Mel de l'April info du 8/2/23
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Le ministère de l'Éducation nationale a publié, en janvier 2023, la stratégie numérique pour l'éducation pour 2023-2027. Malgré quelques éléments positifs concernant l'utilisation des logiciels libres et des « communs numériques », nous restons un peu sur notre faim. Une phrase, en particulier, semble poser plus de questions qu'elle n'apporte de réponses sur la politique du ministère, évoquant, comme acquise, une « priorité au logiciel libre ».
Jusqu'ici rejeté, la mention en catimini de ce principe de priorité à de quoi
surprendre.
Pour relayer,
sur Mastodon : https://pouet.april.org/@aprilorg/109829485467638496
sur Twitter : https://twitter.com/aprilorg/status/1623321107792003073
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Lors des questions au gouvernement, Damien Maudet, député de la 1ère circonscription de la Haute-Vienne, interpelle le ministre au sujet de la pénurie de médicaments de base comme le doliprane et les sachets d'amoxicilline, un antibiotique très souvent prescrit, notamment aux enfants.
Le ministre ment délibérément sachant que tout un chacun peut se renseigner auprès de sa pharmacie !
SOUTENEZ AVEC NOUS LE RETOUR D'ADRIEN QUATENNENS.
Le lynchage a assez duré ! http://feministes-pas-integristes.fr/...
Retrouvez l'intervention de Me Jade Dousselin, avocate d'Adrien Quatennens :
https://youtu.be/CtM_b0LeRNE
Le Mercredi 21 juillet 2021
L’agriculture a connu d’importantes mutations depuis le début du XXe siècle. La taille des exploitations a fortement augmenté et les activités, en particulier l’élevage, se sont concentrées afin de permettre des économies d’échelle sur l’ensemble des filières agroalimentaires. Cette évolution a pu conduire dans certaines régions, où l’élevage et l’agriculture en général se sont fortement développés, à une forte pression sur les milieux et dans certaines situations à une détérioration de la qualité des eaux. Parallèlement, la modification de la population rurale a accentué les enjeux de cohabitation entre les éleveurs et les autres habitants des espaces ruraux.
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Installations classées ICPE : seuils pour la nomenclature
Temps de lecture3 min
Clés : Réseaux sociaux Economie Monde Culture web Info Sciences et Techno Accueil App mobiles INTERNAUTES MASTODON RESEAU SOCIAL TWITTER
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Elon Musk ouvre aujourd’hui la porte au retour de Trump sur Twitter
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Mastodon. Un site décentralisé, open source, qui se présente lui-même comme une alternative démocratique, sans les dérives liées à la recherche de profit
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Créé en 2016 par Eugen Rochko, un informaticien allemand adepte du logiciel libre, Mastodon est une sorte de clone de la plateforme, fonctionnant sur les mêmes principes que Twitter. Dès sa création, il a vu affluer les internautes en recherche de liberté comme au commencement de l’internet. C’est vrai que cette plateforme de communication représente une alternative "open source", ce qui est un atout non négligeable pour beaucoup d’internautes, qui se libèrent ainsi des algorithmes occultes de Twitter, de la publicité et de la vente de leurs données.
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l’utilisation ressemble à celle de Twitter sauf que les tweets sont ici remplacés par des "Toot", ou des "Pouet" en français. Grosse différence avec son concurrent, le réseau social est décentralisé. Il n’est pas administré par une entreprise avec une seule adresse internet ou sur un seul serveur.
Ce sont plutôt un ensemble de serveurs, de réseaux de discussions totalement indépendants les uns des autres mais qui peuvent s’entrecroiser. On parle alors de fédérations de réseaux.
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chaque "instance serveur Mastodon" a sa propre administration et sa propre modération
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code de bonnes conduites et de mauvaises pratiques. Le réseau social s’est donc construit via les utilisateurs, pour les utilisateurs, avec bienveillance.
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De grandes institutions publiques y sont notamment présentes, à l’image du ministère de l’éducation nationale français.
C'est le bon moment pour annoncer que le compte LeLibreEdu est désormais aussi présent sur le réseau #Mastodon !
Sur instance du pôle de compétences Logiciels Libre @PoleEOLE du ministère de l'Éducation nationale @lelibreedu@mastodon.mim-libre.frhttps://t.co/8KjzymsP2a pic.twitter.com/JokD5bLbC6 — Le Libre Éducatif (@LeLibreEdu) October 28, 2022
Après huit mois d’atermoiements, la direction interministérielle du numérique (Dinum) connaît enfin le nom de sa nouvelle patronne: Stéphanie Schaer. Une polytechnicienne adepte des start-up d’État, nommée en Conseil des ministres ce lundi 26 septembre.
