AUDIO • 3/3 : L’eau, bien public ou bien privé ? À la source de la discorde. Histoires d'eau est une série inédite proposée par France Culture
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Connu / TG le 13/09/23 à 13:48
1 168 ont signé
Agora des Habitants de la Terre a lancé cette pétition adressée à Alexandre De Croo Premier Ministre belge et David Sassoli Président du Parlement Européen
Le 7 décembre 2020, l'eau a été cotée à la Bourse de Chicago, à l'initiative du fonds d'investissement spéculatif le plus puissant du monde, le Black Rock, provoquant de fortes réactions d'opposition et de critique dans le monde entier. L'association internationale "Agora des Habitants de la Terre », basée en Belgique, a lancé la campagne "Libérons l'eau de la Bourse" en Argentine, en Belgique, au Brésil, au Chili, en France, en Italie, au Québec, avec l'intention de l'étendre de plus en plus.
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Une action mondiale décentralisée aura lieu le 7 décembre 2021 à Bruxelles, Paris, Rome, Rio de Janeiro, Montréal...
A Bruxelles ce sera devant le Parlement Européen entre 11h30 et 13h Place du Luxembourg https://fb.me/e/1YK8sE0on
Connue / https://twitter.com/MathildePanot/status/1468153088083210246
Mel Sujet : [bien-commun] les communs
Date : Tue, 6 Apr 2021 10:03:41 -0400
De : Philippe Derudder (via bien-commun Mailing List) bien-commun@infos.lhed.fr
Les communs, on en entend de plus en plus parler. Mais on parle aussi de bien public, de bien commun avec une tendance à mélanger tout cela. de quoi parle-t-on donc ?
Ce "duo"entre Jean-Michel Servet et Benjamin Coriat est très éclairant.
La question est d'importance pour notre avenir!
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C'était un engagement d'Emmanuel Macron. Et pourtant, la semaine dernière, à l'OMC, la France a dit non à la levée de brevets. La vérité c'est que, même pendant le Covid, le Commerce l'emporte encore sur la Santé.
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Le vaccin serait "un bien public mondial" avaient promis Macron, et l'Union européenne, et l'Assemblée nationale. Et ça a bien failli. Mais Bill Gates est intervenu...
Les sources : https://francoisruffin.fr/bill-gates-vaccin/
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Tr.: ... la propriété privée s'est installée comme une valeur sacrée alors que l'insuline avait été mise dans le domaine public ...
Les forêts notre bien commun : entre bien public et bien privé où se situe le bien commun ?
Samedi 5 Décembre 2020 de 14h45-18h15
à la Maison des Acteurs du Paris durable
21 rue des Blancs Manteaux 75004 - Salle du RDC, si en présentiel
ou par visioconférence ZOOM
Session initiée et coordonnée par Indira Bonvini, Cristina Bertelli, Yovan Gilles.
Contact : universitebiencommun@gmail.com
La différence entre biens publics et biens communs, en particulier concernant les forêts, est une distinction à éclairer plus que jamais. Nous explorerons lors de cette session certains aspects juridiques, économiques et sociétaux concernant ces écosystèmes.
24,113 personnes ont signé
À.: Ursula Von Der Leyen, présidente de la Commission européenne
Face à une pandémie, chacun a droit aux médicaments. Face à une menace commune, nous avons besoin d'une réaction commune.
Les chercheurs du monde entier travaillent sur des vaccins et des traitements, souvent avec d'énormes sommes d'argent public. Les droits de propriété intellectuelle, tels que les brevets, ne peuvent pas restreindre l'accès rapide de tous aux vaccins et aux traitements.
Nous voulons garantir l'accès pour tous aux diagnostics, aux traitements et aux vaccins contre le Covid-19.
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La Commission européenne doit garantir que les vaccins et les traitements anti-pandémiques deviennent un bien public mondial, librement accessible à tous. #Right2Cure #PasDeProfitSurLaPandémie
Promue par la GUE/NGL – La Gauche Unie Européenne et initiée par les partis politiques suivants : PTB-PVDA (BE), Podemos (ES), Izquierda Unida (ES), EH Bildu (EU), France Insoumise (FR), PCF (FR), AKEL (CY), Die Linke (DE), KSČM (CZ), Rifondazione (IT), Sinn Féin (IE), SP(NL), Potere al Popolo (IT).
