35 644 Signatures
Le groupe Pampr’oeuf s’apprête à installer une ferme usine de 150 000 poules pondeuses dans le village de Vaugeton sur la commune de Celle-Levescault (86). En tant que riverains de cette future exploitation, mais avant tout en tant que citoyen·ne·s, nous nous opposons fermement à un tel projet.
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32 254 Signatures (32 972 au 21/6)
Lancée par Bien vivre À CELLE-LEVESCAULT
Le groupe Pampr’oeuf s’apprête à installer une ferme usine de 150 000 poules pondeuses dans le village de Vaugeton sur la commune de Celle-Levescault (86). En tant que riverains de cette future exploitation, mais avant tout en tant que citoyen·ne·s, nous nous opposons fermement à un tel projet.
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contrairement à ce que prétend le porteur de projet, cet élevage industriel de poules pondeuses sera inévitablement source de nuisances pour le cadre de vie des riverains : pollution visuelle, sonore (bruit de machines et d’engins), olfactive (odeurs d'ammoniaque attestées par des riverains des installations du même groupe à Pamproux), trafic de camions accru (alors que les infrastructures routières ne sont tout simplement pas adaptées), poussière et risque de présence et de prolifération d'animaux nuisibles…
Nous voulons un environnement sain pour nos enfants.
Nous voulons des paysans respectueux du bien-être des animaux, pas des industriels de l’agro-alimentaire attirés par le profit.
6 819 Signatures
... Nous sommes des résidents de Peyrilhac, profondément préoccupés par le projet d'installation d'une ferme de 3100 bovins dans notre village. Ce projet aura un impact environnemental significatif, affectera la qualité de vie des riverains et posera des questions sérieuses sur le bien-être animal.
Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), une telle concentration d'animaux peut entraîner une pollution importante des sols et des étangs due aux déjections animales, contribuant ainsi à bouleverser l'écosystème local. De plus, les émissions sonores et olfactives vont nuire à la qualité de vie des habitants.
En outre, les conditions dans lesquelles ces animaux seront élevés sont également une source majeure d'inquiétude. L'éthologue Temple Grandin a souligné que les fermes industrielles peuvent causer du stress aux animaux en raison du manque d'espace et des mauvaises conditions sanitaires.
En savoir plus :
https://www.haute-vienne.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Environnement-risques-naturels-et-technologiques/Installations-classees-ICPE/Avis-et-dossier-d-enquetes-publiques-observations-du-public/SAS-T-RHEA-TERRES-DE-CHAVAIGNAC-PEYRILHAC-NIEUL-Enquete-publique-du-11-mars-au-12-avril-2024
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donner votre avis sur le site de la préfecture de la Haute-Vienne , une enquête publique est en cours jusqu'au 12 avril !
https://www.registre-dematerialise.fr/5203/contributions
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engrais(s)(é)(e)(ment)(s)
PEYRILHAC et NIEUL : autorisation environnementale pour la création du centre d'engraissement de bovins Terres de Chavaignac par la SAS T'RHEA
La SAS T'RHEA, maître d'ouvrage, dont le siège social se situe 1, avenue de la Gare 26300 ALIXAN, spécialisée dans la viande de boucherie en gros, a pour projet la création d'un atelier d'engraissement de 3 100 bovins, dont 600 seront en pâturage, sur 4 sites distincts : 3 sur la commune de PEYRILHAC et 1 sur la commune de NIEUL, en utilisant et adaptant les équipements d'une exploitation existante, appartenant actuellement à un tiers.
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Proposition de réponse de GPP :
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Le projet de ferme d'engraissement de la SAS T'Rhéa 'Terre de Chavaignac' est une aberration environnementale et agronomique. L'engraissement des bovins peut être une ressource pour la région à condition qu'elle soit réalisée sur de petits sites dispersés, en système herbager bocager.
Ce projet soumis à enquête publique sur les communes de Peyrilhac et Nieul est :
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malsain pour les animaux à un tel niveau de concentration : conditions contraires à l'éthologie, concentration propice aux maladies : antibio-résistance liée aux antibiotiques utilisés quand ils sont malades. En France, malgré une baisse 24% de leur utilisation (en élevage bovin), le risque demeure pour l’être humain consommateur de leur viande, de favoriser la sélection et le développement de bactéries résistantes aux traitements, privant l'être humain de solutions thérapeuthiques.
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Préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions pour apporter les aliments et la paille, puis emporter les animaux et le fumier) ;
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Catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels, émissions massives de gaz à effet de serre).
