Des géologues représentatifs de la profession ont décidé du sort de l'Anthropocène. Pour eux, l'humanité n'a pas (encore) provoqué de passage à une nouvelle époque géologique. Une décision qui n'emporte pas l'adhésion de tous les scientifiques.
Gouvernance | Aujourd'hui à 12h33 | F. Gouty
...
La sémantique ne clôt pas le débat
Comme le veut le fonctionnement de l'ICS, une pause de dix ans a été instituée durant laquelle le cas de l'Anthropocène ne pourra malheureusement pas être à nouveau formellement débattu. Cela étant, la communauté des géologues ne refuse en rien l'utilisation « informelle » du terme, que ce soit au sein de leur profession ou des sphères politiques, économiques et citoyennes. « L'Anthropocène demeure un inestimable dénominateur commun de l'impact de l'humanité sur le système Terre. » D'autant que, pendant ce temps, les activités humaines continuent, inlassablement, de franchir les limites planétaires.
[Félix Gouty: Rédacteur spécialisé] Félix Gouty, journaliste
Rédacteur spécialisé
france-5 Interviews 1 h 9 min Français tous publics
diffusé le 12/06/23 à 22h38 Disponible jusqu'au 12/07/23
Présenté par : Karim Rissouli, Laure Adler, Camille Diao
Maison de production : France Télévisions / Together Media
Des forêts qui brûlent comme jamais au Canada, des images apocalyptiques de la ville de New-York, des records de chaleur un peu partout dans le monde… et une question face à cette urgence de plus en plus urgente : faut-il mettre en place une “économie de guerre climatique” ? Proposition signée François RUFFIN, qui sera avec nous sur ce plateau… Alors que signifie une “économie de guerre climatique” ? Si nous en sommes en guerre, qui est l’ennemi ? Quelles sont les armes à notre disposition ? On en débat avec :
- François RUFFIN, Député LFI-NUPES de la Somme
- Salomé SAQUÉ, Journaliste à Blast, autrice de « Sois jeune et tais-toi » aux éditions Payot (15/03/2023)
- Olivier BABEAU, Essayiste, président de l’Institut Sapiens, professeur en sciences de gestion à l’université de Bordeaux
- Flora GHEBALI, Entrepreneure, essayiste, directrice générale de l’agence d’innovation sociale Coalitions, autrice de « Le Syndrome de la fourmi - Voir et dépasser les frontières mentales de l’inaction écologique » aux éditions de l’Observatoire (10/05/2023)
- Olivier BLOND, Professeur de santé environnementale à l’université catholique de Paris, conseiller régional Ile-de-France, délégué spécial à la santé environnementale et à la lutte contre la pollution de l’air auprès de Valérie Pécresse, auteur de « Plaidoyer pour une écologie… de droite » aux éditions Albin Michel (02/03/22)
Connu / TG le 17/06/23 à 11:07
Tr.: ... économie du Donutz ... associer les parties prenantes à la décision ... justice sociale ...
... des ateliers de réparation dans chaque région, ...
Matt Damon dans "Seul sur Mars" plantant des patates / Audrey Boehly / Puy-en-Velay, départ d'un des chemin de Saint-Jacques - Twentieth century fox film corpo / Collection ChristopheL via AFP - - GettyImages / Luc OLIVIER
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La terre au carré Fievet
Provenant du podcast
La Terre au carré
Au menu du club de la Terre au Carré : les plantes dans vos films préférés, une approche systémique du problème climatique et la nature du chemin de Saint-Jacques.
Les plantes possèdent une place insoupçonnée dans le cinéma, c’est pour cela que Katia Astafieff, vulgarisatrice scientifique spécialisée en biologie, a décidé de dérouler “le tapis vert” aux plantes dans son livre “Les plantes font leur cinéma. De La petite boutique des horreurs à Avatar” aux éditions Dunod, paru le 12 avril 2023. À travers une sélection de 14 films, on y découvre les capacités passionnantes des plantes.