Reconstruire l’internationalisme - Publié le 14 juillet 2020 par piketty – Le blog de Thomas Piketty
Peut-on redonner un sens positif à l’internationalisme ? Oui, mais à condition de tourner le dos à l’idéologie du libre-échange absolu qui a jusqu’ici guidé la mondialisation, et d’adopter un nouveau modèle de développement fondé sur des principes explicites de justice économique et climatique. Ce modèle doit être internationaliste dans ses objectifs ultimes mais souverainiste dans ses modalités pratiques, au sens où chaque pays, chaque communauté politique doit pouvoir fixer des conditions à la poursuite des échanges avec le reste du monde, sans attendre l’accord unanime de ses partenaires. La tâche ne sera pas simple, et ce souverainisme à vocation universaliste ne sera pas toujours facile à distinguer du souverainisme de type nationaliste. Il est d’autant plus urgent de préciser les différences.
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les traités sur la libre circulation absolue des biens et des capitaux sont tellement sophistiqués et contraignants, notamment au niveau européen, qu’un pays s’engageant dans cette voie risque fort d’être condamné par les instances européennes ou internationales (Cour de justice de l’UE, OMC). Si tel est le cas, il faudra assumer et sortir unilatéralement des traités en question, tout en en proposant de nouveaux.
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proposer aux autres pays un modèle de développement coopératif, fondé sur des valeurs universelles : justice sociale, réduction des inégalités, préservation de la planète. Il faut également décrire précisément les assemblées transnationales (comme l’Assemblée franco-allemande créée l’an dernier, mais avec de réels pouvoirs) qui idéalement devraient être chargées des biens publics globaux et des politiques communes de justice fiscale et climatique.
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L’objectif des sanctions est d’inciter les autres pays à sortir du dumping fiscal et climatique, et non d’installer un protectionnisme permanent.
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Prétendre qu’une telle voie est facile à suivre et bien balisée serait absurde : tout reste à inventer. Mais l’expérience historique montre que le nationalisme ne peut conduire qu’à exacerber les tensions inégalitaires et climatiques, et que le libre-échange absolu n’a pas d’avenir. Raison de plus pour réfléchir dès à présent aux conditions d’un nouvel internationalisme.
Note. Pour une première estimation du montant des possibles sanctions anti-dumping, voir Ana Seco Justo, « Profit Allocation and Corporate Taxing Rights: Global and Unilateral Perspectives« , PSE 2020.
Connu / https://twitter.com/PikettyLeMonde/status/1282947944770162688
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Thomas Piketty
@PikettyLeMonde
Reconstruire l'internationalisme. Peut-on redonner un sens positif à l’internationalisme ? Oui, mais à condition de tourner le dos à l’idéologie du libre-échange absolu qui a jusqu’ici guidé la mondialisation.
192 Ko - 10:00 AM · 14 juil. 2020·- 84 Retweets avec un commentaire 233 J'aime
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https://twitter.com/tapeno/status/1283041358907879430
bourouffala @tapeno · 14 juil. En réponse
A la lecture de votre article dans le monde, je découvre avec satisfaction que vous suggérez une sortie provisoire de traités en l'absence d'accord trouvé et en cas de péril écologique et social. Comme dans le plan B de l'avenir en commun en somme !? Mieux vaut tard que jamais. 😉
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Ndlr : se rapproche-t-il du "protectiionnisme solidaire" de LFI ? bourouffala le pense ACT
Économie - Débats
Macron veut prendre des “décisions de rupture”. Chiche ! “Marianne” le prend au mot.
... article à retrouver dans le magazine n°1201 ...
