6 fois où Jancovici se trompe - Feat @lereveilleur - 14 oct. 2024 / Osons Causer
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6 raisons pour lesquelles Jean-Marc Jancovici se trompe sur le solaire, l'éolien et les priorités de la transition énergétique. Découvrez une critique de fond du discours de Jancovici qui n'est PAS antinucléaire.
Chapitrage de la vidéo :
00:00:00 INTRODUCTION - Pourquoi critiquer le discours de Jean-Marc Jancovici ?
00:07:35 - ARGUMENT 1 - Solaire et éolien… beaucoup de bruit pour presque rien
00:07:40 - 1 Solaire et éolien, c'est l'épaisseur du trait
00:08:53 - 2 La production du solaire et de l'éolien explose, des taux de croissance faramineux
00:11:49 - 3 Solaire et éolien, bientôt des énergies majeures ?
00:14:04 - 4 L'effondrement des prix du solaire et de l'éolien
00:15:30 - ARGUMENT 2 - Solaire et éolien : l'intermittence, un problème fatal
00:15:37 - 1 Pilotable VS Intermittent
00:16:47 - 2 L'intermittence pour les nuls, expliquée de façon caricaturale et trompeuse
00:18:55 - 3 Le vrai problème de l'intermittence pour Jancovici
00:27:35 - ARGUMENT 3 - Solaire et éolien consomment trop de métaux
00:29:01 - 1 Assez de métaux pour un système électrique mondial bas carbone
00:30:55 2 - 2 Le stock c'est bon, mais le flux c'est foutu ?
00:34:47 - ARGUMENT 4 - Solaire et éolien énergies diffuses, consomment trop d'espace
00:36:07 - 1 Une éolienne par km2 ?
00:38:52 - 2 Le solaire, l'ennemi des forêts et des terres agricoles ?
00:42:26 - 3 Le nucléaire prend moins d'espace
00:43:59 - ARGUMENT 5 - Solaire et éolien : inefficacité énergétique, EROI trop faible
00:44:04 - 1 Le taux de retour énergétique contre les renouvelables - FEAT Le Réveilleur
00:50:38 - 2 Qualités et défauts des énergies fossiles : ce que Janco nous cache
00:55:18 - ARGUMENT 6 - Solaire et éolien n'existent que grâce aux fossiles
00:55:23 - 1 L'imbrication des énergies à la sauce Janco
00:58:53 - 2 Des panneaux solaires sans énergie fossile : mission impossible ?
01:02:02 - 2a Les mines et le transport
01:02:44 - 2b Le transport
01:03:31 - 2c Le transport routier
01:05:33 - 2d Bateaux sans fossiles : des voiliers du Moyen-Âge ?
01:08:46 - 2e Des métaux sans fossiles : mission impossible ?
01:11:05 - 3 Que se passe-t-il si on n'arrive pas à se passer de 100% des énergies fossiles ?
01:16:03 CONCLUSION : Renouvelables ET nucléaire : une autre vision de la transition
1 248 commentaires
DONT
@rodolpheremazeilles3961 il y a 1 jour
... le futur sera évidemment renouvelable ou ne sera tout simplement pas, ou du moins pour beaucoup moins d'humains en santé.
@st-ex8506 il y a 1 jour
Bravo, excellente vidéo!
Toutefois, elle est incomplète au niveau de l'intermittence des EnR. On peut pallier à cette intermittence non pas avec une seule approche (le stockage), mais bien avec SIX! D'ailleurs, dans l'ordre logique (pas forcément temporel) de priorité de ces 6 méthodes, le stocka est la dernière.
En tant qu'ingénieur-chimiste spécialisé dans les EnR ainsi que la chimie bio-sourcée (à la retraite depuis peu cependant), j'ai écrit un petit "white paper" à ce sujet. Je vous en livre ci-dessous le résumé:
Méthodes permettant de remédier à la nature intermittente des énergies renouvelables
N.B.: Ces méthodes sont ordonnées ci-dessous dans un ordre logique de prise en compte et d’optimalisation des potentiels.
