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L’unité est prête à s’emparer d’une vaste gamme de thèmes liés à toutes les formes de médiations dans l’espace des sociétés. Le nom de l’unité renvoie aux formes les plus diverses et le plus larges des mises en relations. Par son étymologie même, il fait directement écho à tous les milieux et tous les environnements et à la place des femmes, des hommes et des sociétés.
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La MÉDIANCE, le concept popularisé par Augustin Berque (emprunté au fûdosei de Tetsurô Watsuji) peut éventuellement être mobilisé. Il renvoie à l’idiosyncrasie d’un certain milieu, c’est-à-dire la relation d’une société à son environnement.
Les patrimoines, la patrimonialisation et les trajectoires patrimoniales, les paléoilieux et les environnements de l’anthropocène sont particulièrement étudiés. C’est aussi le cas des circuits productifs et distributifs, de l’alimentation et des MÉDIATIONS sociales et culturelles qui lui sont associées.
Les différentes formes de MÉDIATIONS et d’INTERMÉDIATIONS autant que les processus et les politiques de REMÉDIATION sont abordés de façon concrète et appliquée, notamment dans le contexte de l’urbanisation.
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Des paléo-écosystèmes à ceux de l’anthropocène, de la géo-archéologie aux contextes actuels de l’urbanisation généralisée et des différentes formes de mondialisation, la fabrique des paysages s’inscrit dans des processus cumulatifs et dans des dynamiques complexes et en INTER-RELATIONS.
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La notion de MÉDIATIONS est de fait omniprésente. Les individus autant que les sociétés, les regroupements familiaux autant que les collectifs (fondés sur des appartenances territoriales, des métiers et des savoir-faire, ou encore le partage d’une ou de plusieurs ressources) assurent des transactions entre eux et avec leurs environnements ; ils évoluent ensemble et avec eux. Milieux et environnements sont
ainsi co-construits.
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coprésence dans un lieu (sociabilité de la pratique collective) ... La prégnance des internets et des réseaux sociaux vient complexifier en dotant les individus d’une projection continue dans de multiples lieux faisant passer du régime de double absence à celui des présences multiples et venant fortement renouveler le débat sur la participation effective à ce qu’est la vie en société.
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L’INTÉGRATION DE l’UNITÉ DE RECHERCHE MÉDIATIONS
DANS LE PROJET DE L’ÉTABLISSEMENT SORBONNE UNIVERSITÉ
ET DE LA FACULTÉ DES LETTRES
... objectif d’être au coeur ... Parce qu’elle est par définition une science à l’interface de plusieurs disciplines, la Géographie ... construction d'une société post-COP21 ... futur Institut de la Mer. ...
La Gouvernance de l’Unité
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LE LABORATOIRE JUNIOR DE MÉDIATIONS
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#Effondrement #Écologie #Société - 72 400 vues - 3,5 k - 104 - 314 k abonnés - 436 commentaires
Comment résister individuellement et collectivement face à l’absurdité de notre monde ? Comment combiner “le pessimisme de l’intelligence et la saveur du présent” ? Et Comment ces combats peuvent-ils se transformer politiquement ?
Une heure d’entretien, de prise de recul entre Paloma Moritz et Corinne Morel Darleux, militante écosocialiste, autrice de plusieurs livres dont l’essai “Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce - réflexions sur l'effondrement” et co-fondatrice du Parti de Gauche.
Corinne Morel Darleux est de ces voix puissantes à écouter aujourd’hui. Elle prône une écologie de résistance, d’alternatives et propose trois principes simples pour une nouvelle éthique de la catastrophe : le cesser de nuire, le refus de parvenir et la dignité du présent.
