Rédaction 1 jour
Au cours de la réunion du Comité de vigilance de la CLI de Civaux du 19 janvier 22, EDF a fourni les explications complètes sur la fuite survenue le 2 novembre 22.
Connu / TG le 23/01/23 à 18:26
Tr.: ... doigt de gant mal remonté ...
Catégorie(s) Communiqué
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Assemblée générale de la CLI ... fuite radioactive / tests de pression du réacteur n°1 ... un manchon de métal éjecté à 190 bars hautement radioactif => drones et robots ... l'eau s'est déversée pendant 10 jours à 1,7 m3/h car vanne inatteignable à cause du manchon radioactif ... événement non prévisible comme les fissures causées par la corrosion sous contrainte sur les tuyaux de sécurité
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Simon Nau, collaborateur parlementaire 06 59 38 79 47
lisa.belluco@assemblee-nationale.fr - 01 40 63 36 70 - lisabelluco.fr
Connu / TG le 15/11/22 à 8:21
L’information été rendue publique tardivement, mardi 8 novembre : une fuite radioactive importante a été détectée mercredi 2 novembre à 14 heures dans le réacteur 1 de la centrale nucléaire
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Connu / TG 9/11/22 À 21:54
Entreprises & Finance Industrie Energie & Environnement
Situé dans la Vienne, ce réacteur est touché par une fuite d'eau qui s'est produite lors d'un contrôle réglementaire sur le circuit primaire. Une dosimétrie importante est observée dans le local du bâtiment réacteur où se déverse l'eau en raison de la présence d'un tube irradiant. La vanne permettant de mettre fin à cette fuite ne pourra être fermée que lorsqu'un robot interviendra pour extraire l'objet en question. Pour l'heure, EDF ne se prononce pas sur la date de retour du réacteur sur le réseau, initialement prévu début janvier.
Nouveau coup dur pour EDF, déjà fragilisé par l'arrêt de la moitié de ses réacteurs nucléaire, EDF vient de rendre très discrètement public un problème qu'il n'avait jamais rencontré auparavant un réacteur du parc nucléaire tricolore. Le 2 novembre, une fuite de vapeur s'est en effet produite lors d'une épreuve hydraulique, un contrôle réglementaire qui s'effectue tous les dix ans et qui vise à vérifier l'étanchéité du circuit primaire principal. Celui-là même qui permet de refroidir le cœur du réacteur.
« Ce n'est absolument pas une soudure qui a cédé », a précisé d'emblée Régis Clément, directeur adjoint de la direction production nucléaire, lors d'un point presse ce mardi 8 novembre. « Ce n'est pas une rupture en lien avec les travaux de corrosion sous contrainte », a-t-il encore précisé.
Lire aussi : L'Autorité de sûreté nucléaire dresse un bilan contrasté des centrales du Sud-Ouest
La fuite est apparue lors de la montée en pression
Très concrètement, cette procédure de contrôle implique de multiplier par environ 1,3 la pression du circuit primaire pour tester son étanchéité. La pression d'exploitation se situe habituellement à 154 bars. Lors du test, elle grimpe à 206 bars et la fuite est apparue à 190 bars.
« Alors que la pression atteignait 190 bars et la température 95°C, un dégagement de vapeur est survenu dans un local du bâtiment réacteur, la dépressurisation du circuit primaire a été constatée simultanément », indique l'électricien dans une note d'actualité générale.
Qu'est ce qui a provoqué cette fuite de vapeur, transformée ensuite en fuite d'eau avec la baisse de température ? La procédure de cette épreuve hydraulique requiert de mettre en place un dispositif spécifique sur les connexions de ce circuit primaire pour qu'il tienne la très forte pression, notamment à l'intersection avec un système d'instrumentation qui pénètre dans le bas de la cuve.
Un dispositif mécanique a cédé
Ce circuit connecté s'est vu lui-même doté d'un dispositif spécifique pour passer l'épreuve hydraulique, et « c'est ce dispositif mécanique vissé, spécifique à l'épreuve hydraulique, qui a cédé », explique Régis Clément. Cela s'est traduit par un "jet bâton", a-t-il précisé. Comprendre, qu'à ce niveau de pression et de température la fuite s'est matérialisée par un fort jet de vapeur. « Aucun intervenant ne se trouvait à proximité, il n'y a eu ni blessé, ni personne contaminée », précise le groupe.
