Qu’est ce que la Médiation par les pairs ?
Le terme de « Médiation par les pairs » peut prêter à confusion. Des malentendus peuvent naitre quand on ne met pas le même contenu derrière les mêmes mots. Il convient donc de définir les termes.
La médiation
On appelle médiation, le processus qui permet, lors d’un conflit, l’intervention de personnes extérieures pour dépasser le rapport de force et trouver une solution sans perdant ni gagnant.
Par les pairs
L’expression « par les pairs » signifie qu’il s’agit de jeunes du même âge ou un peu plus âgés ayant le même statut. Ces jeunes interviennent auprès de ceux qui se disputent, se bagarrent et sont victimes de violence afin de leur proposer leur aide pour trouver une solution négociée.
La médiation par les pairs se caractérise comme une médiation par les jeunes, pour les jeunes, avec les jeunes et entre les jeunes
Le médiateur n’est ni un juge, ni un conseiller, encore moins un arbitre, mais un « catalyseur ». Avant toute pratique, il signe une charte. La Charte du Médiateur dont voici des extraits.
La charte du médiateur
Art. 1. Le Médiateur ne prend pas parti, ne juge pas mais vous aide à trouver une solution à vos difficultés.
Art. 2. Le Médiateur propose son aide dans un esprit de respect mutuel.
Art. 3. Le Médiateur s’intéresse à vos problèmes, vous donne son attention et son temps et vous demande en échange de la bonne volonté.
Art. 4. Le médiateur ne rapporte pas ce que vous lui avez dit : il est discret et a droit à votre confiance.
Art. 5. Le Médiateur n’est pas un magicien, ne lui demandez pas l’impossible.
La véritable solution est entre vos mains
Cette charte a été écrite par des jeunes médiateurs de Sarcelles. Elle expose les principes de la médiation. Chaque médiateur volontaire signe cette charte au moment où il devient médiateur.
Les témoignages des jeunes révèlent une dimension formatrice et humaine essentielle issue de cette pratique de formation. Devenus adultes, les médiateurs disent l’accroissement de leur confiance en eux et l’apport dans leur vie relationnelle et professionnelle. Lisez les témoignages des jeunes.
80 Rue de l'Abbé Carton, 75014 Paris
01 56 24 16 78
generations-mediateurs@orange.fr
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Description
Psychothérapeute certifiée titulaire du CEP, Martine Lebrun-Gauthier est à l'écoute des adultes, des enfants, des adolescents et des familles en séances individuelles. Sa méthode de référence est l'analyse psycho-organique selon une perspective de travail humaniste.
Martine Lebrun-Gauthier exerce sa profession en cabinet libéral à Angoulême dans le département de la Charente. Elle pratique également l'EMDR et la psychogénéalogie (approches transgénérationnelles).
La psychothérapeute Martine Lebrun-Gauthier est membre de SOFRAPSY et de la Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse (FF2P)
Leurs histoires, touchantes, révoltantes, édifiantes ou inspirantes, nous disent quelque chose de notre actualité. Ils ont accepté de venir face à la caméra du Média pour les partager, et si possible nous bousculer et modifier nos perceptions.
Face à la crise sanitaire, au mépris du gouvernement et à la précarité, la jeunesse continue de se mobiliser et d'exprimer son ras-le-bol. Lycéens et étudiants appellent à une journée de mobilisation le 3 février, partout en France, pour « passer de génération sacrifiée à génération révoltée ».
Colin Champion, président du syndicat La Voix Lycéenne, est venu sur le plateau du Média TV, pour rappeler aux jeunes l'importance de mener la lutte et de faire entendre leurs revendications dans la rue, seul moyen selon le lycéen, de se faire entendre par un gouvernement qui maltraite et réprime.
Les images des rassemblements « Justice pour Adama Traoré » ce mardi sont impressionnantes de calme et de détermination tranquille. La colère est froide. Elle est maitrisée d’une façon spectaculaire. Les provocateurs de l’extrême droite et de la préfecture de police en sont pour leur honte. La foule a aussi crié « Liberté Égalité Fraternité » et chanté la Marseillaise. Les fachos restent collés à leur réalité : des haineux hostiles au destin commun que le peuple veut se donner malgré les racistes.
