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Toutes ne partageaient pas les mêmes combats, les mêmes rues, les mêmes tribunes. Toutes ont pourtant toutes été victimes d’un même crime : le féminicide politique. Crime invisible, l’assassinat politique genré consiste à tuer une femme pour la cause qu’elle défend mais aussi parce qu’elle est une femme. Le collectif «Femmes à abattre» est sorti du bois il y a quelques jours pour briser le silence: semaine après semaine, «Femmes à abattre» produit la première enquête internationale sur les féminicides politiques. Il a déjà repertorié près de 300 crimes dans le monde. Pour en parler, Au Poste reçoit trois des instigatrices de «Femmes à abattre»: Leïla Miñano, Hélène Molinari et Anne laure Pineau
Journaliste : David Dufresne
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Production : Sophie Romillat Directeur du développement : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa Directeur de la rédaction : Denis Robert
#Féminicides #Politique #Enquête
Visibilité Publique
Publié originellement 01 avril 2023
Catégorie Divertissement LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes assassinat politique genré ; blast ; crimes ; Féminicides ; Leïla Miñano
Durée 1h 44min 26s
Commentaires désactivés
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Mardi 19 avril, le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, était l’invité de franceinfo. Il est revenu sur certaines mesures phares, comme l’interdiction du port du voile dans l’espace public et l’interdiction de l’abattage rituel. Des propositions fortes… mais qui ne sont pas exemptes de contradictions.
Dans "Entre les lignes", Clément Viktorovitch décrypte les discours, analyse les paroles des politiques qui font l'actualité.
Enquête — Forêts - Durée de lecture : 8 minutes
Clés : Forêts Politique
Débattue actuellement au Sénat, la loi 4D sur la décentralisation contient une disposition hors sujet qui enrage les écologistes : la simplification de l’abattage des arbres d’alignement, qui bordent nos routes et nos boulevards. La raison ? Ils gênent la construction d’infrastructures.
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Morgane Piederriere, responsable du plaidoyer à France Nature Environnement ... le gouvernement entend modifier l’article L350-3 du Code de l’environnement ... George Feterman, président de l’association Arbres https://www.arbres.org/ ... issu d’une loi de 2016 portée par Barbara Pompili elle-même ... « Cet article est venu rattraper le retard de la France en matière de protection des arbres, remarque Chantal Pradines, experte auprès du Conseil de l’Europe ... Joël Labbé ou Sabine Rubin demandaient au gouvernement de mettre en place des sanctions pénales en cas d’infraction au présent article ... c’est à la suite de recours juridiques contre l’abattage d’arbres dans le cadre du projet de contournement autoroutier du GCO à Strasbourg que l’exécutif a décidé de réagir ... Le ministre délégué aux transports, Jean-Baptiste Djebarri
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« Il faut arrêter, s’exclame Thomas Brail, du GNSA. Les projets d’utilité publique, ce ne sont plus les projets d’agrandissement de route qui privilégie encore et toujours la bagnole mais les projets qui préservent les arbres et leurs bienfaits. Il n’y a que ce gouvernement pour ne pas le comprendre. »
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Débat exceptionnel mené le 8 avril 2021, entre Michel Onfray et Juan Branco, et animé par Stéphane Simon au sujet du nouvel ouvrage de Juan Branco, Abattre l'Ennemi.
... l'intégralité des contenus sur: frontpopulaire.fr
2 670 commentaires
Tr.: ... covid-19 marisol touraine, facteur compétences, oligarchie, on distribue de l'argent massivement sans plan ni projets, ... on endort les populations
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Michel Onfray : l'état profond, les maastrichiens ont détruit la santé, il en va de même avec la défense nationale, l'impéritie se voit avec les manques de vaccins, masques, etc. recouvrer la souveraineté, la france, la commune de paris,
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Propositions du livre :
manque d'analyse critique sur l'union européenne
Juan B : pas de recherche désintéressée, crée phobie, paralysie, échec idéologique de Macron.
M.O. : pb de compétences ex. avec Raoult. Le crédit de Macron, de la parole publique est mort. Effondrement de la pensée. En fait elle est dans un pj transhumaniste.