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Connu / revue de presse april semaine 39
Dénoncer ACT
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Je suis un peu stressé. Parce que ce soir, à Toulouse, je passe mon entretien d'embauche au ministère du Logement pour le 25 avril prochain, dans un pays où 3% des propriétaires détiennent la moitié du parc locatif...
Rejoignez nous sur : https://avecruffin.fr
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Lucide sur ses capacités à supplanter Google, Framasoft s’est dévoué à proposer des infrastructures techniques alternatives, à l’instar du projet de CHATONS
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La solution passe par l’éducation populaire, incarnée sur le terrain par les médiateurs numériques et les bibliothécaires, qui, si on leur donne les moyens, peuvent faire bouger les lignes. » Car c’est à l’échelon local, par les associations, que se développe le mieux la mécanique de la médiation numérique, souvent soutenue par les pouvoirs publics.
En témoigne l’association Infini à Brest. La mairie bretonne lui fournit des locaux et des serveurs, en échange celle-ci mène des projets d’animation et de formation sur les outils informatiques auprès du public brestois. « C’est un exemple très intéressant de ce qui pourrait être reproduit à l’échelle nationale, pointe Pouhiou, à condition que les subventions de fonctionnement assurent une pérennité sur trois à cinq ans, pour établir une sécurité des services. »
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Selon des calculs militants https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?ivGhlw, la dépense française publique et privée en outillage informatique auprès de Microsoft reviendrait de l’ordre du milliard d’euros annuel. À minima, le prix des logiciels constitue entre 10 et 25 % du prix d’achat d’un ordinateur. « Si on investissait ce montant dans les logiciels libres, ses quelques défauts ne resteraient pas des réalités très longtemps », relève François Poulain.
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Le premier confinement a provoqué l’accélération de l’expérimentation apps.education.fr. Désormais déployé sous sa version V.1, cette plateforme fournit aux académies françaises des logiciels libres à vocations éducatives : partage de documents avec Nextcloud, rédaction partagée sur Etherpad, diffusion de vidéos via PeerTube…
Des collectivités, telle Grenoble, ont fait la démarche d’installer des outils libres sur les postes des agents de leur ville, et de renouveler le parc informatique des écoles pour le basculer vers Linux. Des avancées à relativiser : nombreuses sont les collectivités et administrations, à l’instar du Ministère des Armées, à rester sous contrat avec Microsoft.
21069 signatures
Pétition demandant la démission de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal, publiée le 20 février 2021 sur Le Monde https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/20/islamo-gauchisme-nous-universitaires-et-chercheurs-demandons-avec-force-la-demission-de-frederique-vidal_6070663_3232.html. Liste des premier-es signataires sur Université Ouverte https://universiteouverte.org/2021/02/19/demission_vidal/.
Merci d'indiquer votre discipline et votre établissement en commentaire.
Chercheur·es au CNRS, enseignant·es chercheur·es titulaires ou précaires, personnels d’appui et de soutien à la recherche (ITA, BIATSS), docteur·es et doctorant·es des universités, nous ne pouvons que déplorer l’indigence de Frédérique Vidal, ânonnant le répertoire de l’extrêmedroite sur un « islamo-gauchisme » imaginaire, déjà invoqué en octobre 2020 par le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Mais, plus encore, nous nous insurgeons contre l’indignité de ce qu’il faut bien qualifier de chasse aux sorcières. La violence du projet redouble la lâcheté d’une ministre restée silencieuse sur la détresse des étudiant·es pendant la pandémie comme elle avait été sourde à nos interpellations sur une LPR massivement rejetée par tout·es celles et ceux qui font la recherche, y contribuent à un titre ou un autre.
La crise économique et sociale la plus grave depuis 1945
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Ce qui entrave notre travail, c’est l’insincérité de la LPR, c’est le sous-financement chronique de nos universités, le manque de recrutements pérennes, la pauvreté endémique de nos laboratoires, le mépris des gouvernements successifs pour nos activités d’enseignement, de recherche et d’appui et de soutien à la recherche, leur déconsidération pour des étudiant·es ; c’est l’irresponsabilité de notre ministre. Les conséquences de cet abandon devraient lui faire honte : signe parmi d’autres, mais particulièrement blessant, en janvier dernier, l’Institut Pasteur a dû abandonner son principal projet de vaccin.
