2 oct. 2020 à Jambville (Yvelines) FORUM DE ZEGG – journée découverte Processus de communication qui aide les groupes à communiquer à un niveau plus profond et à apporter à la vie quotidienne des …
Clément Sénéchal @ClemSenechal · 27 mai
Pendant que la macronie se bat corps et âme contre l'ISF climatique 👇🏻
Image - 26 - 210 - 393 - 16,9k
Autorité de sûreté nucléaire (ASN) EDF Réservé aux abonnés - 1 min. de lecture
Une importante fissure par corrosion sous contrainte a été détectée sur le circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly. Dans une note publiée mardi 7 mars, l’Autorité de sûreté nucléaire ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» en matière de contrôle et de réparation.
La fissure s’étend sur 155 mm et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm, explique l'ASN.
Nouveau coup dur pour EDF. L’énergéticien a décelé une fissure par corrosion sous contrainte sur un circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly, située en Seine-Maritime, a-t-on appris dans une note d’information publiée sur le site web de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) mardi 7 mars.
«La fissure s’étend sur 155 mm, soit environ le quart de la circonférence de la tuyauterie, et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm», détaille l’ASN qui ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» de contrôle et de réparation. L’autorité classe au niveau 2 sur l’échelle de l’INES (qui comporte 8 niveaux de gravité, de 0 à 7) cet incident qui «affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur» et augmente «la probabilité d’une rupture».
Une double réparation jugée responsable
Le gendarme du nucléaire explique que la ligne située en branche chaude du système d’injection de sécurité près de laquelle se trouve la fissure était considérée par EDF comme non sensible à la fissuration par corrosion sous contrainte. Toutefois, l’ASN note que la double réparation de la soudure subie lors de la construction du réacteur est de nature à «modifier ses propriétés mécaniques et les contraintes internes du métal au niveau de cette zone».
EDF explique, dans une note publiée sur son site internet le 24 février, que le défaut a été détecté lors d’une expertise qui visait à contrôler cette soudure. La fissure aurait été générée, selon le fournisseur d’électricité, lors des «opérations ciblées de «double réparation» lors du premier montage des tuyauteries».
Ce nouveau défaut représente une très mauvaise nouvelle pour le parc nucléaire français et son gestionnaire qui a accusé une perte financière record en 2022. L'année a été marquée par les mises à l’arrêt de nombreux réacteurs (dont Penly 1) en raison du phénomène de corrosion sous contrainte qui a forcé EDF à réaliser des opérations de contrôle et de réparations de grande ampleur, menaçant l'approvisionnement électrique français.
Sélectionné pour vous
Framatome annonce 100 millions d’euros d’investissements au Creusot pour relocaliser la fabrication des internes de cuves
[Matière à penser] Entre renouveau du nucléaire et inquiétudes géostratégiques, l’uranium se réveille
[Entracte-Cinéma] "La syndicaliste" de Jean-Paul Salomé ou l'histoire vraie d'une lanceuse d'alerte d'Areva qui en savait trop
SUR LE MÊME SUJET
- Depuis la centrale nucléaire de Penly, Bruno Le Maire (re)demande à EDF de construire un premier SMR dès 2030
- Comment EDF espère régler son problème de corrosion dans les réacteurs nucléaires avant l'hiver
- L’ASN salue la stratégie d’EDF pour tenter de comprendre la corrosion qui touche certains de ses réacteurs nucléaires
océans - 55173 signatures
Clés : #Biodiversité #Changement climatique #Océans #Protection des océans #Réserves marines #Vie marine
Les fonds marins sont pleins de mystères et nous peinons encore à bien les connaître. Pourtant, ils sont déjà menacés par une industrie très controversée : l’extraction minière en eaux profondes. Greenpeace International publie un nouveau rapport dénonçant l’opacité des processus d’attribution des licences environnementales par l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM).
