Une start-up d’ingénierie de petits réacteurs modulaires nucléaires va prochainement voir le jour à Belfort,
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Tournant dans le pays, entre Rochefort et Belfort, ça fait un mois que je n'ai pas revu ma cuisine. Alors, je vous propose qu'on se pose : qu'est-ce qu'on a réussi dans cette campagne joyeuse ? De quoi tirer fierté ? Où ça pêche pour crever un plafond de verre ?
Tr.: ... Ma ligne, anti-Terranova. Mener une campagne populaire dans les campagnes et les bourgs, reconquête de la France périphérique ++
Stratégie : repartir des cahiers de doléances, le rapport au numérique, les loisirs, le travail, un style : se sentir représenté, incarné ++
c'est dans l'agir ensemble qu'on met les gens ensemble. Le mieux des gamins, la question sociale.
Le Pen / Macron : passage en force /GJ, Macron garant de la paix civile faire rire jaune. Ma voix n'ira pas à MLP. Construire un bloc populaire, MLP vient le fracturer.
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Malgré la guerre en Ukraine, la filière nucléaire française renforce ses liens avec le groupe nucléaire public russe Rosatom. Le Figaro a ...
Connu / tg 18/3/22 15:18
ENTREPRISES 23 commentaires
Six ans après avoir cédé à l'américain GE les turbines Arabelle, qui équipent les centrales nucléaires d’EDF, le gouvernement tente de les récupérer. Au nom du maintien de la filière nucléaire, EDF est à nouveau sollicité. Pendant ce temps, un nouveau plan social est lancé à Belfort.
Mots-clés Alstom ; EDF General Electric industrie nucléaire social
Les discussions se déroulent dans la plus grande discrétion. Après avoir accepté d’en céder le contrôle à General Electric en 2014, l’État est à la manœuvre pour tenter de récupérer les turbines Arabelle. Cet acronyme – le « A » réfère à Alstom et « bel » à Belfort, le berceau de la société – désigne la plus fiable des turbines à vapeur pour le nucléaire, sept mètres de diamètre et 4 000 tonnes, qui équipe à la fois un tiers des centrales nucléaires dans le monde, dont celles d’EDF, les sous-marins à propulsion nucléaire et le porte-avions Charles-de-Gaulle.
Conçues par Alstom, elles sont toujours fabriquées à Belfort, désormais par General Electric. Mais aujourd’hui, le conglomérat américain, mis à mal par la pandémie, sous pression de ses actionnaires, veut vendre cette activité, rachetée avec toute la branche énergie d’Alstom.
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garantir la souveraineté nationale ... « L’État français a un droit de regard sur les orientations stratégiques de cette industrie qu’il ne peut abandonner », ajoute Jean-Marie Girier, ancien conseiller de Gérard Collomb à l’intérieur, puis directeur de cabinet de Richard Ferrand à l’Assemblée nationale, devenu préfet du Territoire de Belfort en juillet. Il ne s’est pas plus étendu sur le sujet lors de son point de presse. ... l’unique action dont l’État dispose dans la société Geast, créée par Alstom et General Electric en 2014 pour regrouper les activités nucléaires de l’entreprise avant leur transfert aux Américains. Revenant sur les accords négociés en 2014 par Arnaud Montebourg ... son successeur, Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, avait jugé préférable de se contenter d’une seule action préférentielle ... Autre garde-fou, l’État conserve, à travers une autre société dédiée, une licence sur les droits de propriété intellectuelle des technologies Alstom existantes et à venir, dont, bien sûr, Arabelle ... La vente de la branche énergie d’Alstom, et notamment de ses activités nucléaires, est le dossier industriel qui hante toute la présidence d’Emmanuel Macron. Elle est devenue le symbole d’un bradage, d’une perte de contrôle industriel, de la désindustrialisation française. Nombre de craintes se sont révélées fondées. Juste après la vente, finalisée fin 2015, General Electric a démontré où était le pouvoir désormais. Le groupe américain a exercé une pression gigantesque sur EDF en cessant quelques jours la maintenance des centrales nucléaires en février 2016, afin de lui imposer un contrat plus avantageux, et notamment de réduire sa responsabilité financière en cas d’accident. Un précédent existait. Pour faire payer à la France son opposition à la guerre en Irak en 2003, les États-Unis avait alors cessé plusieurs mois les opérations de maintenance et la fourniture de pièces pour les catapultes mécaniques du porte-avions français. ... Signe que les discussions sont désormais bien engagées, Hugh Bailey, directeur général de General Electric France, a été désigné président du conseil d’administration de Geast il y a quelques semaines. Un interlocuteur que l’État connaît bien. Il était notamment conseiller d’Emmanuel Macron à Bercy quand celui-ci a autorisé le rachat d’Alstom. Il a rejoint ensuite General Electric en 2017, avant de prendre la tête de l’entité France en avril 2019, un mois avant l’annonce par le groupe de la suppression de 1 000 emplois, dont 800 dans l’entité turbines à gaz de Belfort.
