Blog : Le blog de denis bismuth - 1 recommandé
Le covid a été révélateur de nombreuses failles et faillites. Une des failles mise en lumière est la faille de la recherche. Peut etre serait-il temps que la recherche sorte de sa position hégémonique de juge de ce qui est vrai ou pas et qu’elle retrouve sa fonction : rendre intelligible le réel.
3 min - Disponible du 18/05/2020 au 30/04/2023
Père de famille et réalisateur, Brett Gaylor s’inquiète de perdre la guerre des écrans avec ses enfants. Mais que se passe-t-il quand internet n’est plus seulement dans les téléphones et les tablettes, mais qu’il connecte tous les objets ? En rendant sa maison intelligente, Brett va tenter de comprendre l’impact et les contreparties cachés dans les objets connectés.
Des sonnettes à la police de Los Angeles, des bracelets intelligents à la voiture autonome, les objets connectés sont partout. Mais que se passe-t-il quand on met de l’internet dans tout ? Le réalisateur Brett Gaylor en a fait l’expérience et nous fait découvrir la contrepartie cachée dans chaque objet connecté.
Réalisation : Brett GAYLOR Producteur/-trice : Eyesteelfilm Upian Auteur : Brett GAYLOR Pays : Canada France Année : 2019
Transcription : ... Peur ...
(2/5) - Alexa, Save The Planet
La maison de Brett Gaylor s’agrandit : Alexa fait maintenant partie de la famille. Mais elle est très gourmande ! Brett et sa fille Layla essaient de comprendre comment fonctionne l’intelligence artificielle et où vont toutes ces données. Derrière cet objet, loin du cocon familial, se cache un combat écologique.
Des sonnettes à la police de Los Angeles, des bracelets intelligents à la voiture autonome, les objets connectés sont partout. Mais que se passe-t-il quand on met de l’internet dans tout ? Le réalisateur Brett Gaylor en a fait l’expérience et nous fait découvrir la contrepartie cachée dans chaque objet connecté.
impact climatique de l'IA : immense consommation d'énergie, ém ges ~5 voitures /amazon 54% d'élec issue d'én fossile, san francisco le + pollué à l'ozone, conditions sociales déplorables, loi du silence,
(3/5) - Des bracelets aux petits soins
Garder la forme, mais à quel prix ? Suivez quatre colocataires parisiens que Brett a mis à l’épreuve. Armés chacun d’un bracelet connecté, ils génèrent des données à chaque seconde, et pas seulement sur leurs pratiques sportives…
Des sonnettes à la police de Los Angeles, des bracelets intelligents à la voiture autonome, les objets connectés sont partout. Mais que se passe-t-il quand on met de l’internet dans tout ? Le réalisateur Brett Gaylor en a fait l’expérience et nous fait découvrir la contrepartie cachée dans chaque objet connecté.
Tr : le FitBit, trackeur, racheté par google, les cies d'assurance cherchent à avoir accès à ces données, monétisent ces données,
(4/5) - Des voitures pas si intelligentes
Dans les voitures du futur, le pilote sera un ordinateur. Pour voir ce qui nous attend, Brett part à la rencontre de chercheurs mais aussi de hackeurs. Et il n’est pas sûr de rendre les clés de sa vieille Subaru tout de suite…
Des sonnettes à la police de Los Angeles, des bracelets intelligents à la voiture autonome, les objets connectés sont partout. Mais que se passe-t-il quand on met de l’internet dans tout ? Le réalisateur Brett Gaylor en a fait l’expérience et nous fait découvrir la contrepartie cachée dans chaque objet connecté.
Dijon, 1ère ville connectée en fr, capteurs en wifi, cisa hackeur bienviellant,
(5/5) - Surveillés par nos sonnettes
Les sonnettes intelligentes sont rassurantes : grâce à elles, on peut voir qui se trouve sur son palier. Quand Brett a installé la sienne, il s’est demandé de qui il cherchait à se protéger. Grâce à elles, nos préjugés et nos peurs risquent-ils de créer de nouveaux ghettos ?
Des sonnettes à la police de Los Angeles, des bracelets intelligents à la voiture autonome, les objets connectés sont partout. Mais que se passe-t-il quand on met de l’internet dans tout ? Le réalisateur Brett Gaylor en a fait l’expérience et nous fait découvrir la contrepartie cachée dans chaque objet connecté.
motherboard journalistes, système ring (amazon), surveillance, predpol algo s'appuie sur le soupçon, frontière numérique pour les riches, plutôt que de s'occuper de la pauvreté,
(6) Le business des objets connectés
A l’heure où les objets et les espaces connectés ne se comptent plus, Internet de tout et n'importe quoi dresse un tableau de l’omniprésence du numérique et examine ce qui se passe lorsque nous adoptons la commodité des objets « intelligents » sans comprendre pleinement les conséquences pour la santé, la société ou la planète.
