Samuel Legris : Étudiant en master de Sociologie, École normale supérieure Paris-Saclay / Sorbonne Université samuel.legris@ens-paris-saclay.fr
Cet article rend compte de la grande hétérogénéité des consciences sociales parmi les Gilets
jaunes. À partir d’une analyse socio-discursive des représentations du monde social de
protestataires rassemblés sur un rond-point du Berry, il vise à appréhender les conflits internes qui ont émaillé la mobilisation et leurs conséquences. À l’aune de ces résultats, la structuration du mouvement des Gilets jaunes contre ceux d’en haut est discutée.
: Gilets jaunes, mouvement social, structuration, représentations sociales, analyse socio-discursive
...
Connue / tg 25/06/22 15:34 (en milieu rural)
33 081 vues - 3 k - 190 k abonnés - 549 commentaires
Les campagnes de la Somme ont voté, hors Amiens, à 61% pour Marine Le Pen. Alors, on fait quoi ? On les abandonne au RN ? Non, on relève le gant, ici et ailleurs. Sur le papier, électoralement, je suis mort ! Et pourtant, on va ressusciter, et pourtant, à la fin, c'est nous qu'on va gagner !
Ca commence ce samedi à Flixecourt, avec Shirley et Dino : https://fb.me/e/1qWhMN16y
Faites un don : https://avecruffin.fr/don/
Rejoignez-nous : https://avecruffin.fr/
N'oubliez pas de mettre un petit pouce en l'air, de partager, et on vous souhaite un bon visionnage !
Rejoignez nous sur : https://francoisruffin.fr
Tr.: ... la fr périphérique, des ronds-points, des gilets jaunes ... up faible dans les communes <100 000 habitants ... Fixecourt ... l'histoire n'est plus continue, on vit des temps de bascule, pourquoi pas vers le meilleur ? on va lutter !
Essai - Société
Loin d’être sans leader, le mouvement des gilets jaunes est constamment traversé par des luttes de leadership. L’ethnographie d’un rond-point de mobilisation et des tensions qui traversent différents groupes de l’agglomération lyonnaise permet de mieux comprendre l’inscription dans le temps de ce mouvement.
Après plus de quatre mois de mobilisation, l’heure semble être au bilan du « Grand débat ». Réel effort de concertation du gouvernement pour les uns, mascarade pour les autres, la controverse médiatique et politique place les revendications des gilets jaunes au cœur de l’actualité. Elle focalise ainsi l’attention sur les dimensions délibérative et nationale du mouvement (qu’il s’agisse du « Grand débat », de son alternative, le « Vrai débat », porté par d’autres gilets jaunes, ou encore de l’ « Assemblée des assemblées » réunie à Saint-Nazaire), au risque de faire oublier que la pratique des assemblées ne va pas de soi, mais aussi que les mobilisations locales, nées sur les ronds-points, se poursuivent.
Dans l’agglomération lyonnaise, le campement de Corsieux
fut ainsi occupé de jour comme de nuit dès le début du mouvement. Il a constitué le point de départ de nombreuses actions, et notamment des multiples tentatives de blocage d’un vaste site industriel situé à deux pas de là. Pour les observateur.rice.s ou les militant.e.s qui ont suivi la mobilisation sur ce territoire, le site est ainsi devenu une référence incontournable. Certes, depuis le 17 novembre, plusieurs ronds-points à Givors, Villefranche, Saint-Quentin-Fallavier ou encore Vénissieux, ont été occupés chaque week-end. Dans cet entrelacs de mobilisation, Corsieux a néanmoins constitué le seul point de rassemblement quasiment permanent, jusqu’à ce que la police impose sa destruction fin décembre. Le nom n’a toutefois pas disparu des esprits. D’une part, si le point de rassemblement a disparu, une importante partie de ses habitué.e.s ont continué à se mobiliser. D’autre part, aujourd’hui encore, se réclamer de Corsieux dans une assemblée générale de gilets jaunes à Lyon, revient à s’inscrire dans l’histoire d’une lutte politique locale prestigieuse, mais, aussi, clivante.
