Syndicats, travailleurs et travailleuses, usagers de l’automobile et organisations environnementales comme la nôtre partagent ce constat : il y a urgence à transformer nos modes de transports, ce secteur étant le plus émetteur de gaz à effets de serre en France. Mais comment changer notre rapport à la voiture, la réinventer et adapter nos modes de déplacement face au changement climatique, sans laisser personne sur le bord de la route ?
C’est pour trouver ensemble des réponses concrètes que nous co-organisons avec le Réseau Action Climat et la Fédération des travailleurs de la métallurgie (FTM-CGT) un forum sur l’avenir de l’automobile, le mercredi 24 mai, de 9h à 18h30 à Montreuil (93), au siège de la CGT situé 263 Rue de Paris.
https://ftm-cgt.fr/363920-2/
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travailler ensemble à des alternatives. L’objectif : infléchir, grâce à des propositions très concrètes, la politique du gouvernement et les choix stratégiques des constructeurs.
Le Forum sur l’avenir de l’automobile réunira autour d’une même table syndicalistes, salarié·es, représentant·es d’associations, militant·es écologistes et chercheur·ses. C’est aussi et surtout un événement ouvert à tous les citoyens et citoyennes, usagers ou non de la voiture, sur simple inscription.
Moins de grosses voitures et plus de complémentarité
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Clés: #Climat #Diesel #Emissions CO2 #Pollution de l'air #Pollution sonore #Renault #Sobriété énergétique #Transition énergétique #Transports #Voitures
#VoitureElectrique #EssaiPoa #Poa - 295 k abonnés - 16 k+ - 524 501 vues - 1 757 commentaires
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00:00 Intro
03:19 Concept
04:46 Les étapes
06:28 L’intérieur
08:13 Caisse à nue
10:00 Batterie
11:03 Homologation
12:38 Sous le capot
14:10 Moteur / boîte
15:09 Upgrade
17:42 Prix location
18:30 Conduite
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Actualités du mouvement
Le rassemblement de mercredi 1er décembre à 11h30 devant la SAM doit marquer la solidarité du peuple avec les salarié·es de la SAM. Comme régulièrement depuis près d’un an, Manuel Bompard, député européen et directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon sera présent aux côtés des salarié·es.
Le tribunal de commerce de Toulouse a prononcé la cessation immédiate d’activité de la fonderie SAM.
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condamne 333 salarié·es et un territoire, le bassin de Decazeville, déjà meurtri par le déclin industriel et la fermeture récente de sa maternité. Rappelons qu’un emploi supprimé dans l’industrie c’est 3 emplois indirects perdus. Des familles entières se retrouvent totalement démunies face à cette maltraitance sociale.
Cette décision est aussi irresponsable car elle refuse tout délai pour trouver une solution de reprise et va à l’encontre des engagements de Renault qui prévoyaient pourtant de maintenir les commandes à la SAM au moins jusqu’au 31 mars 2022.
Cette décision illustre surtout le jeu de bonneteau auquel se sont livrés le gouvernement et les parlementaires LREM. Le gouvernement s’était en effet engagé à soutenir, à hauteur de 8 millions de garanties, le projet de reprise de Monsieur Bellity, et à convaincre Renault de l’accompagner. Une fois le refus de Renault prononcé, le gouvernement a déclaré, par la voix de Bruno Le Maire, que ce projet, pourtant soutenu, par l’état n’était en réalité pas crédible ! Qui gouverne dans ce pays ? Renault ou le gouvernement ?
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trahison au plus au sommet de l’Etat
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Conférence : Face au changement climatique, le champ des possibles - Jour 1
Lien de la conférence : https://www.academie-sciences.fr/fr/Colloques-conferences-et-debats/changement-climatique.html
00:00:00 Introduction
00:00:27 Le transport routier représente la grande majorité – 95% - des émissions de GES du transport en France
00:00:56 La voiture est le moyen de transport le plus utilisé pour se déplacer
00:01:20 L’avion est le moyen de transport le plus utilisé pour parcourir plus de 100 km
00:01:48 Une petite minorité des Français aisés ne paie pas de taxe carbone sur le moyen de transport le plus utilisé pour faire plus de 100 km
00:02:16 Heureusement que les émissions de GES des vols internationaux disparaissent dans l’atmosphère car elles représentent la moitié de celles des Gilets Jaunes en voitures, qui eux paient la taxe carbone...