Plus moyen d’échapper à Internet. A l’heure où les objets et les espaces connectés ne se comptent plus, certains estiment vivre une utopie futuriste, d’autres un cauchemar où la surveillance est généralisée. Internet de tout et n'importe quoi dresse un tableau de l’omniprésence du numérique et examine ce qui se passe lorsque nous adoptons la commodité des objets « intelligents » sans comprendre pleinement les conséquences pour la santé, la société ou la planète.
Le sympathique Brett Gaylor est notre guide pour cette découverte des personnes et des lieux qui font fonctionner l’« Internet des objets ». Il rencontre Kristina Cahojova, fondatrice d’une start-up qui développe un appareil permettant de transmettre dans le cloud des données de fertilité à partir du vagin de ses utilisatrices. La journaliste Nellie Bowles lui présente une victime de violences conjugales terrorisée par son ex dans leur maison « intelligente ». En Chine, il découvre des citoyens récompensés pour leur comportement conforme aux normes sociales, tandis qu’à Toronto, l’activiste Bianca Wylie se demande si avec le projet de Sidewalk Labs, les habitants n’ont pas signé pour être les rats de laboratoire d’Alphabet. L’économiste Jeremy Rifkin voit quant à lui dans les disruptions numériques les signes d’une 3e révolution industrielle. Pour autant, ce processus transforme-t-il toutes les expériences personnelles en valeurs marchandes ?
Misant sur l’humour et un rythme enlevé, Internet de tout et n'importe quoi éclaire les vastes ramifications du Net d’aujourd’hui. S’il se fait l’écho du « techlash », il ne tombe pas pour autant dans la nostalgie d’une époque plus simple ou dans le pessimisme catastrophiste. A sa manière, Internet de tout et n'importe quoi incarne la première devise du Web : « Let’s share
what we know. ».
T : le business est de savoir le maximum de choses... violences conjugales technologiques, persécussions technol. ! ... Shenzen tencent alibaba waïhaï ; pb du co2 ; canada, maintien de l'ordre prédictif, >>pb d'éthique ! ... ville ajustable (adaptative) à Barcelone, les données un bien commun et non un capitalisme de surveillance ; produire localement tout ce dont la ville a besoin, pj fabcity, ... un futur sans pétrole, partager le savoir, ... ce film présenté à IDFA 2017
Connues / https://twitter.com/insadelyon/status/1270244250706419717
"
INSA Lyon @insadelyon · 20h
Ordinateur Toile d'araignée Cadenas Garder la forme, mais à quel prix ?
Homme qui court 🏃🏻♀️ Avec l'interview de Mathieu Cunche @Cunchem, enseignant-chercheur à l’INSA Lyon. A voir sur @ARTEfr dans la série "Internet de tout et n’importe quoi". #restonsenlien I #Résilientes #8 => http://ow.ly/UbLJ50A1ubB - 1 - 6 - 15
"
Nicole Corsyn a retweeté Rédaction Archimag @ArchimagRedac · 15 mars ➡ http://bit.ly/2UQWuMu
.#veille #veilleur #IA #AI #Datavisualization #dataviz #IE .#intelligence #IntelligenceArtificielle #datamining .#MachineLearning #marketintelligence #elearning
0 - 12 - 4
Que se cache-t-il derrière l'éclair de génie qui frappe la plupart des prix Nobel et autres grands savants ? Les scientifiques tentent de traduire la grammaire de notre petite voix intérieure. Certains mécanismes leur échappent encore.
Sciences & Prospectives
Vue holographique de neurones interconnectés recevant des impulsions électriques. (Photo Getty Images/iStockphoto)
Comment s'explique l'éclair de génie ? Serions-nous dotés d'une intelligence rapide empruntant d'autres circuits que ceux impliqués dans la réflexion ? De plus en plus de chercheurs suggèrent que cette idée a bien un fondement scientifique et les expériences se multiplient pour en révéler l'existence. A l'Ecole de psychologie de l'université australienne de Nouvelle-Galles du Sud, Joel Pearson a mené une curieuse expérience qui en apporterait selon lui la preuve. Il a projeté à plusieurs dizaines de ses étudiants une tempête de neige sous forme de pixels informatiques à l'écran, entrecoupée de flash furtifs d'images « émotionnelles », soit positives (des chiots mignons, de belles fleurs), soit négatives (un serpent, une arme à feu…).