Malgré un avis favorable de la commission de déontologie de la fonction publique, qui a validé ce pantouflage à condition qu’il cesse tout contact professionnel avec ses anciens collègues de Bercy, Hugh Bailey est visé en septembre 2019 par une enquête qui suit son cours pour « prise illégale d’intérêts »
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Deux options sont sur la table et seraient toujours en arbitrage. L’une d’elles est portée par Frédéric Pierucci, ancien patron de la branche chaudières d’Alstom, donc nucléaire. Il connaît très bien son dossier et le marché. Il est aussi au cœur du scandale Alstom. Arrêté par le FBI en avril 2013 à New York dans le cadre d’une enquête pour corruption d’Alstom en Indonésie – « une affaire où il n’a jamais touché un centime », a-t-il maintes fois expliqué –, il a passé 25 mois dans les prisons américaines. Dans cette affaire, il estime avoir été un otage économique dans une opération judiciaire permise par l’extraterritorialité du droit américain, visant à affaiblir l’entreprise française pour faciliter la cession de sa branche énergie à General Electric.
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L’Élysée serait plutôt sur une autre piste et, quitte à forcer la main, insisterait pour privilégier un rachat par EDF via sa filiale Framatome, qu’il détient à 75,5 %. Problème : l’électricien, qui doit déjà éponger la faillite d’Areva, n’a aucune envie de reprendre toutes les sociétés en difficulté travaillant dans le nucléaire. L’électricien souligne qu’il est déjà fortement sollicité par son projet Hercule ... Certains soupçonnent même que l’État ne lui donnera pas le choix, n’hésitant pas à lui tordre le bras comme il l’a fait pour le renflouement d’Areva, la construction d’Hinkley Point ou le projet Hercule. ... « EDF attendait un signal fort, ce signal est venu », confie un parlementaire au fait du dossier. Lors de sa visite au Creusot du 8 décembre sur le site de Framatome, qui forge les éléments lourds de l’îlot nucléaire des centrales, Emmanuel Macron a rappelé que « le nucléaire restera la pierre angulaire de notre autonomie énergétique ». Outre l’annonce de la construction d’un nouveau porte-avions à propulsion nucléaire, il a confirmé sa volonté de voir construire six nouveaux EPR en France. Cela est sans doute censé rassurer EDF : cette possible acquisition « forcée » est supposée devenir plus acceptable grâce aux perspectives de marché qu’offre le renouvellement du parc nucléaire à courte échéance. La semaine dernière, la direction d’EDF a présenté au comité social et économique un nouveau calendrier pour le lancement de nouveaux projets de construction d’EPR : il prévoit d’en lancer dès la fin 2022, au lieu de 2023. ... Marie-Guite Dufay, présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté ... plaide aussi, avec d’autres élus locaux, pour que l’État, via Framatome, se porte acquéreur de l’ensemble de la branche énergie de General Electric. Ce qui inclurait donc, outre le nucléaire, les activités hydroélectriques et gaz. Ce qui, en quelque sorte, reviendrait à rétablir la situation qui préexistait avant la vente à General Electric.
Mais cela ne semble pas du tout faire partie des plans de l’État ... nouveau plan social décidé par General Electric. ... se désengager de la construction de centrales à charbon qui n’ont plus d’avenir. L’entité manufacturière de production de la turbine Arabelle et des alternateurs, située à quelques pas, n’est presque pas touchée. ... Mais les compétences charbon sont presque les mêmes que celles nécessaires à la technologie nucléaire, qui produit aussi de l’électricité avec de la vapeur d’eau, font valoir les salariés ... Christian Mougenot, délégué CFDT chez Steam ... on a une réorganisation de service quasiment tous les ans ... Laurent Humbert, CFE-CGC ... proposer une solution globale de cohérence industrielle, de mutualiser des compétences proches et complémentaires et, surtout, de les maintenir, même quand des creux de charge ... Mais pour Laurent Humbert, il ne fait aucun doute que l’État, compte tenu de sa place dans Geast, a déjà validé le plan social entraînant la suppression de 238 postes à Belfort. ... General Electric est pressé. En 2018, en raison d’un retournement du marché, le groupe a déprécié à hauteur de 23 milliards de dollars sa branche énergie achetée 12 milliards d’euros à Alstom en 2015. Sa cotation boursière s’est effondrée. Ses activités aéronautiques sont lourdement frappées par la crise du coronavirus. À la suite d’une enquête de la SEC, gendarme de la bourse américaine, pour une suspicion de fraude comptable, General Electric vient d’accepter de payer une amende de – seulement – 200 millions de dollars.