Juan B. : échec des dominants, /UE échec définitif /vaccins la GB nous mettent une claque, même Trump ! Trichet obsédé /inflation suite crise des subprimes 2008, que en UE en 2011, explosion de violence, crise migratoire à partir de 2013 : instrumentalisent la figure du migrant, bouc-émissaire, crise fruit de l'incompétence de l'UE, sortir des institutions. Macron s'est laissé asservir.
Q.: argent magique : mon état n'était pas là pour me protéger avec wikileaks
Onfray : pourquoi LFI d'accord avec le MEDEF ?
J.B. : système de reproduction sociale, la NSA avait mis sur écoute les présidents français, ya un rapport du politique à l'expérience. Sur l'UE : mon accompagnement des gj nécessite de la réserve par rapport à eux. Sur le fondamental, il faut une large majorité, pas 51/49% !
Q.: / él.présidentielle a une fonction révolutionnaire en puissance, plus girondin que jacobin
je vois l'abeille : coopération, couleur jaune/noir de l'orga communarde, la cité comme lieu d'orga du politique, pas de réalité politique des régions, interco, etc. Protéger le territoire des prédateurs. Donc besoin de centralité. Rétablissement du duopole département/commune, le girondin n'a fait que dépolitiser, laisser la liberté au terrain, entreliaisement de ces territoires, rationnaliser les décisions, redistribuer le savoir, /audit du personnel politique : fermer cette phase ex anne lauvergeon perd 4 milliard d'€. conditionner l'argent public à l'indépendance de la rédaction. /sortie de l'euro
La fin de la récré pour les patrons, un comité de clémence pour qu'ils cessent de jouer avec l'état.
Réhabiliter le modèle républicain. Chute de la réussite au concours par les femmes lié à la domination masculine => classes non mixtes. /culture sens des traditions pour mieux de résilience.
Q /immigration /désir d'être fr.
JB : /regroup familial le généraliser n'a pas de sens. Ya pas de structure d'accueil et de pbts d'assimilation ; intérêt de la Commune de Paris, Ya un besoin d'état.
192 577 ont signé
L214 ÉTHIQUE & ANIMAUX a lancé cette pétition adressée à Mike Kehoe et à 4 autres
Venez en aide à des millions d’animaux en demandant à Subway de prendre ses responsabilités.
La chaîne de fast-food Subway représente près de 450 restaurants en France. D’après le site internet de l’enseigne, « Le réseau Subway® s'est engagé à fournir une variété de produits alimentaires riches en goûts et en qualités nutritionnelles, tout en réduisant [son] empreinte environnementale et en créant une influence positive au sein des communautés [qu’ils servent] dans le monde entier ». Mais la réalité est tout autre. Les poulets qui finissent dans les sandwiches et les salades de Subway ont vécu et ont été abattus dans des conditions atroces.
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En 2017, nos associations partenaires ont réussi à convaincre Subway d’éradiquer les pires pratiques d’élevage et d’abattage des poulets dans ses approvisionnements aux États-Unis et au Canada. Mais en Europe, l’entreprise est restée sourde aux attentes portées par les associations de protection des animaux depuis plus de deux ans.
Signez la pétition pour que Subway s’engage enfin pour toute l’Europe et garantisse une part minimale de plein air pour ses activités en France !
Ndlr : demande minimaliste ?
Abattage à la ferme en Côte d'Or - dimanche 10 janvier 2021 par Denis Cheissoux - CO2 mon amour
37 minutes
Au coeur de la Bourgogne, Denis Cheissoux a tendu son micro à Emilie Jeannin, à l'initiative d'un projet d'abattoir mobile à la ferme
Le reportage dans la ferme de Lignières en Côte d'Or
En ce jour d'été, les charolaises d'Emilie Jeannin se mettent à l'abri des haies, et sa chienne aussi !
Émilie Jeannin et son frère Brian élèvent 160 bovins charolais, à la ferme de Lignières, sur la commune de Beurizot (Côte-d’Or) ; une ferme en polyculture/élevage, avec des prairies naturelles et des cultures (blé, orge, avoine...).
Emilie Jeannin relate à Denis Cheissoux son projet d'abattoir mobile, inspiré d'expérimentations suédoises.