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Elle veut diligenter une enquête, menace de nous diviser et de nous punir, veut faire régner le soupçon et la peur, et bafouer nos libertés académiques. Nous estimons une telle ministre indigne de nous représenter et nous demandons, avec force, sa démission.
Mathilde Panot
Vice-présidente du groupe parlementaire LFI à l’Assemblée nationale
Lettre ouverte de Mathilde Panot, Vice-présidente du groupe parlementaire LFI à l’Assemblée nationale, à Barbara Pompili, prétendument ministre de l’écologie.
Madame Pompili,
En ce cinquième anniversaire de la COP21, vous êtes particulièrement bavarde pour vanter les petits-pas historiques du gouvernement en matière d’écologie.
En revanche, il y a de nombreux sujets sur lesquels vous restez étrangement silencieuse.
Pompili
Y a-t-il une ministre de l’écologie dans le pays ?
17 décembre 2020
Lettre ouverte de Mathilde Panot, Vice-présidente du groupe parlementaire LFI à l’Assemblée nationale, à Barbara Pompili, prétendument ministre de l’écologie.
Madame Pompili,
En ce cinquième anniversaire de la COP21, vous êtes particulièrement bavarde pour vanter les petits-pas historiques du gouvernement en matière d’écologie.
En revanche, il y a de nombreux sujets sur lesquels vous restez étrangement silencieuse. Où êtes-vous, Madame la Ministre ?
- quand Greenpeace révèle une fuite de documents ultra-sensibles concernant l’EPR de Flamanville ? ... quand votre collègue ministre en hémicycle reprend mot pour mot les éléments de langage d’EDF pour minimiser le problème ?
- quand le Président négocie en catimini la vente d’EDF à la découpe, vous qui disiez il y a encore 2 ans qu’il fallait un débat démocratique sur le nucléaire et qui refusiez la politique du fait accompli ?
- quand Bercy manœuvre pour supprimer des emplois à l’Office national des forêts ? ...
- quand la Convention citoyenne pour le climat demande un moratoire sur l’implantation d’Amazon ... moratoire sur la 5G ...
- quand nous débattions de la réautorisation des néonicotinoïdes ...
- quand les syndicats de votre propre ministère alertent sur la réduction de leurs effectifs et dénoncent leurs restructurations au niveau des régions, la vente à la découpe de leurs missions, leur crainte du projet de loi 3D, la mise sous tutelle progressive des unités départementales aux préfets ?
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36 commentaires - Mots-clés Coronavirus Cour de cassation covid-19 détention provisoire épidémie état d'urgence sanitaire FO Justice Libertés Nicole Belloubet pourvoi Prison qpc SAF SM USM
La prolongation automatique des détentions provisoires n’est pas conforme à la Convention européenne des droits de l’homme, juge la Cour de cassation.
Économie générale
Bruno Le Maire 2011 by UMP Photos(CC BY-NC-ND 2.0)
En 47 petites secondes le ministre de l’Économie nous prouve sans équivoque qu’il est triplement nul en économie.
C’est agaçant à la fin : il faudrait que les Français consomment et investissent pour faire redémarrer l’économie et ils ne pensent qu’à remplir leur livret A et leur livret de développement durable et solidaire (LDDS) ! Foi de Bruno Le Maire
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il est triplement nul en économie :
- En opposant épargne et investissement, il montre qu’il ne maîtrise pas du tout les notions d’emplois et de ressources ;
- En parlant d’encours, puis ensuite d’encours brut comme s’il s’agissait de quelque chose de subtilement différent, alors qu’il parle en réalité de collecte nette mensuelle, il montre qu’il ne maîtrise pas plus les notions de flux et de stocks ;
- En faisant une fixette à la fois sur le livret A et le LDDS et sur la collecte de mars 2020, il montre qu’il est incapable de la moindre vision globale pour interpréter ses chiffres – ce qui ne peut que conduire à des mesures gouvernementales au mieux absurdes et inutiles mais plus probablement absurdes et nuisibles.
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depuis qu’il est à Bercy, Bruno Le Maire s’est taillé une solide réputation de Ségolène Royal au masculin
... Quand on examine la situation des mois de janvier, février et mars en 2019 et en 2020 (voir tableau ci-dessous), on constate surtout que c’est le mois de février 2020 qui, par le faible montant de sa collecte, fait figure d’anomalie. Dans cette perspective, et sans information sur ce qui va se passer dans les mois à venir, le mois de mars 2020 ressemble plus à un rattrapage qu’à l’émergence d’un profil d’investissement radicalement différent.