Pour aller plus loin :
Livres : Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce - Corinne Morel Darleux
Les furtifs - Alain Damasio
La recomposition des mondes - Alessandro Pignocchi
Où atterrir ? - Bruno Latour
Comment tout peut s’effondrer - Pablo Servigne
Podcasts : https://www.franceculture.fr/emissions/series/avoir-raison-paul-virilio
Vidéos : La série effondrement https://www.youtube.com/watch?v=vLa-HhBpgc4&t=0s
Journée de déclaration de rébellion XR https://www.youtube.com/watch?v=ZwGUqLliGAI&t=0s
#ContreBudgetFi - 5 433 vues - 721 - 15 - 59,3 k abonnés - 131 commentaires
Le 25 octobre 2021, le groupe parlementaire de la France insoumise à l'Assemblée nationale a présenté son contre-budget pour 2022. Ce contre-budget est issu des travaux de l’intergroupe parlementaire de la France insoumise. Il a été coordonné par Eric Coquerel, Sabine Rubin et Manon Aubry.
Depuis le début du quinquennat, la France insoumise démontre qu’elle est prête à gouverner et à proposer des budgets sérieux, permettant de sortir de la crise sociale, sanitaire et écologique que traverse notre pays. Après avoir déjà produit 4 contre-budgets, le groupe parlementaire présente une nouvelle version pour 2022.
Ce contre-budget propose un bilan critique de la politique du président des riches, expose la vision portée par la France insoumise et développe certaines des mesures d’urgence que nous proposons au peuple français d’appliquer dès 2022. C’est la perspective que souhaite ouvrir ce document : il existe une alternative. Nous ne sommes pas condamnés à des vies toujours plus dures, à une société toujours plus violente, à un environnement toujours plus dégradé. Nous avons des propositions solides et travaillées. Ces propositions ont été construites avec le peuple et sont soutenues par lui :
- 76% sont pour l’augmentation du SMIC à 1400€ net par mois ;
- 87% prônent un plan national d’isolation des bâtiments pour lutter contre la précarité énergétique ;
- 77% défendent un plan d’un milliard d’euros afin d’en finir avec les violences sexuelles et sexistes ;
- Près de 7 Français sur 10 sont favorables à notre réforme de l’impôt sur le revenu.
Notre stratégie est de construire l’Union Populaire autour de ces propositions programmatiques qui remportent l’adhésion de la majorité.
Pour lire la suite, consultez le contre-budget 2022 de la France insoumise sur : https://lafranceinsoumise.fr/2021/10/10/25/contre-budget-france-insoumise-2022/
4 vues - 0 - 0 - Présentation
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Plutôt que le rapport à l’écran, ne devrait-on pas interroger le rapport à la distance ?
... La posture de l’enseignant en ligne ne peut pas être la même qu’en classe « physique ». En ligne, les enfants ne sont pas un public captif, cela a ses avantages, mais aussi ses inconvénients. La place des parents, bien plus présents dans cette école hors des murs, bouscule aussi les habitudes des uns et des autres. Les notions de groupes, mais aussi de présence ou d’absence vont ainsi devoir être ré-interrogées.
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une fois mis en place, non seulement le retour en arrière sera très compliqué, mais les risques de surenchère seront inévitables, à coup de prétendue « intelligence artificielle » ou d’algorithmes étudiant de façon détaillée les comportements des utilisateurs de ces plateformes afin de conseiller en permanence des corrections pédagogiques, mais aussi comportementales.
Comme le démontre Christophe Masutti dans son ouvrage Affaires Privées : Aux sources du capitalisme de surveillance32, la surveillance est un corrélat social. Là où cela peut poser problème, c’est lorsqu’on finit par ne plus penser nos relations sociales autrement que par l’automatisation et la technicisation de la surveillance.
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rares sont les pédagogues qui comprennent comment fonctionnent ces algorithmes, ou par qui et comment ils sont écrits, ni quels sont les bénéfices que l’entreprise qui les a réalisés escompte. S’ils le savaient, je doute qu’ils regarderaient ces applications avec autant d’appétence.
Cela m’amène à une seconde question.
Le numérique étant, qu’on le veuille ou non, omniprésent : quelle place veut-on donner à l’éducation aux médias et à la littératie numérique ?