Le rapport (ici, en anglais https://www.greenpeace.org/static/planet4-international-stateless/c86ff110-pto-deep-trouble-report-final-1.pdf) dévoile qui tire les ficelles, les entreprises qui tireront des bénéfices de l’exploitation minière des fonds marins et celles et ceux qui en subiront les conséquences
...
au moins cinq raisons qui font de l’extraction minière en eaux profondes une très (très) mauvaise idée pour la planète.
- Le risque de dommages irréversibles sur la vie marine
... des monts sous-marins auprès desquels se développent des écosystèmes exceptionnels, notamment des coraux anciens et certaines espèces de requins pouvant vivre plusieurs centaines d’années
...
Les mammifères marins sont également victimes de la pollution sonore et lumineuse due à cette activité d’extraction minière. Or, certaines créatures d’eaux profondes, habituées à de faibles niveaux de luminosité, pourraient être affectées de façon permanente.
... - Des espèces endémiques menacées d’extinction
... potentiel minier des cheminées hydrothermales, notamment sur le site que l’on appelle Lost City, en Atlantique nord https://www.greenpeace.fr/la-vie-sur-terre-a-t-elle-commence-en-eau-profonde/
... - Affaiblir un de nos meilleurs alliés contre le dérèglement climatique
L’océan stocke une énorme quantité de “carbone bleu”. Il est naturellement absorbé par les animaux marins et reste piégé dans les sédiments des fonds marins pendant des milliers d’années après leur mort, nous aidant ainsi à freiner le changement climatique.
... - Perturber la chaîne alimentaire
... - Sommes-nous vraiment prêt·es à détruire des trésors sous-marins que nous connaissons encore si peu ?
...
Actualités, Travail, Entreprise et Industrie
Comme souvent en période électorale et dans le contexte d’annonce de nouveaux investissements dans le nucléaire civil, le débat se relance sur la sécurité des centrales, en France et dans le monde, et l’exigence de sûreté pour les populations. Pour nous éclairer sur ces sujets complexes, Progressistes est allé à la rencontre de Tristan Kamin, ingénieur en sûreté nucléaire et habitué de la vulgarisation scientifique autour des enjeux de l’électronucléaire et de l’écologie.
Entretien accordé par Tristan Kamin, ingénieur en sûreté nucléaire, et réalisé par Thomas Liechti, membre du comité de rédaction de Progressistes.
...
la transparence est bénéfique à la culture de sûreté (transmission de l’information, retour d’expérience, obligation d’être aussi clean que raisonnablement possible…), mais nuisible à la sécurité, car révéler des vulnérabilités structurelles ou organisationnelles servirait évidemment la cause d’une personne ou d’un groupe malveillant.
...
la défense en profondeur consiste à tout faire pour prévenir les accidents, tout en postulant qu’ils peuvent se produire quand même, et savoir en limiter les conséquences.
...
Ce sont notamment les conférences de Jean-Marc Jancovici qui, pendant mes études, m’ont fait ouvrir les yeux sur les sujets du climat (dont il serait une litote de dire qu’il m’intéressait très peu jusqu’alors) et des risques liés à l’approvisionnement en énergie. On peut être en désaccord avec lui sur bien des sujets, mais pour ce qui est d’expliquer le réchauffement climatique, ses risques et le lien avec l’énergie, il est excellent.
...
désinformation entretenue par des organisations réputées écologistes sur le sujet (politiques, ONG…)
...
toute une culture visant à répandre la peur pour susciter un rejet en bloc
...
Cela fait quarante ans que l’on débat sur le nucléaire, et que c’est quasi systématiquement une querelle de chapelles
...
aujourd’hui, les alternatives promises par les opposants au nucléaire ne sont toujours pas au rendez-vous
...
deux contraintes colossales : l’enjeu climatique ... et le fait que le parc nucléaire commence à avoir de l’âge, de sorte que son remplacement à l’horizon de dix ou vingt ans doit impérativement se décider maintenant. Donc, certes, ça fait trente ans qu’on débat… Mais sans trouver de meilleure proposition, il faut en déduire qu’un renouvellement au moins partiel du parc est incontournable – et c’est le consensus qui s’établit à l’échelle mondiale.