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Son énorme consommation d'eau (50 litres pour chacun des 3100 bovins = 155000 litres d'eau par jour) va déstabiliser le bassin aval et dégrader les sols et la biodiversité. De plus, la région subit des périodes estivales de très faibles précipitations. Vos réserves seront insuffisantes. Le captage en nappe phréatique deviendra indispensable, au détriment de la consommation humaine.
La loi LEMA ,dU 30 /12/ 2006 ( Loi sur rEau et les Milieux Aquatiques ) régit le droit a l’accès a l'eau et la considere comme BIEN COMMUN.
Elle place les nouvelles priorités : 1 : EAU potable de qualité. 2: Préservation des ressources milieux aquatiques; 3 : Activités industrie, énergie , agriculture loisirs. -
L'alimentation des animaux va nécessiter des céréales, des oléoprotéagineux et de la pulpe de betterave. Elles seront mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
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Le porteur de projet, le groupe T'RHEA est une holding du pôle viande CARNIVOR. C'est donc un projet purement financier qui se moque du terroir, des habitants, des animaux et de la nécessaire harmonie que la nouvelle ère géologique créée par l'homme -l'anthropocène- nécessite, c'est-à-dire mettre en priorité numéro UN la sobriété.
Conclusion : Ce projet est à contresens de l'histoire et des urgences planétaires. Il doit être rejeté.
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Ndlr : valoriser ACT
50.870 signatures
Auteurs : Sandrine Olier (formatrice, militante) - Magà
Ettori (Cinéaste, journaliste, militant)
Destinataires :
Monsieur le Président MACRON, Monsieur le Ministre de l'agriculture FESNEAU, Madame la Ministre de la transition écologique DE MONTCHALIN, Monsieur le Député MILLIENNE
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L'association écologiste Greenpeace appelait à manifester ce lundi pour demander un moratoire national
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Connu / TG le 20/11/23 à 21:11
Fermes usines : une action symbolique de Greenpeace à Poitiers, devant la préfecture de la Vienne / lanouvellerepublique.fr
Une quinzaine de manifestants ont déployé une banderole tôt ce lundi 20 novembre devant les grilles de la préfecture de la Vienne, ...
Connu / TG le 20/11/23 à 11h26
Connu / TG le 20/11/23 à 15h19
Connu / TG le 20/11/23 à 15h19
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Greenpeace en appelle donc à un moratoire sur les nouveaux projets. La France compte à ce jour 3 010 fermes-usines, dont 70% situées en Bretagne et dans les Pays de Loire. En Poitou-Charentes, la plus forte concentration concerne les Deux-Sèvres. Dans la Vienne les fermes-usines représentent selon l'organisation 320 000 volailles et 32 000 porcs répartis dans douze structures (Senillé-Saint-Sauveur, Amberre, Le Vigeant, Champigny-en-Rochereau, Basses, Pouant, Chauvigny, Paisay-le-Sec, Usson-du-Poitou, Linazay, Bouresse, Cloué). Le projet de la « ferme aux 1200 taurillons » de Coussay-les-Bois mobilise quant à lui depuis dix ans les militants de l’Aspect avec, déplore Anny sa vice-présidente, « le sentiment que les porteurs de projets bénéficient d’une complaisance très coupable des pouvoirs publics, sur le plan administratif comme sur le plan judiciaire ».
Connu / TG le 20/11/23 à 11:18
Publié le 5 Octobre 2023
Pour continuer sa lutte locale contre cette usine d''engraissement à taurillons
et à la fois participer à cette journée nationale du Collectif RAFU (Résistances Aux Fermes-Usines)
ASPECT ORGANISE UNE MANIFESTATION JOYEUSE
ET SURTOUT BRUYANTE SAMEDI PROCHAIN
le 7 Octobre 2023 A CHATELLERAULT.
10H Tours de la Manu
Venez avec vos instruments musicaux et sonores
On vous attend NOMBREUSES ET NOMBREUX pour exiger et obtenir un moratoire sur ces entreprises d'agrobusiness.
Il faut inventer ensemble un nouveau modèle agricole et de production de biens alimentaires de qualité.
OUI à l'agriculture paysanne, NON à l'agro-industrie et l'agriculture productiviste.