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Renault. Déroute écologique et sociale totale
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Chronique enthousiaste : Gilet-jaunisation aux USA
... tout ce qui advient aux USA arrive ensuite chez nous dans la décennie qui suit. Parfois plus vite.
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Aucune alerte, aucune mise en garde n’aura jamais rien produit dans notre pays à part des heures de prêchi-prêcha haineux contre toute forme d’opposition et de dénigrement personnalisé contre les fortes têtes pourchassées sans répit les Jérôme Rodriguez, Taha Bouhafs, Drouet, Dufresne, Wamen et ainsi de suite et pour finir avec Camélia Jordana. Je ne sais comment dire combien cela me désole. Car la suite est écrite. Et ceux qui me lisent savent la lire.
Aux USA, le fil des révolutions citoyennes est resté net : fermentation politique longue depuis Occupy et les Anonymous, évènement fortuit (la mort de Georges Floyd), union sans parti ni représentant, revendication égalitaire (« la vie des Noirs compte »), mobilisation universaliste, non communautaire pour la première fois depuis longtemps, mot d’ordre polysémique fédérateur (« je ne peux plus respirer »). Oui mais voilà : il s’agit des USA et de la première saison de l’après Covid-19. Elle ouvre la crise sociale monstrueuse qui va déferler. Les USA déjà désemparés, inondés de dollars de planche à billets, sans projet collectif, labourés par les socs contraires du petit peuple social et du petit peuple facho. Les USA paralysés par la gélatine du parti démocrate qui a eu la peau de Sanders pour ce néant qu’est Joe Biden. Les USA où les latinos seront dans une poignée d’années la plus importante minorité devant les afro-américains et les beaux blancs protestants. Les USA où le catholicisme sera bientôt la première religion chrétienne du pays modifiant ainsi la matrice spirituelle d’un pays où la religion est sur chaque billet de banque avec la formule « in God we trust ». Les USA et leur dollar bidon, leur État fédéral bringuebalant. Bref, les USA chancelant vont faire vaciller le monde. Trump voudrait interdire les anti-Fas, pendant que des miliciens d’extrême-droite en armes défilent dans les rues. Ils contrôlent ici ou là et les passants, comme nos identitaires dans le métro de Lyon et dans des bus à Lille pendant que les castors pyromanes pérorent loin de toute réalité « faire barrage ! faire barrage ! ».
Les événements nord-américains sont décisifs. Ils nous obligent à faire un point réaliste. Si l’extrême droite « suprémaciste » l’emporte aux USA, ce sera bien autre chose que ce qu’elle a déjà fait en Pologne, Hongrie, Autriche, au Brésil, en Inde ou aux Philippines. Si les nôtres se donnent une expression politique capable d’être majoritaire, tout devient possible dans la civilisation humaine. Ayez grand soin de vous monsieur Bernie Sanders ! L’Histoire ne ferme jamais boutique.
Trahison : le dépeçage industriel continue
Pour certains, le monde d’après c’est pire qu’avant et ça commence tout de suite. Ainsi, en pleine crise sanitaire, l’entreprise américaine General Electric se prépare à trahir une nouvelle fois ses engagements pris devant ses salariés français et le gouvernement de notre pays. Elle a débuté ces dernières semaines des opérations de délocalisations qui annoncent son intention de fermer le site de Belfort. La construction de pièces aéronautiques sont transférées en Hongrie. Les activités de réparation de retors, pour lesquelles l’usine de Belfort est la meilleure du monde, sont délocalisées en Arabie saoudite. Et d’après les syndicats et les élus locaux, la multinationale prépare aussi le transfert de l’assemblage des turbines aux États-Unis. Il s’agit bien un dépeçage en règle du site industriel de Belfort à peine six mois après avoir signé un accord, le 21 octobre 2019, où elle s’engageait à la pérennité de cette usine.
Comble du cynisme, General Electric prend prétexte des conséquences de la pandémie de coronavirus. Selon ses dirigeants, c’est l’absentéisme des ouvriers et la diminution temporaire de l’activité qui les pousseraient à ces décisions. On peine à la croire. Le Territoire de Belfort est l’un des départements les plus touché par l’épidémie, rapporté au nombre d’habitants. Si les ouvriers sont moins allés travailler, c’est avant tout pour respecter des consignes de santé publique, ou parce qu’ils étaient malades eux-mêmes. Mais depuis leurs bureaux aux États-Unis, les chefs de GE préfère les faire passer pour des feignants.