À l'occasion des 50 ans du rapport Meadows (1972) mettant en avant l'impossibilité de continuer indéfiniment le modèle de croissance économique, la journaliste scientifique Audrey Boehly a créé le podcast "Dernières limites". Son but : procurer des clés de compréhension à ces auditeurs et auditrices sur les différents domaines scientifiques des limites planétaires (les ressources en eau, en métaux, l'énergie, l'agronomie, etc.) grâce à des entretiens avec des experts et des expertes. Après 1 an et 12 épisodes, Audrey Boehly sort un recueil de ces entretiens : le livre “Dernières limites - Apprendre à vivre dans un monde fini” paru le 22 mars aux éditions Rue de l’Échiquier.
Nous recevrons également Georges Feterman est professeur agrégé d’SVT, président de l'association A.R.B.R.E.S mais également un naturaliste passionné par les paysage qui l’entoure. Dans son livre “La nature sur les chemins de Saint-Jacques” paru le 14 avril aux éditions Delachaux et Niestlé qu’il vient nous présenter, Georges Feterman nous emmènes avec lui sur le chemin de Saint-Jacques, la Via Podiensis (de Puy-en-Velay au Pays Basque) grâce à des photos et des anecdotes sur la faune, la flore, la géologie, etc.
Clés : Environnement Écologie Biodiversité
ENVIRONNEMENT
Cycle de l'eau : une sixième limite planétaire vient d’être franchie, c’est la deuxième cette année
Une sixième limite planétaire vient d'être franchie selon plusieurs scientifiques. Elle concerne le cycle de l'eau et plus particulièrement l'eau verte, celle qui est absorbée par les végétaux. En Amazonie, mais partout ailleurs, l'humidité des sols change et les forêts se transforment en savanes en raison du changement climatique et de la déforestation. Le monde compte neuf limites planétaires, seules trois n'ont donc pas encore été franchies.
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Elle comprend les précipitations mais aussi l’humidité du sol et l'évaporation. Jusqu’ici elle n’était pas suffisamment étudiée. Or, selon une nouvelle évaluation https://www.nature.com/articles/s43017-022-00287-8.epdf?sharing_token=hier2n7O_tPClC8-r06bmdRgN0jAjWel9jnR3ZoTv0P2KmS6Qajbkp2nZuUVCQ0Vp_P0L_fySeHBsRgAquqylOp9LnWtWwctu_gtf2IN3rQca4cpkK1yn9HaZMp0U7_CeAUSZHD1Xu5KL__3KimuwqoA5hdvBx21Dt1POSVkJdo%3D réalisée par des chercheurs du Stockholm Resilience Center, en collaboration avec d’autres scientifiques du monde entier, il apparaît que l’eau verte est en dehors de la zone de sécurité. ...
Image : En 2009, des scientifiques inventent le concept de limites planétaires. Ils définissent neuf variables qui régulent la stabilité de la planète et qu'il ne faut pas dépasser pour assurer un développement "sûr et juste" pour l'humanité. Parmi elles se trouvent le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, l’acidification des océans, la pollution chimique ou encore l’utilisation mondiale de l’eau. Le cycle de l'eau verte est la sixième limite que le monde a franchi. Crédit : Stockholm Resilience Center
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La forêt perd de l'humidité du sol en raison du changement climatique et de la déforestation
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152 abonnés - 4+ - 42 vues - 2 commentaires
💧 Ces derniers temps, nous commençons enfin un peu à aborder la question de la gestion de l'eau dans les médias. J'en profite pour revenir sur la 6 ème limite planétaire qui a été dépassée l'année dernière. J'explique dans cette vidéo les tenants et aboutissants.
⌛ Timecode :
0:00 à 1:30 : Intro et définition d'une limite planétaire
1:30 à 7:15 : Présentation des différentes limites planétaires
7:15 à 10:00 : explication du cycle de l'eau verte et définitions des points de basculement
10:00 à 12:15 : Quelques conséquences de la perturbation du cycle de l'eau verte
12:15 à 14:20 : boucles de rétroaction positives et négatives
14:20 à 17:20 : les causes responsables de la perturbation du cycle
17: 20 à 18:00 : aparté sur le projet EACOP
18:00 : 19:20 : une autre approche pour comprendre le problème : notre façon d'occuper l'espace ?