...
biais mémoriel avec l’existence d’organisations qui, par intérêt au moins idéologique, travaillent à entretenir la peur du nucléaire et de la radioactivité
...
la question des déchets nucléaires ne devrait, à mes yeux, avoir qu’une place négligeable dans le débat. Entendons-nous bien, le sujet n’est pas anodin, mais les déchets, aujourd’hui, on les gère très bien
...
Les risques d’accident nucléaire ont une place plus que légitime ... risque à très faible probabilité d’occurrence, aux conséquences potentielles graves mais somme toute localisées dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres autour de son épicentre, et que l’on commence à bien savoir maîtriser. En face, le réchauffement climatique : une probabilité de 100 % si l’on ne fait rien, aux conséquences dramatiques et qui concernent le monde entier.
...
Ndlr : - comme JMJ, il disqualifie sans arguments les ENR.
- Il minimise les risques et les conséquences d'un accident nucléaire
- il est prétentieux (voire il ment) sur les déchets sous contrôle, en tout cas il minimise le risque qu'ils génèrent, notamment en éludant les questions de santé à long terme
- il reconnaît la perte de savoir-faire ayant abouti au fiasco de l'EPR Flamanville, mais il ne dit pas un mot des risques liés à la sous-traitance généralisée.
- Conclusion, opposer le risque nucléaire avec le risque climat n'a aucun sens. Personne ne prétend qu'il faut prendre en compte l'un ou l'autre, mais bien LES DEUX. La MAUVAISE FOI EST DONC PATENTE. Et il procède de la manière qu'il dénonce chez les soi-disant adversaires qu'il disqualifie d'emblée sans accepter le dialogue pour aboutir à une synthèse. Enfin, il ment sur l'importance mondiale prétendue ACT
(synonymes : tromperie, perfidie, déloyauté) S'il ne faisait pas système, on pourrait imaginer de la naïveté, mais là, non.
a généré https://twitter.com/TristanKamin/status/1462523380175974404 "Citez vos arguments svp" => rép ACT
ON LES UTILISE POUR AMÉLIORER LES DYNAMIQUES DE GROUPES. LES INITIATIVES DE TRANSITION EN RAFFOLENT. ON LES NOMME FORUM OUVERT
(OPEN SPACE), CAFÉ-DÉBAT (WORLD CAFÉ), SOCIOCRATIE OU DÉMOCRATIE
PROFONDE. COMMENT FONCTIONNENT CES TECHNIQUES ? VOUS TROUVEREZ
ICI UN BREF APERÇU DE QUELQUES OUTILS.
...
Lydia Pizzoglio et Laurent van Ditzhuyzen
Tr : ... horizontalité, verticalité, profondeur (l'humain au centre de l'orga, authenticité), ~organisme vivant pour s'adapter, sentir et ajuster en constance, agilité, vision holistique, globale, être en coresponsabilité, coopération plutôt que compétition, au service d'une raison d'être, se déconditionner, passer d'une pensée binaire à une pensée intégrative, complexe, inclut chemin et résultat. Indicateurs de créativité, complicité, élévation ensemble, posture d'affirmation pour un commun, pas dictat de la bienveillance, colère émotion peut être saine, pas dictat.
Laurent :
Mme : régulation de mon égo, individualisme, rapport homme-femme,
illusion : on a généré l'ambiguité avec "gouvernance". On s'est trompés. Totalitarisme du groupe, dictature du groupe, /conflit changer niveau de maturité. Faire avec nos divergences, créer du ET et pas que du OU. Éradiquer la souffrance était une illusion. /Responsabilité /Co pas si simple. /Resp de l'orga prend soin, investit, du temps, axe stratégique, rien de miraculeux. Apprentissage, Discipline.Injonction à être souverain ne marche pas mieux que "n'ai pas peur". Comment accompagner la montée en puissance de l'individu ? ÊTRE CLAIR sur le périmètre d'autorité. Résilience possible, croissance de l'individu. Fonctionne au rythme de chacun. Espaces de régulation. Responsabilité sociale de l'orga.
