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Lundi 19 juillet 2021, Jean-Luc Mélenchon était en déplacement au Burkina Faso. Il était accompagné de Mathilde Panot, vice-présidente du groupe parlementaire de la France insoumise et de Bastien Lachaud, député de Seine-Saint-Denis. Jean-Luc Mélenchon et Bastien Lachaud se sont entretenus avec le Président de l'Assemblée nationale du Burkina Faso, M. Alassane Bala Sakandé, tandis que Mathilde Panot rencontrait le Ministre de l'Eau.
Puis, la délégation parlementaire s'est entretenue pendant environ 45 minutes avec le Président du Faso, M. Roch Marc Christian Kaboré. L'échange avec le chef de l'État a porté sur la gestion de la crise sanitaire, la crise climatique et les relations avec la France.
Enfin, la délégation de la France insoumise s'est rendue à Loumbila pour visiter l'association Yelemani. Cette association, fondée par Mme Blandine Sankara, soeur de l'ancien Président du Faso Thomas Sankara, lutte pour la souveraineté alimentaire du Burkina Faso.
Lors de la visite, les députés insoumis et Mme Sankara ont échangé sur les moyens d'arriver à cette souveraineté, en France comme au Burkina Faso. Les membres de l'association ont ensuite fait visiter les jardins et expliqué leurs actions auprès des différents publics.
95 commentaires
Nicole Chauvet il y a 1 jour
Bravo, c’est une émission très sympathique et agréable à regarder. Cela fait du bien de voir qu’il y a des associations qui trouvent des solutions pour aider les gens à se nourrir. Merci Jean Luc, Mathilde, Bastien et Antoine !
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Thomas K. il y a 1 jour
Je trouve intéressante la notion de fierté en matière de souveraineté alimentaire... j avais jamais pensé à ça sous cet angle.
Le très beau film de Matthew Warchus (scénario de Stephen Beresford) intitulé Pride, tiré d’une histoire vraie, raconte l’engagement d’un groupe d’activistes gay et lesbien, à Londres. Ils décident de réunir des fonds pour aider les familles touchées par la grève que les mineurs ont lancée (en 1984-85) pour s’opposer à la politique ultra-libérale de Margaret Thatcher qui les condamnait à mort. Le Syndicat national des mineurs ayant fait part de ses réticences face à ce soutien inattendu (par crainte d’être ouvertement associé à un groupe gay), les militants londoniens choisissent d’apporter leurs dons directement aux familles ouvrières vivant dans un village minier du Pays de Galles.
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Ce film est un document extraordinaire pour faire comprendre comment une lutte collective transforme celles et ceux qui y participent, fait tomber des préjugés, déplace la frontière du « eux » et « nous ». Des membres du syndicat des mineurs s’engageront d’ailleurs quelques années plus tard pour défendre les revendications du mouvement LGBT.