...
Débats et conférences - 0
Le 17 novembre 2018, le rond-point d’Aimargues, dans le Gard, est occupé par des manifestant.es vêtu.es de gilets jaunes contestant la politique d’Emmanuel Macron. Certains Gilets Jaunes filment avec leurs téléphones portables la vie sur le rond-point durant le mois que dure le blocage. Un collectif de réalisateur.ices-monteur.ses a décidé d’en monter un film autoproduit.
...
« Liberté, égalité, fraternité. C’est fou, je vis ces trois mots ici. C’est magique »
« Le rond-point de la colère » est réalisé par un collectif de réalisateur-monteurs, dont Pierre Carles, réalisateur de La sociologie est un sport de combat ; et Clara Menais, journaliste à Radio Parleur. L’objectif est simple : rendre compte du mouvement des Gilets Jaunes de la manière la plus juste, à hauteur de rond-point. Quoi de mieux, pour illustrer ce mouvement que d’utiliser ses propres productions : des matériaux bruts témoignant de la réalité du rond-point, contrebalançant les stéréotypes et discours médiatiques dominants ? L’histoire du film, c’est celle de ce petit peuple, pris de la volonté de se battre pour une vie digne, venu bousculer un temps l’ordre du monde, montrant à l’Histoire qu’elle ne se fera pas sans lui.
« Le rond-point de la colère » (61 mn – France – 2019) de Pierre Carles, Olivier Guérin, Bérénice Meinsohn, Clara Menais, Laure Pradal, Ludovic Raynaud. Photo de Une : Sylvain Lefeuvre.
Connue / https://twitter.com/radioparleur/status/1227281105205825539
Connu / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?n00QZg
...
P26 "Ceux qui parlent d’écologie sans aborder frontalement la question de la vie quotidienne sous tous ses aspects, ceux qui n’ont à la bouche que les mots « compensation », « bilan carbone », « développement durable », « green tech », « transition », « empreinte écologique », ceux-là parlent une langue morte, celle de la comptabilité du désastre.
Pour esquisser les fondements d’une écologie communale et révolutionnaire, ancrée dans la vie quotidienne, peut être faudrait-il repartir de la notion d’écosophie de Félix Guattari. Pour lui, la question écologique se situe à la lisière de trois registres : « celui de l’environnement, celui des rapports sociaux, et celui de la subjectivité humaine ». Dans le bocage de Notre-Dame-des-Landes s’expérimentent des formes de vie commune à même de tenir inséparés ces trois registres de l’écologie, comme en témoigne notre relation à la forêt."
...
un bien commun dont les habitants jouissent simultanément, apprenant laborieusement à concilier, à superposer et à ménager leurs multiples usages, apprenant aussi à prendre soin du bocage comme s’ils prenaient soin d’eux mêmes, à réparer le monde pour les prochaines générations d’habitants. Cette expérience
vécue est à rapprocher de la définition du communisme que donnait Karl Marx dans « l’idéologie allemande » comme le dépassement « de l’antagonisme entre l’homme et la nature, entre l’homme et l’homme. »
...
p30 ... seule une forme de propriété collective peut garantir une dimension intergénérationnelle qui dépasse l’espérance de vie des usagers actuels. Tant que nous n’aurons pas renversé la propriété privée de la terre et des moyens de productions pour y substituer une propriété d’usage ... C’est dans cette tentative d’invention coutumière, plus que les stratégies de détournement d’outils juridiques existants (bail de fermage, fonds de dotation) que réside tout l’intérêt de ce qui se vit dans le bocage de Notre-Dame-des-Landes ... Pour que l’absence de l’État ne reconduise ni le règne libéral du chacun fait ce qu’il veut, ni la loi du plus fort, ni la guerre de tous contre tous, encore faut-il constituer les germes d’une autonomie communale ... L’État se pose comme le garant de l’absence de guerre civile tout en s’adonnant bel et bien à des formes plus ou moins euphémisées de guerre civile contre sa population. La dimension la plus explicitement visible de ce double-jeu est la militarisation du maintien de l’ordre. Aurait-on seulement imaginé il y quelques années, qu’un tank puisse faire face à des manifestants sur lesquels il est devenu banal de tirer avec des armes de guerre ?