19:20 à 22.00 : évolution historique des saturations annuelles en humidité et en sécheresse des sols / parallèle avec l'évolution de la température terrestre à la surface (courbe exponentielle)
Après 22:00 : conclusion et remerciements
📚 Sources :
- L'étude en question publiée dans Nature : https://www.nature.com/articles/s43017-022-00287-8.epdf?sharing_token=hier2n7O_tPClC8-r06bmdRgN0jAjWel9jnR3ZoTv0P2KmS6Qajbkp2nZuUVCQ0Vp_P0L_fySeHBsRgAquqylOp9LnWtWwctu_gtf2IN3rQca4cpkK1yn9HaZMp0U7_CeAUSZHD1Xu5KL__3KimuwqoA5hdvBx21Dt1POSVkJdo%253D
Il s'agit de la source principale sur laquelle je me suis appuyée pour appuyer mes propos. - The boundaries of the planetery boundary framework : une étude expliquant l'importance et l'impact des notions de limites planétaires pour la science ainsi que pour la gouvernance de notre système Terre
- https://www.cairn.info/les-limites-planetaires--9782348046230.htm : je recommande aussi fortement ce livre de Nathan Gondran et d'Aurélien Boutaud
- étude sur la production annuelle de méthane de la part de nos chers ruminants : https://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2008-6-page-259.htmuany
Ecrit et présenté par : Pierre Canon
Montage vidéo : Emma Triffault
Jean-Michel : Bruno Abadie
Connue / https://wegreen.fr/post/197005
Résumé
Alors que les limites planétaires sont dépassées les unes après les autres, un récit mortifère opposé fleurit tout de même : celui de l’illimitisme, la croyance dans la toute-puissance des capacités humaines, la croyance dans un progrès sans fin...
En savoir plus
Il y a 50 ans paraissait un rapport scientifique rédigé par une équipe du MIT supervisée par le chercheur Dennis Meadows, qui évaluait pour la première fois l’impact de l’activité́ humaine sur notre planète.
Ce rapport intitulé Les limites à la croissance, publié en 1972, était sans appel : poursuivre la croissance économique, qui va de pair avec une consommation toujours plus grande des ressources planétaires, mène inévitablement à une impasse au cours du XXIe siècle.
Pourtant l’époque Anthropocène se caractérise plutôt par une perte du sens des limites, avec l’illusion de l’infini induite par les puissances thermo-industrielles extractivistes.
Incarné par un Jeff Bezos et un Elon Musk (« only the sky is the limit »), l’illimitisme vise à conjurer les limites de la Terre et les menaces d’effondrement climatique par la croyance en la toute puissance de l’innovation, incarnée par le transhumanisme.
Comment un tel récit s’est-t-il construit ? Dans un contexte de contraction des ressources et de déséquilibre climatique peut-on espérer le dépasser pour le remplacer par un récit soutenable ?
Nous en parlons avec notre invité Johann Chapoutot, historien professeur d’histoire contemporaine à la Sorbonne spécialiste du nazisme et la modernité occidentale. Auteur du livre Le Grand récit, aux PUF, il va publier prochainement un tract Gallimard avec Dominique Bourg « Manifeste contre l’impuissance publique ».
Depuis maintenant près de 4 milliards d'années, notre planète a la chance de se situer dans une zone habitable par rapport au soleil. Ce qui a été fondamental dans l'apparition de vie biologique. Aujourd'hui, ce sont les conditions même d'habitabilité de la Terre qui posent problème en raison d'un grand nombre de limites planétaires qui ont été dépassées et qui deviennent critiques pour notre humanité. Que signifie justement ce concept de limites planétaires ? Comment résonne-t-il dans un contexte où nos modes de vie restent ancrés dans un modèle de progrès sans fin ?
