Créé en 2013, Socialter est un magazine papier bimestriel disponible en kiosque dans toute la France.
Socialter se penche sur les idées nouvelles qui peinent à émerger dans le débat public. Loin des solutions toutes faites et des approches dogmatiques, avec une ligne qui questionne plus qu’elle n’impose, Socialter entend repolitiser le débat avec une question en tête : comment faire évoluer la société vers plus de justice, plus de démocratie, dans le respect des équilibres écologiques ?
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Socialter est une publication périodique et un site d'information politique et générale (IPG)
Directeur de la publication : Olivier Cohen de Timary
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Découvrez les cellules à mémoire interne : les LSTM - Initiez-vous au Deep Learning - OpenClassrooms
Dans ce chapitre, nous allons découvrir les cellules à mémoire interne : les LSTM et comprendre le mécanisme des portes de contrôle. Ensuite, nous allons assimiler l'utilisation des LSTM en couches et comprendre l'intérêt des LSTM bidirectionnels et multidimensionnels, et leur fonctionnement.
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ensemble des poids wab sont appris lors de la phase d'apprentissage
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Aller plus loin
- Alex Graves: Supervised sequence labelling with recurrent neural networks. Technical University Munich 2008, pp. 1-117.
- Alex Graves, Jürgen Schmidhuber: Offline Handwriting Recognition with Multidimensional Recurrent Neural Networks. NIPS 2008: 545-552.
- Kyunghyun Cho, Bart van Merrienboer, Çaglar Gülçehre, Fethi Bougares, Holger Schwenk, Yoshua Bengio: Learning Phrase Representations using RNN Encoder-Decoder for Statistical Machine Translation. CoRR abs/1406.1078 (2014).
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Les professeurs
- Romain Herault, Maître de conférences à l’INSA de Rouen-Normandie et membre de l’équipe apprentissage du LITIS.
- Clement Chatelain, Maître de conférences à l'INSA Rouen Normandie/Laboratoire LITIS : Deep Learning, Reconnaissance d'écriture, imagerie médicale, etc.
Des questions se sont posées à propos de notre ligne de l’unité nationale face au terrorisme islamique. En effet, maints font remarquer qu’elle a reçu pour réponse dix jours de diffamation par les ministres de Macron sur le thème lunaire de « l’islamo-gauchisme ». Certes, il ne fait pas de doute selon nos informations que cette charge a été une manifestation de « l’esprit de finesse » de Macron en personne. Mais ceux qui ont douté l’ont fait sur un malentendu.
Il ne s’agit pas « d’union nationale » au sens que ce mot prend dans la sphère politique traditionnelle. L’unité dont nous parlons et celle dont nous nous réclamons n’est pas celle de la sphère des partis politiques. Il s’agit de l’unité du peuple.
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Le peuple qui serait occupé à la lutte des dogmes religieux n’a plus d’énergie pour la lutte de classe contre l’oligarchie et la finance. L’unité dont il est question, c’est celle qui refuse aux terroristes la victoire de leurs objectifs essentiels que sont la peur dans nos rangs et la division dans le peuple. Dans le même registre, dans un passé récent nous parlions « d’unité d’action » face à l’épidémie du Covid.
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bipolarisation de la société ... le macronisme est la clef de voûte la plus friable qui soit. Son verbe est inaudible puisqu’il est mieux porté et mieux assumé par l’extrême-droite ... Après LFI, et puisque la digue était rompue, et puisque c’était désormais sans risque, la vague est passée sur les autres, l’un après l’autre : PCF, LDH, UNEF et ainsi de suite. ... Déjà un groupuscule d’extrême droite a manifesté de nuit pour « décapiter la République ». Ils ne s’arrêteront pas là comme le prouve toute l’expérience de l’histoire.
La polarisation du champ politique est loin d’être achevée, c’est certain. Mais elle se construit sous les coups de marteaux conjugués du covid, du terrorisme islamique et de l’agitation des parleurs d’extrême droite. Épisodiquement, les dégâts du changement climatique percent le blindage informatif. Angoisse à tous les étages. Voilà le véritable adversaire : la sidération, la peur, l’absence de toute perspectives d’un futur différent.
Dès lors, le moment nous commande de nous avancer drapeau et musique en tête. Il s’agit d’entrainer à rebrousse pente le peuple. Il s’agit de rendre possible la concorde sans laquelle on ne peut vivre ensemble. Car ce qui est en cause c’est quand même l’unité du pays. J’espère avoir fait comprendre qu’elle ne peut être autre chose que l’unité de son peuple. Les apprentis sorciers du moment vont finir par le disloquer si on les laisse faire sans contre-offensive.
Mardi 13 octobre prochain, l’INES (Institut National de l’Energie Solaire) organise via Teams Pg une visio conférence consacrée à la technologie du bifacial.
Au programme:
• État des lieux et innovations
• Retour expérience des installations de modules bifaciaux
• Simulation et impact sur le LCOE |
Cette conférence sera animée par des experts de divers instituts et entreprises spécialisés sur le sujet : CEA Liten, EDF Renouvelables, CNR (Compagnie Nationale du Rhône) OPTIMUM TRACKER, Cythelia Energy.