Aujourd’hui, le conglomérat américain n’a plus guère d’intérêt pour les activités industrielles de l’ex-Alstom en France, après avoir centralisé tous les contrats de maintenance, les brevets, les commandes en Suisse ... ne garder que des gens qui vont vendre des pièces détachées. C’est la stratégie de GE en Europe », constate Laurent Santoire, délégué syndical central au comité européen de General Electric pour la CGT. « Les centrales nucléaires se regardent au siècle. Il faut donc des entreprises qui ont des compétences au siècle, pas au trimestre. Et quand on casse des compétences que l’on a mis un siècle à construire, on n’a plus rien. Quand on demande à quelqu’un de rentrer dans une centrale et qu’il n’a pas les plans de ce qui a été fait il y a 30 ans, il fait quoi ? », s’alarme le syndicaliste.
France 3 Bourgogne-Franche-Comté
General Electric Belfort : ce que l'on sait du possible rachat de l...
Le groupe américain GE, en difficulté financière, pourrait céder ses parts de GEAST, filière nucléaire, à un acheteur français. A Belfort, pour les 1400 employés concernés, passer dans les mains d’un actionnaire Français...
France Bleu
Défense de l'emploi chez General Electric : entre 900 et 1.000 mani...
Une manifestation de soutien aux salariés de General Electric a attiré entre 900 et 1 000 personnes ce samedi après-midi dans les rues de Belfort. La menace de nouveaux plans sociaux n'a pas mobilisé autant que les syndicats l'espéraient.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 27/10/20 à 15:44 de Angela (livret énergie de LFI)
encore sur le nuke/scandale alstom : France 3 Bourgogne-Franche-Comté
General Electric Belfort : ce que l'on sait du possible rachat de l...
Le groupe américain GE, en difficulté financière, pourrait céder ses parts de GEAST, filière nucléaire, à un acheteur français. A Belfort, pour les 1400 employés concernés, passer dans les mains d’un actionnaire Français...
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 21/10/20 à 14:42 de Sean du Cambraisis (livret énergie de LFI)
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Dans ce 94e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur son déplacement à Belfort pour soutenir les salariés de General Electric (ex-Alstom). Il revient sur l'histoire de cette entreprise et sur la manière dont les pouvoirs publics l'ont petit à petit abandonnée alors qu'elle est cruciale pour faire la transition écologique.
Jean-Luc Mélenchon parle ensuite de deux sujets. D'abord de la pollution de l'air résultant de l'utilisation de bateaux de croisière, notamment à Marseille. Ensuite du rapport intitulé «Mers et océans : quelle stratégie pour la France ?» qu'il a réalisé avec le député Joachim Son-Forget.
SOMMAIRE
- 00:47 : À Belfort pour soutenir les salariés d'Alstom
- 19:17 : Les bateaux de croisière et la pollution de l'air
- 24:45 : Le rapport «Mers et océans : quelle stratégie pour la France ?»
LES LIENS
- General Electric supprime 12 000 emplois à travers le monde :
https://www.lepoint.fr/economie/general-electric-supprime-12-000-emplois-a-travers-le-monde-07-12-2017-2178053_28.php - Alstom: bénéfice net en hausse de 87% :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/alstom-benefice-net-en-hausse-de-87-20190507 - Vente d’Alstom Energie validée par Macron : un député évoque un «pacte de corruption» :
http://www.leparisien.fr/economie/vente-d-alstom-energie-validee-par-macron-un-depute-evoque-un-pacte-de-corruption-17-01-2019-7991043.php - Rapport «Mers et océans : quelle stratégie pour la France ?» :
https://melenchon.fr/2019/06/19/video-presentation-du-rapport-mers-et-oceans-quelle-strategie-pour-la-france/
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Ce samedi 22 juin à 14h a lieu à Belfort (RDV à la Maison du Peuple) une marche de soutien aux salariés de l'usine de General Electric (ex Alstom) menacée d'un plan social qui supprimerait 800 emplois sur le site. Dans cette vidéo, Jean-Luc Mélenchon appelle à participer à cette manifestation à laquelle il se rendra aux côtés de la députée européenne Anne-Sophie Pelletier, de la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et de la conseillère régionale Émilie Marche. Il dresse aussi ici le bilan de l'abandon de ce fleuron industriel par l'État, notamment sous l'action d'Emmanuel Macron.