00:03:19 La réduction des émissions de CO2 du secteur automobile : un échec européen
00:03:25 Le secteur du transport est Ie mauvais élève du protocole de Kyoto
00:03:47 Les émissions de CO2 des voitures neuves sont reparties à la hausse depuis deux ans
00:04:57 En réalité, les émissions de CO2 des voitures neuves n’ont quasiment pas baissé depuis vingt ans
00:05:41 La baisse artificielle des émissions de CO2 est due à un mauvais « thermomètre » CO2 qui n’a été réparé que partiellement pour l’instant
00:07:09 La seule véritable baisse des émissions de CO2 a eu lieu entre 2008 et 2010 : moins de SUVs, plus de petites voitures
00:08:27 Les voitures électriques souffrent encore d’un différentiel trop important « prix x utilité » par rapport à leurs homologues thermiques
00:09:36 Depuis 2010, l’impact négatif des SUVs a été 5 fois plus important que l’impact positif des voitures électriques
00:10:43 Le nouveau malus sera un peu plus dissuasif [10% des immats = 500€+] mais ne devrait avoir qu’un impact limité sur les ventes de SUVs
00:11:39 Pourquoi faut-il améliorer les incitations sur les voitures neuves ?
00:13:00 Quelles mesures pour faire enfin baisser les émissions de CO2 et la consommation des voitures ?
00:13:07 Nous proposons d’intégrer dans le bonus-malus existant une composante poids afin de décourager l’achat de voitures les plus lourdes
00:13:34 Pourquoi un bonus-malus indexé sur le poids des voitures ?
00:14:37 Les exemptions de ce bonus-malus sur le poids
00:16:10 Nous proposons aussi de limiter le contenu carbone de l’électricité utilisée pour fabriquer les batteries des voitures à faibles émissions
00:17:30 Simulation d’un bonus-malus indexé sur le poids des voitures
00:18:05 Simulation d’un bonus-malus indexé sur le poids des voitures
3 commentaires
Pierre 77 il y a 7 mois
Très instructif !
En résumé il faut dès aujourd'hui :
Augmenter le malus CO2 + Malus au poids
Développement d'un cycle de consommation réel et cycle de vie totale (construction + énergie + utilisation + recyclage)
Développement d'un vrai réseau de recharge fiable, rapide et paiement en CB au kWh
Développement des transports en commun (bus haut niveau de service, tramway, train, pistes cyclables ... )
Damien Prevot il y a 1 an
Bonjour deux remarques : 1/ je ne vois nulle part dans les illustrations la confirmation que moins de 2 % des français feraient plus de la moitié des km faits par avion. D’où vient cette donnée? Il y a-t-il un suivi des trajets par avion qui serait nominatif pour savoir à quels français affecter les km parcourus? La formulation correcte ne serait -elle pas que 2% des trajets représentent 5O% de la distance parcourue? 2/La formulation « au delà de 100 km, l’avion est le plus utilisé » est trompeuse car on voit bien sur les graphes que pour les trajets de moins de 1000 km c’est la voiture qui donne le plus de km (je suppose km.homme) parcourus...sauf si je me trompe, ce choix de la formule provocatrice pas bien étayée risque de desservir l’objectif de voir taxé le transport aérien à la juste mesure de ses externalités.
Tr.: ...
pour la Zoé, voiture électrique la plus vendue en France, la fabrication des batteries est au charbon en Pologne sic
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l'hydrogène pour la voiture électrique n'est pas valable (énergivore, infrastructure au prix prohibitif à déployer), mieux pour les transports lourds ? Le mieux dans l'électrique est de ne pas rouler !
