CONTRE L’AUTORISATION DE MOLÉCULES TOXIQUES QUI CONTAMINENT NOTRE ENVIRONNEMENT ET EMPOISONNENT LES ABEILLES ET LES POLLINISATEURS SAUVAGES
EXIGEZ UNE ÉVALUATION RÉELLE DE CHAQUE PESTICIDE VENDU EN EUROPE !
Connue / mel de JSR
Réalisation : 3 janvier 2007 - Mise en ligne : 2 octobre 2007
Descriptif
L'Ecole de l'ADN du Palais de la découverte propose une approche pratique aux techniques de biologie moléculaire et donne un aperçu des méthodes pour étudier l'ADN. Ici, Julie Voisin, médiatrice scientifique au département des sciences de la vie, initie des élèves à la visualisation des fragments d'ADN d'un virus (« bactériophage ? »), fragments obtenus par l'action d'enzymes suivie d'une séparation par électrophorèse sur gel.
Générique Réalisateur : Jean-François TERNAY Opérateur : Luc RONAT Monteur : Didier BOCLET Intervenant : Julie VOISIN Producteur : CNRS Images/media Diffuseur : CNRS Diffusion vidéothèque, photothèque (lhoste@cnrs-bellevue.fr)
Intervention Jean-François Ternay
Réalisateur de documentaires Auteur d'une thèse en philosophie et Histoire des sciences, Université Paris-Sud 11, Orsay (en 2001)
Thème
Discipline : Biologie moléculaire
Dr Christian VÉLOT*
Généticien Moléculaire • Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN
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Le risque que l’organisme d’une personne vaccinée soit le siège d’une recombinaison virale défavorable est infime. Mais le nombre considérable des vaccinés dans le monde – par centaines de millions ou davantage – fait qu’il est très probable que cela arrive quelque part, et qu’un virus bien plus virulent se dissémine dans les populations, vaccinées ou non.
Alors l’argument responsabilisant « Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres » se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l’espèce. Les mêmes recombinaisons peuvent survenir après infection naturelle (81 millions de cas début janvier 2021), mais deviennent beaucoup plus probable après vaccinations (plusieurs milliards de personnes ?).
Alors que faire ?
On se retrouve dans la même situation individuelle qu’avec la surconsommation qui aggrave les atteintes à l’environnement : la responsabilité serait de s’abstenir plutôt que consommer si le collectif importe davantage que le bien-être/confort de chacun.
Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres…
En l’absence de médicaments efficaces, on ne sortira de ces contradictions qu’avec l’arrivée de vaccins « classiques » à virus inactivés ou protéines recombinantes.
Tags: COVID-19, CRIIGEN, SARS-COV 2, vaccin
Ndlr : contredit par ?? sur FI ce jour dans LATAC ? ou ?? ACT
"La pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle pourrait devenir le baptême du feu des thérapies à base d’ARN messager (ARNm) synthétique. C’est cette technique, en développement depuis les années 1970 sous l'impulsion de la chercheuse d'origine hongroise Katalin Karikó, qui a été utilisée par Moderna et BioNTech/Pfizer pour mettre au point leurs réponses au Covid-19.
C’est le message qui compte
Cette technique est très différente de celle utilisée pour les vaccins traditionnels, comme ceux contre la grippe par exemple. D’habitude, on injecte des bouts du virus inactivé ou une de ses protéines afin de déclencher une réaction du système immunitaire qui va se défendre en fabriquant des anticorps, protégeant ainsi la personne contre la maladie.
Mais avec les vaccins de Moderna et BioNTech/Pfizer, "on n’injecte pas une protéine du Sars-CoV-2, mais un message qui va diriger la synthèse d’une de ses protéines dans le corps", explique Bertrand Séraphin, directeur de recherche à l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC) du CNRS, contacté par France 24. L’ARN messager est en effet un vecteur qui transporte des informations jusqu’aux cellules afin de leur dire quelle protéine fabriquer. Dans le corps, "chaque gène va faire un ARN messager différent pour une protéine spécifique. C’est le dogme central de la biologie moléculaire", résume ce spécialiste."