Jusqu’où nous mènera l’extension illimitée de l’état d’exception dans les démocraties occidentales ? ... Renverser le pouvoir en place est absolument nécessaire mais notoirement insuffisant. Pour que la destitution signifie plus qu’un simple renversement du régime, voire même pour qu’un tel renversement soit possible, encore faut-il constituer, ou plutôt faire consister autre chose localement.
La ZAD nous a confronté de plein fouet à l’extrême difficulté de retisser de la communauté politique, de réinventer des us et coutumes, de substituer à la loi républicaine des règles communes élaborées par et pour une communauté d’habitants suffisamment soudée, solide et puissante pour les faire appliquer.
Pendant cinq années entre 2013 et 2018, l’apparente absence du pouvoir institué nous a cruellement mis face à tout ce qu’il reste en nous de pouvoir incorporé : libéralisme existentiel, individualisme, recroquevillement dans les identités et les idéologies, incapacité à faire communauté sans tradition. ... Ou pour le dire plus subtilement : d’une communauté d’abord fondée sur un refus (même si elle portait en elle une positivité), à une communauté avant tout soudée autour d’une affirmation, d’un devenir ... L’une de nos erreurs, c’est d’avoir laissé dire que la diversité de la communauté négative était une force en soi et pour soi. C’est aussi d’avoir eu besoin du mythe de l’unité dans la diversité au point de faire passer les six points pour l’avenir de la ZAD comme la position du mouvement anti-aéroport. Or si toutes les composantes du mouvement ont validé le texte, c’est au forceps. En réalité, les six points incarnaient plutôt la position d’une frange active de chaque composante.
Trop longtemps, nous avons occulté les violents conflits qui ont toujours traversé le mouvement afin de donner à l’ennemi l’apparence d’une indéfectible unité. Nous nous sommes efforcés de ne rien laisser transparaître des batailles internes qui nous ont traversées entre 2013 et l’abandon du projet. Celles-ci venaient toucher des questions extrêmement sensibles : les conséquences pratiques de la vie sans police; l’accès aux champs et aux parcelles agricoles; l’usage des routes, chemins et sentiers; la cohabitation de rapports antagonistes à la nature et à l’agriculture; certains comportements individualistes et actes de malveillance envers nos voisins des bourgs alentours ou envers d’autres habitants de la ZAD, etc ... Ce que nous apprend l’expérience de la ZAD, c’est que si la communauté négative recèle une considérable puissance de destitution, construire une commune depuis une simple juxtaposition de différences, une addition d’identités antagonistes est en revanche impossible. La commune exige un liant bien plus consistant que la diversité tactique face à l’ennemi commun. ... En l’absence de tradition séculaire comme au Chiapas, c’est dans l’avènement de nouvelles formes contemporaines de créolisation que se situe l’assise culturelle des nouvelles communalités à venir. ... Ce que la créolisation recèle de magique et de sublime, c’est qu’elle relie ensemble des identités absolument hétérogènes. Elle leur offre un langage commun, sans pour autant les fondre et les confondre. ... une forme de créolisation politique qui reste à inventer.
...
