Conversation Greenpeace France @greenpeacefr · 8 sept.
Stop aux mégabassines ! Alors que le procès de 9 responsables syndicaux et militants écologistes se tient en ce moment même à Niort, nous sommes là pour les soutenir et dénoncer l'accaparement des ressources. https://greenpeace.fr/mega-bassines-pourquoi-opposer/
Image Vous et 6 autres personnes
- Josette Marrant @josette_marrant
La constante avec vous c’est que par principe, vous êtes hostile à tout ! Sans rien comprendre
4:07 PM · 9 sept. 2023 - · 34 vues - Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 7 min
#Eau #Greenpeace #HOSTILEàTOUT #Bêtise ? - en #Afrique https://greenpeace.org/africa/fr/tag/eau/
- en #France
. https://greenpeace.fr/tofu-lentilles-amandes-quinoa-les-alternatives-a-la-viande-sont-nombreuses/
. https://greenpeace.fr/changement-climatique-et-evenements-extremes-causes-et-consequences/
. https://greenpeace.fr/loi-climat-loi-blabla/
#DesPropositions? #EnVeuxTuEnVOILA!
greenpeace.fr Loi climat : loi blabla
Depuis la publication du rapport des 150 de la Convention citoyenne pour le climat, jusqu’au vote définitif de la loi climat à l’Assemblée nationale ce 20 juillet 2021, la montagne a accouché d’une...
Personnes pertinentes
Josette Marrant @josette_marrant
ingénieure ENGEES et INET expérience chambre agriculture, police de l’eau État, direction agriculture environnement et aménagement rural conseil départemental
Ndlr :
- créer un compte immae supplémentaire ou bien créer notre propre chaton avec instance de chaarly pour vérifier que c'est le bon outil "léger" et "efficace" de coopération dans la réponse aux tolls ACT
- référencer sous forme de même (mème) nos réponses ainsi que les mots-dièse ACT
Nouveau rapport sur l'expansion en Afrique d'une trentaine d'ONGs, avec Total en premier développeur, et ses soutiens financiers. (BNP, SoGé, Crédit Agricole et BPCE en tête)
15 764 vues - 732 - 16 - 315 k abonnés
Comment le continent africain s’en sort-il face au COVID-19, un choc planétaire qui a mis à genoux les pays les plus développées ? La question s’est indirectement invitée en France via une polémique à la fois vaine et révélatrice. C’était sur le plateau de LCI. A côté de la présentatrice Arlette Chabot, le Pr Jean-Paul Mira, chef du service réanimation à l’hôpital Cochin de Paris. Et en direct via une application de visioconférence, le Pr Camille Locht, de l’INSERM, l’Institut national supérieur de la recherche médicale. On parle d’une piste prometteuse pour la recherche sur le COVID-19. Le BCG, vaccin contre la tuberculose, pourrait avoir quelques effets protecteurs.
Pour vérifier cette hypothèse, une étude clinique est lancée, notamment au sein de la population des soignants en Europe et en Australie. Le problème, c’est, en quelque sorte, la pureté des statistiques. Comment connaître l’impact spécifique d’un vaccin au sein d’une population qui a déjà intégré les mesures-barrières ? Brusquement, le Pr Mira se demande s’il ne faut pas procéder aux études cliniques en Afrique “où il n’y a pas de masques, pas de traitements, pas de réanimation”. Afin de bien faire la différence entre un éventuel groupe ayant bénéficié du vaccin et un autre groupe, laissé (vraiment) sans protection. Les réactions indignées se sont naturellement multipliées..
La tonalité générale est la même : les Africains ne sont pas des rats de laboratoire, et le dénuement de leur continent ne saurait être une opportunité pour des pays riches qui sont, au demeurant, les plus fortement touchés par l’épidémie.
Le plus grave dans cette polémique qui aurait pu être évitée, ce n’est même pas le cynisme de son initiateur. Ce sont les conséquences potentielles sur le terrain, où elle a réveillé de vieilles angoisses, et alimente le robinet d’un complotisme dangereux pour la santé publique.
Et pour cause : par le passé, et même dans un passé très récent, des chercheurs occidentaux se sont permis tout et n’importe quoi en Afrique. C’est ce qu’explique Félix Atchade, médecin spécialiste en santé publique et en éthique médicale qui travaille entre la France et l’Afrique de l’Ouest. Qui insiste aussi sur l’absolue nécessité de ne pas succomber aux sirènes de l’anti-science.
Sur le terrain, en Afrique, un des enjeux de cette crise du COVID-19, c’est celui de la légitimité des scientifiques africains qui, en réalité, sont plus mondialisés qu’il paraît, participent à de gros projets de recherche, publient dans de prestigieuses revues internationales, sans forcément être reconnus dans leurs propres pays. Or leur continent est plus que jamais confronté à lui-même, alors que les anciennes puissances coloniales sont dépassées par la situation, faisant comme la France face à des pénuries qui étaient jusqu’ici le lot des pays du Tiers-Monde. Si les chercheurs locaux puissent dans les ressources de ce qu’on appelle l’innovation frugale, pour trouver des solutions, ils auront gagné leurs galons.
C’est en tout cas le pari de Jérémie Zoueu, à l’Institut national polytechnique de Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire. Ses étudiants, ses doctorants et lui travaillent déjà sur le virus, notamment via des méthodes informatiques, pour mieux le comprendre et participer à le vaincre. Dans leur usine-école, ils produisent déjà plusieurs milliers de litres de gel hydro alcoolique, de savon et d’autres désinfectants. Ils travaillent aussi à la production locale de matériels médicaux.
Au Cameroun, l’équipe de Serge Njidjou, qui travaille à l’Université de Dschang, une ville moyenne à l’ouest du pays, vient d’achever le prototypage d’un portique désinfectant, tournant à l’énergie solaire. Il explique pourquoi un tel dispositif peut être adapté à la lutte contre le coronavirus dans cet environnement particulier.
