Camille Étienne, 23 ans, est activiste climatique. Avec ses amis Solal, réalisateur, et Jade, danseuse, elle part, caméra à l'épaule, filmer la source de son engagement : la fonte des glaces. En partageant l'intimité de leur voyage, les trois amis lèvent le voile sur les biais qui nous entravent, ces dissonances cognitives contre lesquelles on se bat tous.
▶️ Séries de 4 épisodes de 18 minutes
Connu / TG le 15/04/23 à 11:03
État d'urgence
Si, en apparence, de nombreux dirigeants politiques et plusieurs capitaines d’industrie donnent l’impression d’avoir intégré “la règle verte”, un lent écocide se poursuit. Contre le greenwashing, Rémi-Kenzo Pagès enquête et décrypte.
On imagine souvent le secteur numérique comme dématérialisé. Pourtant, son impact est réel. La consommation énergétique du numérique augmente de 9% par an et il représente déjà 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Or, la consommation énergétique est devenue une véritable préoccupation en vu des enjeux climatiques. Le sujet mérite donc le détour et l'intérêt des associations écologistes.
Le think tank The Shift Project, présidé par Jean-Marc Jancovici, publie son troisième rapport sur la pollution numérique. Pour la troisième année de suite, le think tank qui oeuvre pour une économie décarbonée met en lumière cette pollution et présente l'avancée de ses travaux sur un sujet peu médiatique : l'impact environnemental du secteur numérique, particulièrement énergivore. Intitulé "Déployer la sobriété numérique", le document explique en détail la méthodologie de The Shift Project et des moyens à mettre en oeuvre. Le rapport interroge aussi : "comment évaluer si le déploiement d'une technologie connectée est vraiment pertinente d'un point de vue énergétique?", "comment forger des systèmes informatiques sobres?"
Pour en discuter, Le Media reçoit Hugues Ferreboeuf, chef de projet numérique et co-auteur du rapport. Cet ingénieur définit la sobriété numérique, et les moyens de prioriser "l'allocation des ressources en fonction des usages afin de se conformer aux limites planétaires".
Transcription : ...
impact n'est plus négligeable, augm de 3.5 à 4% des ém de GES /an sur des usages de loisir et pas essentiels (obésité numérique, surconsommation) plus que la capacité des progrès technologiques => réguler mes usages (vidéos, achats de nouvel équipement, etc)
2 - ressources rare, prioriser nos usages /applications à impact positif sur d'autres secteurs, ni abstinence, ni que bonnes pratiques aussi un système
Le numériqeu n'est pas dématérialisé, rematérialisation ex cloud équipements matériels => matières et énergie pour les construire
/empreinte carbone du numérique estimable basé sur des modèles
des procédés de fabric de plus en plus énergivores 90% du smartphone consommé à la fabrication ; intégrer les achats d'équimenet car resp de la moitié de l'empreinte carbone du numérique
On va dans le mur. /usages qui facilitent la transition et ne la compliquent pas / div /2 jdans les 10 ans qui viennent sinon >2°C >2050
pas que sur la 5G mais arrive en 2020, il est encore possible de définir comment les usages viennent
/smartcity tech connectées : ne déclenche pas forcément économies d'énergies, faire preuve de rationnalité, il y a des cas à ce potentiel mais dépend de la politique d'usage que l'on va conduire. S'assurer que règles de réalisation effectives sinon effet rebond qui supplantera l'effet initial. avoir des bilans prévisionnels pour tout pj
/ville du futur pas que technol déf à quoi on veut qu'elle ressemble, comment s'adapter au changement clim déjà effectif ? comment rendre la ville plus intelligente mais se défier de tentation que nos pb solubles avec tech .
