Une plainte a été déposée « afin de faire toute la lumière » sur des irrégularités que l’Autorité de sûreté nucléaire
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Connu / TG le 24/07/24 à 14:28
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Le 12 décembre, Mélanie Ngoye-Gaham, une habituée des manifestations se rend à Paris pour protester contre le projet de loi "séparatisme" un texte dont elle juge les dispositions "très dangereuses pour la société". Au départ de Châtelet, le cortège dont elle fait partie s'engage pacifiquement sur le boulevard Sébastopol, après une petite dizaine de minutes.
C'est à ce moment-là qu'elle se fait brutalement interpeller par des forces de l'ordre présentes en nombre, qui se dirigent dans un premier temps vers son amie Moun et son parapluie arc-en-ciel, "appelant à la haine".
Les policiers reprochent à cette manifestante- figure du mouvement des gilets jaunes d'Amiens - d'avoir tenu ce fameux parapluie arc-en-ciel en signe de déclenchement des violences du black bloc, ce qu'elle dément fermement, de même que son amie Moun.
Selon cette gilet jaune, il s'agit plutôt d'une façon pour les policiers de "décrédibiliser son histoire", alors qu'en avril 2021, Mélanie Ngoye-Gaham se retrouvera en procès contre un CRS l'ayant violemment frappée à la nuque lors d'une manifestation à Paris, le 20 avril 2019.
S'en suivent alors trois jours d'arrestation pour les deux manifestantes, dont deux en garde à vue dans des commissariats du 18ème et du 19ème arrondissements.
Dans cette vidéo, Mélanie Ngoye-Gaham martèle son innocence, et revient en détail sur les conditions de sa détention, ainsi que le comportement des policiers à son égard dans cette affaire.
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Horodatage
00:00 - Présentation
00:40 - Interpellation
05:26 - Arrivée au commissariat du 18ème
08:03 - Transfert dans un commissariat du 19ème
09:10 - Problème d’avocat
10:55 - « Mélanie, où es-tu ? »
13:32 - « Ils pensent vraiment que Moun est à la tête du bloc ! »
16:19 - « Ils essayent de nous façonner à leur image... »
17:08 - Qui est Moun ?
20:14 - « Je me suis accrochée à cette femme pendant 70 heures »
20:51 - Au bout de 48 heures de GAV
23:38 - Une tentative de discréditation ?
24:28 - « Ils ont refusé de m’ouvrir les toilettes »
25:10 - Rencontre avec le procureur
26:00 - Téléphone disparu
26:36 - Racisme dans la police ?
28:25 - « Je suis très fière de m’appeler Ngoye-Gaham »
30:30 - « Il disait que la manifestation était interdite »
32:03 - « J’apprends que je suis fichée S »
32:58 - « A travers nous, ils veulent donner l’exemple »
33:40 - « Ça n’a pas entaché ma détermination »
34:58 - « Merci pour votre soutien ! »
490 commentaires
arrêté(e)(s)
Clés : Lanceurs d'alerte ; Travail
Les applaudissements fusent lorsqu’il sort du Pôle emploi Bretagne ce mardi après-midi. Yann Gaudin, conseiller Pôle emploi en sursis, sort d’une énième convocation dans les locaux de son employeur. Dehors, des dizaines de soutiens l’attendent, impatient de savoir ce que sa direction a décidé de faire de lui. « Un mois maximum ». C’est le temps qu’il devra attendre pour être fixé sur son sort. Celui qui se qualifie comme lanceur d’alerte ne se fait pas vraiment d’illusions sur son sort. Il entrevoit une procédure pour le licencier.
Ce conseiller découvre en 2014 des irrégularités dans les procédures d’information des demandeurs d’emploi sur les aides sociales dont ils disposent. Une histoire qui commence avec des intermittents en détresse. Ces derniers ignorent qu’ils peuvent bénéficier d’une aide de 324 euros, sorte de « prime de départ », selon les mots de Yann Gaudin. Il décide d’alerter sa direction sur le manque de communication autour de cette aide spécifique (dont peuvent aussi, par le biais d’une procédure plus facile, bénéficier les allocataire du régime général). Mais rien n’y fait...
1 172 ont signé.
Nous, citoyens et associations de l'agglomération grenobloise, soutenons l'appel des scientifiques locaux et demandons un moratoire sur le projet d'élargissement de l'A480 et l’ouverture d’une concertation citoyenne autour des scénarios alternatifs. Un tel aménagement ruine les efforts entrepris par les collectivités depuis des années, et va clairement à l’encontre des objectifs du Plan de Déplacements Urbains (PDU), en encourageant l’usage de la voiture au détriment des autres modes de transports. Il est également en contradiction flagrante avec la volonté de la métropole grenobloise de maîtriser les émissions de gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques.
Permis par des décisions politiques prises au niveau national en 2015 pour satisfaire les sociétés concessionnaires d’autoroute, ce projet est entaché d’irrégularités ...
nos propositions : a480.org
alternatives@a480.org