L'idée est de transporter l'abattoir- et non les animaux- de ferme en ferme.
*Voir aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?pyWV-w
Connu / mel de cyberacteurs E-quotidien du lundi 7 décembre 2020
Les émissions spéciales
Le Média se donne pour devoir de réagir à l’actualité quand elle s’accélère, mais aussi d’explorer de nouvelles formes et de nouvelles thématiques à travers des émissions spéciales, réalisées en interne ou en partenariat avec d’autres médias et/ou ONG et associations.
Économiste, philosophe spinoziste et auteur de nombreux ouvrages théoriques comme son dernier livre Vivre sans, Frédéric Lordon était l’invité de l’association de polytechniciens X-Alternative, le 6 dernier à Paris. Dans la période particulière que la France vit en ce moment, sa parole était naturellement attendue. D’autant plus que le thème entrait en résonance avec le mouvement social se cristallisant autour de la contestation de la réforme du code de travail : “conditions de réalisation d’une alternative à l’ordre néolibéral”.
Frédéric Lordon a tenu à “présenter” le monstre néolibéral sous ses trois visages : anthropologique, économique et politique. Il s’est particulièrement appesanti sur le “programme politique” qui le sous-tend. “Dans sa dimension politique, le néolibéralisme consiste en un processus de transformation continu des structures, en vu d’un approfondissement indéfini du pouvoir de domination des dominants. Il y a cette infinité, et cette continuité du processus, qui sont sa marque la plus caractéristique. On assiste à un déplacement monumental de la position psychique du capital : son pouvoir n’a pas cessé de progresser, il a engrangé conquête après conquête, ça rentre comme dans du beurre, pour devenir sûr de soi, intransigeant, refusant toute négociation et toute transaction. L’espace du compromis négocié, qui s’était ouvert après la seconde guerre mondiale, dans lequel prospéraient les institutions de la social-démocratie, est en voie de fermeture. Bientôt, il n’en restera plus rien. De là, découle naturellement la faillite de tous ceux qui y prenaient part : les partis bien sûr, mais aussi les syndicats.”
Provocateur, Lordon va jusqu’à remettre en cause la puissance de l’alternance électorale dans le monde qui est en train de s’affirmer devant nos yeux. “Imaginons l’arrivée d’un gouvernement de gauche, par exemple, la France insoumise, et un président Mélenchon, qui se retrouvent au pouvoir. Qu’est-ce qui se passe ? Je suis désolé, je ne suis pas porteur de bonne nouvelle : ce qui se passe, c’est que le gouvernement est torché en deux semaine. Les forces du capitalisme, à commencer par celles du capitalisme financier, se déchaîneraient contre lui.”
“Le moment Potemkine”
Face à la “radicalisation des dominants qui nous a conduits aux gilets jaunes”, Lordon ose poser. “Il se pose la question de la violence, de la prise d’armes. Ce sont toujours les dominants, dans l’Histoire, qui fixent le niveau de la violence.”
Plus facile à dire qu’à faire, tant la peur de la répression tétanise le plus grand nombre. “Il y a des gens qui n’attendent pas le nombre pour s’engager. Mais je ne fais pas partie d’eux. Qu’est-ce qui m’empêche d’être un homme d’action ? Parce que j’ai peur. Comment vaincre la peur policio-judiciaire ? On ne la vainc que par la coordination de la multitude. Les institutions ne tiennent que par l’adhésion passionnelle de la multitude. Mais aussitôt que cette adhésion passionnelle tombe, alors les institutions sont à poil, privées de toute force, et s’écroulent séance tenante. C’est ça que j’appelle le moment Potemkine”, théorise l’ancienne figure de Nuit debout.
Convaincre la police, ou la vaincre ?