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s’il y a bien une chose qu’a pu démontrer la crise de la COVID-19, c’est bien que cette littératie était loin d’être un acquis. Non seulement pour les élèves, qu’on présentait souvent comme des digital natives alors qu’il n’en était rien, mais aussi – et surtout – pour les enseignants.
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Tant que les formations au numérique se focaliseront davantage sur les outils, les pratiques, les usages, que sur l’éducation aux technologies en général, et aux médias en particulier, les capacités de littératie numérique stagneront.
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il ne s’agit pas d’un impensé au niveau du ministère – du moins je ne le pense pas – mais bien d’une volonté politique. Former aux outils permet de garder le contrôle ... Si par contre, le monde éducatif reconnaît le caractère ambivalent des outils (toute technologie est un pharmakon35, c’est-à-dire à la fois remède, poison et bouc-émissaire, disait le philosophe Bernard Stiegler, décédé cet été)
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même rapidement formés à cette question, je pense que les enseignants parviendraient rapidement à identifier les valeurs du logiciel libre – « liberté, égalité, fraternité » – et à les mettre en regard de celles des logiciels dits privateurs : aliénation, discrimination, marchandisation.
J’en viens donc à une quatrième question.
L’école doit-elle rester un espace sanctuarisé vis-à-vis de la marchandisation ?
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L’école doit-elle accompagner les élèves à faire société ? Ou doit-elle exclusivement les préparer à un emploi ?
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comme l’indique Nico Hirtt dans son ouvrage L’école prostitué : L’offensive des entreprises sur l’enseignement37, le numérique à l’école peut alors servir de cheval de Troie afin de faciliter l’introduction de concepts néo-libéraux tels que « l’employabilité ».
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se dépêtrer d’une vision « solutionniste » ne servant que des intérêts privés et non l’intérêt général.
Pierre-Yves Gosset, co-directeur et délégué général de l’association Framasoft (texte sous licence Creative Commons BY39)
Image d’illustration : école Arménienne équipée d’ordinateurs du projet (libre) One Laptop Per Child
Classé dans : Éducation, Framasoft, Internet et société, Libr'en Vracconfinement, école, Éducation, EducationNationale, Framasoft, Histoire, Libre, Microsoft, RezoTIC
Ndlr :
- ne surtout pas rater la lecture du début qui retrace l'histoire de Framasoft.
- ce billet est UNE RÉFÉRENCE à valoriser ACT
- Enfin, sa thèse (former des citoyens émancipés du 21è siècle) est indispensable pour maintenir à moins de 2°C le réchauffement climatique notamment PLPDL ACT
41 185 ont signé
Association Stand Up For The Planet a lancé cette pétition adressée à Ministre de la transition écologique et solidaire et à 1 autre
Lors d’une sortie d’exploration des cétacés en Mer Méditerranée en octobre 2019 à bord du bateau « Santo Sospir » de l’association Sos Grand Bleu St. Jean Cap Ferrat un rorqual commun a été observé au large de Cannes avec la nageoire Caudal déchiquetée.
Les chances de survie avec une telle amputation sont minces.
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Chaque année, une quarantaine de grands cétacés décèderaient des suites d’une collision avec un navire en Méditerranée.
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Avec un trafic maritime annuel estimé annuellement à 220 000 navires marchands, la navigation commerciale est particulièrement intense en Méditerranée occidentale. Le Sanctuaire Pelagos et ses frontières n'y échappe donc pas, avec 2 des 8 « nœuds de concentration du trafic maritime » (Gênes et Marseille) identifiés dans tout le bassin et une trentaine de liaisons par jour assurées par au moins 8 compagnies de transport de passagers entre le continent, la Corse et la Sardaigne.
Vous n’êtes Bien entendu pas sans savoir qu’il existe un système efficace « REPCET » permettant aux navires équipés de s'informer en temps réel de la présence de cétacés dans une zone à risque.
Malgré le faible coût en comparaison des frais des compagnies maritimes, le montant de l'abonnement REPCET reste le principal argument avancé par les compagnies qui ne souhaitent pas s'équiper. Une minorité des bateaux faisant route en Méditerranée aujourd’hui en sont équipés.