- Taille du réseau électrique
Plus grand et plus diversifié géographiquement le réseau est, moindre sont les variations. Le réseau européen est le meilleur au monde sur cette dimension-là. Le réseau américain pourrait l’être également… s’il était unifié, ce qu’il n’est pas ! Le réseau d’une île ou d’un archipel (Hawaii ou Taiwan viennent à l’esprit) est de manière évidente à un grand désavantage sur cette dimension ! - Connections à grandes distances (via lignes HVDC)
Des connections est-ouest vont diminuer la variation de la production d’énergie solaire sur un cycle de 24 heures. Un réseau de lignes HVDC couvrant l’entièreté de la circonférence terrestre transformerait la production solaire d’électricité en une source constante ! Mais, bien évidemment, cette solution est un extrême non-économique, bien qu’il soit techniquement faisable.
Des connections du sud tropical ou sub-tropical au nord diminueraient la variabilité saisonnale. De tels projets existent déjà. - Un juste mix des technologies de génération, adapté aux caractéristiques climatiques de la région considérée, ainsi qu’à sa population et degré d’industrialisation. Le rendement d’un panneau solaire est bien évidemment nul la nuit et moindre en hiver qu’en été aux latitudes moyennes et septentrionales. Certes! Mais les capacités de génération éolienne sont précisément statistiquement plus élevées pendant ces périodes, l’un compensant l’autre fort bien (à une échelle mensuelle toutefois, et pas plus fine), comme le montrent les statistiques de production de courant renouvelable en Europe.
Il est bien entendu que cette optimalisation du mix n’est pas limitée au solaire et à l’éolien, mais doit inclure l’hydraulique, la géothermie, et autres méthodes… et même le nucléaire pour les pays qui en sont doté. - Le “foisonnement”
Il s’agit là d’installer des capacités de génération de courant renouvelable dimensionnées non pas pour couvrir une moyenne annuelle, mais bien la période, disons la semaine, la plus délicate de l’année. Bien entendu, cette solution ne peut être ni économiquement ni environnementalement justifiable si poussée à son extrême (suffisamment de panneaux solaires pour couvrir les besoins entiers d’un pays le jour le plus nuageux et sans vent de janvier !), mais un optimum doit être trouvé. - Abatement volontaire
Il s’agit là de payer des industries pour qu’elles soient prêtes à réduire volontairement leurs consommations électriques durant les périodes de stress du réseau. De tels contrats existent déjà! Ceci peut aussi être fait avec les consommateurs privés grâce à des structures de prix incitatives (voir tarif TEMPO d’EDF).
Cette solution est meilleur marché que de se doter de la capacité de stockage de la quantité de courant concernée ! Elle est particulièrement indiquée pour réduire le stress du réseau ce fameux jour de janvier, nuageux et sans vent ! - Capacités de stockage, qu’elle proviennent de STEPs (stations de pompage/turbinage, et en particulier des stations en cycle fermé, hors rivière), la solution de stockage d’énergie de loin la meilleur marché dans les régions à la géographie favorable (auxquelles la France appartient très clairement), de batteries ou d’autres technologies de stockage.
Le stockage est la dernière mesure dans l’ordre logique de mise en œuvre, après que les potentiels optimaux des cinq précédentes méthodes aient été extraits, et non la première ! Il est toutefois possible que des impératifs de timing de mises en œuvre fassent que du stockage doive être rapidement installé, mais nous parlons là d’un ordre logique d’examen et d’optimisation des potentiels, et non forcément d’un ordre chronologique !
Ndlr : ils démontent assez bien le Janco anti ENR, dommage qu'ils restent pro-nucléaires :-(
Car Janco y fait preuve de la même mauvaise foi. Heureusement bien démontés par d'autres retrouver ACT
Toujours debout !
... émission quotidienne du Média diffusée en direct qui décrypte l'actualité en présence de nombreux invité.e.s !
Au sommaire aujourd’hui :
Le Flash Info avec Fabrice Wuimo :
- Les acteurs du monde économique qui prennent position à l’approche du scrutin
- Le Conseil de l'Europe alerte sur la montée des discours anti-immigrés et des actes antisémites
- Le viol à caractère antisémite commis à Courbevoie provoque beaucoup d’émoi en France
Le fond de l'info :
Le fond de l’info avec Jules Stimpfling, cofondateur du média Le Crayon, un média de débats d’idées. Féministe et engagée, Claire Touzard est journaliste et autrice. Et Saphia Aït Ouarabi, militante antiraciste et étudiante en sociologie et en recherche. Ex-vice-présidente de SOS racisme. Avec nos trois invités nous reviendrons sur la responsabilité ou non des médias dans la montée de l’extrême-droite et des racismes. Longtemps tenus éloignés des écrans de télévision en France, les discours d’extrême droite se répandent de plus en plus dans le paysage audiovisuel français. La prédation capitaliste sur l’information aggrave-t-elle la montée de l’extrême droite et des racismes? Autrement dit, cela se joue-t-il aussi dans les médias?