Cet article est réservé aux abonnés
Les promoteurs de la 5G ne lésinent pas sur les superlatifs envers cette nouvelle génération de télécommunications. Mais elle suppose des dizaines de milliers d’antennes. Coût, espace, santé : autant de questions pour l’instant sans réponse. Explication.
...
Des antennes directives plus « intelligentes »
...
Orange, SFR, Bouygues Télécom et Free sont sur les rangs et ont déjà commencé les premiers tests (voir cette carte https://www.arcep.fr/cartes-et-donnees/nos-publications-chiffrees/experimentations-5g-en-france/tableau-deploiements-5g.html)
...
[1] Voir page 33 du rapport https://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/rapport-enjeux-5G_mars2017.pdf.
120 095 vues - 701 - 29
Conférence de Michel Serres sur les nouvelles technologies lors du 40è anniversaire de l'INRIA en 2007.
Catégorie Science et technologie 66 commentaires
Connue / https://twitter.com/mlebrun2/status/1135787004795523072
"
François BOCQUET a retweeté
Marcel Lebrun @mlebrun2 4 juin
Une des vidéos de Michel Serres que je préfère, je l’ai souvent utilisée en formation : « les technologies nous condamnent à devenir intelligents » - Les nouvelles technologies : révolution culturelle et co... https://youtu.be/ZCBB0QEmT5g via @YouTube
4 réponses 91 Retweets 136 j'aime
"
.#lesgiletsjaunes
59 540 vues - 1,1 k - 25
Catégorie
People et blogs
267 commentaires
Clés : énergies fossiles changement climatique nucléaire gaz naturel énergies renouvelables électricité décarbonation réseaux intelligents croissance verte France politique énergétique
7 218 vues - 52 -2
Intervenants : Béatrice Joyeux-Prunel, Alexandre Cadain et Grégory Chatonsky
Cette première séance de l’année servira d’introduction au thème qui sera abordé en 2017-2019 : l’imagination artificielle.
L’imagination artificielle (ImA) est un concept relativement nouveau dont on retrouve la trace dès les années 60 dans des textes cybernétiques sur la créativité assistée par ordinateur (Kaufmann, A. L’imagination artificielle RAIRO — Operations Research — Recherche Opérationnelle, Tome 3 [1969] no. V3, p. 5-24) et au début des années 90 (Lévy, P. [1991]. L’idéographie dynamique : vers une imagination artificielle ? La Découverte.). Mais ce sont sans doute les premières expositions d’art cybernétique qui mettent en œuvre au plus proche cette question, en particulier Cybernetic Serendipity en 1969.
Pendant l’été 2015, Google popularise la production d’images automatisées avec Deep Dream et remet sur le devant de la scène, aux côtés de Facebook, IBM, Microsoft et tant d’autres, les réseaux récursifs de neurones qui ont été inventés dans les années 80. Depuis lors les publications se succèdent et la machine semble étendre son champ de production à des domaines traditionnellement considérés comme spécifiquement humains.
Il s’agira non seulement de prendre connaissance des avancées concrètes de l’ImA, mais aussi, à travers des interventions provenant de plusieurs disciplines, de la constituer conceptuellement de façon rigoureuse. Notre approche de l’ImA sera donc restreinte à l’apprentissage profond et ne devra pas s’entendre de tous dispositifs « créatifs » ayant une part technologique plus ou moins grande.
Catégorie People et blogs 0 commentaire
connue /
https://twitter.com/elieallouche/status/1047422310444150784
"
François BOCQUET a retweeté
Elie Allouche
@elieallouche
3 hil y a 3 heures
Qu’est-ce que l’imagination artificielle ? https://youtu.be/t6Uh5d9-hnY via @ENS_ULM cc #gtnum @ClaudioCimelli @fbocquet
0 réponse 2 Retweets 1 j'aime
"
Lors d'une conférence Ingénieurs et Scientifiques de France/Enviscope,com sur les textiles techniques et intelligents,à l'INSA de Lyon, Christine Browaeys, spécialiste des textiles techniques a présenté un panorama des innovations dans ce secteur, où les implications environnementales sont fortes.
Pour mieux gérer les eaux pluviales urbaines
Parapluie évalue et compare près de 200 000 solutions différentes, constituées de un ou plusieurs ouvrages, de façon à proposer les solutions techniques les mieux adaptées au contexte et à vos préférences. Il permet d'optimiser les dimensions des ouvrages et donc de faire des économies.