En effet, La plus grande hérésie qui soit vient de la loi biodiversité de 2016 qui oblige l’installation du système REPCET pour tous les navires commerciaux de plus de 24 mètres battant pavillon français.
En 2019, 36 navires sont équipés du système REPCET, ce qui correspond à 0,04% du trafic maritime.
C’est presque un déni de se dire qu’on l’oblige au Pavillon Français quand on sait que personne (ou presque) ne bat Pavillon Français non ?
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En plus de cet aspect écologique, les collisions posent un problème de sécurité dans le cas des navires rapides. Un choc avec une baleine à 30 ou 40 nœuds peut causer l'ouverture de brèches sur les coques des navires, et une voie d'eau est alors possible. C'est ce qui s'est passé à plusieurs reprises sur les routes de liaisons avec les îles ces dernières années. Sans compter les problèmes sanitaires, de respect d'horaires, de coûts de réparation et d'image auxquels la compagnie maritime concernée doit faire face en cas de collision.
Madame la Ministre , ne serait t’il pas possible, dans un premier temps, d’imaginer de légiférer pour que 100% des bateaux passant au sein des routes maritimes du sanctuaire Pélagos soit obligatoirement équipées d’un système de localisation des cétacés ?
Dans l’idéal vous devriez légiférer pour qu'aucun navire de commerce ne passe dans le sanctuaire des Pelagos, ce passage est antinomique d'un endroit destiné à préserver la tranquillité des animaux marins.
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lutte de tous les instants sur le volet « atténuation », c’est-à-dire pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. On estime du côté de la communauté scientifique que même si tous les engagements pris à la Cop 21 étaient respectés on irait vers une hausse des températures comprise entre 3,2 et 4 degrés. Or on sait que ces engagements ne sont pas tenus. En 2017 il y a eu une augmentation de 3 % des émissions de gaz à effet de serre en France alors qu’elle devrait les réduire de 2,2 % par an !
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aussi réfléchir à l’après, au volet « adaptation » : des choses sont en train de changer de manière irrémédiable, d’autres vont l’être et doivent être anticipées. La hausse du niveau des mers, la multiplication des épisodes de sécheresse, le changement local de climat, de végétation, l’extinction de certaines espèces, l’augmentation des risques de conflit armé et la rareté de certaines ressources naturelles qui viennent à épuisement : la question n’est pas de savoir si on a envie que ça arrive ou non. On a laissé passer la période historique durant laquelle on pouvait encore se payer le luxe de poser cette question et d’y répondre par des actes politiques forts. Désormais, on y est. Et on commence à constater que tous ces effondrements sont plus violents pour les plus fragiles : les petits, les minorités, les précaires.
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je rejoins l’auteur de SF Alain Damasio sur cette question, c’est que la fiction opère comme des lunettes du réel. Elle permet de mettre à juste distance pour mieux appréhender des sujets qui sont peut-être trop durs à regarder quand ils se situent dans le réel, trop proches et trop effrayants comme le sont les épisodes climatiques extrêmes – a fortiori la perspective de l’effondrement.
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la fiction est un médiateur assez intéressant par rapport à ce discours très anxiogène du changement climatique et de l’effondrement.
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L’écosocialisme reste un invariant
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on a besoin, comme le disait Serge Latouche, de « décoloniser » notre imaginaire, ce qui implique d’abord de « désapprendre », se désaccoutumer de ces drogues dures du système que sont les énergies fossiles, le TINA (there is no alternative) ou la rentabilité du capital. Il s’agit de déconstruire notre système de pensée à la manière du pas de côté que font les personnages de l’An 01 de Gébé (« on arrête tout, on réfléchit, et ce n’est pas triste »). C’est une étape nécessaire pour se dessiller le regard et ainsi pouvoir, dans un second temps, reconstruire, avec de nouveaux mots, de nouveaux récits et figures, une vision plus adaptée au monde réel, et surtout au monde d’après tel qu’on aimerait le voir advenir.