Permet du questionnement, empuissancement. Chomsky. Partager nos expériences.
Connu / https://www.lemediatv.fr/communaute/forum/post/47300
Vidéo aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?x-O2Ug
Tribune Un collectif de personnalités, dont Madonna, Cate Blanchett, Philippe Descola, Albert Fert, lancent dans une tribune au « Monde » un appel, initié par Juliette Binoche et Aurélien Barrau, aux dirigeants et citoyens pour changer en profondeur nos modes de vie, de consommation et nos économies.
Tribune. La pandémie de Covid-19 est une tragédie. Cette crise, pourtant, a la vertu de nous inviter à faire face aux questions essentielles.
Le bilan est simple : les « ajustements » ne suffisent plus, le problème est systémique.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Please, let’s not go back to normal
La catastrophe écologique en cours relève d’une « méta-crise » : l’extinction massive de la vie sur Terre ne fait plus de doute et tous les indicateurs annoncent une menace existentielle directe. A la différence d’une pandémie, aussi grave soit-elle, il s’agit d’un effondrement global dont les conséquences seront sans commune mesure.
Nous appelons donc solennellement les dirigeants et les citoyens à s’extraire de la logique intenable qui prévaut encore, pour travailler enfin à une refonte profonde des objectifs, des valeurs et des économies.
Point de rupture
Le consumérisme nous a conduits à nier la vie en elle-même : celle des végétaux, celle des animaux et celle d’un grand nombre d’humains. La pollution, le réchauffement et la destruction des espaces naturels mènent le monde à un point de rupture.
Pour ces raisons, jointes aux inégalités sociales toujours croissantes, il nous semble inenvisageable de « revenir à la normale ».
La transformation radicale qui s’impose – à tous les niveaux – exige audace et courage. Elle n’aura pas lieu sans un engagement massif et déterminé. A quand les actes ? C’est une question de survie, autant que de dignité et de cohérence.
Lynsey Addario, grand reporter ; Isabelle Adjani, actrice ; Roberto Alagna, chanteur lyrique ; Pedro Almodovar, réalisateur ; Santiago Amigorena, écrivain ; Angèle, chanteuse ; Adria Arjona, actrice ; Yann Arthus-Bertrand, photographe, réalisateur ; Ariane Ascaride, actrice ; Olivier Assayas, réalisateur ; Josiane Balasko, actrice ; Jeanne Balibar, actrice ; Bang Hai Ja, peintre ; Javier Bardem, acteur ; Aurélien Barrau, astrophysicien, membre honoraire de l’Institut universitaire de France ; Mikhail Baryshnikov, danseur, chorégraphe ; Nathalie Baye, actrice ;
...
Bob Wilson, metteur en scène ; Lambert Wilson, acteur ; David Wineland, Prix Nobel de physique ; Xuan Thuan Trinh, astrophysicien ; Muhammad Yunus, économiste, Prix Nobel de la paix ; Zazie, chanteuse.
29 259 vues - 2,5 k - 42 - 83 k abonnés
Dans cette quatrième vidéo sur les déchets radioactifs, je vous parle enfin du mode préférentielle pour la gestion à long terme (sur des dizaines de milliers d'années) des déchets radioactifs les plus dangereux: le stockage géologique profond. Après un résumé rapide des épisodes précédents, je rappelle la problématique: Comment s’assurer que la radioactivité des déchets de haute activité et de moyenne activité à vie longue ne présente pas de risques pour l’environnement et les sociétés humaines sur le long terme.