12 126 vues - 1,2 k - 17 - 149 k abonnés - 307 commentaires
Les fonderies ferment, du Poitou au Jura. Pourquoi ? Parce que Renault délocalise, sous-traite en Chine ou en Turquie. Et l’État, premier actionnaire, se croise les bras. Et Macron promet d'"accompagner"... à Pôle emploi ?
Tr.: ... on a l'argent pour tenir jusqu'à fin août ...
l'électrique, DACIA, l'hybride électrique
1 088 ont signé
Comité de défense de la turbine à gaz dans le Territoire de Belfort a lancé cette pétition adressée à Ciotyens
Le tribunal de commerce de Dijon a prononcé la liquidation de MBF Aluminium le 22 juin. Cette décision est inacceptable :
- Parce que notre pays a besoin de l’industrie stratégique qu’est la fonderie
- Parce que des transferts suspects de fonds ont eu lieu vers une holding anglaise dans l’indifférence de l’Etat, et ce malgré une alerte
- Parce qu’une solution de reprise soutenue par la région est proposée
Cette décision de justice peut être suspendue :
- Par le président de la cour d’appel
- Par le Procureur de la République
La responsabilité du gouvernement est entièrement engagée.
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Connue / https://twitter.com/AQuatennens/status/1408745662833991685
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Tweet de Députés France Insoumise
Adrien Quatennens @AQuatennens · 10h
Usine La liquidation de la fonderie #MBF dans le Jura peut être suspendue. L’Etat, actionnaire de #Renault et qui lui a accordé des milliards d’aides, doit l’empêcher de délocaliser sa production.
19 - 239 - 312
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38 416 vues - 4,2 k - 42 - 172 k abonnés - 492 commentaires
Connue / https://twitter.com/LeFildActu1/status/1269181230345531398
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Fil d'Actu Officiel @LeFildActu1
Comment croire #Macron promettre la production en France de 1 million de voitures électriques, quand #Renault réduit de 800 millions d'euros sa recherche et développement ? #Guyancourt #VoitureElectrique #lemondedapres #ElonMusk
NOTRE ANALYSE 0:41 771 vues 2 Mo 10:16 AM · 6 juin 2020·TweetDeck 16 Retweets 29 J'aime
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Les images des rassemblements « Justice pour Adama Traoré » ce mardi sont impressionnantes de calme et de détermination tranquille. La colère est froide. Elle est maitrisée d’une façon spectaculaire. Les provocateurs de l’extrême droite et de la préfecture de police en sont pour leur honte. La foule a aussi crié « Liberté Égalité Fraternité » et chanté la Marseillaise. Les fachos restent collés à leur réalité : des haineux hostiles au destin commun que le peuple veut se donner malgré les racistes.
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Renault. Déroute écologique et sociale totale
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Chronique enthousiaste : Gilet-jaunisation aux USA
... tout ce qui advient aux USA arrive ensuite chez nous dans la décennie qui suit. Parfois plus vite.
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Aucune alerte, aucune mise en garde n’aura jamais rien produit dans notre pays à part des heures de prêchi-prêcha haineux contre toute forme d’opposition et de dénigrement personnalisé contre les fortes têtes pourchassées sans répit les Jérôme Rodriguez, Taha Bouhafs, Drouet, Dufresne, Wamen et ainsi de suite et pour finir avec Camélia Jordana. Je ne sais comment dire combien cela me désole. Car la suite est écrite. Et ceux qui me lisent savent la lire.