XI COMMUNISATION ? ... la communisation des terres ne peut être octroyée par l’État. La communisation est un processus. Elle ne se décrète pas. C’est une mise en partage en acte par et pour les habitants de chaque localité. La communisation se construit. ... Le temps que l’inconséquence libérale-libertaire ne fragmente absolument tous les liens. ... Que l’on se penche par contraste sur les communes rurales aragonaises de 1936, ou sur le mouvement révolutionnaire zapatiste, alors on découvrira des tentatives de communisation des terres. Un processus qui commence par une prise et répartition des terres à l’échelle de chaque localité, et qui ménage toujours de l’espace pour une multiplicité d’usages collectifs, individuels et familiaux. Le commun ne s’impose pas mais s’appose à des expériences et des solidarités qui se tissent au long cours. On pourrait même dire qu’il s’apprend. ... nous avons la naïveté de nous réjouir que le bocage de Notre-Dame-des-Landes abrite de telles expériences de communisation des terres plutôt que des parkings, une tour de contrôle et un duty-free. Là réside notre victoire. ... souligner comment la ZAD, du 22 Février 2014 aux émeutes de 2016 contre la loi travail en passant par celles pour Rémi Fraisse, a contribué à sa mesure au retour de l’offensivité dans les rues de Nantes. Elle a apporté une pierre à l’émergence du contexte politique agité que nous connaissons aujourd’hui, comme en témoignent les cabanes de palettes qui ont fleuri l’année dernière sur tous les ronds-points de France. ... situation insurrectionnelle » une situation dans laquelle il y a une vacance du pouvoir en un lieu et un temps donné ... Depuis le mouvement contre la loi travail jusqu’au surgissement des gilets jaunes, la combativité dans la rue est remontée d’un cran, renouant avec des formes de conflictualité dont tout laissait à croire qu’elles appartenaient à un passé historique révolu.
Mais si nous ne voulons pas que ces insurrections en puissance continuent de « s’étrangler au stade de l’émeute », si nous désirons qu’elles accouchent d’un moment révolutionnaire, il s’agit de commencer partout à préfigurer localement le monde que nous voulons voir advenir. Nul besoin d’attendre le renversement total de l’économie ou la destitution de l’État républicain pour s’auto-organiser dans et contre le monde capitaliste. ... Aucun village, aucune ville moyenne n’a été épargné par la fièvre jaune ... stratégie d’encerclement qui débute aux portes des hypercentres métropolitains. ... Si notre époque n’est pas pré-révolutionnaire, alors elle est sans avenir.
...
Prendre de la hauteur, du recul. Sortir de la médiocrité sentencieuse du commentaire
7 238 vues - 602 - 14
Quelle que soit sa suite dans les semaines qui viennent, le soulèvement des gilets jaunes a déjà obtenu plus de résultats concrets que tous les mouvements de protestation depuis plus de 10 ans.
Pourquoi et comment ? Laurent Jeanpierre montre dans un livre que les gilets jaunes ont profondément renouvelé les formes de la lutte sociale. Ils ont mis en crise non seulement le projet de révolution néolibérale d'Emmanuel Macron et de ses soutiens, mais aussi celles des acteurs traditionnels de la politique, de même que les cadres d'analyse de la sociologie et de la science politique.
Dans son livre, Laurent Jeanpierre souligne que le mouvement des ronds-points opère une reformulation radicale de la politique elle-même, d'abord en la "localisant" : ce n'est plus le travail qui est le principal objet de la politisation (comme c'était le cas depuis le XIXe s.), mais l'ensemble de l'existence, et d'abord dans son cadre spatial et social quotidien.
Les gilets jaunes tendent à rejeter l'abstraction politique, les grandes problématiques idéologiques et les grands cadres institutionnels. Non pas du tout par incompétence (comme le leur reprochent les professionnels de la représentation et du commentaire), mais parce que les questions importantes se formulent à leurs yeux en termes de conditions de vie tangibles, immédiates, et de perspectives d'avenir effectives pour eux, leurs enfants et leurs aînés. Au cœur de leur politique à eux, il y a non pas des idées générales, mais l'organisation du quotidien, sa gestion, ses dépenses (souvent contraintes, comme celles liées au déplacement et à l'habitat), la sociabilité, l'entr'aide, les échanges - échanges dont les ronds-points sont un lieu emblématique (en particulier dans la France péri-urbaine où le mouvement trouve ses racines) et que permettent aussi de façon décisive les réseaux sociaux.