Au final, la collecte cumulée du premier trimestre 2020 atteint 9,9 milliards d’euros, soit 2,6 % de plus que celle du premier trimestre 2019. Même si le recul de la consommation à partir du 16 mars, date de début du confinement, a incontestablement laissé plus d’espace pour l’épargne, ce n’est pas encore la révolution.
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l’intervention du ministre sur le sujet précis des livrets A et des LDDS, en plus d’être complètement bancale du point de vue des éléments techniques avancés, semble largement sans objet.
C’est pourtant ce même ministre sans qualité qui piétine la liberté d’entreprendre, ruine nos comptes publics et prépare les faillites et le chômage de demain avec une bonne conscience qui n’appartient qu’aux cuistres et aux imbéciles. Ça promet.
Nathalie MP Meyer est née en 1962. Elle est diplômée de l’ESSEC et a travaillé dans le secteur de la banque et l’assurance. Depuis 2015, elle tient "Le Blog de Nathalie MP" avec l’objectif de faire connaître le libéralisme et d’expliquer en quoi il constituerait une réponse adaptée aux problèmes actuels de la France aussi bien sur le plan des libertés individuelles que sur celui de la prospérité économique générale.
... produit des résultats très positifs dans les dix territoires d’expérimentation. Le bilan intermédiaire du fonds national d’expérimentation le démontre d’ailleurs. http://etcld.fr/wp-content/uploads/2019/09/190926_ETCLD_bilan_LowRes.pdf
Ce sont plus de 850 personnes qui ont été embauchées dans les entreprises créées (EBE). Elles avaient en moyenne une durée de chômage de 54 mois et plus de 20% sont des travailleurs handicapés. 350 personnes ont retrouvé par ailleurs un emploi sans passer par les EBE. Quatre des dix territoires sont déjà quasiment à l’exhaustivité. Nous avons désormais une reconnaissance internationale à travers les premiers résultats de l’expérimentation et la Belgique va également expérimenter le projet.
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Près d’une centaine de territoires sont déjà prêts et attendent, avec les personnes privées d’emploi, la deuxième loi pour se lancer. Ils ont déjà identifié les activités à developer dans les territoires.
Mais c’est sans compter sur la langueur instaurée, voire le sabotage orchestré, depuis le Ministère du Travail.
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Acte 8 : Le 18 octobre au matin, nous découvrons avec Louis Gallois une tribune torchon de l’économiste Pierre Cahuc dans Les Échos. Il attaque l’expérimentation avec des chiffres faux et laissant penser qu’ils viennent des évaluations. C’est extrêmement choquant car Pierre Cahuc a un devoir de neutralité en tant que membre du conseil d’évaluation scientifique. Il est très proche de certains acteurs du Ministère du Travail pour avoir co-écrit « L’apprentissage » avec Marc Ferracci, « conseiller spécial » de Murielle Pénicaud. Nous avions également rencontré ce conseiller dont l’accueil avait été glacial.
Repris par https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?J_fUOQ
Education
L'école parisienne s'associe au groupe Sopra Steria, partenaire important du ministère des Armées, pour lancer une chaire dédiée aux concepts de gouvernance et souveraineté numériques.
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articuler ce projet autour de trois axes principaux: le droit du numérique, la régulation et le rôle du digital dans la fabrication de l'opinion, précise Floran Vadillo, directeur défense et sécurité chez Sopra Steria et ancien conseiller de l'ex-Garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas. Cette chaire s'intéressera ainsi aux questions liées au Cloud Act (loi fédérale qui permet au gouvernement américain d’avoir accès aux données stockées dans des datacenters appartenant à des sociétés d’origine américaine, Ndlr), à la fiscalité des Gafam ou à l'utilisation des réseaux sociaux comme outils politiques."
...
le député Raphaël Gauvain, auteur d'un rapport étayé sur la souveraineté de la France et l’extraterritorialité des lois américaines, la patronne du digital chez Carrefour, Amélie Oudéa-Castera, l'ex-président du conseil italien, Enrico Letta, ou encore le chef du service d'intelligence économique de Bercy (Sisse), Joffrey Célestin-Urbain.
7 139 ont signé
Fondation COPERNIC a lancé cette pétition adressée à Enseignants et à 4 autres
Le ministre Blanquer détruit les valeurs de l’Ecole, brise le métier d’enseignant, bloque la réussite des jeunes issus de milieux populaires. Cela peut-il continuer ?
...
Dans les beaux quartiers, les mamans, foulard Hermès, à loisir accompagnent les sorties scolaires. Dans les quartiers pauvres, pas de sorties scolaires si une maman affiche une identité culturelle qui déplait à J-M. Blanquer, ancien de l’Ecole catholique Stanislas.
