La sécurité sociale intégrale
François NICOLAS
24 vues il y a 2 mois
Pour renverser l’individualisme
François NICOLAS
84 vues il y a 2 mois
22:06
Compter ce qui compte
François NICOLAS
51 vuesil y a 2 mois
Perspectives écoféministes pour la décroissance
François NICOLAS
461 vues il y a 2 mois
26:06
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Une conférence proposée par Mathieu Fleurance, fondateur du collectif travailler moins, dans le cadre de la Caravane contre-croissance : ni une conférence, ni une table ronde mais une succession en trois blocs de trois courtes conférences, organisée par la Maison commune de la décroissance (MCD) https://ladecroissance.xyz
2:18 terminer ACT
1,09 k abonnés - 3+ - 227 vues - 0 commentaire NANTES
Les voies rapide pour vélos se multiplient.
Questionnons nos certitudes.
- Sommes-nous sur une voie compatible, avec l’ordre de grandeur des enjeux climatiques, en facilitant les transports en commun, et les déplacements doux, sans structurellement changer nos usages ?
- L’humanité a-t-elle la moindre chance de survivre, si, au lieu de penser des déplacement plus vertueux, et plus lent, nous ne nous attaquons pas, prioritairement, au besoin de réduire, l’ensemble de nos activités, l’ensemble de nos déplacements ?
- Le premier de nos devoirs d’élues, ne devrait-il pas être d’aider à faire connaitre la réalité du consensus scientifique, sur l’ordre de grandeur, des crises qui menacent l’humanité ?
- Ne devrait-on pas rappeler, que le niveau d’activité économique constaté, durant le confinement, est celui que nous devons viser, si nous souhaitons que, nos petits enfants puissent vivre, et non pas juste essayer de survivre ?
- Est-il nécessaire de procéder, à de savants calculs, pour entendre qu’il nous faut inventer une société où nous nous auto-limiterons à une dizaine d’heure de travail, par semaine, si nous souhaitons endiguer notre surconsommation, de matières et d’énergie ?
De grâce, questionnons nos certitudes.
20:02 - 107 vues
Que peut-on retenir de cette journée ? - Sortie le 13 déc. 2024 / François NICOLAS
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Conclusion participative, des conférences, à Nantes, de la Caravane contre-croissance : ni une conférence, ni une table ronde mais une succession en trois blocs de trois courtes conférences, organisée par la Maison commune de la décroissance (MCD) https://ladecroissance.xyz
Tr.: ...
refus de parvenir ...
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Pas de sobriété (ou de partage) sans éloge de la dépense, une discussion libre avec la salle, à Nantes, lors de la Caravane contre-croissance : ni une conférence, ni une table ronde mais une succession en trois blocs de trois courtes conférences, organisée par la Maison commune de la décroissance (MCD) https://ladecroissance.xyz
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poser une limite à la propriété ... le genre ... la pétromasculinité ... la voiture ... commun ou bien commun ... pratique sociale ...
16:00 terminer ACT
L'ambiance générale comme bien commun - Sortie le 10 déc. 2024 / François NICOLAS
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Réflexions autour de l'ambiance générale comme bien commun par Vito Marinese, essayiste, dans le cadre de la Caravane contre-croissance : ni une conférence, ni une table ronde mais une succession en trois blocs de trois courtes conférences, organisée par la Maison commune de la décroissance (MCD) https://ladecroissance.xyz
Vidéo : François NICOLAS - http://mingata.eu - / francoisnicolas44
Tr.: ...
écosystème ... espace, temps ... village ... la fête ... squat, tiers-lieux, intersection, interdépendance ... l'action de nos représentants doit être la recherche du bonheur de tous ... pour l'école ... lieu pas assez inclusif, dévalorisant pour les jeunes ... culture, santé, sexualité, impacté par l''ambiance générale, c'est pas neutre ...
1,09 k abonnés - 2+ - 22 vues - 0 commentaire ASSEMBLÉE NATIONALE - PALAIS BOURBON
Bien qu’expert en nouvelles technologies, François NICOLAS - / francoisnicolas44 - est un militant de la décroissance - https://mingata.eu/ - et se définit principalement comme un rêveur d’utopies concrètes. Depuis une dizaine d’années, il concentre ses efforts militants sur les revenus de base, sur la nécessité de décorréler le travail d’une part significative des revenus de toutes et de tous. En partageant son cheminement militant, il nous propose de réfléchir aux liens entre l’écologie et les revenus de base.