Je présente les principes généraux du stockage géologique profond avant d'exposer la fascinante anecdote des réacteurs naturels d'Oklo (10:28). Je me concentre ensuite le projet Cigéo: le projet français de stockage géologique profond (14:22). J'y aborde pleins d'aspects différents: refroidissement des colis (17:33), impacts des fuites de radionucléides (22:26) ou encore la question de la mémoire (24:42). Je prends aussi le temps d'expliquer l'impact de ce stockage sur les émissions de CO2 du nucléaire (32:40) et je touche quelques mots des opposants et de Greenpeace en particulier (35:39) avant de conclure (39:00).
Vous trouverez des détails sur des alternatives au stockage géologique profond, ce qu'on pourrait faire en cas de problème majeur, la problématique du dégagement d'hydrogène, des incendies, des déchets bitumineux et quelques minutes sur la situation dans le monde dans la vidéo annexe: https://youtu.be/_GvOOfDA-E0
Sources détaillées et informations complémentaires ici: https://www.lereveilleur.com/le-stockage-geologique-profond-des-dechets-radioactifs/
Le texte de la vidéo est disponible ici: https://docs.google.com/document/d/18WG3JjczYmjxL0vrVWPZ9RnCMoPZ3oTmuaKawjtwnBY/edit%3Fusp%3Dsharing
Merci à Tristan Kamin (https://twitter.com/TristanKamin) qui m'a aidé sur quelques points techniques et a relu mon script. Merci à l'ANDRA qui a pris le temps de répondre à mes questions et de relire le script. Merci également à Mikaël C., Aurélien C., Carole C., Damien H., Paul E. et Aurélien D. pour la relecture du script !
...
Catégorie Éducation 641 commentaires
Épinglé par Le Réveilleur il y a 3 mois (modifié)
Erreur !
23:00 Je dis que la dose maximum en surface sera de l'ordre du millionième de la radioactivité naturelle. Or, la radioactivité naturelle est de quelques mSv/an et on voit que la dose maximale se rapproche du microsievert/an donc du millionième de sievert/an mais du millième de la radioactivité naturelle !
J'aurais donc dû dire millième au lieu de millionième. Une erreur d'un facteur 1000 ! (qui ne change pas le message lui-même, ça reste faible devant la radioactivité naturelle).
En plus, je l'ai changé au dernier moment, lors d'une énième relecture en pensant m'être planté...
Merci au commentaire qui m'a pointé l'erreur du doigt !
20
Le Temps de Cerveau Disponible il y a 1 mois
Accuser greenpeace de vouloir laisser la charge des déchets, après avoir fait ta pub sur le stockage sur ta chaine de lobbyiste pro-nucléaire c'est croquignolesque.
Les pro-nucléaires ça ose tout, ça à ça qu'on les reconnait....
Le Réveilleur il y a 1 mois
@Le Temps de Cerveau Disponible Bah je n'invente rien. Il prône le stockage en surface qui nécessite une surveillance ad vitam aeternam... Donc il milite pour laisser la charge sur les générations futures.
5
Frédéric Glédel il y a 1 mois
comme dit dans la vidéo il ne s'agit pas d'être pro ou anti nucléaire, il s'agit de traiter un problème de déchets qui existent déjà, donc le "pronucléaire...." est hors sujet. Est-ce que GP propose autre chose que le stockage en surface ? non, donc cette surveillance restera aux générations futures (à moins que vous ayez un lien prouvant que GP est pour autre chose). Par contre que le temps de refroidissement en surface soit de 60 à 80 ans pose un gros problème vu que nous allons plutôt vers une période de décroissance énergétique et économique. GP a tort de s'opposer à Cigéo mais peut-être que ce site ne servira jamais (pour d'autres raisons que de plaire politiquement aux écolos)
SwAY256 il y a 1 mois
@Le Temps de Cerveau Disponible Quel belle argumentation ...
Olivier R il y a 1 jour (modifié)
@Frédéric Glédel "les écolos" c'est un terme très amalgamant dans votre phrase. Greenpeace ne représente pas "les écolos", et derrière le mot "écologie" il y a plein de choses différentes. C'est d'abord une science (celle des écologues), c'est aussi quand on parle d'écologistes un souci citoyen pour la protection de la nature (faune, flore), pour certains c'est juste "manger saint", santé et bien-être individuel.