Lire aussi : Centrale nucléaire de Civaux : quelles retombées économiques ?
A ce moment-là, « il n'y a aucun combustible en cuve, le combustible est dans le bâtiment combustible », précise encore Régis Clément. En effet, le réacteur de Civaux 1, situé dans la Vienne au sud-est de Poitiers, était, lors de l'événement, à l'arrêt dans le cadre de réparations liées au problème de corrosion sous contrainte. L'opération de contrôle a donc été réalisée avec un réacteur complètement déchargé de son combustible.
Le jet vapeur s'est ensuite transformé en jet eau avec la baisse de la température. Celui-ci est venu s'écouler dans un local du bâtiment réacteur, doté d'un système de drainage, un « puisard », qui récupère l'eau. « Tout ça est parfaitement confiné », rassure Régis Clément.
Une dosimétrie importante
On observe toutefois « une dosimétrie importante », reconnaît-il. Celle-ci s'explique par la présence dans le local d'un tube, habituellement en contact en permanence avec le cœur du réacteur et donc soumis aux rayonnements, qui a été éjecté lorsque le dispositif d'essai a cédé.
Ce tube irradiant est directement lié au système d'instrumentation, celui dont le dispositif de test a cédé. Ce dispositif consiste en effet à entrer dans la cuve du réacteur pour scruter sa puissance. A l'intérieur de celui-ci, se trouve un tube libre appelé « doigt de gant ». Quand le dispositif d'essai a rompu, ce tube a été éjecté. Ce tube « s'est retrouvé à l'air libre dans le local et là le débit de dose est important », confirme Régis Clément, sans toutefois donner des chiffres précis.
EDF prévoit d'utiliser un robot pour découper ce tube irradiant et le mettre dans un container. « Une fois que ce tube est traité, on pourra pénétrer dans le local et fermer la vanne », ajoute Régis Clément. La date d'intervention n'est pas encore connue. Pour l'heure, les équipes s'entraînent en maquette.
80.000 litres écoulés, mais pas d'impact sur la sûreté
Aujourd'hui encore, 1.500 litres s'écoulent chaque heure. Cette eau est récupérée et stockée, assure l'électricien. Depuis le début de la fuite, quelque 80.000 litres d'eau ont été récupérés pour être traités. Le réacteur devait être remis en exploitation début janvier. EDF indique aujourd'hui que « c'est bien trop tôt » pour se prononcer sur les « perspectives de Civeaux 1 ». Et pour cause, ce type d'événement est inédit pour le parc nucléaire français. « C'est la première fois qu'on rencontre ce défaut sur ce dispositif », a indiqué Régis Clément. Un prolongement de son arrêt serait une bien mauvaise nouvelle pour le système électrique, qui s'apprête à passer un hiver particulièrement tendu, avec une disponibilité de seulement 45 GW attendue début janvier par le gestionnaire de réseau RTE.
Une énorme quantité de tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène, a été mesurée dans les eaux souterraines de l’unité de production d’électricité. EDF et l’autorité de sûreté assurent que la fuite est circonscrite. Mais les liquides contaminés de cette centrale, l’une des plus vieilles de France, se retrouvent inévitablement dans l’environnement.
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L’activité mesurée en décembre sous l’installation du Tricastin est donc au moins quatorze mille fois au-dessus du niveau normal. C’est exceptionnel. Et c’est d’autant plus impressionnant que la demi-vie du tritium est de 12,5 ans, durée nécessaire à cet élément pour perdre la moitié de sa radioactivité. Au bout de cette période, les 28 500 Bq/L deviennent 14 250 Bq/L, puis 7 125 Bq/L au bout de vingt-cinq ans, etc. Il faudra donc 175 ans pour que la radioactivité mesurée dans la fuite retrouve un niveau d’activité « naturel ».
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?i8rC9A
Temps de lecture : 2 min - 4 commentaires | Vu 21263 fois - Clés : Environnement Drôme
Une fuite de tritium a été détectée à la centrale nucléaire du Tricastin. EDF l’a révélée ce mardi 21 décembre après avoir déclaré quelques jours plus tôt, le 15 décembre, à l’autorité de sûreté nucléaire un « événement significatif pour l’environnement ».
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« 900 litres d’effluents », dont du tritium, ont fui pour se retrouver dans « une zone de collecte des eaux fluviales », avant d’atteindre, plusieurs jours plus tard, « les eaux souterraines de la nappe géotechnique interne ».
