarquais pour mon service civil qui allait durer deux ans. Pour bien comprendre le contexte, il faut imaginer Pierre qui nous fait visiter sa maison pour la première fois. Nous sommes en Drôme provençale et la vue sur les Baronnies est magnifique. La meilleure place pour l’admirer c’est quand vous êtes assis sur le trône. Oui, vous avez compris, le trône c’est une toilette à compost située en plein milieu du salon de ce Monsieur Pierre Colombot. Vous commencez à situer le personnage ? En tout cas, pour Didier, Gilles et moi les deux ans sont passés vite – trop vite.
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son incroyable entreprise de fabrication de toilettes – Sanisphère au service du soulagement public http://www.sanisphere-fr.com/fr/accueil/
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Ralph Thielen. Je l’ai rencontré en 2007 quand il s’est inscrit à la coopérative Equilibre. Quand je lui ai parlé de ma rencontre avec Pierre et ses toilettes pour sites isolés, il a tout de suite pensé que ce serait possible dans l’immeuble que nous nous préparions à construire
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notre architecte Stéphane Fuchs du bureau atba http://atba.ch/. Quand il m’a dit qu’il était particulièrement heureux de travailler avec nous surtout parce que nous voulions des toilettes à compost ... Les vers esenia fetida ... nous détenons le record genevois de la basse consommation d’énergie thermique, électrique et d’eau… nous partageons 4 voitures pour 12 familles et nous gérons tout nous mêmes… de la régie et la conciergerie.
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Philippe Morier Genoud ... plus de vers ... un exemple aux Etats-Unis qui semble fonctionner – le Bullitt Center http://www.bullittcenter.org/building/building-features/waste-not/ ... nouvel immeuble à Soubeyran dispose d’un immense composteur centralisé pour 140 personnes et des centaines de kilos de lombrics
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nos déjections sont de l’or! Ils contiennent assez d’éléments précieux – azote, phosphore et potassium principalement – pour s’affranchir totalement des engrais issus de la pétrochimie. Au lieu de cela, nous utilisons des Stations d’épuration (STEP) dans les pays industrialisés qui transforment ce précieux engrais en boues d’épuration impropres à l’agriculture (présence de métaux lourds) et représentent un véritable casse-tête pour s’en débarrasser – il faut dire que nous en produisons 5 litres par personne et par jour (des boues) ! Et encore, ce n’est pas tout. Les rejets des STEPs dans nos cours d’eau sont aussi des sources de pollution de plus en plus inquiétantes. C’est le contraire du rêve de l’alchimiste. Nous arrivons à transformer de l’or en matières polluantes.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?T-2yLA
« Cet accord démontre qu'il est possible de créer des coopérations opérationnelles sans devoir se plier à une quelconque doctrine atlantiste.
Indépendance et coopération ne sont pas opposées, bien au contraire. »
Elise Leboucher (https://www.facebook.com/elise.leboucher.7204/?__tn__=kK) intervenait ce mercredi 25 janvier 2023 sur l'accord de coopération entre la France et les Pays-Bas.
Connu / TG le 25/01/23 à 14:16
Si, dans certains territoires, les élus des différentes collectivités travaillent en bonne harmonie, c’est loin d’être le cas partout. Et ce alors que la croissance a tendance à se concentrer dans une poignée de métropoles.
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Romain Pasquier est directeur de recherche au CNRS et titulaire de la chaire « Territoires et mutations de l'action publique » de Sciences Po Rennes
Romain Pasquier est directeur de recherche au CNRS et titulaire de la chaire « Territoires et mutations de l'action publique » de Sciences Po Rennes
DAVID FERRIERE
Par Romain Pasquier Publié le 13/01/2023 à 16:00, mis à jour à 16:00
Cette dernière décennie, le monde des territoires a connu des mutations profondes avec l’extension du statut métropolitain en 2014, la réforme de la carte des régions en 2015 et, trois ans plus tard, le déclenchement du mouvement des Gilets jaunes qui allait être le révélateur de nouvelles fractures. Toutefois, si la géographie économique bouscule les équilibres entre villes et régions, des facteurs politiques influent également.
Depuis une trentaine d’années, de nouvelles tendances émergent avec le resserrement de la croissance autour de grandes zones métropolitaines et une remontée des inégalités territoriales. La tendance spontanée n’est donc pas à l’équilibre. Les investissements
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16 min 2 Commentaire(s)
Claude Alphandéry Président d'honneur du labo de l'ESS
Impossible de résumer la vie et la carrière de Claude Alphandéry : à vingt ans, il unifiait les réseaux de la Résistance et dirigeait les maquis dans le département de la Drôme. Il fut communiste, puis socialiste, énarque puis banquier. Actionnaire et administrateur de Libération, puis fondateur du Conseil national de l’insertion par l’économique (CNIAE), puis du président du conseil national de l’économie sociale et solidaire, créateur de France active, du Labo de l’ESS.
En 2019, il participe à la création du Conseil national de la nouvelle résistance… Lui-même déclare « un attachement passionné à la solidarité », et profite de son centième anniversaire pour lancer un retentissement « appel à la résistance » au monde éclaté de l’économie sociale et solidaire pour qu’il se regroupe afin de s’ériger en alternative au capitalisme financiarisé.
...
Vous faites un bilan mitigé de votre action sur plusieurs décennies, mais vous appelez néanmoins à faire de l’ESS un contre modèle. Alors comment transformer un monde encore marginal, éclaté, difficile à coordonner, en quelque chose qui aurait l’ambition de supplanter le capitalisme ?
