Le glacier de la Girose et le village de La Grave, un authentique village de montagne situe au pied du sommet mythique de La Meije & au bord du Parc National des Écrins, sont menaces par la construction d’un troisième tronçon du téléphérique qui arriverait à 3600m.
Vous pouvez aider à préserver cet environnement unique en supportant le collectif « La Grave Autrement » qui se bat pour sauver le glacier et proposer un projet alternatif.
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nous pouvons faire la différence :
- Participer à la campagne de financement participatif https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/la-meije-demain-etude-pour-un-projet-alternatif-au-3e-troncon-du-telepherique
- Signer l’Appel à Personnalité pour sensibiliser l’opinion publique au problème. Alpinismes, sportifs, activistes, politiciens, scientifiques… Vous êtes tous invites à rejoindre Reinhold Messner, Eric Piolle en signant le manifeste. Pour ce faire, merci d’envoyer un email aux organisateurs : lagraveautrement@gmail.com
Connu / https://twitter.com/MarionPoitevin/status/1390621850695315461
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AtEcoPol a retweeté Marion Poitevin @MarionPoitevin · 7 mai
Fière de participer à ce projet! Aujourd'hui dans @lemondefr :
https://lemonde.fr/climat/article/2021/05/06/penser-les-glaciers-comme-des-acteurs-d-un-monde-que-nous-habitons-en-commun_6079401_1652612.html
Découvrez les 65 signataires qui soutiennent le collectif sur notre site internet: http://lagrave-autrement.fr/appel-a-signatures-de-personnalites/
#pensonslesglaciers #lagraveautrement
« Penser les glaciers comme des acteurs d’un monde que nous habitons en commun »
TRIBUNE. Face au projet d’un troisième téléphérique sur le glacier de la Meije (Hautes-Alpes), un collectif d’habitants, alpinistes, chercheurs et personnalités engagées dans la défense de l’enviro...
lemonde.fr
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"Je cherche ce qui arrive quand on n’est plus protégé et qu’on n’a plus peur de rien." La Grande vie, Christian Bobin, 2014
Chers colibris,
Ce mois-ci, focus sur les oasis, ces écolieux que des hommes et des femmes créent un peu partout. Nous sommes nombreux à penser qu'ils sont une réponse aux défis colossaux que nous devons affronter.
Car, au-delà des objectifs d'autonomie et de réduction de notre impact environnemental, les oasis sont aussi des espaces d'exploration de la relation : à soi, aux autres, à la nature. Ils incarnent la volonté d'une vie pleine et riche, où les enfants grandissent heureux et en bonne santé, où l'on peut cultiver des liens profonds, où l'on doit se confronter à l'altérité et à la nécessité du partage et de la solidarité.
Explorons ensemble ces chemins de traverse !
Mathieu Labonne, coordinateur du Projet Oasis
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Exemple d'indexation de
https://www.liberation.fr/debats/2018/09/26/maurice-godelier-jamais-et-nulle-part-la-famille-n-a-ete-le-fondement-de-la-societe_1681416
Libération" par "Riff's Links" via shaarli2mastodon connu par https://framapiaf.org/@riff/100808426511609260
donc une instance privée de chaarly ? ACT
Extrait :
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Ce qui fait société, ce ne sont jamais les rapports de parenté, même dans les sociétés tribales : ce sont les rapports politico-religieux. Ceux-ci englobent tous les groupes de parenté et leur octroient une identité et une unité communes. Ils instituent la souveraineté des groupes humains - clans, castes ou classes - sur un territoire, ses habitants et ses ressources. C’est le politico-religieux qui fait société et non la famille.
[...]
L’humanité est naturellement une espèce sociale. Nous n’existons qu’en société. C’est la nature qui nous a donné ce mode d’existence, et notre cerveau nous permet d’inventer de nouveaux rapports sociaux, de nous transformer. Nous sommes une espèce sociale qui a la capacité - par rapport aux chimpanzés ou aux bonobos - de transformer le point de départ de notre existence, de nous faire autres. L’essence de l’homme, c’est tout ce que l’humanité a inventé pour elle-même. Et ce n’est pas fini : il n’y a pas de principe de clôture.
[...]
Mais ce qui m’a frappé, en tant qu’anthropologue, dans toutes les sociétés que j’ai fréquentées, c’est qu’une grande partie des rapports sociaux, c’est de l’imaginaire pétrifié. La mosquée, l’Eglise, l’art de Goya ou du Greco : une grande partie de ce que nous sommes, de notre vie, c’est de l’imaginaire transformé en réalités sociales, psychologiques et matérielles. [...] Philosophie fondamentale. La croyance à des choses qui n’existent pas constitue une grande part de notre vie, de notre univers mental. Ce n’est pas de l’irréel ordinaire, c’est du surréel, c’est, pour ceux qui croient, plus réel que la vie réelle.
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