Depuis 150 ans la méthode traditionnelle de gestion des eaux pluviales consiste à les évacuer au plus vite de la ville par le réseau d’assainissement. Cette solution pose de nombreux problèmes : elle aggrave les risques d’inondation graves dans les centres villes et accroit l’importance des crues des rivières à l’aval ; elle contribue fortement à polluer les milieux aquatiques ; elle coûte très cher en investissement et en maintenance. De plus elle transforme l’eau de pluie qui constitue une ressource précieuse, en un déchet et en une menace.
De plus en plus de collectivités interdisent ou limitent les rejets d’eau de pluie dans le réseau d’assainissement et imposent de mettre en œuvre des solutions alternatives beaucoup plus durables qui consistent à gérer toute goutte d’eau de pluie au plus près de l’endroit où elle tombe. De façon pratique, il s’agit de conserver l’eau pour la réutiliser, de l’infiltrer ou de la stocker provisoirement de façon à la restituer ensuite lentement au milieu naturel.
Au-delà de l’obligation réglementaire, il y a 6 excellentes raisons de gérer l’eau de pluie à la parcelle :
Parce que c’est bon pour votre confort et votre santé
Un arbre de taille moyenne peut évaporer jusqu’à 500 litres d’eau par jour. Cette évaporation absorbe de la chaleur et abaisse localement la température de plusieurs degrés.
Mettre beaucoup d’eau à la disposition de la végétation est un moyen extrêmement efficace et économique de climatiser votre environnement immédiat.
Parce que c’est bon pour les milieux naturels
Dans les systèmes traditionnels de gestion des eaux de pluie par réseau, les eaux pluviales propres sont mélangées aux eaux usées. Par temps de pluie les débits qui arrivent aux stations d’épuration augmentent de façon extrêmement importante et il devient obligatoire de rejeter une partie du mélange eau usée- eau pluviale sans aucun traitement. Cette pollution est une des causes principales de la dégradation de la qualité des fleuves et des rivières.
Parce que ça diminue les risques d’inondation
En cas de pluie intense, les volumes d’eau produits par le ruissellement sur les surfaces imperméables sont extrêmement importants (300 à 400 m3 par hectare et par heure). Si ces flux sont rejetés dans un réseau, celui-ci les concentre très vite dans les points bas des villes et la capacité des conduites devient souvent insuffisante. Les inondations par débordement de réseau d’assainissement sont en cause dans près de 60% des inondations reconnues comme catastrophes naturelles.
Parce que c’est bon pour votre jardin
La végétation a besoin d’eau. Plus elle en dispose et mieux elle se porte. Infiltrer l’eau de pluie dans son jardin permet de la maintenir en excellente santé en diminuant les besoins d’arrosage.
Parce que c’est bon pour votre portefeuille
Un branchement au réseau coûte très cher. Le branchement des eaux usées est nécessaire. Raccorder les eaux pluviales au même réseau ou à un réseau différent impose un second branchement qui peut parfaitement être évité. De plus la gestion des eaux de pluie à la parcelle peut permettre de faire des économies importantes sur la facture d’eau.
Parce que c’est bon pour la ressource en eau
L’eau est de plus en plus considérée comme une ressource rare et précieuse. Il est donc tout à fait stupide de transformer l’eau de pluie, qui est à l’origine de cette ressource, comme un déchet dont il faut se débarrasser au plus vite. Récupérer l’eau de pluie pour son usage personnel ou l’infiltrer dans le sol et réalimenter ainsi les ressources souterraines constituent donc des solutions de bon sens.
L’ingénieur humaniste, dont nous nous réclamons, doit-il préparer la société techniquement et philosophiquement, à sa rencontre avec l’Intelligence Artificielle ?
Le dossier de la revue Urbanisme montre l’implication des grandes société dans les grandes villes pour promouvoir toujours plus de technologie. Mais Emmanuel Eveno et Jean-Michel Mestres insistent aussi sur le rôle des habitants, ce qui nous remplit d’aise… Nous avons mis en évidence dans le texte qui suit ce paragraphe qui parle des gens et non pas uniquement des ordinateurs, des capteurs, des caméras qui trufferaient la ville intelligente.
NDLR : Les marqueurs de l'ultralibéralisme "économisme", "mondialisme", "technologisme" sont prégnants renforcés par des doutes sur l'éthique car le cadre posé apparaît en 3è chapitre du rapport et non pas en premier. D'autre part, les risques sont-ils VRAIMENT recensés et traités par des propositions de mesures ?