Autrement dit, les perspectives politiques des gilets jaunes sont avant tout de type communaliste. A bien des égards, elles convergent avec celles d'autres mouvements de lutte de ces dernières années, hors de France souvent, eux aussi enracinés dans des places parce que centrés sur la vie et son espace toujours local en premier lieu.
.#GiletsJaunes #Politique
Catégorie Actualités et politique 133 commentaires
POLITIQUE
Pour l'acte XXV des gilets jaunes, Ruffin veut réinvestir les ronds-points (et c'est pas gagné)
L'électron libre de la France insoumise appelle les contestataires à reprendre les ronds-points pour y faire des "barbecues anti-Macron."
...
Opération “merguez révolutionnaire”. Un an après avoir organisé la “fête à Macron”, François Ruffin veut remettre le couvert ce samedi 4 mai en appelant les gilets jaunes à reprendre les ronds-points. Le but? Faire basculer la fronde sociale dans une nouvelle séquence en revenant aux fondamentaux de la mobilisation. Ceux qui en avaient fait son succès au mois de novembre 2018.
Le député de la Somme a même libéré les droits de son film “J’veux du soleil” pour permettre aux gilets jaunes qui le souhaitent de voir ce road-movie qui leur est consacré. Un ingrédient spécial pour faire fructifier des banquets se voulant le plus festif possible, mais qui ne sera peut-être pas suffisant pour réussir cette journée qui marque le deuxième anniversaire de l’élection d’Emmanuel Macron.
...
Connu / https://coordination.assembleesdesgiletsjaunes.org/d/PXvZ8nSp/-04-05-acte-xxv-reprise-des-ronds-points
"
[04/05] Acte XXV Reprise des Ronds Points
LT
loomio tech · il y a 5 heures · Publique · Vu par 11 personnes
C'est la reprise des Ronds Points, suite à l'ADA de Saint Nazaire une campagne de sensibilisation a duré pendant 3 semaines pour la reprise historique des Ronds Points.
Pour information l'appel a été repris par François Ruffin, mais la décision a été prise à Saint Nazaire :)
Ce fil de discussion est en route pour cette action, merci d'indiquer en commentaire les ronds points et les photos associés à ce nouvel acte.
Bonne journée à tous.
"
10 555 vues - 1 k - 3
Château-Renault est la commune la plus pauvre d'Indre-et-Loire. Aude Lancelin s'y est rendue le 23 décembre 2018, pour aller à la rencontre des gilets jaunes mobilisés depuis 87 jours sur un rond point, alors que le sous-préfet venait d'ordonner le démantèlement de leur camp.
Catégorie
Actualités et politique
199 commentaires
4 005 vues - 124 - 5
Où en est le mouvement des Gilets jaunes ? Sommes-nous arrivés à la fin d’un cycle ? Ou au contraire, assistons-nous à la naissance d’un mouvement durable ? On en parle avec Priscillia Ludosky, Gilet jaune et Léa Mestdagh, docteure en sociologie.
Catégorie
Actualités et politique
60 commentaires
Transcription :
...
pour samedi acte VI, ira à la frontière à un rassemblement avec des gilets jaunes d'autres pays d'europe.
...
groupes fb :
- la france en colère
- la france énervée
Priscilla est ses collègues ne sont pas pour la constitution d'un mouvement politique ni pour les européennes 2019, ni en général. La politique partisane, elle n'y croit pas, trouve ce milieu malsain.
...
/RIC bien cadré, c'est très bien, mais on n'oublie pas le pouvoir d'achat et les autres urgences
/écologie l'enquête a recueilli de nombreux éléments qualitatifs
/évacuations des ronds-points : jbernard laville retraité bourgogne on va y passer noël car on s'y sent bien, c'est leur 2è maison. la générosité des commerçants est merveilleuse. plaisir d'être ensemble. convivialité, amitiés, partages d'expériences, avec le péage, lieux symboliques du mouvement
un chercheur prédit la fin et sa recomposition du mvt,
/la suite trop tôt
/autoentreprise 1ère exp militante intense en émotion, pas facile face à >>nbre d'obstacles et 10% de nuisibles, exp née dans la souffrance