L'entretien d'actu
C’est une séquence politique à la fois douloureuse et glissante pour la gauche de l’échiquier politique français. La question du traitement des violences sexuelles et sexistes par les partis politiques en France, et en particulier par ceux qui se revendiquent fémnistes, a été mise sur le devant de la scène suite à ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire Quatennens.
Au Média, notre choix éditorial n’a pas été celui de la complaisance vis–à-vis de la manière dont la direction de la France insoumise a pu réagir médiatiquement à ce qu’elle a vécu comme une déflagration - et cela a pu nous être reproché. Cela dit, ce serait faire preuve de naïveté que d’ignorer la permanence des jeux politiciens et de leur accompagnement médiatique, y compris dans des périodes où la libération de la parole pourrait faire avancer les choses et la société.
Le site Acrimed, spécialisé dans la critique des médias n’est pas passé par quatre chemins pour le faire remarquer. “L’affaire Quatennens et les hypocrisies du journalisme politique” : c’est le titre d’un de ses articles.
Un article corédigé par Mathias Raymond et Pauline Perrenod. Les deux ont bien voulu échanger avec Théophile Kouamouo, par la magie de la visio, sur le contenu de cet article (que nous vous invitons à aller lire) et sur les problématiques qu’il soulève.
L’article de Acrimed : https://www.acrimed.org/L-affaire-Quatennens-et-les-hypocrisies-du