Tr.: ...
ZAD, zones à définir ... NDDL ... liberté d'inventer un avenir ...
la Maison commune de la décroissance
La croissance est un non-sens ; la décroissance, c'est du bon sens !
La Caravane : introduction à la décroissance - On: 19 décembre 2024 / By: Michel Lepesant
In: Caravane contre-croissance, La décroissance : qu'est-ce que c'est ?
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A l’étape de Paris, nous avons entendu un intervenant nous dire que ce qu’il entendait lui faisait sentir qu’il était « à la maison ». A Nantes, pour un autre intervenant : le sentiment d’être « chez soi ». On ne pouvait souhaiter meilleur encouragement adressé à la Maison commune de la décroissance (MCD) quand nous nous sommes lancés dans cette « caravane contre-croissance ».
C’est dans cet état d’esprit que lors des deux dernières étapes de cette première édition, nous avons débuté l’après-midi par une « introduction à la décroissance » : dans le but, qui est celui de la MCD, de proposer le cadre idéologique le plus robuste possible dans lequel la richesse et la profondeur de la « décroissance » pourraient venir habiter.
En voici deux manières d’en prendre connaissance.
Sommaire
1. Déroulé : comment passer de la décroissance comme mot-trouvaille à son éloge ?
2. La vidéo de l’intervention à Nantes
- Déroulé : comment passer de la décroissance comme mot-trouvaille à son éloge ?
D’où une présentation-introduction de la décroissance, dont voici le déroulé argumentatif :
« Décroissance » : un terme qui a mis du temps pour devenir une conception politique.
Au sens strict, la décroissance devrait juste être un trajet, une parenthèse.
Au sens élargi, **la décroissance est l’opposition politique à la croissance**.
Et comme la croissance est une boussole économique, un monde et un régime politique.
Alors la décroissance n’est pas qu’une décrue, n’est pas qu’une décolonisation, mais c’est aussi une repolitisation.
D’autant plus que ce régime politique de la croissance est un régime politique de dépolitisation qui provoque des malentendus au sein même de la mouvance décroissante.
C’est pourquoi, pour s’opposer à l’illimitisme, à l’individualisme et à l’inégalitarisme de ce régime politique…
la décroissance doit faire l’éloge des limites, de la vie sociale et de la dépense.
- La vidéo de l’intervention à Nantes
Merci à François Nicolas pour sa saisie vidéo et, comme d’habitude, son excellente prise de son.
Extraits de la présentation :
La décroissance n’est pas le projet, mais le trajet vers la post-croissance : une économie stationnaire en harmonie avec la nature ou les décisions sont prises ensemble, et ou les richesses sont équitablement partagées afin de pouvoir prospérer sans croissance. »
Timothée Duverger et Timothée Parrique,
HS décroissance, Socialter, p.125.
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Sujet : Une association, un partenariat et des contenus !
Date : Tue, 04 Feb 2025 09:45:54 +0000
De : Regen Ecosystem hello@regen-ecosystem.org
Répondre à : hello@regen-ecosystem.org
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Ndlr : ont pris le parti de l'anthropocène ? Approfondir ACT
Pour un « communisme de décroissance »…
Et si on prenait davantage le temps de vivre ? Le mouvement "slow" est né en Italie dans les années 1980, avec la slow-food en opposition aux fast-food. Depuis, l'éloge de la lenteur est prôné dans tous les domaines, par des hommes et des femmes engagés qui revendiquent que rien ne sert de courir.
Chaque été au Caylar, sur le plateau du Larzac, le festival Roc Castel est consacré au voyage lent. ©Radio France - Cécile Bidault / France Inter
Vivre moins vite. Stopper cette course effrénée après le temps, le temps qui passe et nous avale dans nos vies toujours plus pressées, plus pressantes, toujours plus débordantes, essayer de ne plus être toujours aussi débordés : on est nombreux à en rêver. Selon une étude de l’Observatoire Société et Consommation parue cette année, plus de la moitié des Français aspirent à calmer le rythme de leur vie quotidienne, et les deux tiers ont le sentiment que le monde change beaucoup trop vite.