En fait, c’est l’occasion pour la multinationale de finir le travail qu’elle avait commencé l’an dernier. En 2019, elle avait prévu un grand plan social dont l’application serait revenue à condamner la production industrielle à Belfort. Ce plan était déjà la violation de ses engagements de 2015. General Electric avait alors racheté l’entreprise française, Alstom. Le ministre de l’économie de cette époque, Emmanuel Macron, avait donné sa bénédiction. Les deux avaient alors promis la création de 1000 emplois en France en 3 ans, et l’installation du centre européen des turbines à gaz à Belfort. Mais quatre ans plus tard, le plan de GE comprenait prêt de 800 suppressions de postes et le centre européen avait été installé en Suisse.
Les salariés s’étaient mis en grève pour refuser cette condamnation à mort. Deux grandes manifestations auxquelles j’ai participé à Belfort les 22 juin et 19 octobre 2019 ont montré la mobilisation, non seulement des ouvriers mais de la ville et du département tout entier. Des élus de toutes tendances se trouvaient dans les cortèges. Face à ce front uni, General Electric avait fini par faire quelques maigres concessions, sous le patronage du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. L’entreprise américaine s’engageait à réduire à 307 le nombre de départs dans son plan social. Ce qui permettait, selon les syndicats, de conserver une usine viable.
Désormais, la mise à mort de l’Alstom de Belfort est sur la table. General Electric est en train de pratiquer une stratégie de la terre brûlée. La crise économique déclenchée par le krach sanitaire lui a donné le prétexte pour imposer à tous ses sous-traitants de Franche-Comté et Bourgogne une baisse de prix de 20%. Le but est de tuer le tissu industriel de cette région afin d’empêcher un éventuel concurrent de le mobiliser lorsqu’elle sera partie. Il s’agit quand même d’un réseau de 270 entreprises, chacune avec leurs ouvriers qualifiés, leurs savoirs techniques accumulés. Comme le dit le responsable local de la confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) : « personne ne sait de toutes les façons faire avec 20 points de marge en moins. Cela ressemble à de l’abattage pur et dur ».
Le choc déclenché par la pandémie a fait réaliser, parait-il, à Emmanuel Macron l’intérêt de la souveraineté industrielle. La main sur le cœur, il a promis : « le jour d’après ne ressemblera pas au monde d’avant. Nous devrons rebâtir notre souveraineté ». C’est le moment de joindre les actes à la parole. General Electric nous a menti. Encore une fois. Nous ne pouvons pas laisser une multinationale, pour des raisons financières, détruire le tissu industriel de toute une région. Nous avons besoin de l’Alstom pour produire les turbines qui nous aiderons à réaliser la transition énergétique. Nous en avons besoin pour notre indépendance puisque cette entreprise produit aussi certains composants dans notre porte-avion. J’adjure Emmanuel Macron et Bruno Le Maire de ne pas laisser General Electric nous dépecer encore une fois.
Unité : appels à la pelle
... Elles espèrent aussi l’apparition d’un « leadership naturel » comme dit Éric Piolle, le maire de Grenoble qui a déclaré assumer ce rôle. ... « Sauf-LFI » ayant fait déjà à deux reprises des offres de « front populaire » puis de « fédération populaire », comment expliquer que les divers groupes d’unitaires pourtant divisés s’accordent à ne jamais en mentionner l’existence ni donner un avis sur le sujet ? Toute la comédie de l’unité est dans cette amnésie de commande.