...
n’a qu’une obsession : dociliser. Les rapports de pouvoir, d’exploitation ne doivent plus être questionnés. L’école doit produire une main d’œuvre docile.
benjamin.gentils ... Le projet du lab 110 bis est la preuve de concept que l’administration centrale du Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse (MENJ) et du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESRI) est elle aussi capable de porter des projets de façon agile : prototypage rapide, documentation de l’essentiel, équipe constituée par compétences clés, itérations rapides avec les sponsors. ... Une acception de l’innovation large et non excluant :
Une innovation scientifique et technique mais aussi organisationnelle, de services, sociale, etc. (cf référentiel OCDE).
Une innovation émanant et portée par tous types d’agents : non cadres, professeurs, etc. afin de sortir du cliché « jeune et ultra connecté »
Une innovation frugale basée d’abord sur les besoins des usagers et non sur la technologie comme porte d’entrée
...
espace ouvert à tous ... Fédérer et animer des communautés ... Documenter ... Participer à une démarche d’émergence de communs ... une équipe de 3 (bientôt 4 avec l’arrivée prévue de Maxime Pierrot le 12 février 2019. Dans l’organigramme, nous sommes placés auprès de la secrétaire générale pour que le lab ait la réactivité, la liberté d’action qu’on attend de lui (un sponsorship au plus haut niveau est indispensable).
Nous privilégions autant que possible l’horizontalité ... nous sommes tous dans l’équipe des “moutons à 5 pattes” !
Somalina Pa 14, responsable du 110 bis
Léa Douhard 4, financements alternatifs et partenariats
Benjamin Gentils 4 / développement de communautés, tiers-lieux
Maxime Pierrot 6 / tech et culture maker
... Préférence pour l’open source, encore beaucoup de travail à faire. ... Mail : 110bis@education.gouv.fr ... 110 rue de Grenelle
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
(Administration handi-accueillante et attachée à la mixité et à la diversité)
INTITULE DU POSTE : Office manager / Médiateur du lab 110 bis
Offre à télécharger à https://place-ep-recrute.talent-soft.com/Handlers/download.ashx?filetype=1032&fileguid=25418b50-afb7-4f4d-b8d3-1182bc739a62&offerid=158093
CONTACTS RH
- Véronique GRONNER, cheffe de service, adjointe à la Secrétaire générale du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse et du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation veronique.gronner@education.gouv.fr - 01 55 55 82 89
- Somalina PA, responsable du Lab 110 bis et du pôle de développement des financements alternatifs et d’accompagnement des porteurs de projets innovants
somalina.pa@education.gouv.fr - 01 55 55 10 85
Connu / https://twitter.com/LeaDouhard/status/1194991625900085260
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François BOCQUET a retweeté
Léa Douhard @LeaDouhard · 7h📣
.#jobalert Envie de participer à la transformation de l'#education nationale de l'intérieur ?
Le @lab110bis recrute 2 profils ASAP :
✅ 1 stagiaire chargé(e) de projet #evenementiel http://bit.ly/stage110bis #stage
✅ 1 office manager / médiateur
Portail de la Fonction Publique | Page offre - Sg lab 110 bis office manager-médiateur h-f,...
Ce site propose des offres d'emplois publiées par les employeurs des Fonctions Publiques d'Etat, Territoriale et Hospitalière.
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Alexis Corbière était l'invité ce matin d'Elizabeth Martichoux dans la matinale LCI. Les sujets abordés ont été la GPA, les annonces de la Ministre de la Santé Agnès Buzyn et la mobilisation des urgentistes et le procès, la semaine prochaine, de certains cadres de la France insoumise dont Alexis Corbière.
Catégorie Actualités et politique 162 commentaires
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C'est la nouvelle affaire qui secoue le gouvernement d'Edouard Philippe et Emmanuel Macron. Depuis hier, le ministre de la Transition écologique François de Rugy fait l'objet d'une série de révélations de Médiapart qui plonge l’ancien écologiste, désormais numéro deux du gouvernement, dans la tourmente.
Tout a commencé mercredi matin, avec un premier article de Médiapart sur une dizaine de réceptions, données par François de Rugy et son épouse à l'hôtel de Lassay, quand il était encore président de l'Assemblée nationale. Photos à l’appui, le grand public a découvert le faste de ces soirées : des homards servis à table, des grands crus issus de la cave de l'Assemblée nationale à plusieurs centaines d'euros. Les participants entre 10 et 30 personnes, étaient principalement des amis ou des connaissances du couple, selon le site d’information. A Mediapart, François de Rugy a indiqué qu’il s’agissait de « dîners informels liés à l’exercice de [ses] fonctions avec des personnalités issues de la société civile » pour « répondre à l’exigence de représentation liée à [sa] fonction ». Mais son épouse, journaliste à Gala, n’a pas tenu le même discours au média, assurant que les invités appartenaient pour l’immense majorité à « son cercle amical ».