Tout dénigrer derrière le mot "écolo" c'est le procédé de l'homme de paille.
Moi je m'intéresse à l'écologie en tant que science, je suis soucieux de la protection d'espaces naturels, de flore et de faune, et je pense aussi que Cigeo est la meilleure solution disponible pour les déchets.
Frédéric Glédel il y a 1 jour
@Olivier R je suis d'accord avec vous, mais dans mon idée, au moment j'ai dit écolos, il s'agissait plus de l'image que les politiques sa faisaient des "écolos", image dans laquelle gp et consorts sont "sûrement" surreprésentés car très actifs
...
Ndlr : un lfi-e (lf) /mel du 25/3 :
"
[~10:25] au moment où le présentateur parle des réacteurs nucléaires naturels du Gabon. Il y a là une véritable arnaque.
Il dit : ces réacteurs ont environ 2 milliards d’années. Vrai. Il dit qu’il ont généré le “méchant” plutonium parmi d’autres “aussi méchants produits”. Vrai. Il dit encore que ce plutonium (sans citer que c’est le 239) n’a pas migré : il n’a pas bougé de plus de quelques cm depuis cette époque. Sa conclusion : on peut l’enfouir car il ne bougera pas.
L’arnaque réside dans l'affirmation que le Pu239 de ces réacteurs naturels n’a pas migré, du fait ce je ne sais quel phénomène. En réalité, il y a belle lurette qu’il n’y en avait plus ; quelque chose qui n’existe plus ne peut pas migrer, sinon cela n’a pas de sens. En effet un petit calcul basique montre que la radioactivité de ce Pu239 (période 24.000 ans) créé il y a 2 milliards d’années a été divisée par 1000 (1024 en réalité, mais simplifions) au bout de 240.000 ans, soit 10 périodes, puis par 1.000.000 au bout de 2.400.000 ans, soit 20 périodes. Il commence à ne plus en rester beaucoup.
Poursuivons le calcul au bout de 30 périodes son activité aura été divisée par 1 milliard. Or entre l’existence de ces réacteurs naturels gabonais et notre époque, c’est 1.000.000 de périodes qui se sont écoulées. Il ne reste donc plus aucune trace de Pu239 depuis bien longtemps.
Dans 1 milliard d’années le Pu239 enfoui à Bures ne posera évidemment plus de problème ; car il n’y en aura plus. Alors qu’au bout d'un million d’années ce sera encore un problème. C’est pour cela que l’ANDRA parlait de dangerosité jusqu’à 1 millions d’années (Voir mon mail du 21 mars).
"
0 - ... un monde dit « moderne » bâti sur le modèle impérialiste qui prend en partie ses racines dans le patriarcat. Cette forme nourrit une relation duelle entre dominants et dominés.
Ce modèle a engendré des organisations centralisées, pyramidales et hiérarchiques. ... créent des systèmes déresponsabilisant, culpabilisants, parfois violents, pour certains et une façon démesurée de valoriser l’égo pour d’autres. C’est un modèle construit sur la peur. => confiance ...
Sortir des rapports dominants-dominés
... le pouvoir d’agir reprend sa place afin de s’extraire de sa position de victime ou de persécuteur. Le pouvoir est une face d’une pièce, dont l’autre est la responsabilité.
Une gouvernance en trois dimensions
Le fantasme du tout horizontal qui est une façon de faire opposition au tout vertical du modèle dominant peut induire une forme d’égalité dogmatique où tout devrait être décidé par tous. Le tout horizontal devient alors un dictat qui réinstalle en polarité les écueils du tout vertical. On remplace l’autoritarisme d’une personne par l’autoritarisme du groupe, c’est-à-dire que rien ne peut se faire sans son accord.
La dimension verticale en gouvernance partagée est assumée, souhaitée et entretenue. -> saine verticalité rendre à l’individu sa capacité à exprimer sa souveraineté, sa créativité singulière, sa différence, son talent.