Walter Benjamin faisait remarquer que déclin ne veut pas dire disparition. De même l’effondrement peut être une métamorphose.
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La dignité du présent ... une discipline personnelle, éthique et même esthétique.
Le Monde d'après est un site créé par l'association Colères du présent. Cette association organise chaque année le salon du livre d'expression populaire et de critique sociale les 1er et 2 mai à Arras. Pour des raisons techniques liées aux circonstances sanitaires, cette manifestation culturelle restera à l'état d'utopie. C'est ce qui nous a donné l'idée de créer un espace dédié au Monde d’après.
Ce Monde d'après n'est pas forcément celui d'après Covid-19. Ce Monde d'après parlera de conflits armés ou idéologiques, de sécurité sociale de l'alimentation, de transformations personnelles et collectives, d'avenir climatique, de luttes, de fraternité, d'espoirs... et de tout ce qu'on voudra bien mettre derrière ces mots. Ce Monde d'après est une aventure numérique imaginée par l'association et tous les artistes initialement invités autour du sujet central du Salon du livre 2020 : "La ville territoire d'utopies".
Rendez-vous donc dès à présent sur les pages traditionnelles de notre site https://www.coleresdupresent.com/ pour découvrir tout ce qu’on vous avait concocté mais que vous ne verrez jamais, et puis rendez-vous ici le 1er mai 2020 pour arpenter le Monde d’après.
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www.joindiaspora.com
Tout le monde est sur Facebook, ou presque. Ça vous dirait d'essayer autre chose? Dans cette vidéo je vous explique pourquoi il serait intéressant d'essayer un réseau social décentralisé et open source. Je vous donne également les bases pour pouvoir commencer à utiliser Diaspora.
Catégorie Organisations à but non lucratif 49 commentaires
Synthèse de l’enquête réalisée auprès de 71 stagiaires Animacoop
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Conçue en 2010 par l’association Outils-Réseaux dans le cadre d’un appel à projet de La Délégation aux usages de l’internet (DUI) du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, cette formation a été reconduite 6 fois sur le territoire du Pays de Brest et en Languedoc-Roussillon. Entre l’année 2010 et 2012, 86 stagiaires ont pu en bénéficier.
L’originalité de cette formation consiste à proposer des contenus relativement complets sur un sujet émergeant de l’animation collaborative de projets. Par ailleurs, dans un processus d’innovation pédagogique, cette formation, cherche à explorer les nouvelles potentialités que les technologies de l’information permettent de mettre en œuvre, tels que l’accès illimité à l’information ; la nouvelle temporalité où se complètent l’apprentissage en présence et à distance ; la communication horizontale en réseau qui ré-questionne le modèle éducatif traditionnel et hiérarchisé.
... trois parcours :
- individuel, par l’acquisition progressive des apports théoriques, méthodologiques et pratiques
- en groupe, par des échanges de pratiques de co-développement et la production collaborative des contenus
- dans l’environnement professionnel, par des liens systématiques avec le projet professionnel concret du formé intégré dans le parcours.
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Ces compétences -qu’on pourrait définir comme « un savoir agir dans un contexte qui nécessite une production collective en mobilisant les ressources internes et externes disponibles » - semblent transversales à de nombreux métiers. Elles seraient un préalable nécessaire à un développement professionnel, assurant plus de flexibilité et élargissant la capacité d’innovation des coordinateurs et animateurs de projets.
Dans cette enquête trois types de compétences sont ressorties plus particulièrement : celles qui sont liées à l’usage des outils (capacités techniques), celles d’ordre méthodologique (la compréhensions et savoir agir dans différentes situations) et celles liées à l’attitude d’ouverture et valeurs de partage ... un « autre état d’esprit ».
Il semblerait que les compétences « techniques » soient les plus faciles à mettre en œuvre : ce sont celles qui obtiennent le plus de réponses à la question de transfert des acquis. Les savoir-agir « méthodologiques » seraient les plus utiles : ce sont les cours les mieux notés et le plus souvent revisités. Et enfin, les compétences qui s’apparentent à l’esprit d’ouverture et l’attitude d’attention aux personnes (liés aux valeurs ) suscitent l’innovation : les personnes qui les ont évoquées ont parlé de nouveaux projets impulsés par ce changement de posture.
