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Alors qu’approche la date du bicentenaire de la mort de Napoléon Bonaparte (5 mai), le débat sur sa célébration est particulièrement vif : la République doit-elle commémorer l’empereur qui l’a jadis abolie?
268 commentaires
Ndlr : excellent débat ++
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace
Commémoration de l'accident #Nucléaire de #Tchernobyl
C'est aussi à POITIERS !
Lundi 26 avril 16h30 devant la préfecture.
Lecture « La Supplication » de #SvetlanaAlexievitch
« l ‘Appel Mondial du 26 Avril 2021 aux femmes du monde entier ! »
#marche
http://www.sortirdunucleaire75.org/actions/2021/2021_actions.html
Image noir et blanc avec filtre jaune de la centrale de Tchernobyl. Légende : TCHERNOBYL POLLUTIONS RADIOACTIVES DEPUIS 35 ANS
ALT 2:36 AM · 26 avr. 2021·Twitter Web App
2 min
Plus de détails grâce à @web86info
Marche commémorative de l’accident nucléaire de Tchernobyl
https://web86.info/events/event/marche-commemorative-de-laccident-nucleaire-de-tchernobyl/
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... À noter : Les Amis de la Terre déposeront une gerbe de fleurs "
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Les commémorations du 11 novembre se déroulent cette année dans un climat assez tendu. Emmanuel Macron a présidé la cérémonie officielle de commémoration du 101ème anniversaire de l’Armistice de 1918 à l’Arc de Triomphe. Il doit ensuite inaugurer un monument pour les 549 militaires « morts pour la France » en opérations extérieures depuis 1963. Le dernier nom inscrit sur ce monument sera celui de Ronan Pointeau, tué au Mali le 2 novembre.
Le président de la République va ensuite s’entretenir avec Antonio Guterres, secrétaire général des États-Unis, avant de recevoir les dirigeants du monde entier pour le deuxième Forum de Paris pour la paix.
Un agenda chargé donc, qui s’inscrit dans un contexte particulier. Dans une interview accordée à The Economist, Emmanuel Macron a déclaré que l’Otan était selon lui en état de « mort cérébrale », en regrettant notamment l’éloignement entre les Etats-Unis et l’Europe sur certaines positions ainsi que le comportement de la Turquie, membre de l’Alliance, en Syrie.
Les propos du président de la République ont été jugés « radicaux » par la chancelière allemande Angela Merkel lors d’une conférence de presse à Berlin. « Je ne pense pas qu'un tel jugement intempestif soit nécessaire, même si nous avons des problèmes, même si nous devons nous ressaisir », a ajouté la chancelière.
Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a, pour sa part, tenu à rappeler que l’Otan était « historiquement un des partenariats stratégiques les plus importants » mais aussi qu’il « court toujours le risque de devenir obsolète », reprenant ainsi les mots employés par Donald Trump en avril dernier. Le seul acteur qui se réjouit directement des propos d’Emmanuel Macron est bien évidemment la Russie, qui évoque des « paroles en or, sincères et qui reflètent l’essentiel ».
Dans son interview donné à The Economist, Emmanuel Macron ne s’est pas contenté de ses propos sur l’Otan, il a également appelé à « muscler » l’Europe de la Défense et à atteindre une « souveraineté militaire » en Europe. Le président français craint une « disparition géopolitique » de l’Union européenne si elle ne « se pense pas comme une puissance stratégique ». L’Europe de la Défense est pourtant encore loin d’être une réalité, même si un fonds européen de la Défense a été adopté en avril dernier. Doté de 13 milliards d’euros, il entrera en vigueur dès 2021.
Où en est réellement l’Europe de la Défense ? L’OTAN est-elle encore pertinente ? Qui sont les alliés de la France aujourd’hui ? Où en est l’opération Barkane au Sahel ?
Invités :
• Pascal Boniface, directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques
• Général Vincent Desportes, professeur des universités associé à sciences Po, ancien directeur de l'Ecole de Guerre
• Isabelle Lasserre, rédactrice en chef adjointe au service étranger et correspondante diplomatique du « Figaro »
• Armelle Charrier, éditorialiste en politique internationale à France 24
Catégorie Divertissement
Transcription : ... pragmatisme, courage, ... obligation de consultation ...
Ndlr :* Macron valide de programme de LFI à ce sujet ++ et /défense européenne sujet de souveraineté n'a pas de sens sans peuple européen :-(
es Atikamekw de Manawan, de Wemotaci et d’Opitciwan, en Haute-Mauricie, entament un processus de commémoration pour les enfants disparus ou enlevés après avoir reçu des soins à l’hôpital. En parallèle, ils sont toujours à la recherche de la vérité sur ces enfants fantômes.
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C’est le Jour J. Après la cérémonie internationale qui a eu lieu à Portsmouth hier en présence de nombreux chefs d’État, c’est au tour de la France de commémorer le débarquement allié qui se déroulait le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie. Emmanuel Macron et Donald Trump ont donc rendu hommage aux milliers de soldats alliés qui ont aidé à libérer le pays du joug nazi. Étaient présents quelque 500 vétérans, pour la plupart centenaires, de cette grande opération militaire. Cependant, si l’heure est au souvenir et à l’hommage rendu à ces héros de la Seconde Guerre mondiale, la visite de Donald Trump en France se déroule dans un contexte diplomatique compliqué. La remise en cause, de plus en plus forte, du multilatéralisme par Donald Trump irrite les chefs d’État européens, Emmanuel Macron compris. Le président américain semble en effet « tourner le dos à l’Europe », comme l’analyse le journal Le Monde. Les deux chefs d’État se sont appliqués à rappeler les liens forts qui unissent les deux pays. « Je tiens beaucoup à cette relation historique » a déclaré Emmanuel Macron, alors que Donald Trump a parlé pour sa part de « liens incassables ». Mais dans son discours de commémoration, Emmanuel Macron a tout de même eu une déclaration lourde de sens dans le contexte actuel d’isolationnisme américain : « L’Amérique n’est jamais aussi grande que lorsqu’elle se bat pour la liberté des autres ». Une réunion bilatérale entre Trump et Macron a eu lieu à la préfecture de Caen dans la foulée de la cérémonie. Le multilatéralisme hérité de la victoire des alliés lors de la Seconde Guerre mondiale est-il en danger ? La commémoration du Débarquement est-elle l’occasion de renouer des liens diplomatiques forts entre la France et les États-Unis ? La France peut-elle se passer de son allié américain dans le contexte géopolitique actuel ?
Invités :
• François Clemenceau - Rédacteur en chef international pour le Journal du dimanche.
• Thomas Snégaroff - Historien.
• Isabelle Lasserre - Responsable des questions de diplomatie et de stratégie pour Le Figaro.
• Jean-Vincent Brisset - Directeur de recherche à l’IRIS et spécialiste des questions de défense
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