Retour de terrain : En deuxième partie, nous accueillerons Cemil qui est allé sur le terrain cet après-midi avec Andreï Manivit, car le monde de la culture a manifesté contre l’extrême droite aujourd’hui.
La rénovation énergétique du parc de bâtiments existant est un enjeu majeur pour les prochaines décennies. Avec près de la moitié de l’énergie finale consommée à l’échelle nationale et plus d’un quart des émissions de gaz à effet de serre le secteur du bâtiment est une cible d’amélioration privilégiée si nous voulons limiter notre impact environnemental et le réchauffement climatique.
Parmi les solutions existantes pour réduire les consommations d’un bâtiment une intervention sur l’enveloppe, notamment avec une isolation, est indispensable. Cependant, si des précautions ne sont pas prises une isolation de paroi peut, dans certains cas, conduire à des pathologies liées à l’humidité.
...
quels sont les matériaux constitutifs des parois ? Quelle est l’efficacité du renouvellement d’air intérieur ? Existe-t-il des pathologies existantes telles que des moisissures sur les murs ? les murs sont-ils sujets à des remontées capillaires ? Etc. Bref il est nécessaire de bien comprendre le comportement hygrothermique du bâtiment à l’état initial avant d’envisager une solution d’isolation.
(communément appelé « K8s2 ») est un système open source qui vise à fournir une « plate-forme permettant d'automatiser le déploiement, la montée en charge et la mise en œuvre de conteneurs d'application sur des clusters de serveurs »3. Il fonctionne avec toute une série de technologies de conteneurisation, et est souvent utilisé avec Docker. Il a été conçu à l'origine par Google, puis offert à la Cloud Native Computing Foundation.
https://twitter.com/Notre_Energie/status/1282573726547156992
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CLER a aimé Notre énergie @Notre_Energie [ENTRETIEN] A lire dans notre dernier dossier : Marc Jedliczka @hespul @nWassociation @assoCLER sur les énergies renouvelables, « il faut surmonter une forte résistance au changement » #EnR
9:13 AM · 13 juil. 2020·11 Retweets avec un commentaire 12 J'aime
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.#Montagne #Climat #Ecologie
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[Documentaire complet disponible jusqu'au 07 Août 2019]
Une climatologue, un physicien et un volcanologue partent à l'assaut du plus haut sommet des Alpes. À travers d'exceptionnelles images, ce documentaire raconte leur odyssée et révèle l'immense richesse d'un laboratoire naturel unique au monde.
À cheval sur la France, l'Italie et la Suisse, le massif du Mont-Blanc s'est formé il y a deux cent quarante millions d'années. Grand comme quatre fois Paris, il s'étend sur 400 kilomètres carrés. Son sommet, le plus haut d'Europe occidentale, culmine à 4 809 mètres. Trois scientifiques entament son ascension : Martine Rebetez, climatologue suisse, Étienne Klein, philosophe et physicien au Commissariat à l'énergie atomique, et Jacques-Marie Bardintzeff, géologue et volcanologue. Progressant en deux cordées, ils sont accompagnés par Jean-Franck Charlet et François-Régis Thévenet, guides de haute montagne, ainsi que par le physiologiste Hugo Nespoulet.
Leur aventure commence par deux jours d'acclimatation à la haute montagne : l'altitude met en effet les organismes à rude épreuve. Périlleuse, l'ascension va mener certains d'entre eux de la mer de Glace jusqu'au sommet du mont Blanc. Au fil de leur éprouvante course, entre rocailles lunaires et crêtes immaculées, l'histoire de la formation du massif et son évolution se révèlent grâce aux éclairages de spécialistes intervenant dans des disciplines aussi variées que la géologie, la paléontologie, la géomorphologie, la glaciologie, la géophysique, la botanique et l'écologie. Ces scientifiques ne cachent pas leurs inquiétudes. Le réchauffement climatique fragilise l'ensemble des écosystèmes du massif. Au cours du XXe siècle, la température moyenne y a augmenté de 1,5 °C, soit trois fois plus qu'à l'échelle planétaire. Si elle augmentait de 3 °C, la surface englacée des Alpes pourrait diminuer de 80 %...
Documentaire de Vincent Perazio (France, 2014, 1h34mn)
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