Des contrôles « quotidiens » ont indiqué qu’un pic de « l’activité en tritium » a atteint, le 12 décembre, pas moins de 28 900 becquerels par litre, unité qui mesure la radioactivité, en sachant que l’organisation mondiale de la santé fixe le seuil critique à 10 000 Bq/l lorsque du tritium se retrouve dans de l’eau potable, ce qui n’est pas le cas ici
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Ce n’est pas la première fois qu’une fuite de tritium est observée à la centrale du Tricastin. Cela avait été notamment le cas en novembre 2019, suite à une fuite sur la tuyauterie d’un réservoir d’effluents, mais aussi en juillet 2013.
Connu / https://twitter.com/RogerSpautz/status/1473364327444975624
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Tweet de Nucléaire-Sortie RogerSpautz @RogerSpautz · 21 déc.
A #Tricastin tout va bien. 40 ans ca suffit! - 1 - 15 - 14
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EDF annonce discrètement avoir rejeté près du double de ce qui lui est autorisé
En 10 mois, la centrale nucléaire de Civaux a laissé fuité 194,2 kg de fluides frigorigènes. La centrale n’a pourtant l’autorisation d’en rejeter que 100 kg maximum par an, ces liquides devenant de puissants gaz à effet de serre une fois dans l’atmosphère. L’annonce est faite très discrètement par (...)
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lundimatin @lundimat1 · 16h
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État d'urgence - Écologie ; Nucléaire
" 40 ans ça suffit, débranchez la centrale nucléaire du Tricastin !" La formule claque sur les banderoles des anti-nucléaires rassemblés dans trois villes. A Lyon, Paris et Pierrelatte, à l'occasion de l'anniversaire du premier réacteur du Tricastin, des représentants des collectifs et associations écologistes sont venus protester contre un éventuel prolongement de son activité. Le Média était sur place.
Ils sont venus se rassembler simultanément, à Paris devant le siège d'EDF, à Lyon devant les locaux de la division territoriale de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) et à Pierrelatte devant la centrale nucléaire.
Une quinzaine de personnes, représentant chacune un collectif, une ONG ou une association, se retrouvent sur chaque site pour prendre de surprise les autorités et exiger l'arrêt du réacteur numéro 1 de la centrale du Tricastin. Vieille de 40 ans, elle est la première à avoir fait l'objet d'une quatrième visite décennale de l'ASN.
Ces rassemblements coïncident avec l'audition de l'ASN, qui présente à l'Assemblée Nationale les conclusions de son rapport annuel 2019. Le gendarme du nucléaire est revenu sur sa visite des installations du Tricastin et rappelle qu'il existe un risque spécifique lié aux tremblements de terre.
Ce risque, l'ASN l'exprimait déjà dans ses précédents documents, écrivant que "s'agissant de la digue protégeant la centrale nucléaire du Tricastin, EDF a mis en évidence, en 2017, un risque de rupture d’une de ses parties en cas de séisme de niveau SMS (Séisme Maximum de Sécurité) . L’inondation en résultant pouvait conduire à un accident de fusion du combustible nucléaire des quatre réacteurs de la centrale du Tricastin et aurait rendu particulièrement difficile la mise en œuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes." Des craintes qui poussent l'institution à exiger d'EDF le renforcement de la digue.
Sauf qu'il n'y a pas que les séismes qui menacent la sécurité du site nucléaire. La centrale du Tricastin, qui produit 5% de l'électricité du parc nucléaire français, est pointée du doigt pour sa vétusté et une mauvaise maintenance. Plusieurs enquêtes mettent en évidence des fuites, notamment du tritium. Des doses infimes de ce radio-élément sont présentes à l'état naturel. Or là, ce sont des doses plus importantes, reversées par la centrale, que détectent des experts de la radioécologie dans l'environnement Tricastin.
Autant d'éléments motivent les écologistes à exiger l'arrêt du plus vieux réacteur Tricastin. Mais leur revendications semblent inaudibles dans un climat tendu où les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) chargées de la protection des installations nucléaires sont intervenues lors du rassemblement devant la centrale.
Ces unités de contre-terrorisme sous contrôle tactique du GIGN ont même empêché les journalistes, dont Le Média, de réaliser des images de l'action ou des interviews sur place.
Contacté par Le Média, EDF n'a pas répondu à nos sollicitations.