Aux USA, le fil des révolutions citoyennes est resté net : fermentation politique longue depuis Occupy et les Anonymous, évènement fortuit (la mort de Georges Floyd), union sans parti ni représentant, revendication égalitaire (« la vie des Noirs compte »), mobilisation universaliste, non communautaire pour la première fois depuis longtemps, mot d’ordre polysémique fédérateur (« je ne peux plus respirer »). Oui mais voilà : il s’agit des USA et de la première saison de l’après Covid-19. Elle ouvre la crise sociale monstrueuse qui va déferler. Les USA déjà désemparés, inondés de dollars de planche à billets, sans projet collectif, labourés par les socs contraires du petit peuple social et du petit peuple facho. Les USA paralysés par la gélatine du parti démocrate qui a eu la peau de Sanders pour ce néant qu’est Joe Biden. Les USA où les latinos seront dans une poignée d’années la plus importante minorité devant les afro-américains et les beaux blancs protestants. Les USA où le catholicisme sera bientôt la première religion chrétienne du pays modifiant ainsi la matrice spirituelle d’un pays où la religion est sur chaque billet de banque avec la formule « in God we trust ». Les USA et leur dollar bidon, leur État fédéral bringuebalant. Bref, les USA chancelant vont faire vaciller le monde. Trump voudrait interdire les anti-Fas, pendant que des miliciens d’extrême-droite en armes défilent dans les rues. Ils contrôlent ici ou là et les passants, comme nos identitaires dans le métro de Lyon et dans des bus à Lille pendant que les castors pyromanes pérorent loin de toute réalité « faire barrage ! faire barrage ! ».
Les événements nord-américains sont décisifs. Ils nous obligent à faire un point réaliste. Si l’extrême droite « suprémaciste » l’emporte aux USA, ce sera bien autre chose que ce qu’elle a déjà fait en Pologne, Hongrie, Autriche, au Brésil, en Inde ou aux Philippines. Si les nôtres se donnent une expression politique capable d’être majoritaire, tout devient possible dans la civilisation humaine. Ayez grand soin de vous monsieur Bernie Sanders ! L’Histoire ne ferme jamais boutique.
Trahison : le dépeçage industriel continue
Pour certains, le monde d’après c’est pire qu’avant et ça commence tout de suite. Ainsi, en pleine crise sanitaire, l’entreprise américaine General Electric se prépare à trahir une nouvelle fois ses engagements pris devant ses salariés français et le gouvernement de notre pays. Elle a débuté ces dernières semaines des opérations de délocalisations qui annoncent son intention de fermer le site de Belfort. La construction de pièces aéronautiques sont transférées en Hongrie. Les activités de réparation de retors, pour lesquelles l’usine de Belfort est la meilleure du monde, sont délocalisées en Arabie saoudite. Et d’après les syndicats et les élus locaux, la multinationale prépare aussi le transfert de l’assemblage des turbines aux États-Unis. Il s’agit bien un dépeçage en règle du site industriel de Belfort à peine six mois après avoir signé un accord, le 21 octobre 2019, où elle s’engageait à la pérennité de cette usine.
Comble du cynisme, General Electric prend prétexte des conséquences de la pandémie de coronavirus. Selon ses dirigeants, c’est l’absentéisme des ouvriers et la diminution temporaire de l’activité qui les pousseraient à ces décisions. On peine à la croire. Le Territoire de Belfort est l’un des départements les plus touché par l’épidémie, rapporté au nombre d’habitants. Si les ouvriers sont moins allés travailler, c’est avant tout pour respecter des consignes de santé publique, ou parce qu’ils étaient malades eux-mêmes. Mais depuis leurs bureaux aux États-Unis, les chefs de GE préfère les faire passer pour des feignants.
En fait, c’est l’occasion pour la multinationale de finir le travail qu’elle avait commencé l’an dernier. En 2019, elle avait prévu un grand plan social dont l’application serait revenue à condamner la production industrielle à Belfort. Ce plan était déjà la violation de ses engagements de 2015. General Electric avait alors racheté l’entreprise française, Alstom. Le ministre de l’économie de cette époque, Emmanuel Macron, avait donné sa bénédiction. Les deux avaient alors promis la création de 1000 emplois en France en 3 ans, et l’installation du centre européen des turbines à gaz à Belfort. Mais quatre ans plus tard, le plan de GE comprenait prêt de 800 suppressions de postes et le centre européen avait été installé en Suisse.
Les salariés s’étaient mis en grève pour refuser cette condamnation à mort. Deux grandes manifestations auxquelles j’ai participé à Belfort les 22 juin et 19 octobre 2019 ont montré la mobilisation, non seulement des ouvriers mais de la ville et du département tout entier. Des élus de toutes tendances se trouvaient dans les cortèges. Face à ce front uni, General Electric avait fini par faire quelques maigres concessions, sous le patronage du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. L’entreprise américaine s’engageait à réduire à 307 le nombre de départs dans son plan social. Ce qui permettait, selon les syndicats, de conserver une usine viable.