=>
vérifier ACT
Le téléphone intelligent rendrait-il son utilisateur bête ? C’est en tout cas la conclusion osée de cette étude réalisée au Texas. La simple présence du portable sur la table ou dans la poche de son utilisateur suffirait à lui faire perdre une partie de ses capacités cognitives. La raison n’est pas à chercher du côté des ondes émises par l’appareil, car même éteint, le résultat reste quasi identique. C’est plutôt l’addiction au smartphone qui est la cause d’une déperdition cérébrale. En gros, résister à l’appel de l’objet fétiche solliciterait notre cerveau. Bref, cet été, oubliez-le en faisant vos valises !
Les surdoués de l’enfance à l’âge adulte - La Tête au carré mercredi 21 juin 2017 par Mathieu Vidard
Stop aux idées reçues : un grand nombre de surdoués vont très bien, profitent de leurs facilités et des privilèges de leur surdon.
Tous les surdoués ne font pas forcément preuve d’une grande curiosité intellectuelle et ne sont pas forcément tourmentés…
Zoom sur des personnes hors normes
Alors que les surdoués sont victimes de nombreux stéréotypes, Gabriel Wahl s’appuie sur la littérature scientifique pour battre en brèche les idées reçues et décrire le profil psychologique de ces enfants et adultes aux capacités intellectuelles hors normes.
Avec
Gabriel Wahl Pédopsychiatre, auteur de Que sais-je _Les adultes surdoués_ et Les enfants intellectuellement précoces (nouvelle édition) aux PUF.
14h10
Axel Villard
La une de la science
Mieux vaut petite diarrhée que grosse infection.
Les citoyens d’un pays libre ne devraient-ils pas avoir la possibilité de décider quelle technologie ils souhaitent voir installée à leur domicile ? Les Québécois et Californiens, ainsi que d’autres Etats américains, ont obtenu, par leur mobilisation citoyenne, la possibilité de choisir entre compteurs communicants ou non communicants (cf. rapport ANSES du 15/12/2016, p. 7, 49, 56, 61), ainsi que le retrait des compteurs communicants déjà posés pour ceux qui le demandaient. Exigeons le même droit individuel pour les citoyens français !
Résumé :
L'effacement des consommations électriques des ménages ou effacement diffus contribue à l'équilibre du réseau électrique et apporte potentiellement de nombreux bénéfices : diminution de la demande d'électricité en période de pointe, diminution du recours à la production d'électricité par centrales thermiques, diminution des contraintes d'acheminement sur le réseau électrique, meilleure insertion des énergies renouvelables sur le réseau.
L'effacement diffus peut également permettre aux consommateurs de réaliser des économies d'électricité. Ainsi, des coupures d'alimentation du chauffage et de l'eau chaude électrique pendant 15 à 20 minutes par heure permettraient de réaliser les jours où elles sont pratiquées, une économie moyenne de l'ordre de 5 à 8 % de la consommation totale journalière d'électricité.
Lors des effacements, la baisse de la température intérieure (de l'ordre de 0,4 ℃) est faible par rapport à la variation naturelle de la température dans ces logements.
SOURCE : http://www.ademe.fr/effacement-diffus-l
avec
Mots-clés : CONSOMMATION D'ELECTRICITE, ECONOMIES D'ENERGIE, COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR
Date de mise en ligne : Octobre 2012
...
Afin de déterminer la part de l’effacement qui constitue une économie d’électricité pour les consommateurs, l’ADEME et le CSTB se sont associés pour conduire une étude alliant une modélisation thermique à des observations statistiques en période de chauffe sur un panel de 2800 adhérents à l’offre de la société VOLTALIS6
6 VOLTALIS, opérateur d’effacement diffus ayant équipé plus de 100 000 sites, a mis à disposition deux groupes de 1 400 foyers adhérents situés dans l’ouest de la France entre janvier 2012 et avril 2013. Les économies d’énergies ont été mesurées entre un groupe sur lequel des effacements étaient réalisés et l’autre groupe « témoin »
__ndlr : se marie donc avec le "compteur intelligent" de type Linky. Mais alors, pourquoi ne pas communiquer sur la problématique globale, plutôt que d'installer les compteurs "en douce" ?! Pourquoi ne pas l'évoquer dans cette fiche ?
N'est-ce pas bien adapté à la politique "tout électrique" pratiquée par edf depuis les années 1970 pour "vendre" l'énergie nucléaire ?
(ressenti subjectif, avocat du diable ;-(