C. A : Par la coopération justement ! Ce qui a déjà permis de créer des initiatives sur des sujets précis, ici sur les économies partagées, là sur le recyclage, ou encore sur l’insertion. Une multitude d’initiatives ont prospéré. Certaines entreprises atteignent le millier d’emplois, ce qui n’est pas rien. D’autres ont fusionné ou ont mis sur pied des fonds de confiance pour faire émerger de nouvelles sociétés.
Tout cela existe, mais sur un même territoire ces acteurs ne se connaissent pas forcément, voire sont en concurrence pour répondre à des appels d’offres des collectivités locales ou de l’Etat. La coopération est très difficile. Or au-delà de la réussite de leurs missions propres qui visent à donner du travail ou à proposer des services que la puissance publique ne fournit pas, certains se disent que la société ne va pas bien.
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A Romans, Christophe Chevallier réunit tous les ans 1 200 entrepreneurs de la région Rhône-Alpes. Toutes ces personnes ne sont pas forcément économistes mais croient qu’on n’est pas forcés de vivre dans ce système de l’économie du profit, qu’on peut mettre en place autre chose. Néanmoins, ils s’aperçoivent que la coopération est compliquée car il y a des intérêts divergents.
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Il existe effectivement assez peu de travaux académiques sur ce sujet. Comment l’expliquez-vous ?
C. A : Il y a près de dix ans, lorsque j’étais président du Labo de l’ESS, j’avais lancé, sous l’égide de l’Institut de la Caisse des dépôts et consignations, un travail de recherche pour expliquer pourquoi les économistes s’intéressent si peu à l’économie sociale et solidaire.
Une nouvelle étude https://www.alternatives-economiques.fr/economie-sociale-solidaire-gagner-bataille-idees/00105107 est aujourd’hui menée sur le même sujet. Elle est pilotée par Camille Dorival, experte de l’ESS [ancienne DG d’Alternatives économiques, NDLR], Hugues Sibille, le président du labo de l’ESS et l’historien Timothée Duverger qui enquêtent auprès d’une trentaine d’économistes. Les conclusions de ces travaux seront toutes rendues publiques en juin prochain. J’espère bien qu’ils répondront à cette question.
...
Fait-on entrer dans la planification uniquement les profits, ou intègre-t-on plutôt des paramètres bien plus intéressants : le bien-être des populations, l’accueil des immigrés, ou la sobriété, dont on sait qu’elle contrarie bien des intérêts ? C’est cela la différence avec la planification solidaire et la planification libérale.
Propos recueillis par Céline Mouzon et Hervé Nathan
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IJIBA a partagé 2 j urbanbikecom@mastodon.social
ijiba@mastodon.top urbanbike @urbanbikecom@mastodon.social
[…]
• La sobriété d’usage : par exemple moins se déplacer, surtout en auto ou en avion.
• La sobriété de substitution : se déplacer à vélo, à pied, en train ou en bus au lieu de prendre l’auto ou l’avion.
• La sobriété de dimension : rouler dans une petite voiture plutôt qu’un SUV.
• La sobriété de collaboration : partager autant que possible la voiture plutôt que rouler seul.
[…]
urbanbike : « […]• La sobriété d’usage : par exemple moins se … » - Mastodon
"
....
Proposer Frama.space gratuitement, ça ne risque pas de causer du tort aux chatons ou à des structures commerciales ?
Il est normal d’avoir le réflexe de se dire que proposer une offre Nextcloud gratuite, alors que les membres du collectif CHATONS (impulsé en 2016 par Framasoft) proposent des offres payantes ou sur adhésion, pourrait nuire à leurs modèles économiques souvent fragiles.
Cependant, nous ne le pensons pas.
D’abord, il est à noter que Frama.space s’adresse aux « petites structures », qui ont rarement les finances nécessaires pour payer un service que Google (ou autre) leur fournit gratuitement. Les chatons dont le modèle économique repose sur la facturation d’instances Nextcloud accueillent plutôt des structures ayant des besoins qui sont en dehors du périmètre de Frama.space : elles ont besoin de + de 50 comptes, de + que 40 Go, d’applications/plugins particuliers, d’un accompagnement personnalisé, etc. Autant de choses que Frama.space ne propose pas.
Surtout, nous pensons sincèrement que tout le travail d’accompagnement et de médiation que fera Framasoft autour de Nextcloud permettra de faire largement croître la base d’usagers potentiels de ce logiciel, ce qui profitera à l’ensemble des chatons, et même à l'ensemble des entreprises proposant une offre Nextcloud.
En effet, un des objectifs d’accompagnement porté par Framasoft est de rendre le logiciel Nextcloud visible, compréhensible, accessible au plus grand nombre. Des utilisateur⋅ices de Frama.space dans un cadre associatif pourront donc se retourner vers des chatons pour utiliser Nextcloud dans un cadre familial ou professionnel.
De même, Framasoft souhaite accroître la notoriété de Nextcloud par de multiples actions : créer ou traduire des vidéos de présentation, valoriser des tutoriels, créer des supports promotionnels (flyers, stickers, etc), animer des conférences et webinaires, promouvoir Nextcloud dans les médias, etc. Nous disposons d’une certaine « force de frappe » et nous pensons sincèrement que l’effet de notoriété dépassera largement le cadre de Frama.space et rejaillira très positivement sur l’ensemble des hébergeurs francophones de Nextcloud.
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Framasoft lance Frama.space, des instances Nextcloud dédiées aux associations et collectifs (€) https://www.nextinpact.com/article/70361/framasoft-lance-frama-space-instances-nextcloud-dediees-aux-associations-et-collectifs Framasoft vient de lancer Frama.space, à destination des petites associations et des collectifs. Objectif, fournir un espace Nextcloud adapté à leurs besoins. L’association française souhaite, par cette initiative, redonner du pouvoir aux collectifs, malmenés selon elle d...
Framasoft lance Frama.space, des instances Nextcloud dédiées aux associations et collectifs
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