Désormais, la mise à mort de l’Alstom de Belfort est sur la table. General Electric est en train de pratiquer une stratégie de la terre brûlée. La crise économique déclenchée par le krach sanitaire lui a donné le prétexte pour imposer à tous ses sous-traitants de Franche-Comté et Bourgogne une baisse de prix de 20%. Le but est de tuer le tissu industriel de cette région afin d’empêcher un éventuel concurrent de le mobiliser lorsqu’elle sera partie. Il s’agit quand même d’un réseau de 270 entreprises, chacune avec leurs ouvriers qualifiés, leurs savoirs techniques accumulés. Comme le dit le responsable local de la confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) : « personne ne sait de toutes les façons faire avec 20 points de marge en moins. Cela ressemble à de l’abattage pur et dur ».
Le choc déclenché par la pandémie a fait réaliser, parait-il, à Emmanuel Macron l’intérêt de la souveraineté industrielle. La main sur le cœur, il a promis : « le jour d’après ne ressemblera pas au monde d’avant. Nous devrons rebâtir notre souveraineté ». C’est le moment de joindre les actes à la parole. General Electric nous a menti. Encore une fois. Nous ne pouvons pas laisser une multinationale, pour des raisons financières, détruire le tissu industriel de toute une région. Nous avons besoin de l’Alstom pour produire les turbines qui nous aiderons à réaliser la transition énergétique. Nous en avons besoin pour notre indépendance puisque cette entreprise produit aussi certains composants dans notre porte-avion. J’adjure Emmanuel Macron et Bruno Le Maire de ne pas laisser General Electric nous dépecer encore une fois.
Unité : appels à la pelle
... Elles espèrent aussi l’apparition d’un « leadership naturel » comme dit Éric Piolle, le maire de Grenoble qui a déclaré assumer ce rôle. ... « Sauf-LFI » ayant fait déjà à deux reprises des offres de « front populaire » puis de « fédération populaire », comment expliquer que les divers groupes d’unitaires pourtant divisés s’accordent à ne jamais en mentionner l’existence ni donner un avis sur le sujet ? Toute la comédie de l’unité est dans cette amnésie de commande.
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En résumé : pour nous, la clarté mobilise davantage qu’elle ne clive. Or la méthode de bien des « unitaires » est à l’inverse
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l’appel des 18 de « Plus jamais ça » ... une liste de dix points d’initiatives concrètes pour cela pour commencer la discussion https://lafranceinsoumise.fr/2020/05/20/appel-plus-jamais-ca-la-france-insoumise-propose-10-mesures-concretes/ -> le comité « Plus jamais ça » a publié un plan de sortie de crise https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/plus-jamais-ca-34-mesures-pour-un-plan-de-sortie-de-crise. Nous l’approuvons. Nous ne le faisons pas pour de raisons diplomatiques. Ni par culte du rassemblement. Nous le faisons parce que nous sommes d’accord avec le contenu. Nous sommes d’accord parce que nous y retrouvons les points que nous avons défendus dans « L’Avenir en commun », dans notre travail parlementaire et dans nos dix propositions. Ça c’est le bon chemin droit et stable sur lequel on peut avancer sans avoir à recompter ses doigts après une poignée de main.
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FR - Dossier Renault - Excellent entretien avec Philippe Martinez, Secrétaire général de la CGT, salarié du technocentre de Guyancourt de Renault, et Christian Saint-Étienne, économiste: 5 milliards pour Renault, licenciements chez Renault? Y-a-t-il une stratégie chez Renault? La disparition de l'État stratège? Y-a-t-il un pilote chez Renault? Y-a-t-il un pilote à l'exécutif? Christian Saint-Étienne: "L'État: je pense que ce n'est pas la dissolution qui est en jeu aujourd'hui ; si on veut remettre les choses à plat, c'est plutôt le Président de la République qui remet son mandat en jeu pour se redonner une vision à 10 ans, c'est ça qui manque aujourd'hui." Sanré des salariés face au COVID chez Renault Sandouville, les autres usines du groupe, les abattoirs industriels de Bretagne ; réouverture des centres commerciaux, et plans sociaux des enseignes: Conforama, Alinea - 20.05.2020 - Paris, France.