NON “Rien n’empêche la BCE d’investir dans l’économie réelle.” Pierre Larrouturou, député européen (élu sur la liste de gauche Envie d’Europe)
Pour aider les entreprises en difficulté, Angela Merkel et ses ministres ont sorti le « bazooka », selon leurs propres mots. Ils ont dégainé plusieurs dizaines de milliards en renonçant aux règles classiques de contrôle des déficits. Au-delà de l’urgence sanitaire, il est temps pour l’Europe de répondre à l’urgence sociale et climatique en dégainant d’autres bazookas et en utilisant d’une manière radicalement nouvelle les armes monétaires et fiscales dont elle dispose. Il est temps que les liquidités créées par la banque centrale aillent non plus à la spéculation mais au financement d’un grand pacte climat-emploi. Rien n’interdit de le faire : l’article 2 des statuts de la BCE dispose certes que « l’objectif premier de la BCE est la stabilité des prix », mais il affirme aussi que « sans préjudice de cet objectif, la politique monétaire doit être mise au service des objectifs définis par l’article 3 des traités » qui mentionne « le plein-emploi et la protection de l’environnement ». Rien n’empêche donc que les 240 milliards que va créer la BCE cette année (au-delà des mesures d’urgence) soient intégralement investis dans l’économie réelle via une vraie banque du climat. Combien de maisons peut-on isoler et combien d’emplois peut-on créer avec 240 milliards ? Il est urgent aussi que l’Europe s’attaque au dumping fiscal : en quarante ans, le taux moyen de l’impôt sur les bénéfices a été divisé par deux, passant de 45 à 19 %. Rien n’empêche de créer un impôt européen sur les bénéfices (avec 12 ou 14 pays créant une coopération renforcée si certains autres États traînent des pieds). Avant même la crise, le Parlement européen avait entamé un bras de fer avec les chefs d'État. Un changement radical est possible. [Propos recueillis par Franck Dedieu]
OUI. "ROMPRE AVEC LA BCE POUR POUVOIR REFAIRE DE LA MONNAIE UN BIEN PUBLIC." Frédéric FARAH, économiste, chargé de cours à l'université Sorbonne Nouvelle-Paris-III
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Ndlr :
- quelle différence entre "bien public" et "bien commun" ou "commun" ? ACT
- Mr Farah fait-il un pas en direction de la MNC ou non ? ACT
origine
association loi 1901 créée en janvier 2011. Ses trois co-fondateurs, Antoine Colonna d’Istria, Yoann Kassi-Vivier et Emilie Vuillequez, étudiants d’HEC Paris et de Sciences Po Paris, se sont lancés dans l’entrepreneuriat social avec l’idée que chaque structure à finalité sociale puisse accéder aux compétences dont elle a besoin pour se développer.
priorités
- Co-créer des politiques et des dispositifs de mécénat et de bénévolat de compétences
- Engager le plus grand nombre à partager leurs compétences
- Mutualiser les connaissances sur le pro bono et favoriser la collaboration pour innover
- Éclairer les décideurs, médias et citoyens par les études
démarche
basée sur la coopération : sur chaque territoire que ce soit en France ou à l'international, nous nous appuyons sur les acteurs économiques et sociaux qui souhaitent développer leur connaissance et leur pratique du pro bono, du mécénat et du bénévolat de compétences en faveur du bien public.
Nos formats
Missions innovantes réunissant des professionnels pour conseiller gratuitement une structure à finalité sociale.
Sur le temps de travail ou le temps personnel
Durée : de 2h à 2 ans
Public varié de volontaires salariés d’une ou plusieurs entreprises, des étudiants, des seniors à la retraite, en pré-retraite ou demandeurs d’emploi
Nos formations
Découvrez le pro bono et son écosystème
Diagnostiquez vous-même les besoins des organisations à finalité sociale
Organisez des missions de mécénat et de bénévolat de compétences
Notre impact
contribue de manière positive à la vitalité associative, à la coopération entre les entreprises dites traditionnelles et l’ESS, au développement des compétences des volontaires et des organisations à finalité sociale. Ces impacts ont été évalués à court et moyen terme, par des études quantitatives et qualitatives.
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Connu / https://www.helloasso.com/pana/
Ndlr :* organisation qui impressionne par son ampleur. Écrit pour savoir "pourquoi la région aquitaine ne figure pas dans votre réseau" ATT