.#Afrique #Coronavirus
Catégorie Actualités et politique 144 commentaires
entretien avec Jean-Marc Jancovici sur les risques écologiques majeurs et les défis liés à notre surconsommation d'énergie dans la décennie à venir.
A quoi ressembleront la France et le monde des années 2020 ? Pour se faire une idée, Marianne a interrogé différentes personnalités reconnues pour leur expertise dans leur domaine (politique, climat, culture, égalité hommes-femmes…). Au programme, pas de boule de cristal, mais de vraies analyses sur notre futur collectif… Voici l'entretien réalisé avec Jean-Marc Jancovici, polytechnicien, associé co-fondateur de Carbone 4, cabinet de conseil spécialisé dans la transition vers une économie décarbonée et l’adaptation au changement climatique, fondateur et président de The Shift Project, "think tank de la décarbonation de l’économie", professeur à Mines ParisTech, membre du Haut Conseil pour le climat, et auteur de sept livres de vulgarisation sur l’énergie et le climat.
...
qu’impliquerait un milliard d’Africains en plus d’ici à 2050, en termes d’impact écologique ?
Cela entrainerait une disparition accélérée des espaces naturels ainsi qu’une fraction croissante de la population en état de dépendance alimentaire dans certaines régions. Et cela ne sera remédiable que si le reste du monde a des surplus agricoles à leur fournir. Sauf que le reste du monde aura aussi à faire face à la décroissance des rendements, liée aux changements climatiques d’une part, et ultérieurement à la baisse de l’énergie disponible. Le reste du monde aura lui aussi un jour un problème de bouches à nourrir pour les quantités disponibles. Entre 1945, sans tracteurs et sans engrais de synthèse, et 1975, où ces pratiques ont été généralisées, les rendements céréaliers ont été multipliés par cinq. Dans un monde sans combustibles fossiles, les rendements céréaliers diminueront donc fortement (en bio, sans engrais de synthèse, mais avec toujours des tracteurs, ils sont déjà inférieurs de plus de moitié aux rendements « conventionnels »). Il faudra remettre en service des animaux de trait qui vont mobiliser une large partie de la surface agricole pour leurs propres besoins. Dans un tel contexte, il est difficile de savoir quels seront les surplus agricoles dégagés par les pays des moyennes latitudes au profit des pays du Sud…
...
le Conseil d’Orientation des Retraites postule que la croissance, d’ici à 2070, sera de 1 à 2% par an, et c’est sur cette base que la réforme est discutée. C’est ridicule !
Malheureusement, la principale contrainte que nos élus (tant qu’il y en aura) vont devoir gérer est celle de la diminution de notre pouvoir d’achat, et c’est dans ce contexte qu’il faut trouver un projet pour l’avenir !
Les graphiques sont issus de "L’énergie, de quoi s’agit-il exactement ? https://jancovici.com/transition-energetique/l-energie-et-nous/lenergie-de-quoi-sagit-il-exactement/" de Jean-Marc Jancovici.
Ndlr :* sur les animaux de trait : / #Avenir de l'#Agriculture en #Afrique (et ailleurs) plutôt qu'il passe par le retour aux #Animaux il y a augm #Résilience donc #rendement /#AB+#AgroÉcologie+#AgroForesterie+#Permaculture démontré notamment /#INRA au #BecEllouin => https://twitter.com/JulienDelalande/status/1212015540652388352
"
Julien Delalande @JulienDelalande · 3 min En réponse à @MarianneleMag
.@JMJancovici / l'#Avenir de l'#Agriculture en #Afrique (et ailleurs) plutôt qu'il passe par le retour aux #AnimauxDeTrait il y a augm dla #Résilience donc du #rendement /#AB+#AgroÉcologie+#AgroForesterie+#Permaculture démontré notamment /#INRA au #BecEllouin
"
21 482 vues - 1,4 k - 81 - 217 k abonnés
Confrontée à la multiplication des opérations militaires, y compris à l'intérieur du territoire national, l'armée française recrute via des méthodes de communication agressives. Mal préparés, mal payés, des milliers de jeunes déchantent vite. Accusations de viols et de tortures, désertions, mutineries : focus sur la face cachée de l'armée française.
.#Armée #Afrique
Catégorie Actualités et politique 276 commentaires
22 638 vues - 1,4 k - 50
"Si l’avenir du monde c’est que les 7 vieilles puissances décident de l’ordre écologique et l'imposent au reste de la planète, c’est une catastrophe. Ce n’est pas aux riches d’expliquer ce qu’ils doivent faire aux pauvres. Ça c’était bien dans les années 50, c’était Tintin au Congo."
.#Amazonie #Brésil #Bolsonaro #Macron
Catégorie Actualités et politique 298 commentaires
Pursang T il y a 1 jour
Les puissants veulent s'accaparer les richesses du bois des minerais du pétrole au Brésil. Ils en ont rien à faire du poumon ya qu'à voir la population indienne comme ils l'ont traité. Chacun chez soi et Dieu pour tous. Jusqu'à quand on va laisser ces meurtriers agir contre le bien de l'humanité. C'est ça la vraie question !
=>
https://twitter.com/JulienDelalande/status/1170667657634279424
"
Julien Delalande @JulienDelalande · 13m
Théophile Kouamouo @LeMediaTV
/ #Souveraineté des #États si l'on veut prendre en compte un #Commun comme la #Forêt #Amazonie ou #AfriqueÉquatoriale sans retomber dans #Colonialisme/#Impérialisme
.#SouverainetéPopulaire #BiensCommuns #Communs #Économie sous l'#Anthropocène #PLPDLA
"