© Frédérick Moulin 2020 - LCI2020 - Tous droits réservés.
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Actualités et politique
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Ndlr : EXCELLENT PM qui démonte l'attitude de la journaliste et déroule ses arguments : stratégie basée sur l'hybride (l'économiste approuve), etc
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Le 27 mai 2020, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Caroline Roux. Il a dénoncé l’absence de planification écologique dans la gestion du dossier Renault par Emmanuel Macron et a expliqué que chaque mise en circulation d’un million de voitures électriques représentait l’équivalent en consommation électrique d’une nouvelle centrale nucléaire. Concernant les aides données à Renault, le député insoumis a dénoncé le fait qu’aucune garantie n’était demandée à cette entreprise et notamment pas le fait que les sites de productions soient maintenus en France. Une décision qu’il estime dangereuse compte tenu du fait que le plan d’économies de Renault de 2 milliards d’euros représente le montant des dividendes qu’elle a versés en 2020.
Jean-Luc Mélenchon était également interrogé sur l’application « Stop Covid ». Il a dénoncé une application inefficace puisque les personnes les plus âgées qui sont les plus vulnérables au coronavirus sont aussi les moins équipées en smartphones. Il a aussi expliqué ne pas vouloir d’un monde de la surveillance généralisée où nos téléphones seraient en contact permanent avec les drones de la police.
Enfin, le président du groupe « La France insoumise » était interrogé sur la déclaration de François Ruffin qui s’est dit « prêt à ramasser le drapeau » pour l’élection présidentielle de 2022 s’il devait tomber. Jean-Luc Mélenchon a expliqué qu’il y avait 23 parlementaires insoumis et d’autres insoumis qui devaient avoir cet état d’esprit pour continuer le fil de ce qu’incarnent les insoumis dans l’Histoire.
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Kennedy Comics il y a 9 heures
Quelle patience de la part de Jean-Luc Mélenchon. Son calme sert ses propos. Je le félicite.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1265591747981312000
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... #Renault #StopCovid #Les4V - 49 - 185 - 355
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Le 27 mai 2020, Adrien Quatennens était l'invité d'Elizabeth Martichoux sur LCI pour #LaMatinaleLCI
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Depuis sa spectaculaire fuite du Japon, la parole de Carlos Ghosn ne cesse d'être répandue dans les médias. À l'appui d'une stratégie de communication bien rodée, l'ancien PDG de Renault-Nissan soutient être la victime d'un complot. Pourtant, son management est émaillé de scandales. À la marque du losange, depuis son arrivée, le management à la Ghosn provoque des vagues de suicides chez les salariés, des licenciements injustifiés, entre groupes de barbouzes et faux espions, jusqu'au grand final à Versailles et aux scandales japonais.
Entretien avec le journaliste d'investigation Matthieu Suc (Mediapart), auteur de "Renault, nid d'espions".
.#CarlosGhosn #Magouilles #Scandales
Catégorie Actualités et politique 120 commentaires
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C’est une union qui, si elle voit le jour, risque de faire des étincelles. Ce lundi 27 mai, le conseil d’administration du groupe Renault a exprimé son "intérêt" pour le projet de fusion à 50-50 proposé par l’Italo-Américain Fiat Chrysler. L’objectif étant de créer le troisième groupe automobile mondial avec 8,7 millions de véhicules vendus chaque année et un chiffre d’affaires de 170 milliards d’euros. Mais quid de Nissan, embarqué à son insu dans ce mariage ? Car c’est bien là que réside le sujet épineux. Renault a déjà formé une alliance avec deux constructeurs japonais : l’entreprise française détient en effet 43% de Nissan, lequel possède 15% de Renault et 34% de Mitsubishi. Une alliance qui bat de l’aile depuis l’arrestation de Carlos Ghosn au Japon, le 19 novembre dernier, pour malversations financières. Et les relations entre les deux groupes sont au point mort depuis fin avril lorsque le constructeur français a proposé une fusion capitalistique avec Nissan. Fusion dont les Japonais ne veulent pas entendre parler.