Depuis, l’affaire suscite de très nombreuses réactions piquantes et ironiques sur les réseaux sociaux. Sous pression, le gouvernement a - pour l’instant - fait corps derrière son ministre d’État. Lequel depuis vingt-quatre heures s’en est justifié à plusieurs reprises. Reconnaissant que ces images des « ors de la République » puissent interpeller les Français, l’ancien président de l’Assemblée nationale a revendiqué son bilan de réformateur au Palais-Bourbon et mis en avant le fait que dans son ministère, seul un tiers du budget réception aurait été dépensé. Se posant en chantre de la transparence, il a aussi publié cette nuit sur son compte twitter « les réponses apportées à Mediapart, sur des dîners à l’Assemblée, et des travaux de rénovation de mon appartement de fonction au ministère ». François de Rugy a également dû limoger sa directrice de cabinet Nicole Klein pour tenter d’éteindre un autre incendie. Le site d'investigation a révélé mercredi soir qu'elle bénéficiait d’un logement social à Paris depuis 2001, qu’elle a conservé de 2006 à 2018 alors qu'elle n'habitait plus la capitale. Enfin ce jeudi, un nouvel article de Médiapart dévoile que le ministre a fait réaliser plus de 63 000 euros de travaux, payés par le contribuable, dans les appartements privés du ministère de l’Écologie. Parmi ces travaux figure l’installation d’un dressing à près de 17 000 euros. Dans l’opposition comme dans une partie de la majorité, les critiques se multiplient à l’égard de celui qui a toujours prôné l'exemplarité et la transparence. Certains, comme la députée écologiste Delphine Batho, vont jusqu’à demander sa démission. Pour l’heure, le ministre assume, et « garde la confiance » du chef de l’État.
Mais François de Rugy peut-il tenir ? Le cas de Rugy est-il un problème de légalité ou d’éthique ? Quelles sont les règles au Parlement ? Le délégué général de LREM, Stanislas Guerini, a estimé ce jeudi que la déontologue de l'Assemblée nationale devra se pencher sur les dîners organisés par François de Rugy. Parallèlement, on a appris aujourd’hui dans les colonnes du Monde que quinze parlementaires, dont Jean-Christophe Cambadélis, sont sous le coup de quinze enquêtes préliminaires distinctes lancées par le parquet national financier (PNF) car ils sont soupçonnés d'avoir utilisé leur indemnité représentative de frais de mandat pour des dépenses personnelles. Les sommes concernées vont de 20.000 euros à 80.000 euros par élus.
Faire table rase des vieilles pratiques, des petits arrangements et des privilèges opaques des élus, c'était tout l'enjeu de la loi de confiance dans la vie politique, adoptée en 2017. Qu’est ce qui a changé depuis cette loi ?