Le rapport Meadows
Il y a 50 ans, paraissait le rapport scientifique Meadows qui évaluait pour la première fois l'impact de l'activité humaine sur notre planète. Un rapport a la diffusion planétaire qui a eu de véritables effets cognitifs et politiques, d'abord aux États-Unis où il y a eu une véritable prise de conscience, qui a commencé sous la présidence Nixon. Selon Johann Chapoutot, le gouvernement français actuel est plus à droite que Nixon, qui lui avait encouragé les politiques environnementales aux Etats-Unis : « L'identification de la planète comme système cohérent et global date du XIX siècle avec la naissance de l'écologie comme science. À l'époque, l'effet de serre, par exemple, a été identifié par des physiciens français en 1824. Deux siècles plus tard, notre président de la République dit que la solution, c'est de produire plus. Cela veut dire que depuis la parution du rapport Meadows qui a été une onde de choc, nous n'en avons tiré aucune leçon. »
Un parallèle entre le nazisme et le capitalisme face à l'écologie
Pour Johann Chapoutot « toutes les dictatures ont toujours été liées aux industries d'extraction fossile. Il y a une espèce de conjonction de sympathie entre les intérêts politiques dictatoriaux d'un côté, et l'accumulation délirante de capital des compagnies de l'autre. À l'époque, le nazisme, avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, c'était encore une expérience politique et sociale, mais aussi biologique et eugéniste que les élites regardaient avec beaucoup de sympathie et d'intérêt. Il se passe la même chose actuellement avec la Chine. »
À lire aussi : Ecologie ou économie?
Le dépassement des limites planétaires
D'après les plus récents rapports du GIEC, sept limites planétaires sur neuf ont été dépassées. Une situation unique dans l'histoire de l'humanité. Mais y a-t-il un moyen de revenir en arrière ? Quel est le rôle du capitalisme sur ce dépassement ? L'idée, défendue par de nombreux autres historiens, est que le génocide, et par extension les crimes contre la nature, sont le stade suprême du capitalisme.
D'après Johann Chapoutot « nous sommes dans un capitalisme qui est complètement délié de tout principe moral et qui prône l'accumulation, l'enrichissement. C'est une course aux profits qui est complètement décorrélée de toute quête spirituelle, intellectuelle, artistique, de tout rêve, de toute ambition proprement humaine. C'est déjà ce qui est en train de se produire. On le voit avec la Coupe du Monde dans des stades climatisés au Qatar en plein désert, qui ont été construits au prix de 6 à 15 000 morts. »
"L'illitisme"
Dans cette émission, Johann Chapoutot évoque "l'illitisme" : au paroxysme du progrès, il y a l'illimité : « Auparavant, on parlait de progrès, désormais, on parle d'innovation, c'est le mot à la mode qui d'ailleurs, permet de dire que si tout est limité, il y a quelque chose qui est illimité : c'est la matière grise, humaine et l'intelligence qui nous permettra de nous en sortir. Mais le fait que l'intelligence supposée soit incarnée par des milliardaires immatures et prédateurs, je trouve cela quand même assez inquiétant. »
Thèmes associés Sciences et savoirs Sciences Croissance économique
L'équipe
Mathieu Vidard, Production - Valérie Ayestaray, Réalisation ; Chantal Le Montagner, Collaboration ; Anna Massardier, Collaboration : Lucie Sarfaty, Collaboration ; Thierry Dupin, Collaboration ; Camille Crosnier, Journaliste
Ndlr : complété pour la rediffusion du 26/12/22
Connu / https://wegreen.fr/post/195208
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Sophie M a partagé un post dans le groupe Climat - Il y a 4 heures Public - 1 like
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Des scientifiques du Stockholm Resilience Center (SRC) confirment que nous avons franchi une 5ème limite planétaire : la limite "pollution
Bon Pote @BonPote
C'est catastrophique et devrait faire la Une de tous les journaux. **Des scientifiques confirment que nous venons de franchir une 5ème (sur 9) limite planétaire : la pollution chimique.