En tout cas, si le processus d’union entre les constructeurs Renault et Fiat va jusqu’au bout, les actionnaires majoritaires de Renault-Fiat-Chrysler seront le groupe Exor, qui passe de 29% actuellement à 14,5%, l’État français, qui ne détiendra plus que 7,5% du capital (contre 15 % aujourd’hui) et Nissan qui passe de 15% à 7,5%, rapporte Le Monde. Par ailleurs, le quotidien explique aussi que cette union, dans le cadre de l’alliance formée par Renault avec Nissan et Mitsubishi, contribuerait à former une entité à 15 millions de véhicules, ce qui en ferait le numéro un de l’automobile devant les groupes Volkswagen et Toyota, qui ont vendu chacun un peu plus de 10 millions de voitures en 2018.
Côté italien, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, patron de la Ligue (parti d’extrême-droite) qui a décroché une large victoire aux élections européennes, a qualifié cette éventuelle fusion entre Fiat Chrysler et Renault d’"opération brillante qui protège les emplois dans notre pays et conduit à la naissance d’un géant européen de l’automobile".
Interrogé sur ce sujet, le ministre des Finances a posé ses conditions et tenté de répondre aux craintes des syndicats. Au micro de RTL, ce mardi, Bruno Le Maire a exigé que le projet de fusion entre les deux constructeurs n’entraîne aucune fermeture d’usine dans l’Hexagone et que l’opération "se fasse dans le cadre de l’alliance entre Renault et Nissan", sans donner plus de précision. Il a aussi demandé au président de Renault que le groupe né de cette fusion participe à l’initiative de fabrication des batteries électriques engagée avec l’Allemagne. Ce projet de mariage entre Renault et Fiat Chrysler s’inscrit dans un secteur automobile de plus en plus concurrentiel dicté par la révolution électrique et les investissements colossaux. Et cette fusion représenterait une véritable chance pour le constructeur italo-américain qui se trouve dans une situation délicate en raison d’une gamme de véhicules âgée et d’une absence d’investissement dans l’électrique. Quand Renault, lui, est le leader de ces technologies en Europe. Pour le constructeur français, l’avantage serait double : accéder à une taille considérable pour supplanter Nissan en tant que plus gros actionnaire de leur alliance et s’offrir un accès au marché américain, réputé très verrouillé. Mais pour les Echos, le nouveau couple franco-italien joue une partition délicate rappelant que les alliances à 50-50 ont toutes échoué depuis la création d’Airbus, à la fin des années 1960.
Dans le secteur de l’automobile, faut-il être un géant pour survivre ?
Pourquoi ces fusions entre grands groupes sont-elles en vogue ? Nissan verra-t-il ce rapprochement entre Renault et Fiat Chrysler d’un bon œil ?