Connu / TG le 20/09/23 à 21:22
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Projet de ferme-usine de saumons en Gironde : l’industriel doit compléter son dossier environnemental / SudOuest.fr
Le Verdon-sur-Mer. Projet de ferme-usine de saumons : l’industriel doit compléter son dossier environnemental
À la demande des services de l’État, l’entreprise Pure Salmon a dû retravailler sa demande d’autorisation environnementale concernant les études sur le prélèvement d’eau. Le dossier sera redéposé dans ...
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La Cour des comptes préconise de réduire le cheptel bovin pour diminuer les gaz à effet de serre. « Ce n’est pas tant moins de vache ...
Connu / TG le 10/06/23 à 07:24
Photo Des militants de Greenpeace tiennent des banderoles lors d'une action de déversement d'algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper, le 10 juillet 2023. Fred TANNEAU / AFP
Des militants de Greenpeace ont déversé lundi 10 juillet au matin près d'une tonne d'algues vertes devant la préfecture du Finistère pour pointer la responsabilité de l'État dans cette pollution chronique des plages bretonnes, a constaté un photographe de l'AFP sur place.
«Fermes-Usines : ni ici, ni ailleurs», proclamait une grande banderole jaune tendue au-dessus d'un tas d'algues vertes, devant la préfecture de Quimper. «Bretagne polluée : État coupable», pouvait-on lire sur une autre banderole portée par des militants en combinaison blanche, certains avec des masques à gaz, dès 7H00 du matin.
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Prendre ses responsabilités
De grandes photos d'élevages industriels et de plages polluées ont été également accrochées sur les grilles de la préfecture. «Nous sommes ici pour dénoncer ce modèle d'élevage industriel qui, face à la crise environnementale et climatique, nous mène droit dans le mur, et dont nous ne voulons plus, ni ici, ni ailleurs», a expliqué Sandy Olivar Calvo, chargée de campagne agriculture à Greenpeace, cité dans un communiqué. «L'État doit prendre ses responsabilités et amorcer une sortie de l'élevage industriel en instaurant un moratoire sur tous les nouveaux projets de création ou d'extension de fermes-usines en France.»
Présentes en mer à l'état naturel, les algues vertes prolifèrent dans les baies bretonnes, où elles sont nourries par des apports de lisier épandu par les agriculteurs dans les champs, et dont les excédents sont acheminés par les fleuves côtiers. Fréquemment commercialisées sous le nom de «laitue de mer», ces ulves, sans risque quand elles sont fraîches, émettent en se décomposant un gaz mortel, l'hydrogène sulfuré (H2S).
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Par cette action à Quimper, Greenpeace entend dénoncer la multiplication des «fermes-usines». L'association a récemment rejoint le collectif luttant contre l'agrandissement de la porcherie aux 12.000 cochons Avel Vor, à Landunvez (Finistère). Un recours a été déposé pour annuler la régularisation de l'agrandissement par le préfet en novembre 2022, pourtant retoqué à deux reprises par la justice administrative. Dans le pays du Léon, au nord du Finistère, l'élevage de cochons dépasse par endroits 3000 porcs au km². La Bretagne se place en sixième position européenne pour la taille de son cheptel porcin.
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Sujets Greenpeace algues écologie - 37 commentaires
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?amNHtg
537 signatures
Destinataire(s) : E. MACRON Pr. de la République, E. BORNE Première Ministre, M. FESNEAU Ministre de l'Agriculture, R. LESCURE Ministre chargé de l'industrie, C. BECHU Ministre de la Transition écologique, H. JAQUET chargé de la santé et du bien-être animal
Campagne lancée par La coalition des résistances aux fermes usines
La coalition des RAFUs (Résistances aux fermes-usines) lance une campagne nationale pour demander un moratoire sur les fermes usine pour en finir avec les dégâts sociaux et environnementaux générés par leur multiplication.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Vous avez dit "ferme-usine"?
Dans une logique productiviste, en appliquant des méthodes industrielles intensives (monocultures, élevages industriels) les fermes-usines accaparent les sols et dégradent les conditions de vie sur terre. Qu'il s'agisse de gigantesques serres, chauffées en hiver et éclairées la nuit, produisant des fruits ou légumes en toutes saisons au prix d'émissions massives de gaz à effet de serre, qu'il s'agisse d'élevages intensifs hors sol concentrant et maltraitant des milliers d'animaux dans des espaces fermés réduits, ou qu'il s'agisse de vastes étendues détournées de leur vocation alimentaire pour approvisionner les méthaniseurs, l'agriculture productiviste cumule les dégâts sur le vivant. Pendant ce temps, une poignée de financiers et d'actionnaires de groupes industriels se frottent les mains.