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En résumé : pour nous, la clarté mobilise davantage qu’elle ne clive. Or la méthode de bien des « unitaires » est à l’inverse
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l’appel des 18 de « Plus jamais ça » ... une liste de dix points d’initiatives concrètes pour cela pour commencer la discussion https://lafranceinsoumise.fr/2020/05/20/appel-plus-jamais-ca-la-france-insoumise-propose-10-mesures-concretes/ -> le comité « Plus jamais ça » a publié un plan de sortie de crise https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports/article/plus-jamais-ca-34-mesures-pour-un-plan-de-sortie-de-crise. Nous l’approuvons. Nous ne le faisons pas pour de raisons diplomatiques. Ni par culte du rassemblement. Nous le faisons parce que nous sommes d’accord avec le contenu. Nous sommes d’accord parce que nous y retrouvons les points que nous avons défendus dans « L’Avenir en commun », dans notre travail parlementaire et dans nos dix propositions. Ça c’est le bon chemin droit et stable sur lequel on peut avancer sans avoir à recompter ses doigts après une poignée de main.
Laurent Horvath @2000Watts_Org · 29 mai
La période est difficile pour l'énergie nucléaire
Victor Roux-Goeken @_VictorRG · 28 mai - 0 - 0 - 1
=> gazou / Charpak avec
https://www.liberation.fr/sciences/2010/08/10/nucleaire-arretons-iter-ce-reacteur-hors-de-prix-et-inutilisable_671121
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La seule source massive d’énergie ne dégageant pas de gaz carbonique est la fission à l’œuvre dans nos centrales nucléaires actuelles. On sait qu’elle deviendra durable lorsqu’on passera à la 4e génération de centrales (G-IV), laquelle transformera les déchets actuels en combustible et fournira ainsi de l’énergie propre pour au moins cinq mille ans. ... Au lieu d’investir dans Iter, la communauté internationale et surtout l’Europe feraient mieux de reconstruire une centrale de type G-IV afin d’améliorer ce que Superphénix nous a déjà appris. On pourrait aussi accélérer la recherche sur d’autres centrales G-IV, dites «à sels fondus». Elles utiliseront du thorium, un élément abondant et dont l’utilisation pose moins de problèmes de prolifération que l’uranium et le plutonium de la filière actuelle. ... Les seuls pays qui construisent des centrales de ce type sont les Russes, les Japonais et les Indiens.
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GAUCHE(S) - 527 commentaires
Après deux années compliquées, le chef de file de La France insoumise veut se rendre incontournable en vue de la présidentielle de 2022. « C’est l’épreuve des caractères » qui se joue durant la crise sanitaire, explique-t-il à Mediapart.
Mots-clés 2022 candidature Coronavirus crise sanitaire Ecologie gauche Jean-Luc Mélenchon La France insoumise présidentielle
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« La vraie peur de Jean-Luc, c’est l’émergence d’un “candidat champignon”, sorti de nulle part », confie Marie-Noëlle Lienemann.
Comme Nicolas Hulot qui lançait, la semaine dernière, un manifeste dans Le Monde ? Jean-Luc Mélenchon balaie l'hypothèse d'un revers de main et moque « cette position centriste autour de Hulot avec l’appui d’Hidalgo, Jadot, Piolle, Orphelin et bien d’autres personnes notoires de cette mouvance et du showbiz ».
Le come back de l’ancien socialiste Arnaud Montebourg n’a en revanche pas rassuré les troupes. « Montebourg, c’est les idées de Mélenchon, sans le personnage », résume le sondeur Jérôme Sainte-Marie, qui voit dans l’ancien socialiste repentant un dangereux rival. Le lieutenant Corbière a d’ores et déjà sorti la mitraillette : « Les gens préféreront-ils un ancien ministre de Hollande qui a été avec Macron au gouvernement et qui a mis Valls à Matignon ? »
L’autre péril, « plus inquiétant encore », estime Rémi Lefebvre, c’est celui du rapprochement en cours entre les Verts et plusieurs partis de gauche (PS, PCF, Génération.s…). Un rassemblement qui ambitionne, entre autres, de couper l’herbe sous le pied d’une probable candidature Mélenchon en 2022, jugée trop clivante pour conduire l’opposition « progressiste » à la victoire.