Ces interprétations méritent une étude plus approfondie, mais la problématique des compétences collaboratives mieux identifiées serait le prochain chantier de recherche-action d’Outils-Réseaux .
Du point de vue du processus formatif et d’accompagnement, il semble évident que les préoccupations nouvelles liées aux méthodes collaboratives, le potentiel technique de communication nécessitent un dispositif de formation nouveau, à la fois encadrant et ouvrant à des nouvelles possibilités ’ où peuvent cohabiter la simplicité d’usages technologiques et la possibilité des relations multi directionnelles (un espace individuel d’apprentissage, liens avec d’autres apprenant, la facilité de relation avec le formateur/accompagnateur, l’accès « maitrisée » aux ressources abondante des connaissances).
Un dispositif de formation qui donnerait la place à une nouvelle considération :
- du savoir co-construire avec les autres et non simplement transmis
- du formateur dont la fonction première est d’accompagner un processus de construction et non la transmission des connaissances
- des apprenants mis au centre de l’apprentissage dans le but de gagner en autonomie, qui est non seulement bénéficiaire des connaissances proposées mais aussi contributeur de leur production.
Le choix de l’association Outils-Réseaux pour s’adapter à cette nécessité d’innovation pédagogique est une démarche de « formation-action » entendue comme une articulation de l’« action-recherche-action » La pratique de formation concrète est mise en dialogue avec des investigations en sciences humaines et sociales pour être re-injectée ensuite dans de nouvelles action de formation. Les réflexions plus approfondies sur ces nouvelles pratiques formatives feront l’objet d’un prochain article autours de « l’innovation en formation et l’accompagnent de nouvelles pratiques sociales ». (à suivre)
Ce qui semble le plus simple pour comprendre ce que sont les logiciels libres et pouvoir approfondir :
https://www.aldil.org/le-logiciel-libre/quest-ce-quun-logiciel-libre/
http://www.libreassociation.info/article1.html
La plupart des logiciels, dit « logiciels propriétaires », sont distribués sans leur code source.
Le code binaire, et lui seul, est fourni à celui qui se procure le programme. Il est interdit d’en connaitre la composition exacte, de le partager avec d’autres utilisateurs ou de le modifier pour l’adapter à des besoins spécifiques.
Sommaire
1 Un logiciel libre garantit quatre libertés :
1.1 Ces quatre libertés sont fondamentales
1.2 Quelle est la place des Logiciels Libres dans le paysage informatique ?
1.3 Quelle est la place des Logiciels Libres chez les particuliers ?
1.4 Quelle est la place de GNU/Linux sur les marchés mondiaux ?
Un logiciel libre garantit quatre libertés
benjamin.gentils ... Le projet du lab 110 bis est la preuve de concept que l’administration centrale du Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse (MENJ) et du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESRI) est elle aussi capable de porter des projets de façon agile : prototypage rapide, documentation de l’essentiel, équipe constituée par compétences clés, itérations rapides avec les sponsors. ... Une acception de l’innovation large et non excluant :
Une innovation scientifique et technique mais aussi organisationnelle, de services, sociale, etc. (cf référentiel OCDE).
Une innovation émanant et portée par tous types d’agents : non cadres, professeurs, etc. afin de sortir du cliché « jeune et ultra connecté »
Une innovation frugale basée d’abord sur les besoins des usagers et non sur la technologie comme porte d’entrée
...
espace ouvert à tous ... Fédérer et animer des communautés ... Documenter ... Participer à une démarche d’émergence de communs ... une équipe de 3 (bientôt 4 avec l’arrivée prévue de Maxime Pierrot le 12 février 2019. Dans l’organigramme, nous sommes placés auprès de la secrétaire générale pour que le lab ait la réactivité, la liberté d’action qu’on attend de lui (un sponsorship au plus haut niveau est indispensable).
