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– Ne montrez pas ces images à BFM et LCI, ça pourrait leur faire un choc –
Cela pourrait être amusant si ça n'était pas dramatique. Un jeune reporter de 14 ans, du média en ligne hollandais Bender, a offert une leçon de journalisme à tous les médias d'occident. Le jeune homme a courageusement suivi les hooligans du Maccabi Tel Aviv lors de leur déplacement dans sa ville, à Amsterdam. Il a donc filmé les fameuses victimes innocentes de l'atroce pogrom antisémite dont tout le monde parle.
Ses images sont édifiantes : le groupe de hooligans, déjà connu pour avoir commis des agressions racistes par le passé, se déplace de façon coordonnée et armée, récupère des barres de métal et des bâtons dans les rues, il tire des explosifs à Amsterdam et charge violemment dans le but d'en découdre. Sur les images, cette milice israélienne ultra-violente n'est quasiment pas inquiétée par la police. On découvre que le groupe a même dépavé les rues pour caillasser la police, les taxis et un immeuble affichant des drapeaux palestiniens, sans réaction des autorités.
Plus le reportage avance, plus il paraît évident qu'il s'agit d'une descente fasciste préparée pour agresser et casser, en ciblant prioritairement des habitants d'origine maghrébine. Surtout quand on sait que ces hooligans chantaient par ailleurs des slogans appelant à tuer les «arabes» tout au long de leur séjour.
S'il devait y avoir un scandale médiatique, il aurait du porter sur cette descente dans les rues des Pays-Bas, venue d'un État colonial en train de commettre un génocide. Et pas sur la réaction d'habitants qui ont riposté. Mais par un fantastique retournement du réel, ce sont les agresseurs, armés, formés au combat et ouvertement racistes, dont plusieurs sont membres de Tsahal ou du Mossad, qui sont présentés depuis 2 jours comme des victimes absolues.
À présent, il est obligatoire de respecter le droit des hooligans israéliens à commettre des agressions racistes et à appeler au meurtre d'arabes sans réagir.
Sous-titres : Caisses de grève
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On est le 31 janvier 2023, ce “Toujours Debout" est consacré à la 2ème journée d’action contre la réforme des retraites portée par un gouvernement décidé, je cite : “à ne plus négocier”. Le pouvoir mise en effet sur l’essoufflement financier des grévistes déjà pris à la gorge par la hausse des prix. Face à leur inflexibilité, la mobilisation se poursuit et pour qu’elle se maintienne dans la durée, les grévistes ont besoin d’une caisse de grève. Et parmi les outils essentiels d’une contestation qui pourrait se tenir sur un temps long, les caisses de grève figurent en bonne place. Ce sont les caisses noires du monde du travail. Avec plus de 4 millions d’euros récoltés depuis sa création en 2016, la CGT info’com est la caisse de grèves qui soulève encore aujourd’hui beaucoup d’argent.
Quel est leur rôle dans le bras de fer qui oppose les grévistes au gouvernement ?
Comment sont-elles nées et comment se sont-elles développées depuis l’origine, jusqu’à aujourd’hui avec l’avènement du numérique ?
On en discute avec Alma Dufour, députée LFI-NUPES, Gabriel Rosenman, sociologue et spécialiste des caisses de grèves et Guillaume Quintin Secrétaire national du Parti de Gauche.
Visibilité Publique
Publié originellement 01 février 2023
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu Étiquettes Durée 34min 21sec
Face à sa politique profondément injuste, le peuple se mobilise, par la grève et dans la rue. Des salariés des raffineries à la marche contre la vie chère et ...
Connu / TG le 01/02/23 à 18:51