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La prime d’activité remplace, depuis le 1er janvier 2016, la prime pour l’emploi (PPE) et le volet activité du revenu de solidarité active (RSA).
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« Je n’ai jamais vu une situation pareille en 24 ans de barreau »
Quand Pascal, agent technique chez Total demande le paiement de ses heures sup’, il est mis à la porte. Il conteste son licenciement aux prud’hommes où il est débouté par un ancien cadre… de Total élu aux prud’hommes.
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En appel, les magistrats vont donner entièrement raison à Pascal. La cour juge en 2022 son licenciement sans cause réelle et sérieuse. L’entreprise est condamnée à lui verser 51.000 euros de dommages et intérêts à ce titre, 4.000 euros au titre du non-respect des durées maximales de travail et minimales de repos, 8.000 euros au titre de l’obligation de loyauté et 3.600 euros au titre du remboursement de ses frais de justice.
Pascal, contacté par l’intermédiaire de son avocat Pierre Santi, a indiqué avoir « tourné la page et ne [plus souhaiter] revenir sur cette affaire ».
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Accident du travail : silence des ouvriers meurent @DuAccident · 6h
Le suicide d’un salarié après l’annonce de la fermeture d’un site peut être considéré comme un accident du travail
francetvinfo.fr
Un suicide, intervenu au lendemain d’une telle annonce dans la région d'Angers, vient d’être reconnu comme un accident du travail. Une
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Sommaire
- Notre constat : la flexibilisation est au seul service des actionnaires.
- Notre projet : étendre les droits
- Nos propositions : vers le travail du XXIe siècle
3.1. L’urgence : interdire les licenciements abusifs
3.2. Pour un nouveau salariat : protéger et sécuriser
3.3. Pour de nouvelles entreprises : la démocratie au travail
3.4. Protéger les travailleur·ses de l’ubérisation
3.5. Les conditions du changement : renforcer l’inspection et la justice du travail
3.6. Ne pas perdre sa vie à la gagner !
Le 16 mars, la cour a écarté l’application du barème, mesure phare des ordonnances qui ont réformé le droit du travail à l’automne 2017. Mais la controverse juridique est encore loin d’être éteinte.
Mots-clés barème Justice prud'hommes social
A l'attention de M. Guy Ryder, Directeur Général de l'OIT
Monsieur le Directeur Général,
Nous, organisations de la société civile, syndicats et citoyens du monde entier, adressons cette lettre ouverte conjointe à l'Organisation internationale du travail (OIT) à l'occasion de la Journée internationale des travailleurs, vous exhortant à prendre des mesures dans le cadre de votre mandat pour protéger les droits, les moyens de subsistance et la dignité des travailleurs palestiniens, hommes et femmes, et de leurs familles pendant et après la pandémie de COVID-19. La Déclaration du centenaire de l'OIT pour l'avenir du travail a confirmé le rôle essentiel que l'OIT, cent ans après sa création, doit jouer pour la réalisation de « la justice sociale, la démocratie et la promotion d'une paix universelle et durable »[i].
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Comme l'a souligné l'OIT, le COVID-19 a révélé la fragilité des économies du monde entier, la pandémie ayant le potentiel « à long terme, d'amplifier considérablement les cycles de pauvreté et d'inégalités » [xi]. Il est donc plus urgent que jamais de s'attaquer au déni prolongé des droits des Palestiniens comme étant la cause première de la privation d'un niveau de vie adéquat. Les rapporteurs spéciaux des Nations unies ont notamment rappelé à Israël son obligation de veiller à ce que les Palestiniens reçoivent les services de santé essentiels[xii], ont exprimé leurs préoccupations quant au fait qu'Israël entrave les efforts visant à contrôler et atténuer efficacement les risques du COVID-19, et ont appelé à un accès égal aux traitements et aux dépistages sans discrimination[xiii].
En conséquence, nous, soussignés, vous demandons aujourd'hui, en tant que Directeur général de l'OIT, de :
- Envoyer une lettre urgente au Ministre du Travail et au Ministre de la Santé en Israël, demandant aux autorités d'occupation israéliennes de fournir d'urgence aux travailleurs palestiniens leurs trois mois de salaire pendant la situation d'urgence, conformément à la législation israélienne ; de prendre toutes les mesures nécessaires, y compris avec les employeurs, pour garantir la couverture des soins de santé pendant et après l'urgence de COVID-19 ; de fournir aux travailleurs palestiniens qui séjournent en Israël un logement, de l'eau, de la nourriture et des installations sanitaires adéquats, car cela est essentiel pour faire respecter leurs droits et atténuer les risques du COVID-19 parmi les travailleurs et leurs familles à leur retour ;
- Inviter la 109ème session de la Conférence Internationale du Travail à tenir Israël, puissance occupante, pour responsable de ses violations des droits des travailleurs palestiniens, par une supervision adéquate de la Commission d'experts pour la mise en œuvre des recommandations du rapport sur la situation des travailleurs dans les territoires occupés et pour l'application des conventions qu'Israël a ratifiées.
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Connue / https://twitter.com/AFPSOfficiel/status/1256164829167005696
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france-palestine.org @AFPSOfficiel · 1 mai
Les travailleurs palestiniens en Israël et dans les colonies illégales subissent des conditions de travail désastreuses et reçoivent des rémunérations moindres que leurs collègues israéliens. Demandez à l’ @OIT d’agir : https://bit.ly/2VToTlk #FeteduTravail #Palestine #1Mai - 0 - 11 - 7
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aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?uuWYow
Le vendredi 1er mai 2020, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Laurent Delahousse. Il a dénoncé la volonté du gouvernement de rouvrir les écoles pour renvoyer les parents d’élèves au travail et a appelé les travailleurs à se réunir pour définir eux-mêmes les conditions de reprise du travail qui permettent d’assurer la sécurité sanitaire.
Le chef de file de la France insoumise a dénoncé le bazar qui fait suite aux annonces du gouvernement et notamment la carte incompréhensible des départements. Il a également expliqué qu’on ne pouvait laisser les maires décider seuls de la réouverture des écoles le 11 mai.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon a rappelé que la France insoumise avait agi depuis le début de la crise du coronavirus en faisant des propositions utiles : réquisition de l’industrie textile pour produire les masques, nationalisation de Luxfer et Famar pour produire bouteilles d’oxygène et médicaments, mise à disposition gratuite des masques et du gel hydro-alcoolique partout où c’est nécessaire. Il a rappelé que les insoumis avaient proposé un plan complet de déconfinement. https://lafranceinsoumise.fr/2020/04/27/coronavirus-planification-du-deconfinement-propositions-du-groupe-parlementaire-lfi/
Alors que la plateforme de livraison de repas vient d’être condamnée par le Conseil de prud’hommes de Paris pour travail dissimulé, le CLAP (Collectif des livreurs autonomes parisiens) annonce sa constitution en syndicat, et une journée de blocage pour la Saint-Valentin dans la foulée. ...
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Indemnités de licenciement: malgré la Cour de cassation, le barème toujours contesté
Coup sur coup, les prud’hommes de Grenoble et de Troyes ont jugé qu’il fallait écarter le barème instaurant un plafond pour les indemnités accordées aux salariés licenciés abusivement. Le 17 juillet, la plus haute instance juridique française avait rendu un avis contraire. Le feuilleton n’est pas terminé.