Des noms tournent déjà qui pourraient incarner l’alternative : le maire de Grenoble, Éric Piolle, ou Anne Hidalgo…
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Depuis quelques semaines, de petits cailloux ont été semés, qui laissent à penser qu’un léger virage a été pris. Aux discours tonitruants du « peuple » contre « l’oligarchie » s’est substituée la petite musique du « collectivisme contre les libéraux », plus proche du clivage classique entre gauche et droite. « Le mot gauche a-t-il fini son temps de jachère ? Je ne sais pas », glisse ainsi Jean-Luc Mélenchon, comme s’il entrouvrait une porte. « Se redéfinir par un vote de gauche, c’est du domaine du possible », ajoute, plus clairement, Éric Coquerel qui n’exclut pas « une refondation, mais en partant des idées ».
Après que La France insoumise s’est fondue dans des collectifs mêlant socialistes, écologistes ou communistes au premier tour des municipales, Jean-Luc Mélenchon semble aussi se faire plus rond avec le PS, qu’il jetait naguère aux orties sans faire de détails. Certes, il continue de voir dans les anciens socialistes aujourd’hui au pouvoir (Olivier Dussopt, Christophe Castaner et Olivier Véran) la « face la plus brutale et la plus liberticide » de la macronie.
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Mais pour le reste, il attend de voir : « Le PS ne s’est pas encore stabilisé. Récemment le tiers du groupe à l’assemblée s’est abstenu sur le plan d’urgence sanitaire, c’est encourageant. » Même circonspection vis-à-vis des écologistes, accusés par La France insoumise de se laisser séduire par les sirènes de l’union nationale proposée par Emmanuel Macron – ce que les intéressés démentent. « Cette part substantielle de l’ancienne gauche qui gouvernait hésite entre les deux options, résume Mélenchon, ou bien collectiviste ou bien néolibérale. » Alors, « patience ». Et prudence.
De quoi donner un peu d’espoir à Julien Dray : « Si Mélenchon accepte les convergences, alors oui, la période que nous vivons sera un moment refondateur pour lui, et pour une possible nouvelle candidature. »
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Le documentaire Irrintzina réalisé par Sandra Blondel et Pascal Hennequin est en accès libre sur internet via Imago TV la plateforme des nouveaux imaginaires Irrintzina, le cri de la génération climat, retrace au travers de trois séquences la formidable aventure du Tour Alternatiba de l’été 2015, les mobilisations citoyennes de la COP21, la campagne des Faucheurs de Chaises et le blocage du sommet du pétrole offshore de Pau (à 1:10:55)
Nicolas Imago :
Sorti au cinéma en 2017, Irrintzina est plus que jamais d'actualité. Plus que jamais d'utilité publique. C'est le documentaire pour comprendre l'émergence du mouvement climat. Comment est-il né ? Ou est-il né ? Pourquoi est-il né ? Tantôt drôle, tantôt enrageant, tantôt émouvant, mais toujours inspirant et enthousiasmant.
Connue / https://www.institutmomentum.org/breves/irrintzina-le-cri-de-la-generation-climat/
Du fauchage des chaises des agences de la BNP Paribas au blocage du sommet des pétroliers off-shore de Pau, le documentaire « Irrintzina, le cri de la génération climat », est désormais en accès libre sur Internet. Le film retrace l’émergence d’un mouvement non-violent contre le changement climatique. Pendant de longs mois, les réalisateurs ont accompagné ces militants qui tentent de faire bouger les lignes politiques, avant qu’il ne soit trop tard.
Le film Irrintzina, le cri de la génération climat, sorti en 2017, raconte la construction d’un mouvement non-violent contre les changements climatiques. Pendant de longs mois, les réalisateurs, Sandra Blondel et Pascal Hennequin, de Fokus21, accompagnés de techniciens et journalistes de médias alternatifs, ont filmé ces militants qui tentent d’alerter de l’urgence du changement climatique. Du village des alternatives (Alternatiba) de Bayonne, en septembre 2013, à une action non-violente contre le sommet des pétroliers off-shore de Pau, en mars 2016, Irrintzina (« cri », en basque) nous plonge au cœur de cette mobilisation qui entend mêler deux combats complémentaires.
D’abord montrer que des alternatives sociales, écologiques et économiques sont possibles et existent déjà. Ensuite que le combat politique est primordial, car l’urgence climatique ne peut attendre que les changements individuels influencent progressivement le reste de la société.
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Actions médiatiques et désobéissance civile
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le site Internet http://www.irrintzina-le-film.com/
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