Invités :
• Bruno Jeudy - Rédacteur en chef du service politique de Paris Match
• Soazig Quéméner - Rédactrice en chef du service politique de Marianne
• René Dosière - Ancien député, spécialiste de la gestion des finances publiques
• Frédéric Says - Editorialiste politique à France Culture – Co-auteur de « Dans l’enfer de Bercy »
Catégorie Divertissement
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Le malaise dans les hôpitaux s’amplifie. Après plus de deux mois de crise dans les services d’urgences, une journée de mobilisation nationale a lieu ce mardi 11 juin à l’appel des syndicats pour « élever le rapport de force » face à l’exécutif afin d’obtenir une hausse des effectifs, l'arrêt des fermetures de lits, et une revalorisation des salaires. Signe de ce ras-le-bol, le mouvement a pris ces derniers jours une forme inédite : les soignants posent désormais des arrêts de travail, au lieu de porter un brassard « personnel en grève » comme ils le font habituellement pour assurer la continuité des soins. Face à ce phénomène d’absentéisme soudain, à Lons-le-Saunier dans le Jura, le préfet a été contraint fin mai de réquisitionner des personnels de santé, parfois sollicités par les gendarmes en pleine nuit. Si la ministre de la Santé n’a pas cautionné la méthode, qui revient à « dévoyer un arrêt maladie », elle a affirmé « comprendre l’impatience » des personnels des urgences face à « un quotidien devenu insupportable ». Mais en annonçant jeudi dernier une mission de « refondation » des services d’urgences, avec un soutien financier aux établissements connaissant des surcroîts d’activité, Agnès Buzyn n’a pas convaincu. « Je suis très déçu » a ainsi affirmé Patrick Pelloux, le président de l’Association des médecins urgentistes de France, pour qui « le gouvernement ne mesure pas l’ampleur de la contestation ». Christophe Prudhomme, de la CGT urgences, a lui fustigé « une vaste blague. Créer une mission c’est pour enterrer le problème ». Ces annonces gouvernementales s’ajoutent aux dispositions de plus long terme comprises dans la loi santé 2022, actuellement en cours d’examen au Parlement, et qui doit réorganiser, entre autres, la médecine de ville pour désengorger en amont les urgences hospitalières. En vingt ans, les services d’urgences ont vu leur fréquentation doubler pour atteindre 21 millions de passages, et sont devenues le lieu de cristallisation des dysfonctionnements du système de santé. Depuis 2005, près de 10 milliards d’euros d’économies ont été demandées aux hôpitaux publics. Quelques crédits ont été accordés en début d’année par le ministère de la Santé, mais plus de la moitié des établissements sont aujourd’hui dans le rouge. Fermetures de lits au profit de l’ambulatoire, fermetures de maternités, heures d’attente aux urgences avec des couloirs surchargés… Les patients constatent les tensions et le malaise grandit chez les personnels hospitaliers, renforcé par une recrudescence des violences. Un médecin, deux aides-soignants et une infirmière ont ainsi porté plainte ce mardi après une agression au CHU de Rennes. Alors comment sortir de la crise ? Quel remède pour les urgences ? Faut-il réformer en profondeur notre système de santé ?
Invités :
• Yves Thréard, directeur adjoint de la rédaction du Figaro.
• Jean-Marc Daniel, économiste, professeur associé à l'École Supérieure de Commerce de Paris.
• Pierre-André Juven, sociologue au CNRS, spécialiste des politiques de santé.
• Élodie Lepage, journaliste société/spécialisée santé.
Catégorie Divertissement 21 commentaires
45 697 ont signé
Fédération Nationale d'Agriculture Biologique, Réseau Action Climat, Fondation Nicolas Hulot, Greenpeace a lancé cette pétition adressée à Didier Guillaume, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation
Non à l’industrialisation de la Bio !
Monsieur le Ministre de l’Agriculture, il faut interdire la production de fruits et légumes bio hors saison !
Le marché bio se développe et les appétits aussi. Avec l’arrivée de nouveaux acteurs économiques poussant des pratiques incompatibles avec le cahier des charges bio, c’est tout le système qui est menacé !
Halte aux rendements à tout prix, oui aux saisons !
Depuis quelques mois, on voit se développer des projets de conversion biologique de serres chauffées pour la production de fruits et légumes hors saison (Pays de la Loire, Bretagne…). Ces projets en gestation vont permettre de retrouver sur les étals de la tomate bio française en plein mois de mars. Une aberration gustative, agronomique et environnementale !
Le chauffage des serres est incompatible avec le label bio
Le cahier des charges bio impose le « respect des cycles naturels » et une « utilisation responsable de l’énergie ». Chauffer sa serre pour produire des tomates ou des concombres en plein hiver ne peut donc pas être compatible avec l’agriculture biologique. Selon les régions et les années, la saison de la tomate peut aller de mai/juin à octobre/novembre, mais certainement pas en hiver.
Pour rentabiliser leurs serres chauffées, les industriels se spécialisent sur un ou deux légumes à forte valeur ajoutée. En diminuant la diversité des cultures, ils appauvrissent leurs sols et ainsi contreviennent encore aux principes de l’agriculture biologique.
Mobilisons-nous pour lutter contre l’industrialisation de la bio !
Nous avons jusqu’au 11 juillet 2019, prochaine date du Comité national de l’agriculture biologique, pour convaincre le Ministre de l’Agriculture de lutter contre l’industrialisation de la bio en limitant le recours au chauffage des serres à la production de plants et au maintien hors gel, garantissant ainsi que la production reste de saison.
Ne discréditons pas le label bio : soutenons les paysannes et paysans bio qui respectent les saisons, pas de serres chauffées pour produire à contre-saison !
Signez la pétition pour demander au Ministre de l’Agriculture de soutenir un encadrement strict du chauffage des serres en bio afin d’interdire la production de fruits et légumes bio hors saison.
