Ind1ju
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... autonomiser l’espace économique à finalité de Bien Commun, maintenant reconnu comme richesse prioritaire
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on examine les choses au fond sans frein selon le principe que :
- Si un projet à finalité de Bien Commun est collectivement souhaité et que la volonté de le réaliser est là.
- Si les connaissances du moment, les moyens techniques et énergétiques disponibles permettent d'y répondre.
- Si l'empreinte écologique prévisible est compatible avec les normes internationalement admises.
- Si les savoirs-faire et les ressources humaines nécessaires sont disponibles grâce au fait, entre autres, que le monde de la production a de moins en moins besoin de main d'œuvre.
- Si le projet ne se fait pas au détriment d’autres peuples.
Alors rien ne s'oppose à sa mise en œuvre car dans ce cas de figure c'est la faisabilité du projet qui conditionne la création monétaire au niveau nécessaire à sa réalisation et non l'importance du financement (quand on peut le trouver) qui conditionne le projet.
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Connue / pdr mel du 19/08/2022, 14:24
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Arthur Keller (spécialiste des risques systémiques et des stratégies d’anticipation et d’organisation collectives face à ces risques) en deux liens intéressants :
Arrêter de penser en silos, c'est à dire en séparant les différents domaines et défis auxquels nous confronte la crise écologique car ils sont interdépendants et systémiques.
et dans la suite, comment se préparer aux pénuries déjà l;a en partie mais qui vont être encore plus importantes en raisin de la rupture des chaînes d'approvisionnement que la mondialisation néolibérale a favorisées
https://www.youtube.com/watch?v=IJntzv7B6Ho
Commentaire personnel : l'analyse d'Arthur Keller me parait juste et lucide. Il a tout à fait raison de souligner que la question est systémique. Et c'est bien le problème car, qui veut vraiment faire évoluer le système ? Il me semble qu'il élude trop un point essentiel : le "devoir gagner sa vie" sur lequel repose le système justement. Pour "gagner notre vie" (autrement dit avoir une rémunération pour subvenir à nos besoin) nous devons exercer une activité "rentable". Ce point n'est pas assez conscientisé. Car l'économie ne reconnait comme "richesse" que ce qui génère un profit financier; une activité marchande donc qui se traduit par extraction, transformation,consommation, pollution. Le Bien commun, la régénération, la réparation, le prendre soin de... coûtent de l'argent dans notre système. Ce n'est pas une richesse, c'est une dépense qu'il faut nécessairement limiter, éviter puisque, pour en financer le coût il faut prélever une partie des revenus "productifs" .
Et si on pouvait "gagner notre vie" dans des activités de régénération non rentables financièrement ? alors les verrous qui empêchent l'évolution du système pourraient peu à peu être ouverts, non seulement parce que des activités actuellement impossibles à mettre en œuvre deviendraient possibles, mais aussi parce qu’il deviendrait possible pour les gens d'aligner leurs valeurs avec leur activité.
Une utopie qui est au cœur de mes travaux https://lhed.fr/action-politique
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44 soutiens, 17 suivent
Rendre autonome le financement du Bien commun par introduction de monnaies complémentaires territoriales créées sans dette, en contrepartie de la pertinence de projets dédiés au Bien commun votés dans un processus démocratique participatif. Elles ont cours légal, limité à chaque pays de l'UE, non convertibles, fléchées vers une consommation responsable.
Liste des soutiens : ffert ; Grelet ; Prothon ; Yonrac ; Yan Eperon ; Leflamand ; Mante ; Anna Louise Fontaine ; GODINOT Etienne ; ROUFFET ; Angelique ; chabeuf ; inneos ; samuel ; Emmanuelle ; David Millier ; manu ; Cognard ; Jean-Claude RANSON ; Anne Demichelis ; RIGAL ; jpsavin ; yvonne ; Olivier ; Rimsky-Korsakoff Jean-Pierre ; Rimsky-Korsakoff Martine ; Cantais ; MARTIN HUREL Amelie ; HOLBECQ ; Katell ; Jean-Luc Roux ; Charles Abécassis ; Daroussin ; BAYEUX ; Marie-Josée ; MamanSolo ; Detournay ; MEREL ; Lissillour ; le guehennec ; andre peters ; fabienne ; Cance ; Julien Delalande
April 4th, 2021 26 views
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Channel profile picture @cleliamarsadie
A partir de son expérience de chef d'entreprise dans les années 80 Philippe Derudder a choisi de faire chanter son âme et de donner un sens à sa vie au travers de ses compétences en économie et en gestion. Depuis il se consacre à peaufiner son expertise en économie alternative, dans ce partage il nous dessine le paysage de ce qu'est la monnaie de nos jours et comment nous pouvons y trouver des façons constructives de la mettre au service de la planète et de ses habitants.
LBRY URLlbry://@cleliamarsadie#9/ÉconomieAlternativePh.Derudder210329#0
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1.63 GB
Tr.: ... sociocratie ... créer un think tank autour de la monnaie pour aboutir à une convention citoyenne sur la monnaie ... on a créé leseconologistes.org on peut signer cet appel. Autre site pédagogique sur l'économie ... mosaïque qui se crée en ce moment ...
ya des gens comme étienne chouard, francis dupuy
Florence : énergie libre, sognante et comptable, des humains libres, système d'abondance horizontal,
PDR : on est maintenus dans l'ignorance et le mensonge et c'est toujours ainsi. /MLC nos cerveaux restent bloqués dans nos habitudes, /SELS petites communautés sans argent c'est l'existance de ces talents qui prédomine ex piano, la monnaie devient un indicateur de richesses collective. ... plus on est pauvre dans notre société, moins on est libre ... société qui va déconnecter le travail du revenu ... c'est notre transformation individuelle qui ouvre des portes collectives ...
Maelle : ...