INRAE, l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement est né le 1er janvier 2020. Il est issu de la fusion entre l’Inra, Institut national de la recherche agronomique et Irstea, Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture.
Une ambition pour la vie, l'humain, la terre
L’humanité et la planète font face à un changement global qui crée de nouvelles attentes vis-à-vis de la recherche : atténuation et adaptation au changement climatique, sécurité alimentaire et nutritionnelle, transition des agricultures, préservation des ressources naturelles, restauration de la biodiversité, anticipation et gestion des risques. S’y ajoutent des enjeux plus territorialisés qui incluent les conditions de vie et de rémunération des agriculteurs, la compétitivité économique des entreprises, l’aménagement des territoires, l’accès à une alimentation saine et diversifiée pour chacun.
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les sciences de l’eau, les approches à l’échelle des territoires, la conservation et la restauration de la biodiversité, l’anticipation et la gestion des risques ou l’agriculture numérique.
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NOS THÉMATIQUES Agroécologie Alimentation, santé globale Biodiversité Bioéconomie Changement climatique et risques Société et territoires
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EPST, Etablissement public à caractère scientifique et technologique
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Siège : 147 rue de l'Université 75338 Paris Cedex 07 - tél. : +33(0)1 42 75 90 00
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Mentions légales
Ses statuts sont publiés dans le code rural et de la pêche maritime (articles R831-1 et suivants) ;
Il est représenté par son Président Directeur général, M. Philippe MAUGUIN.
contact courriel : digitalfactory@inrae.fr
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entretien avec Jean-Marc Jancovici sur les risques écologiques majeurs et les défis liés à notre surconsommation d'énergie dans la décennie à venir.
A quoi ressembleront la France et le monde des années 2020 ? Pour se faire une idée, Marianne a interrogé différentes personnalités reconnues pour leur expertise dans leur domaine (politique, climat, culture, égalité hommes-femmes…). Au programme, pas de boule de cristal, mais de vraies analyses sur notre futur collectif… Voici l'entretien réalisé avec Jean-Marc Jancovici, polytechnicien, associé co-fondateur de Carbone 4, cabinet de conseil spécialisé dans la transition vers une économie décarbonée et l’adaptation au changement climatique, fondateur et président de The Shift Project, "think tank de la décarbonation de l’économie", professeur à Mines ParisTech, membre du Haut Conseil pour le climat, et auteur de sept livres de vulgarisation sur l’énergie et le climat.
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qu’impliquerait un milliard d’Africains en plus d’ici à 2050, en termes d’impact écologique ?
Cela entrainerait une disparition accélérée des espaces naturels ainsi qu’une fraction croissante de la population en état de dépendance alimentaire dans certaines régions. Et cela ne sera remédiable que si le reste du monde a des surplus agricoles à leur fournir. Sauf que le reste du monde aura aussi à faire face à la décroissance des rendements, liée aux changements climatiques d’une part, et ultérieurement à la baisse de l’énergie disponible. Le reste du monde aura lui aussi un jour un problème de bouches à nourrir pour les quantités disponibles. Entre 1945, sans tracteurs et sans engrais de synthèse, et 1975, où ces pratiques ont été généralisées, les rendements céréaliers ont été multipliés par cinq. Dans un monde sans combustibles fossiles, les rendements céréaliers diminueront donc fortement (en bio, sans engrais de synthèse, mais avec toujours des tracteurs, ils sont déjà inférieurs de plus de moitié aux rendements « conventionnels »). Il faudra remettre en service des animaux de trait qui vont mobiliser une large partie de la surface agricole pour leurs propres besoins. Dans un tel contexte, il est difficile de savoir quels seront les surplus agricoles dégagés par les pays des moyennes latitudes au profit des pays du Sud…
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le Conseil d’Orientation des Retraites postule que la croissance, d’ici à 2070, sera de 1 à 2% par an, et c’est sur cette base que la réforme est discutée. C’est ridicule !
Malheureusement, la principale contrainte que nos élus (tant qu’il y en aura) vont devoir gérer est celle de la diminution de notre pouvoir d’achat, et c’est dans ce contexte qu’il faut trouver un projet pour l’avenir !
Les graphiques sont issus de "L’énergie, de quoi s’agit-il exactement ? https://jancovici.com/transition-energetique/l-energie-et-nous/lenergie-de-quoi-sagit-il-exactement/" de Jean-Marc Jancovici.
Ndlr :* sur les animaux de trait : / #Avenir de l'#Agriculture en #Afrique (et ailleurs) plutôt qu'il passe par le retour aux #Animaux il y a augm #Résilience donc #rendement /#AB+#AgroÉcologie+#AgroForesterie+#Permaculture démontré notamment /#INRA au #BecEllouin => https://twitter.com/JulienDelalande/status/1212015540652388352
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Julien Delalande @JulienDelalande · 3 min En réponse à @MarianneleMag
.@JMJancovici / l'#Avenir de l'#Agriculture en #Afrique (et ailleurs) plutôt qu'il passe par le retour aux #AnimauxDeTrait il y a augm dla #Résilience donc du #rendement /#AB+#AgroÉcologie+#AgroForesterie+#Permaculture démontré notamment /#INRA au #BecEllouin
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Valentin Truong
@Valentin_SAF
30 avr.
En réponse à @ArCHTIviste
Concernant les phéromones, Ginko Buxus est la phéromone la plus efficace du marché et elle dure toute la saison ! Je vous met ce lien si vous voulez en savoir plus : https://www.sumiagro.fr/protection/monitoring/pheromone-contre-pyrale-du-buis-ginko-buxus …
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https://www.sumiagro.fr/downloads/sumiagrofrance/files/brochures/SaveBuxus_Synthese_Pyrale_2015.pdf
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https://www.sumiagro.fr/protection/monitoring/pheromone-contre-pyrale-du-buis-ginko-buxus
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http://www.inra.fr/Entreprises-Monde-agricole/Resultats-innovation-transfert/Toutes-les-actualites/Pyrale-buis
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France 2 Journal 20 h -> 0800 06 66 66 n° vert canicule
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Ferme Biologique du Bec Hellouin
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Le second programme de recherches, qui a démarré au Bec en 2015, s’attachera entre autres à évaluer la séquestration de carbone (et donc la contribution apportée à la lutte contre le réchauffement climatique), et l’impact sur la biodiversité de ce type d’agriculture – deux enjeux essentiels pour notre devenir commun.
En conclusion, cette étude va peut être bien au delà de son objectif initial : elle laisse imaginer une nouvelle forme d’agriculture qui concentrerait une part importante de la production vivrière sur de petits territoires intensément soignés, et libérerait d’immenses espaces qui pourraient être plantés de forêts comestibles, ou rendus à la nature sauvage. Il deviendrait alors possible de concilier durablement les besoins des humains et ceux de la planète. Mais ça, c’est une autre histoire !
Pour l’équipe de la ferme,
Charles HERVE GRUYER
Le Bec Hellouin, le 19 novembre 2015.
Source : http://www.sad.inra.fr/Toutes-les-actualites/Ferme-du-Bec-Hellouin-la-beaute-rend-productif