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Soutenez-nous, Signez la pétition !
Les premier.es signataires :
- REI (Refus élevage industriel) – Avesnois/Thiérache
- FLANER (Flandre-Lys-Alloeu Nature et environnement respectés)
- Bretagne contre les fermes-usines
- Stop méthane Plouha
- Douriou Gouez
- Sauve qui poules, Plestin les Grèves
- Bocage -environnement Avesnois "les agités du bocage"
- Les soulèvements Sèvre-niortaise
- Bassines non merci 79
- BNM 29
- Sauvegarde du Trégor-Goëlo-Penthièvre
- Minga – Faire ensemble
- Nous voulons des coquelicots – Grand Châtellerault
- La ruche de l'écologie des monts du Lyonnais
- Halte aux Marées vertes (HAMV)
- Confédération paysanne 59
- Association Anor Environnement
- Association AIVES
- Collectif "Non à la mégaporcherie de Feusines-Perassay"
Des personnalités
- Morel-Darleux Corinne, autrice
- Cohen Aurélien-Gabriel , chercheur en géographie et en philosophie des sciences
- Tordjman Hélène, économiste, université Sorbonne Paris-nord
- Dessein Mickaël, auteur réalisateur permaculteur amateur
Des élu.es
- De Marci Monique, sénatrice de Gironde
- Garin Marie-Charlotte, députée du Rhöne
- Satouri Mounir, député européen
- Mariel Océane, conseillère communataire de la Rochelle
- Biteau Benoît paysan et député européen EELV
- Combres Maryse, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine
- Moncond'huy Léonore, maire de Poitiers
- Chapuis Gauthier, adjoint au maire de Lyon
- Poix Julien, conseiller régional Hauts-de-France
Pour illustrer le phénomène de l’industrialisation de l’élevage en France, Greenpeace France publie aujourd’hui ...
Connu / TG le 16/05/23 à 22:46
28213 signatures (135425 au 13/9/23)
Signez la pétition pour transformer notre modèle d'élevage !
Environ 60% des animaux d'élevage sont concentrés dans 3010 fermes-usines*, qui ne représentent que 3% des fermes d'élevage en France.
Ces méga-exploitations qui comptent des centaines de milliers d'animaux entassés sont un danger environnemental, sanitaire et social :
- Un fléau pour l'environnement : en France les fermes-usines polluent nos sols, l’eau, et l’air que nous respirons (pollutions aux nitrates et à l’ammoniac).
- Un fléau pour les forêts : en important massivement du soja d’Amérique du Sud pour alimenter les animaux d’élevages industriels, les fermes-usines aggravent la déforestation.
- Un fléau pour notre santé : l’usage excessif d’antibiotiques pour les animaux entassés a des conséquences dramatiques sur la santé humaine puisqu’il développe notre résistance aux antibiotiques. Le confinement des animaux augmente aussi le risque de zoonoses, des maladies qui se transmettent de l’animal à l’être humain, comme la grippe aviaire.
- Un fléau pour les paysans et les paysannes : ces méga-fermes menacent l’existence même de modèles paysans et accélèrent la disparition des fermes à taille humaine. Les éleveurs perdent peu à peu leur autonomie en se retrouvant pieds et poings liés à l’agro-industrie et à la grande distribution.
- Un fléau pour les animaux ...
Je demande au Ministère de la Transition écologique et au Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de mettre un terme à la course à l’industrialisation de l’élevage en instaurant un moratoire sur les fermes-usines en France.
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Connu / TG le 20/05/23 à 11:07
Alors que la Bretagne subit régulièrement des alertes à la pollution de l'air aux particules fines, l'origine principale de cette pollution reste ignorée voire camouflée aux populations touchées. Après l'enquête de Splann ! Celle du collectif Bretagne contre les fermes-usines.
[ 1 154 participations ]
Cyberaction mise en ligne le 22 mars 2023 - 13 commentaires
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Président | à votre député
En soutien à Splann !, Collectif Bretagne contre les fermes usines
Elle prendra fin le : 22 juin 2023
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Depuis plus de 20 ans, des études font ressortir que la dispersion de ce gaz et les redépositions qui en découlent demandent à être considérées en volumes émis et en effets sur la santé et l’environnement.
https://bretagne-contre-les-fermes-usines.fr/lammoniac-en-bretagne-un-sujet-etouffe/
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