La technologie du bi-facial recèle aujourd’hui un intérêt croissant pour les développeurs. En effet, l’écart des coûts globaux des projets se réduit continuellement. Les promesses de productivité accrue expliquent l’engouement pour cette technologie. Les modules bifaciaux offrent de nombreux avantages pour les centrales au sol ainsi que pour les installations intégrées au bâtiment : gardes corps, canopées, façades, murs anti-bruit, etc. A terme, une implantation généralisée du bifacial favorisera une baisse des coûts des installations par optimisation de la puissance produite par modules ainsi qu’une meilleure gestion des variables de prédiction de la production des modules bifaciaux.
Une entreprise australienne a créé le premier dispositif à énergie thermique opérationnel au monde. Sa batterie pourra stocker l’énergie renouvelable, avec une capacité de stockage supérieure à celle des batteries traditionnelles, tout en étant entièrement recyclable.
La batterie thermique a des fonctionnalités similaires à celles des batteries au lithium-ion et au plomb-acide. Elle peut prendre n’importe quelle forme d’entrée électrique et créer du courant alternatif (CA) ou continu (CC).
Contrairement aux batteries que nous utilisons actuellement, celle-ci peut charger et se décharger en même temps, et plutôt que de stocker une charge électrique, elle convertit l’entrée électrique en chaleur.
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Serge Bondarenko, directeur général de CCT Energy Storage « Nous utilisons du silicium comme matériau de changement de phase, pour ensuite le fondre et stocker la chaleur de celui-ci. »
La capacité de stockage de la batterie thermique est 12 fois supérieure à celle des batteries plomb-acide et cinq à six fois supérieure à celle des batteries lithium-ion.
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nettement moins chère que le plomb-acide et le lithium-ion. Il estime que la durée de vie de la batterie sera d’au moins 20 ans, mais elle n’a pas encore été testée. L’important est que le matériau à changement de phase en silicium ne se désagrège pas, pour que la batterie dure encore plus longtemps. Une fois au terme de sa durée de vie, la batterie peut être recyclée sans laisser de produits chimiques nocifs dans l’environnement.
Manickam Minakshi, expert en matériaux de stockage d’énergie, travaille avec des batteries équivalentes au lithium-ion qui stockent l’énergie dans une substance chimique. Il reconnaît que, bien que tous les dispositifs de stockage d’énergie aient des avantages et des limites, les piles thermiques ont une durée de vie plus longue et une capacité de stockage plus élevée que le lithium-ion. « L’énergie solaire est l’énergie renouvelable la plus abondante », explique-t-il, « et tout surplus d’énergie peut être stocké sous forme d’énergie thermique et être libéré au besoin. Cette nouvelle batterie est une découverte qui offre une voie alternative pour stocker l’énergie renouvelable de manière judicieuse. »
Le prototype du dispositif a été conçu pour la première fois en 2011 par une équipe de scientifiques et d’ingénieurs. L’entreprise travaille aujourd’hui avec des chercheurs de l’Université d’Australie Méridionale afin de réduire le point de fusion du substrat de silicium, ce qui réduira davantage le coût final de la batterie.
Pour Serge Bondarenko, « c’est une formidable collaboration » dans laquelle les deux groupes apprennent l’un de l’autre. Les chercheurs de l’université ont porté la température du matériau à changement de phase à 900 degrés Celsius, puis l’équipe du CCT a amené la température du silicium à 1600 degrés Celsius.
Thermal energy battery
Serge Bondarenko, PDG de CCT Energy Storage (à gauche) et Graham Warburton, directeur de l’exploitation (à droite) avec le dispositif à énergie thermique. CCT ENERGY STORAGE
L’étape suivante consiste à amener le prototype sur le terrain. La technologie est évolutive et offre donc un fort potentiel de stockage d’énergie à grande échelle. Dans un premier temps, l’entreprise vise la « facilité » en se concentrant sur les télécommunications et le remplacement du diesel. Un accord de principe a été conclu avec un grand propriétaire d’actifs de l’industrie australienne des télécommunications présent en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis. La batterie sera opérationnelle d’ici un mois environ.
CCT Energy Storage s’est également associé à l’entreprise européenne MIBA Solutions, qui dispose d’outils de technologie verte, dont un traceur qui concentre la chaleur solaire à l’aide de miroirs. ... aider les collectivités éloignées à ne plus dépendre des groupes électrogènes diesel. Un projet est actuellement à l’étude pour aider une communauté isolée du nord-ouest de l’Australie à se mettre hors réseau. ... CCT Energy Storage est sur le point de signer une licence de distribution avec un projet d’éco-habitat au Royaume-Uni pour contribuer à la réalisation d’objectifs de développement durable hors réseau.
« Ils utilisent l’énergie provenant de solutions renouvelables pour le bien des communautés », explique Serge Bondarenko. « L’énergie qu’ils n’utilisent pas, ils la réinjecteront eux-mêmes dans le réseau ou la vendront à d’autres.
Cette PME savoyarde va déployer son autodiagnostic connecté SolisDiag pour équiper tous systèmes de chauffage solaire bi-énergie et en accroître l'efficacité.
Solisart, qui revendique 20 % du marché, sous-traite la fabrication de ses dispositifs à l'entreprise d'insertion savoyarde CTAM.
Solisart
Début avril, les 1.400 installations de chauffage solaire bi-énergie qui portent l'estampille Solisart vont bénéficier de SolisDiag, un autodiagnostic intégré. « Un logiciel va gérer l'intégralité de l'installation de chauffage solaire, de la chaudière au chauffe-eau, assurer son bon fonctionnement et prévenir les installateurs par l'envoi d'e-mails d'actions préventives ou correctives à réaliser », explique Olivier Godin, président