Connu / https://twitter.com/RemikenzoPages/status/1272203744726462464
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Le Média a retweeté
Rémi-Kenzo @RemikenzoPages · 9h
Dernier reportage #etatdurgence de @LeMediaTV. Je suis parti dans le Tricastin, rencontrer différents acteurs de la filière nucléaire. J'ai couvert un rassemblement d'opposants au site nucléaire. Depuis longtemps je souhaite me pencher sur ce site décrié.
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Ndlr : /tritium cf https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?9MTgBQ
Pollution
Une filiale du groupe Norilsk Nickel est responsable d'une grave fuite de carburant dans une rivière de l'Arctique. Le directeur de l'entreprise aurait tardé à donner l'alerte.
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Cette photographie prise le 3 juin 2020, montre un grand déversement de diesel dans une rivière près de la ville arctique de Norilsk.
Handout / Marine Rescue Service / AFP
Connu / https://wegreen.fr/comment/165049
BlacK DooM il y a environ 2 jours #santé #écologie #sécurité #nucléaire https://www.lanceurdalerte.info/2020/01/25/tricastin-du-tritium-releve-dans-leau-de-la-centrale-nucleaire/
2 Julien Delalande yasuki_baba@pluspora.com
1 jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 22 heures
communiqué #CRIIRAD du 23 01(résumé par mes soins) -> https://diaspora-fr.org/posts/a37d46a0218601389fde0ee40d837481
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Dans un communiqué du 22 janvier 2020, EDF a révélé l’existence de nouvelles fuites de tritium dans la #nappe-phréatique. en cause «une tuyauterie défaillante ». L’entreprise ne précise pas s’il s’agit d’une tuyauterie usée par la corrosion, ce qui poserait d’autres questions quant à l’état général de la centrale. Ni pourquoi il n’y avait pas de dispositif de rétention sous ces tuyauteries? Dans tous les cas, cet évènement montre l’incapacité d’EDF à prévenir des fuites de substances radioactives dans l #environnement.
EDF a attendu 11 semaines avant de rendre l’information publique. Le niveau de contamination annoncé, 5300 Bq/l ,est plus de 2000 fois supérieur au niveau «normal» que l’on mesure en France dans les nappes non contaminées. En France, le rejet direct de substances radioactives dans les eaux souterraines est interdit…
EDF indique: «les valeurs en tritium relevées dans la nappe phréatique à l’extérieur de la centrale sont conformes aux valeurs habituellement observées» ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas de pollution, mais qu’elle est devenue chronique. (D’autre part, impossible de vérifier cette affirmation, en effet, les résultats de surveillance du tritium dans les eaux souterraines mis en ligne par EDF sont tous antérieurs au 30 octobre 2019.)
Les eaux contaminées par le tritium ont été pompées puis rejetées dans le canal de Donzère-Mondragon. Cela permet à EDF de transformer une fuite incontrôlée en un rejet «légal» puisqu’EDF dispose d’autorisations de rejets de tritium dans ce canal.
Ce type de fuite arrive malheureusement régulièrement sur le site du Tricastin… #eau #eau-potable #pollution #contamination #radioactivité
3 Jimmy Plusdeböhr - il y a environ 8 jours
A savoir : Tricastin a engagé ses travaux post-40-ans
Phil - il y a environ 8 jours
Au sujet des travaux et peut-être de la “nouvelle fuite de tritium” :
Depuis pas si longtemps que cela apparaît une question sur la délivrance de travaux à des sous-traitants (plus exactement la question est de plus en plus mise en évidence par le personnel des centrales)
C’est un fait que la démarche en elle-même (confier à des sous-traitants) représentait un cumule de pbs prévisibles et que l’origine de cette démarche était étroitement liée au principe d’une gestion d’activité par la dose (ce qui pourrait s’entendre) ou d’économie.
L’inconvénient ou la question, est que la perte de contrôle de l’efficacité de ces (ses) travaux ou maintenance, coupe le lien de confiance, entre le personnel et la (sa) centrale (qui petit à petit commence à douter de l’appareil de production). On parle là d’un lien organique, d’un pan de culture d’entreprise indispensable.
La confiance totale du personnel doit rester intact pour que sa réaction soit en concordance avec ce qui est attendu (ce qui est vrai dans toutes filières engageant la sûreté). Là, la condition première n’est plus vraie depuis quelques années.
jaune_lola@diaspora-fr.org
jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 8 jours
@Phil tout à fait !
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