➡️ Retrouvez le dossier «Alstom : neuf ans d’avertissements et de luttes» : https://melenchon.fr/2014/12/19/alstom-plus-de-quatre-ans-davertissements-et-de-luttes/
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calendula lys il y a 7 heures
Quel bonheur de nous appeler à la mobilisation cher JLM hâte de revoir nos idées en mouvements hé oui aimer son pays c'est se battre pour que son industrie ne soit pas dépecée ENTRE AUTRE .... remontons en selle notre gloire n'est pas de ne jamais TOMBER mais de TJR NOUS RELEVER #FI
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En Coulisses - General Electric : nouvelle bombe sociale pour le gouvernement ?
Nous vous emmènerons à Belfort où les salariés de General Electric hésitent entre la colère, l’incompréhension et la résignation. 1044 postes vont y être supprimés par le géant de l’énergie pour être rapatriés sur le sol américain. Nous avons passé plusieurs jours à Belfort côté salariés mais aussi côté gouvernement dans les pas du ministre Bruno Le Maire. Reportage en coulisses.
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Usine General Eletric à Belfort
28 mai 2019 dans Actualités, Communiqués de presse, Le groupe
Communiqué de presse du groupe parlementaire LFI.
La direction de General Electric a annoncé la suppression d’un quart des effectifs d’Alstom. 1050 emplois vont être supprimés. Cette décision est une catastrophe économique et sociale. Qu’elle soit rendue publique après l’élection européenne montre toute la duplicité de ceux qui l’ont prise.
Emmanuel Macron porte l’entière responsabilité de ce désastre, lui qui, encore ministre de l’Économie, avait autorisé la vente de ce fleuron à General Electric. Les nombreuses voix qui s’y opposaient avaient prévu cette issue. Les récents succès d’Alstom Transport, alors même que la fusion avec Siemens, voulue par le gouvernement, a été empêchée, montrent combien tous les arguments en faveur de cette vente à la découpe étaient mensongers.
Le groupe étasunien, lui, n’aura respecté aucun des engagements qu’il avait pris comme acheteur.
Dans ce dossier, l’intérêt national a été marchandé. L’oligarchie a bradé un fleuron et s’est grassement servie au passage.
Il est temps que l’État reprenne la main sur cette entreprise pour protéger les emplois ainsi que les technologies indispensables à notre souveraineté et à la planification écologique. Des sanctions doivent être prises contre General Electric. Elles devront être suffisamment lourdes pour dissuader toute autre entreprise étrangère de braver ainsi la puissance publique.
Un gilet jaune de 35 ans a été mis en examen ce jeudi à Belfort pour s'en être pris sur les réseaux sociaux aux forces de l'ordre. Après la perquisition à son domicile, ses deux enfants ont été placés. Les policiers ont découvert qu'ils vivaient dans des conditions "à la limite de l'insalubrité".
L'homme de 35 ans est un gilet jaune, présenté par son entourage comme un "street medic", un soigneur de rue (Photo d'archives) © Radio France - Mélanie Kuszelewicz
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Ses deux enfants placés
Sur les réseaux sociaux, son entourage crie à l'injustice : les deux enfants, mineurs, du militant ont fait l'objet d'un placement provisoire. L'homme de 35 ans est présenté comme un prisonnier politique, à qui on a arraché ses enfants.
Dans un message diffusé plus d'une centaine de fois sur Facebook, il est rappelé qu'il est un "street medic", un soigneur de rue, un gilet jaune habillé en blanc avec une croix rouge, présent pour soigner les blessés lors des manifestations. Selon ces témoignages, c'est quelqu'un de "très diplomate", un "médiateur" qu'on a voulu faire taire en plaçant dans un foyer ses deux petites filles.
Ses enfants élevés dans des conditions déplorables affirme le substitut du procureur
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ndlr :
- amalgame "médiateur" - "diplomate" :-(
- Sur le fond, voir pour infos https://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2019/05/07/le-gilet-jaune-recupere-ses-filles-qui-avaient-ete-placees-en-foyer :
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Le gilet jaune récupère ses filles qui avaient été placées en foyer
Deux semaines après que ses enfants ont été provisoirement placés en foyer, le Valdoyen de 35 ans a pu retrouver ses filles ce lundi. Une affaire qui a fait le buzz car ce placement avait été décidé le jour où cet homme avait été interpellé dans le cadre de son engagement en tant que gilet jaune.
Hugo GIRARDOT - 07 mai 2019 à 05:04 - Temps de lecture : 4 min
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Le juge des enfants a suivi les réquisitions du parquet et a ordonné la mainlevée de la mesure de placement. Un accompagnement sous la forme d’une mesure judiciaire d’investigation éducative est mis en place pour six mois.
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