Dans notre société moderne, on entend souvent que rapidité rime avec efficacité, mais est-ce vraiment le cas ? Ne perdons-nous pas notre temps à essayer d’en gagner, parfois jusqu’à l’épuisement ? Dans ce reportage, on a décidé de prendre le temps de vous emmener à la rencontre de femmes et d’hommes qui ont choisi de changer de rythme, pour des raisons personnelles ou écologiques, parfois radicalement.
“On est dans un monde où il faudrait toujours accélérer mais cette accélération permanente, à un moment, c’est invivable. On voit bien qu'il y a une espèce d'impasse. Plus on approche de cette impasse, plus il y en a qui accélèrent et plus il y en a qui s'interrogent.” Vincent Berthelot fait partie de ceux qui se sont questionnés, en urgence, et il a décidé de ralentir, dans sa vie. Il a créé l'agence des facteurs humains, qui délivre des lettres en mains propres, des messages "importants mais pas urgents".
La tendance du "slow"
Autre adepte du slow, Laure Dodier cette mère de famille de la région bordelaise a créé Ma slow boîte, qui accompagne les entrepreneurs et les entrepreneuses dans leur volonté de changer de rythme. "Je travaillais entre soixante et soixante-dix heures par semaine. Comme j'avais déjà fait un burn-out, j'ai mis le stop après une troisième ou quatrième crise de nerfs. Aujourd'hui, je suis à 25 heures par semaine, et finalement ça marche. Les entreprises passées à la semaine de quatre jours, il y en a beaucoup qui augmentent leurs performances".
Dans le magazine Interception, on démarre aujourd’hui à toute petite vitesse. Dans le village du Caylar, sur le plateau du Larzac, où se tient chaque été le festival Roc Castel, “Eloge du voyage lent”. En chemin, on a rencontré Gaylord, 38 ans, jadis manager dans la restauration rapide. Il a construit une roulotte qu’il tracte à vélo sans assistance électrique, en prenant tout son temps.
“La France qui ralentit”, reportage signé Cécile Bidault.
Clés : Société Transports Mobilité Burn-out
Les deux scientifiques affirment, dans une tribune au « Monde », que les coûts de santé publique engendrés par les pollutions agricoles et industrielles dépassent de beaucoup les gains de pouvoir d’achat par lesquels on les justifie. Ils en appellent à en finir avec la procrastination, qui « sauve l’existant en sacrifiant l’avenir ».
Publié hier à 17h00, modifié à 07h53 Temps de Lecture 3 min. - Article réservé aux abonnés
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Vies mutilées, coûts sanitaires : notre gestion de l’environnement nous punit. Notre santé a des fondements écologiques : comment croire que les atteintes répétées à notre environnement ne génèrent pas de désordres dans notre santé et notre bonheur ? Médecins et vétérinaires commencent à penser le concept de « santé unique », qui relie la santé humaine à celles des animaux, des plantes, des sols, de l’air… bref aux écosystèmes dont nous dépendons totalement. Un collectif de médecins a dénoncé, en mars, la suspension du plan national Ecophyto limitant l’usage des pesticides.
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Connu / https://x.com/GabrielMalek9/status/1826499988811047055
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Gabriel Malek @GabrielMalek9
🌍 « Finissons-en avec l’écologie punitive, celle qui tue et coûte. Développons une écologie préventive »
Deux biologistes affirment que les coûts de santé publique engendrés par les pollutions industrielles dépassent largement les gains de pouvoir d’achat sensés les justifier.
En toute logique, ils appellent à cesser la procrastination, qui « sauve l’existant en sacrifiant l’avenir », et à promouvoir une manière de produire plus écologique.
🤔Pourquoi d’ailleurs n’appliquons nous pas ce modèle préventif depuis des décennies ?
Attention ça risque d’être un choc mais en fait notre modèle économique privilégie la rentabilité financière à la préservation de notre santé et de la vie sur Terre. Ça parait tout à fait insensé mais c’est ainsi.
Si on favorisait l’agro-ecologie, les circuits courts et la prévention, on risquerait d’avoir moins de points de PIB. Quel scandale !
Dieu nous en préserve 🙏👉 Une tribune de Gilles Boeuf et Marc-André Selosse à découvrir dans Le Monde
Illustration - Nausicaa de la Vallée du Vent (1984)
#décroissance #prevention #bonheur
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8:01 AM · 22 août 2024 · 5 309 vues
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