Nous privilégions autant que possible l’horizontalité ... nous sommes tous dans l’équipe des “moutons à 5 pattes” !
Somalina Pa 14, responsable du 110 bis
Léa Douhard 4, financements alternatifs et partenariats
Benjamin Gentils 4 / développement de communautés, tiers-lieux
Maxime Pierrot 6 / tech et culture maker
... Préférence pour l’open source, encore beaucoup de travail à faire. ... Mail : 110bis@education.gouv.fr ... 110 rue de Grenelle
Présentation des jardinier·e·s du nous par Romain Vignes, lors de la session finale de l'accompagnement Système D.
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Ce mardi 29 octobre, suivez en direct la conférence de presse du groupe parlementaire de la France insoumise qui présente son contre-budget pour l'année 2020. Participez sur les réseaux sociaux avec #ContreBudgetFi
Catégorie Actualités et politique
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L’ENGAGE University se réinvente ! Venez découvrir nos nouveaux programmes Transformation, Exploration et Corporate.
depuis https://engage.world/
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Frederic Bezies
Ajoutée le 21 mars 2017
Site officiel du projet : http://emmabuntus.sourceforge.net/med...
Lien vers l'article du blog : http://frederic.bezies.free.fr/blog/?...
Horodatage de la vidéo :
00:48 : lancement de la machine virtuelle en UEFI
01:33 : un lightdm personnalisé :)
02:20 : début de la post-installation
02:57 : activation et configuration du dock
03:14 : quel niveau de "complexité" pour le dock ?
03:21 : restons pragmatique
03:49 : un aperçu rapide de la logithèque en dock...
04:45 : un menu bien pratique, tiens ;)
04:51 : et les autres outils :)
06:50 : lançons Mozilla Firefox
07:27 : oh, un outil indispensable pour conserver sa santé mentale sur la toile :)
07:40 : tiens, un projet connu :)
07:47 : un moteur de recherche éthique que je ne connaissais pas !
08:50 : lançons LibreOffice
09:12 : parlons un peu d'un projet plus qu'utile !
09:30 : une piqûre de rappel... Et méfiez-vous des contrefaçons :)
10:07 : tiens, un outil d'HandyLinux / DFLinux ?
11:14 : ah, ça fait du bien un système traduit dès le départ dans la langue de l'utilisateur !
12:05 : un aperçu du démarrage en mode UEFI
14:48 : la session live en UEFI démarre...
15:30 : lançons LibreOffice en mode live
16:17 : conclusion
18 commentaires
De plus en plus de structures publiques et privées sollicitent les médiateurs numériques pour intervenir lors de rencontres dans le but d'effectuer des animations et des présentations ludiques sur le sujet de l'IoT (Internet Of Thing).
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Médiation(s)
C'est une posture : "Se mettre en empathie pour... "
La médiation est une pratique ou une discipline qui vise à définir l'intervention d'un tiers pour faciliter la circulation d'information, éclaircir ou rétablir des relations. Ce tiers neutre, indépendant et impartial, est appelé médiateur. La définition de cette activité varie selon les contextes d'application. Néanmoins, des constantes existent à chaque fois qu'un tiers intervient pour faciliter une relation ou la compréhension d'une situation et des éléments de pédagogie et de qualité relationnelle se retrouvent dans les pratiques de la médiation.
Depuis quelques années le mot « hybride » a pris une place importante dans le vocabulaire de l’ingénierie de formation, en particulier pour ce qui concerne la place des moyens numériques. Blended Learning, e-learning, et autres expressions proches fleurissent dans le paysage commercial et technique et de la formation. Malheureusement, quand cet emploi est davantage commercial que technique, les définitions deviennent plus floues et surtout elles ont une tendance bien connue : faire croire en la nouveauté ! Le sigle FOAD (devenu acronyme) qui a émergé à la fin des années 1990 mettait en avant l’idée que le tout présentiel (cours) et le tout distanciel (FAD) devaient évoluer vers une forme intermédiaire. Elle prendra progressivement l’appellation d’hybride.