... La dimension de la profondeur est cet espace sensible que nos organisations classiques ont mis de côté, voir considéré comme tabou ... Enfin, changer la culture du conflit stigmatisé comme négatif vers une vision du conflit fécond, qui quand il est accueilli et géré est source de croissance nous ouvre les portes vers la maturité du groupe et donc son efficience.
Le chemin autant que le résultat
...
Une raison d’être évolutionnaire
... passer d’un paradigme du prévoir et contrôler, à un paradigme du ressentir et ajuster ... Si nous interagissons et produisons radicalement autrement, peut être produirions nous autre chose, vers d’autres objectifs ?
... revisiter l’ensemble de notre façon de penser la société
Article paru dans la revue Alternatives non-violentes N° 191 I juin 2019
L’art de partager le pouvoir, Nouvelles gouvernances
Ndlr :
- Le changement de paradigme (passer du prévoir&contrôler au ressentir&ajuster) colle formidablement bien avec celui du changement d'ère géologique, l'anthropocène donc PLPDLA ! Valoriser ACT
- cette "saine verticalité" coconstruite peut être qualifiée de "VERTICALITÉ ASCENDANTE", contrairement à la verticalité descendante traditionnelle. Dans les cas où les deux coexistent dans une organisation, si elles ne sont pas articulées, il y aura des problèmes ! Constat que l'on peut faire dans de nombreuses organisations actuelles... Valoriser ACT
Le débat public français sur la gestion des matières et déchets radioactifs se termine le 25 septembre. En Suisse, Reporterre a pu visiter les installations d’entreposage à sec, défendu par certains experts comme alternative à l’enfouissement définitif. La France privilégie l’immersion en piscine et une complexe filière de retraitement.
...
Le Swilag a été conçu pour cinquante ans d’exploitation, avec une capacité totale de 200 canisters. Alors que certains experts défendent l’entreposage à sec comme alternative à l’enfouissement définitif, il n’a pas été pensé comme une solution définitive pour les 100.000 mètres cubes de déchets radioactifs qui resteront sur les bras des Suisses, après la fermeture et le démantèlement de toutes les centrales. Le 21 novembre 2018, le Conseil fédéral a approuvé le programme de gestion des déchets nucléaires déposé en 2016, qui préconise, comme en France, un enfouissement en couche géologique profonde. Trois zones ont déjà été identifiées : Zürich Nordost, Jura Ost et Nördlich Lägern.
14h04
sciences bactérie recherche
7 218 vues - 52 -2
Intervenants : Béatrice Joyeux-Prunel, Alexandre Cadain et Grégory Chatonsky
Cette première séance de l’année servira d’introduction au thème qui sera abordé en 2017-2019 : l’imagination artificielle.
L’imagination artificielle (ImA) est un concept relativement nouveau dont on retrouve la trace dès les années 60 dans des textes cybernétiques sur la créativité assistée par ordinateur (Kaufmann, A. L’imagination artificielle RAIRO — Operations Research — Recherche Opérationnelle, Tome 3 [1969] no. V3, p. 5-24) et au début des années 90 (Lévy, P. [1991]. L’idéographie dynamique : vers une imagination artificielle ? La Découverte.). Mais ce sont sans doute les premières expositions d’art cybernétique qui mettent en œuvre au plus proche cette question, en particulier Cybernetic Serendipity en 1969.
Pendant l’été 2015, Google popularise la production d’images automatisées avec Deep Dream et remet sur le devant de la scène, aux côtés de Facebook, IBM, Microsoft et tant d’autres, les réseaux récursifs de neurones qui ont été inventés dans les années 80. Depuis lors les publications se succèdent et la machine semble étendre son champ de production à des domaines traditionnellement considérés comme spécifiquement humains.
Il s’agira non seulement de prendre connaissance des avancées concrètes de l’ImA, mais aussi, à travers des interventions provenant de plusieurs disciplines, de la constituer conceptuellement de façon rigoureuse. Notre approche de l’ImA sera donc restreinte à l’apprentissage profond et ne devra pas s’entendre de tous dispositifs « créatifs » ayant une part technologique plus ou moins grande.
