... consiste à reproduire et à améliorer les processus et mécanismes à l’œuvre dans les plantes ... août 2015, des chercheurs australiens de l’Université de Monash, à Melbourne ... nouveau record, en portant à 22 % le taux d’efficacité de leur « feuille artificielle » qui décompose l’eau grâce à la lumière du soleil pour produire de l’hydrogène ... cellules photovoltaïques multi-jonctions ... électrodes en mousse expansive de nickel ... avril 2016, des chercheurs danois et suédois de l’Université de Copenhague et de l’Université technologique Chalmers (Suède) ... méthode à partir de biomasse, produire des biocarburants et d’autres substances chimiques sans émettre de CO2 ... “photosynthèse inverse” ... ont eu recours à une enzyme synthétisée par certaines espèces de bactéries et de virus ... cycle CETCH ... feuille bionique ... nouveau catalyseur cobalt-phosphore ... montrer que les nanotechnologies pouvaient non seulement permettre d’augmenter l’efficacité du processus naturel de photosynthèse, mais pouvaient également être utilisées pour transformer la plante afin qu’elle puisse devenir un "capteur" très sensible pour détecter le monoxyde d’azote (NOx), un polluant nocif produit notamment par les véhicules thermiques ... intégrer de la chlorophylle à des transistors électroniques sur graphène, ce qui a donné naissance à un « phototransistor » ... "sandwich" moléculaire graphène-chlorophylle ... aux confins de la physique, de la chimie, de l’électronique de la biologie : les nanobiotechnologies ... faire d’une pierre trois coups : accélérer le basculement énergétique mondial vers les énergies propres, valoriser et recycler le CO2 pour en faire une « matière première » utile à l’économie et enfin produire massivement et de manière propre de l’hydrogène ... carburant, vecteur énergétique ... approche résolument transdisciplinaires et en favorisant le dialogue et l’échange ...
Les piles à combustible pour la production d’hydrogène ne cessent de s’améliorer. Une équipe internationale de chercheurs a développé un nouveau catalyseur à base de graphène et de nanotubes de carbone, beaucoup plus économique que les catalyseurs traditionnels.
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Une méthode de production innovante
... le substrat joue un rôle important dans son efficacité. En effet, la structure poreuse du catalyseur donne désormais accès à l’interface catalyseur/substrat, ce qui veut dire qu’en optimisant le substrat, les performances pourraient encore être améliorées.
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Pour en savoir plus :
https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acscatal.0c00352
https://www.aalto.fi/en/news/new-material-developed-could-help-clean-energy-revolution
Ndlr : le titre induit en erreur car il est question de la production du catalyseur et non pas de l'hydrogène !
L’équipe toulousaine 2018 est composée de neuf étudiants de l’INSA Toulouse et de l’Université Toulouse III - Paul Sabatier. Elle est encadrée par des chercheurs et des enseignants-chercheurs du Laboratoire d'Ingénierie des Systèmes Biologiques et des Procédés (LISBP), du Laboratoire de Biologie Moléculaire Eucaryote (LBME) et de l’Institut Gaston Berger (IGB) de Lyon.
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compétition internationale iGEM (international Genetically Engineered Machine - soit en français génie génétique international des machines ?)
... L’étape limitante reste la difficulté de fixer des molécules bioactives sur la cellulose (le matériau de base des fibres textiles). Pour contourner ce problème, l’équipe a conçu une protéine nommée Cerberus (en référence au chien mythologique). Cette protéine pourra fixer trois types de molécule à la fois grâce à ses trois « têtes » ainsi qu'une grande diversité de molécules organiques ou inorganiques.
Durant l’été, les étudiants produiront cette protéine en utilisant des approches de biotechnologie et démontreront ses différentes fonctionnalités en faisant produire par des levures de la cellulose fluorescente, magnétique, antibiotique ou conductrice.
Contacts presse :
Virginie Fernandez, relations presse, université Toulouse III - Paul Sabatier, virginie.fernandez@univ-tlse3.fr, 06 88 34 49 98
Gaëlle Bordes, équipe iGEM, igem.toulouse@gmail.com, 06 68 36 02 18
Véronique Desruelles, directrice du service communication INSA Toulouse, servicecom@insa-toulouse.fr, 06 80 58 47 72
Q. :
- quelle est la quantité d'énergie consommée dans ces processus biologiques ?
- Les études préalables sont-elles accessibles pour étayer l'argument "énorme besoin" ? Comprennent-elles un volet "étude concurrentielle" ?
ACT