Il reste que, jusqu’à présent, la police se tient aux côtés du pouvoir, comme un bloc granitique. “Il y a un corps étranger dans le corps social : et ce corps étranger, c’est la police. Qui est un corps entièrement auto-centré, replié sur lui-même, en proie à un syndrome obsidional, et qui vit de sa vie propre, en totale autonomie. La police n’est même plus en état d’apercevoir les solidarités objectives qui pourtant devrait l’unir à ceux qu’on l’envoie matraquer. En réalité, la police émarge au nombre des secteurs maltraités par trois décennies de néolibéralisme, et superlativement par le gouvernement Macron : délabrement des lieux, suicides, ce sont les mêmes symptômes que chez les profs et les hospitaliers. Mais il y a un renfermement sur le thème de la mission : défendre l’État, défendre les institutions. Mais ça ne veut rien dire : les institutions sont faites pour être changées, et c’est même la finalité de la démocratie que de réviser ses propres institutions, et donc si une force armée les défend contre tout changement, ce n’est plus la démocratie. À la fin du fin, ne règne plus que la confusion entre défendre l’État, et défendre les occupants de l’État.
La police défend des occupants de l’État. Elle n’est pas l’amie des processus révolutionnaires en général.” Comment en sortir ? Deux possibilités. “Selon Eric Hazan, il faut arrêter de taper sur les flics, il faut plutôt dire : la police avec nous ! Il a une position qui est pasolinienne, mitigée de rationalité stratégique. Je dois vous dire que j’ai du mal à résister à mes propres affects, qui m’emmènent plutôt vers la ligne “tout le monde déteste la police”. Mais comme je suis un bon garçon, je travaille à une motion de synthèse radical-socialiste, et je suggère que l’alternative peut être dépassée dialectiquement : la police peut finir par céder, à condition qu’elle ait été sacrément mise sous pression avant. Le langage de la solidarité d’intérêt ne peut plus rentrer dans ses têtes. Il y a des choses qu’il faut penser, il y a des pistes, par exemple : que le peuple ait sa force armée. Pendant la Commune, ça s’appelait la Garde Nationale.”
Penser l’économie d’après le capitalisme avec Friot
Invité par des anciens élèves d’une grande école qui pourvoit historiquement les hautes sphères de l’Etat et des entreprises publiques, Frédéric Lordon a évoqué l’enjeu de l’émergence de “cadres politiques du peuple”, il a constaté l’effondrement des “écoles du parti et des syndicats”. Mais entrevu aussi des raisons d’espérer. “L’éducation se fait à vitesse accélérée dans le mouvement. Vous avez vu avec les gilets jaunes ? Ça part de la taxation du gasoil, et ça se termine en mettant en cause l’ISF, les institutions de la démocratie. D’une manière générale, ces expériences là sont transformatrices. Les gens sont pris dans des “devenirs” deleuziens : ils ne sont plus les mêmes qu’avant.”
Comment réinventer le travail après la défaite du capitalisme, alors que les moyens de production ne seront plus structurés autour de ceux qui les organisent pour leur plus grand profit depuis des siècles. Frédéric Lordon a sa petite idée. “Pour ce qui est de conserver et d’attirer du travail humain, je dirais que ce problème n’existe pas. Les salariés ordinaires ont le désir de faire le travail dans des conditions décentes. C’est ça qui est incroyable, incompréhensible : ce goût du travail bien fait. Ce qui ravage les salariés ordinaires, c’est le management néolibéral qui salope tout, qui leur fait faire de la merde. Donc, libérez les de ça, et les gens continueront à s’activer et à la structurer eux-mêmes. Quant à la question des éventuels défauts de capitaux, je fais appel à Friot : regardez le colossal investissement qui s’est fait au lendemain de la guerre pour faire surgir de terre l’hôpital public, avec des équipements très lourds. Tout ça s’est fait sans le moindre recours aux crédits bancaires, ou aux marchés de capitaux : simplement par le financement par la cotisation. Et c’est cette expérience historique absolument remarquable que Friot propose de généraliser. Ce serait à la caisse économique qu’il appartient de pourvoir aux financement des infrastructures et des investissements.”
Bonus : questions du public
Extrait publié sur nos réseaux sociaux
LA POLICE NE DÉFEND PAS L'ÉTAT, ELLE DÉFEND LE POUVOIR
"La #police est tellement coupée du reste de la société qu’elle n’est même plus en état de voir les solidarités qui devraient l’unir à ceux qu’elle matraque."
La conférence intégrale : https://t.co/gp9U9PEthw#Castaner pic.twitter.com/fPxFW1LPqR
— Le Média (@LeMediaTV) February 12, 2020
Photo de Une Thierry Ehrmann : portrait paint de Frédéric Lordon à la Demeure du Chaos, Saint-Romain-au-Mont-d'Or.