Catégorie People et blogs 0 commentaire
connue /
https://twitter.com/elieallouche/status/1047422310444150784
"
François BOCQUET a retweeté
Elie Allouche
@elieallouche
3 hil y a 3 heures
Qu’est-ce que l’imagination artificielle ? https://youtu.be/t6Uh5d9-hnY via @ENS_ULM cc #gtnum @ClaudioCimelli @fbocquet
0 réponse 2 Retweets 1 j'aime
"
Le devenir du carbone dans les sols contribue à réguler la teneur en CO2 de l'atmosphère ainsi que la fertilité des agro-écosystèmes. Des chercheurs de l’Inra, du CEA et du CNRS apportent une quantification inédite de la cinétique de renouvellement du carbone des sols en fonction de sa profondeur d’enfouissement et de ses déterminants anthropiques et climatiques. Cette étude parue le 11 juillet 2018 dans la revue Nature ouvre des perspectives pour mieux apprécier l’évolution du cycle du carbone.
...
Le renouvellement du carbone en profondeur résulte de la savante contribution de la faune qui mélange les sols – on parle de bioturbation – jusqu’à quelque 70 cm de profondeur ; des racines, apportant du carbone jusqu'à environ 2 m, et des décomposeurs qui dégradent les matières organiques, un processus qui s’estompe progressivement en profondeur.
...
Il en découle un fort gradient vertical de la dynamique du carbone, que les scientifiques ont notamment mesuré pour l'ensemble des zones tropicales où l'âge médian du carbone s'échelonne ainsi de 7 ans, en surface, à 1 250 ans, à 1 m de profondeur. Ils ont de façon plus générale, mis en évidence que la dynamique du carbone dans les couches superficielles (0 -30 cm) est sept fois plus rapide que dans les couches plus profondes (30 cm – 1 m).
...
De façon globale, le carbone qui est renouvelé est incorporé pour moitié entre 0 et 10 cm de profondeur et pour moitié au-delà. Cette profondeur médiane est de 9 cm en forêt contre 17,5 cm dans des sols cultivés, soulignant l’impact de l’usage des sols et notamment des pratiques agricoles sur le renouvellement du carbone.
Cependant, même dans la partie superficielle des sols tempérés cultivés, l'âge du carbone organique est élevé, de l'ordre de 75 ans, traduisant le fait que les matières organiques de nos sols actuels sont l’héritage de leur gestion par plusieurs générations d'agriculteurs.
Les chercheurs ont mis en évidence que la contribution des couches profondes du sol au carbone jeune dépend peu de la température, mais davantage des précipitations : elle est plus forte en climat sec, probablement parce que l'enracinement des végétaux est alors plus profond.
...
La gestion du carbone organique des sols est un enjeu de premier plan pour la productivité et la durabilité des agrosystèmes, l'environnement ou les politiques publiques, qui doit se faire à long terme, comme celle d'un capital pour les générations futures, en prenant désormais en compte le carbone profond des sols.
...
Ces travaux ont été réalisés dans le cadre du projet Dedycas - Le carbone des sols, système dynamique dépendant de la profondeur : nouveaux concepts, mesures et modélisation (Agence nationale de la recherche, 2015-2018).
4 vidéos de conférences réalisées par Benjamin Bayart Président de FDN, plus vieux fournisseur d’accès à Internet français encore en activité.
Comme c’est souvent le cas lorsque quelqu’un maîtrise parfaitement un sujet, le discours est clair, limpide et accessible à tous, rendant évidentes des notions qui paraissent compliquées. En démystifiant le côté technique d’Internet, Benjamin Bayart nous dévoile les vrais enjeux qui se cachent derrière le fonctionnement du réseau, pour finalement en tirer des conclusions sur les impacts politiques et sociétaux.
17 commentaires