On parle d'une menace de la stabilité des écosystèmes mondiaux dont l'humanité dépend Flèche vers la droite avec pointe vers le bas
Citer le Tweet
Kate Raworth @KateRaworth · 9h
This is big and bleak news. The planetary boundary for chemical pollution (aka 'novel entities') has been quantified for the first time - and it's now clear that humanity is massively transgressing levels that are safe for life on Earth. Plastics! Read on. https://theguardian.com/environment/2022/jan/18/chemical-pollution-has-passed-safe-limit-for-humanity-say-scientists?CMP=twt_a-environment_b-gdneco
8:27 PM · 18 janv. 2022·- 393 Retweets 19 Tweets cités 603 J'aime
6h En réponse à @BonPote
Pour comprendre le principe de limites planétaires, voici un très bon article de vulgarisation tiré du livre les limites planétaires de Boutaud & Gondran, 2020 :
https://exnaturae.ong/tour-dhorizon-des-limites-planetaires/
Ci-dessous, un aperçu de ce que cela donne, avec les interactions entre chacune :
Le principe a l'air simple à appréhender mais comme toujours, ce n'est pas simple... Ces limites font encore l'objet de recherches par les scientifiques. Voici un autre très bon papier à lire sur le sujet : https://annualreviews.org/doi/10.1146/annurev-environ-012320-080337
Maintenant, passons à l'actualité du jour :
annualreviews.org
The Boundaries of the Planetary Boundary Framework: A Critical Appraisal of Approaches to Define a...
In 2009, a group of 29 scholars argued that we can identify a set of “planetary boundaries” that humanity must not cross at the cost of its own peril. This planetary boundaries framework has been...
La 5ème limite planétaire en question, ce sont les "novel entities", les "nouvelles entités" - créées ou introduites par les Humains. Je n'aurais pas pu mieux le dire qu' @olivier_fontan : "on meurt étouffés de nos produits chimiques et #plastiques"
Il existe aujourd'hui environ 350.000 différents types de produits chimiques manufacturés sur le marché. Selon Patricia Villarrubia-Gómez, leur production a été multipliée par 50 depuis le début des années 1950, et pourrait encore tripler d'ici 2050.
theguardian.com
Chemical pollution has passed safe limit for humanity, say scientists
Study calls for cap on production and release as pollution threatens global ecosystems upon which life depends
Je ne crois pas qu'on réalise ce que cela signifie : on a déjà un océan de plastiques, mais on continue à produire, et produire toujours plus, en espérant qu'un miracle technologique arrive. Source du papier scientifique : https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.est.1c04158
En d'autres termes, arrêtons de croire que l'économie circulaire est la panacée de tout. Oui, nous aurons besoin du recyclage et d'améliorer les process. mais Il faut surtout réduire la production (notamment dans les pays du Nord), et drastiquement. C'est une question de survie.
8:28 PM · 18 janv. 2022·- 19 Retweets 2 Tweets cités 101 J'aime
Je ne sais pas combien d'alertes, de rapports scientifiques, de films, de personnes en grève de la faim ou d'activistes climat en prison il faudra pour que les médias s'emparent du sujet. il y a URGENCE, et cela devrait être traitée comme une priorité. #DontLookUp
3 .400 signatures (4729 au 30/3/23)
Partout, les atteintes graves aux écosystèmes se multiplient. Le changement climatique, l’effondrement de la biodiversité, le franchissement, déjà, de 6 des 10 limites planétaires sont des défis que nous devons absolument relever.
...
Ensemble nous pouvons nous mobiliser pour modifier profondément et à tous les niveaux le droit applicable aux atteintes à l'environnement.
Vous aussi, portez ce combat à nos côtés pour demander aux dirigeant.e.s de l'Union Européenne justice pour la planète.
Connue / https://4epk2.r.a.d.sendibm1.com/mk/mr/XlOwCk-31qir6sBtnD_B4ZnXFeQOh9kKUwDLlM6K8R2by_-fm1gjeImS4qhdvRDA4HbhfdTGhMeKi1n6vStgNkmHRFuscl2b8hpMtzhRXKcTXYgsMte1qL6oi1Sq0Va-49X603c
Connu / https://wegreen.fr/post/194113
Publié : 31 octobre 2021 à 11 h 45 min
Auteur : Philippe Gauthier
Catégories : Idées et références, Transition énergétique
Les discussions sur la transition énergétique se terminent souvent sur le constat que la sobriété est importante. L’ennui, c’est que ce concept n’est pas défini. Quel serait un mode de vie compatible avec les limites planétaires ? Faut-il retourner à civilisation purement agraire? Ou à l’âge de pierre? Une étude publiée en 2020 s’est intéressée à la question de l’énergie nécessaire au maintien d’un mode de vie « décent ». Leur conclusion : il est aujourd’hui possible d’avoir des frigos et des téléphones tout en consommant moins d’énergie que des paysans du XIXe siècle.