Invités :
- Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction des Echos
- Jean-Rémy Macchia, journaliste, spécialiste automobile
- Béatrice Mathieu, chef du service économie de L’Express
- Christine Kerdellant, directrice de la rédaction de L’Usine nouvelle et L’Usine digitale
Format : 65 minutes
Présentation : Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
Catégorie Divertissement
C dans l'air Renault tourne la page Carlos Ghosn
diffusé le jeu. 17.01.19 à 17h50 magazines d'actu - 64 min - tous publics
Nouveau rebondissement dans l'affaire Carlos Ghosn. L'État français, principal actionnaire de Renault, a officiellement lâché le PDG du groupe automobile français mercredi 16 janvier et a demandé la nomination d’un successeur dans les prochains jours pour prendre la tête du constructeur automobile. Le conseil d’administration de Renault doit donc rapidement trouver un remplaçant à M.Ghosn. Un choix qui pourrait être révélé dimanche 20 janvier, selon plusieurs médias. Inculpé pour abus de confiance et pour avoir minoré ses revenus dans plusieurs rapports boursiers du groupe Nissan entre les années 2015 et 2018, Carlos Ghosn va donc perdre son dernier titre -, Nissan et Mitsubishi l'ayant révoqué du poste de président du conseil d'administration dès la fin novembre. Le 10 décembre dernier, Carlos Ghosn avait déjà été mis en examen pour avoir dissimulé une partie de ses revenus sur les cinq années précédentes. Parmi les dernières accusations révélées, Carlos Ghosn aurait reçu une rémunération de plus de sept millions d’euros en 2018 de la part d’une filiale hollandaise détenue à égalité par Nissan et Mitsubishi (NMBV), et ce sans l’approbation des patrons de Nissan et Mitsubishi, rapporte Les Échos. Mardi 15 janvier, le quotidien nous apprend que selon une lettre datée du 27 mars 2003 Carlos Ghosn payait des sommes fastueuses aux frais de Nissan pour ses dépenses personnelles ou celles de ses proches. Adhésion à un yacht-club, travaux d’une luxueuse villa, il aurait largement contourné les règles de déontologie chez le constructeur japonais pour financer son train de vie. L'avenir de Renault et de son alliance avec Nissan et Mitsubishi commence déjà à s'écrire sans Carlos Ghosn, qui vient de voir sa demande de libération rejetée en appel. Une alliance qui n’est « absolument pas en danger », a assuré Hiroto Saikawa, directeur général de Nissan, à l’AFP. Il a néanmoins évoqué un possible rééquilibrage de l’alliance, dont les participations croisées datent de la création de l’union en 1999, alors que le constructeur japonais était au bord de la faillite. Aujourd’hui dominant, Nissan détient seulement 15 % de Renault, sans avoir un droit de vote et 34 % de Mitsubishi Motors. Le groupe français possède 43 % de son partenaire et aucune part de MMC. « Dans l'immédiat, nous n'avons rien à changer, mais peut-être à l'avenir, pour les futurs dirigeants, il faudra s'interroger sur la pérennité du système actuel. Nous devrions peut-être le revoir », a-t-il estimé. À l'instar de Carlos Ghosn, l'ancien dirigeant d'Alstom Frédéric Pierucci a été arrêté à la sortie de son avion le 14 avril 2013 à New York par le FBI pour une affaire de corruption en Indonésie. Un an plus tard, il apprend en prison la vente de son entreprise à l’américain General Electric. Pour lui, il ne fait aucun doute que les deux affaires sont liées. Son livre, écrit avec le journaliste Matthieu Aron et publié le 16 janvier, raconte les coulisses de la guerre économique que les États-Unis livrent à l’Europe. Il y dénonce notamment le « racket » mené par la justice américaine contre les entreprises européennes. « Depuis près de vingt ans, l'Europe s'est laissé rançonner », précise-t-il. Et d’ajouter que les entreprises françaises « ont déjà été ponctionnées de plus de treize milliards de dollars » par les amendes infligées par la justice américaine. Quel avenir pour le constructeur automobile Renault ? Que peut-on attendre d’un possible rééquilibrage de l’alliance Renault - Nissan - Mitsubishi ? Qui remplacera Carlos Ghosn et quelles sera l’étendue de ses responsabilités?
Invités :
Christophe Barbier – Editorialiste à L’Express
Dominique Seux – Directeur délégué de la rédaction des Échos
Fanny Guinochet – Journaliste en charge des questions économiques et sociales à L’Opinion
Isabelle Raymond – Journaliste au service économie de France-Info
Renault présente POM au CES 2017 sur le stand du fabricant de microprocesseurs ARM, un concept-car étonnant baptisé POM, créé avec la start-up italienne OSVehicle.
S’appuyant sur le travail réalisé pour Twizy
Pierrick Cornet, Vice-Président Ingénierie, Groupe Renault
plateforme mental/esprit ouvert
Tin Hang et Yuki Liu, fondateurs d’OSVehicle
Tags: ARM, CES, OSVehicle, Pilot, Renault, Sensoria