Premiers signataires :
Iñaki AIZPITARTE, Chef cuisinier Le Chateaubriand (1 étoile, Paris) ; Gaétan BERTHELOT, Chef cuisinier du traiteur bio Ressources (Paris) ; Tugdual de BETHUNE, chef cuisinier, Holen (Rennes), Nicolas BRIAND, Chef cuisinier, Le Château d'Apigné (Le Rheu) ; Cyril BORDRIER , Chef cuisinier Le verre volé (Paris) ; Clément CHARLOT, Chef cuisinier Fragments (Caen) ; Emmanuel CHARTRON, Chef de la Cuisine centrale de la Ville de Saint Tropez ; Ollie CLARKE, Chef cuisinier La Régalade (Paris) ; CLÉA, autrice culinaire et bloggeuse (Cléa Cuisine) ; Richard CORNET, Chef cuisinier L'Aménité (Nantes) ; Pascal DAUPHIN, Chef de cuisine Lycée Camille Pissarro (Pontoise) ; Sabine DELMAS, Chef de cuisine du Lycée Marie Curie (Versailles) ; Christophe DEMANGEL, Chef de Cuisine au Collège Jules Grévy (Poligny), membre des Cuisiniers de la République Française ; Xavier DENAMUR, restaurateur, propriétaire de cinq établissements dans le quartier du Marais à Paris ; Nicolas FERRÉ, Chef cuisinier Le Quai des Saveurs (Les Sables d'Olonne) ; Marie-Claire FREDERIC, journaliste et auteur culinaire ; Olivia GAUTIER directrice du restaurant Les Orangeries (Lussac-Les-Châteaux) ; Rémi GIRAUD, Chef cuisinier du restaurant Les hauts de Loire (2 étoiles, Onzain) ; Bernard GISQUET, Chef cuisinier de Lou Cantoum (Cestayrols) ; Arnaud GUILLOUX, chef cuisinier à Coquille (Rennes), Adeline GRATTARD, Cheffe cuisinière Yam'tcha (1 étoile, Paris) ; Sylvain GUILLEMOT, Chef cuisinier L'Auberge du Pont d'Acigné (1 étoile, Noyal-sur-Vilaine) ; Lionel HÉNAFF, Chef cuisinier L’Allium (1 étoile, Quimper) ; Thomas HUBERT, Chef cuisinier Olive & Artichaut (Nice), Fumio KUDAKA, Chef cuisinier La Table de Breizh Café (1 étoile) à Cancale ; Kevin LEPINE, Chef cuisinier de Texture (Saint Malo) ; Céline LE GALL, Cheffe cuisinière, et Yann ANDRÉ, gérant, La Renverse (Saint-Froult) ; Julien LEMARIE, chef cuisinier à l'IMA de Rennes, Ewen LE MOIGNE, Chef cuisinier de Saturne (1 étoile, Paris) ; Thierry LEBIGRE, Chef cuisinier du Centre hospitalier d'Embrun ; Flore MADELPUECH, artisane cuisinière, Cheffe de La table de Flore (Rouen) ; Jacques MARCON, chef étoilé (Saint Bonnet le Froid), Bruno NOURRY, responsable de la cuisine municipale de St Hilaire de Riez ; François PASTEAU, Chef cuisinier de L'Epi Dupin (Paris), Morgan PERRIGAUD, Chef cuisinier Les Prémices (Bourron-Marlotte) ; Laurent PORÉE, cuisinier, créateur de La cantine de Babel (Le Mesnil-Rouxelin) ; Olivier ROELLINGER, Chef étoilé, Maisons de Bricourt (Cancale), Hugo ROELLINGER, chef (2 étoiles) Le Château Richeux (Saint Méloir des Ondes), David ROYER, Chef cuisinier étoilé du Château de sable (Porspoder) et du Roc’h Ar Mor (Plouescat) ; Sibylle SELLAM et Grégoire FOUCHERS, chefs cuisiniers du Bercail (Rennes), Ndeye SOUMARÉ, Cheffe de cuisine de la Cité scolaire Chaptal (Paris) ; Didier Thévenet, directeur et cuisinier de la cuisine centrale de Lons-le-Saunier ; Jonathan THULLIEZ, Chef de cuisine du restaurant Le Bichat (Paris) ; David VACQUÉ, Chef cuisinier du Bistro gourmand (Nice) ; Caroline VRIGNAUX, Cheffe de cuisine R&D chez FoodChéri ; 4 diététiciennes et 13 chef.fes membres du Collectif les Pieds dans le Plat (restauration collective bio et locale)