Voir aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?GkiiDw
TERMINER >18:26 ACT
CLés : #aspas #chasse #chasseur #fnsea #lobbie #loup
Alors que le nombre de personnes s’opposant à la chasse ne cesse de croître, la France demeure le pays d’Europe dans lequel cette pratique prend le plus de place à l’échelle nationale. Entre méthodes barbares et « prélèvements » inutiles qui ne font qu’aggraver la situation, la réglementation est loin d’être suffisante et l’indifférence de l’État est déplorable. La peur viscérale des éleveurs face aux prédateurs, notamment le loup qui est depuis longtemps le bouc-émissaire des problèmes qu’ils rencontrent, n’est qu’un ingrédient supplémentaire à cet enchevêtrement d’hostilités.
Thomas Brail et Loïc Gourbrein sont perchés sur un arbre, à Paris, face au ministère de la Transition écologique... Le premier depuis le 27 août, le second depuis le 2 septembre.
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Sur le trottoir, contre une grille, des panneaux expliquent la démarche et donnent l'agenda. Petit-déjeuner vers 7 heures... Pique-nique : à midi et vers 18 heures.
Publié dans Arbres, biodiversité, Environnement fne
Depuis ce 28 août, Thomas Brail est monté dans un platane devant le ministère de l’Ecologie à Paris. Depuis cinq jours, Thomas Brail lutte, perché dans un platane face au ministère de la Transition écologique, à Paris, pour protester contre des coupes d’arbres prévues à Condom dans le Gers, où il vit.
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Le militant écologiste, fondateur du groupe Facebook nommé « Groupe national de surveillance des arbres », se base sur l’article L350-3 du Code de l’environnement qui stipule que « le fait d’abattre, de porter atteinte à l’arbre, de compromettre la conservation ou de modifier radicalement l’aspect d’un ou de plusieurs arbres d’une allée ou d’un alignement d’arbres est interdit, sauf lorsqu’il est démontré que l’état sanitaire ou mécanique des arbres présente un danger pour la sécurité des personnes ».
Émissions Le quart d'heure de célébrité
4 minutes
C'est le combat d'un quadragénaire du Tarn : Thomas Brail, grimpeur-arboriste. Amoureux de la nature, il lutte contre différents projets d'abattage d'arbres centenaires. Pour se faire entendre, il s'est installé le 28 août dans un platane, face au ministère de la Transition écologique.
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Son métier, sa passion : entretenir les arbres
S’assurer qu’ils poussent bien, s'assurer qu'ils vont bien, les tailler en respectant leur morphologie et, surtout, en veillant à ce qu’ils ne souffrent pas des coups de sécateur ou de scie… Thomas Brail assure qu’il est « amoureux » des arbres. Il donne même des conférences pour apprendre à mieux les connaître.
Au public, Il rappelle alors quelques évidences : les arbres sont notre oxygène, ils aspirent la pollution et restent nos meilleurs alliés face au réchauffement climatique. Dès lors, ça le met en colère quand des communes les coupent, au motif de travaux d'aménagement en tout genre, et parfois au mépris des règles environnementales. C’est « notre patrimoine végétal qu’on assassine », estime le grimpeur-arboriste qui a décidé de passer à l’action.
Thèmes associés Culture écologie biodiversité réchauffement climatique Environnement
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décret d'application de l'article 73 de la loi EGAlim
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victoire importante et constitue une étape-clef dans le travail majeur mené par la Confédérationpaysanne et les associations impliquées en faveur de la relocalisation de nos filières et de la réduction, voire la suppression, du transport de nos animaux.
Plus d'une vingtaine de groupes paysans sont actuellement accompagnés par la Confédération paysanne et les ADEAR afin de mettre en œuvre des formes novatrices d'abattage au service des territoires : camion réalisant toutes les étapes d'abattage sur une ferme ou un lieu de rassemblement, caisson mobile pour la mise à mort des animaux en ferme et le transport des carcasses en peau vers un abattoir de proximité, reprise ou création d'abattoirs fixes par les acteurs des filières locales…