Choix d'un avenir sociétal, choix technol en aval, pas en amont. ... en terme de politiques publiques ... pas approche individuelle mais produit d'un système GAFAM, Opérateurs télécom, datacenters, consommateurs (ménages, entreprises, coll publiques) interagissent dc util influencés. /réf à règles du jeu des politiques publiques (régul indép soit état) /évol usages accélérer /pol publ dissuader commport peu vertueux, récompenser ce qui va dans le bon sens, MAINTENANT
/GOUV dissonances cognitives pas perturber le jeu du marché risque /compétition mondiale, craintes /5G ; craintes déséquilibrer position industriels tirer croissance vers le bas.
"
Ndlr : Terminer transcr ACT
choix sociétal afin de respecter la règle verte (ne pas prendre à la nature plus que ce qu'elle peut donner)), donc l'URGENCE EST POLITIQUE d'abord ! ACT
Cela valide-t-il le programme politique de LFI ? en grande partie... Complètement ? approfondir ACT
LE MONDE DANS 100 ANS, DÉBARRASSÉ DU CAPITALISME - ALAIN DAMASIO, PABLO SERVIGNE
Published il y a 1 jour - 8 views - Lives le Media Video channel avatar
Par lemediatvAccount avatar
S’il ne s’agissait que de réparer le monde, on serait armés. Une clé à molette, quelques vis, deux ou trois boulons, et tout repartirait. Mais le monde n’est pas cassé, il est perdu. Il est égaré, il est foutu. L’humanité se pousse elle vers la sortie ; vers son extinction totale ou juste cérébrale.
C’est tout le mécanisme de l’humanité qu’il faut revoir, la bagnole entière qu’il faut changer. À condition que ceux qui conduisent le modèle actuel veuillent bien sortir. À condition de s’autoriser à les éjecter. Il se peut ainsi que le salut du monde passe par une certaine rudesse. Il se peut que parmi les neuf moyens infaillibles de le sauver ne figure pas le yoga.
Retrouvez pendant 2 heures François Bégaudeau en conférence, en direct du théâtre du Rond Point, dans le cadre du festival "Nos disques rayés #4 : Réparer le monde" dont le Média est partenaire.
Théâtre du Rond-Point, Paris - Festival "Réparer le monde - Nos disques sont rayés #4 », du 4 au 15 février 2020
Le programme complet : http://bit.ly/2Ghh3Jr
.#Begaudeau #DisquesRayés
Confidentialité Publique Publié originellement 04 février 2020
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : actualité ; gouvernement ; manifestations ; RATP ; retraites
et aussi à
https://www.youtube.com/watch?v=BfZVPFETID8
"
11 469 vues - 827 - 38 - 275 k abonnés
Nous sommes le 4 février 2120. Paris est-il toujours Paris ? Des bisons broutent-ils la prairie autour du Rond-Point ? Et le théâtre est-il désormais une ferme en permaculture, un atelier low-tech ou un centre d’hébergement pour les migrants climatiques ?
Pour apprivoiser l’avenir, jouons ensemble que nous sommes un siècle plus tard, réunis à nous remémorer l’effondrement et son dépassement inattendu : comment nous sommes sortis de la dissonance cognitive qui empêchait la mobilisation générale alors que l’alerte sonnait depuis des décennies ; nos stratégies de (sur)vie ; cette nouvelle façon de s’émanciper par et au-delà des technologies ; les rétromorphoses insoupçonnées du capitalisme ; le renouement au vivant en nous et hors de nous ; l’amitié, le collectif, le temps retrouvé.
L’auteur de science fiction Alain Damasio et le collapsologue Pablo Servigne viennent de planètes différentes, mais ils croient l’un comme l’autre aux vertus expérimentales de la fiction. Porteurs tout au long de la soirée de brèves narrations qui nous font toucher le basculement en cours, ils en déplient les enjeux avec leurs invités artistes et penseurs – et avec le public. #Futur #Effondrement
Catégorie Actualités et politique 10 commentaires
Rackham le Rouge* il y a 2 heures
Sur les questions abordées dans la vidéo, je recommande vivement cette excellente vidéo du philosophe communiste Georges Gastaud : https://youtu.be/v1fNrMnP0xA
"