« Il marchait sur de l’humus, il ne savait pas que c’était sur de l’or. » Fulcanelli
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Conclusion
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En cette fin d’année 2016, le paysage céréalier français n’est
pas des plus encourageants. Aléas météorologiques, marché
en berne, pression sociétale et confiance érodée constituent le
quotidien de nombreux agriculteurs de notre pays. La capacité
d’adaptation du bipède agricole couplée à l’attractivité de l’agri-
culture biologique l’amène de plus en plus souvent à se tourner
vers ce mode de production. Mais pour un monoculteur, futur
polyculteur, comment aborder ce virage professionnel ? Dois-je
reconstituer un troupeau de vaches afin de substituer l’azote
minéral par du fumier ? Dois-je racheter une charrue pour rem-
placer mon néo-déchaumeur ? Les techniques culturales sim-
plifiées et l’AB sont-elles compatibles ? Et le semis direct sous
couvert, ça marche ?
Soyons sincères, si nous disposons déjà de nombreuses réponses à ces questions pratiques, imaginer la mise en œuvre de l’agriculture biologique à l’aune de l’extrême simplification de
l’agriculture artificielle est une impasse. Le nouveau praticien
devra nécessairement reconquérir une forte autonomie conceptuelle de son système d’exploitation. Les variations des situations pédoclimatiques, les successions culturales possibles, le changement climatique déjà observable, par exemple, sont parallèlement aux modes de mécanisation autant de variantes du système agronomique.
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CONTACTS UTILES
- Réseau agriculture de conservation (Mathieu Archambeaud)
- Réseau BASE (biodiversité, Agriculture, Sol et Environnement)
- Sol Vivant, Agriculture Biologique et de Conservation
- ISARA Lyon Département AGE Agroécologie - Environnement
Agronomie et Sciences du Sol, AGRAPOLE-ISARA Lyon - ITAB (Institut national de l’Agriculture Biologique) Gestion de l’interculture en AB
- FNAB ; SOLAGRO ; Osaé « Osez l’agroécologie »: Plateforme
d’échanges pour la mise en pratique de l’agroécologie - réseau CUMA (Coopératives d’Utilisation du Matériel Agricole en commun)
Connu / https://twitter.com/sabine_38/status/1231165596798246914
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Sabine Grataloup @sabine_38 · 22 févr.
Ici, une synthèse du travail de plusieurs <a href="?addtag=agriculteurs" title="Hashtag agriculteurs">#agriculteurs</a> en <a href="?addtag=agriculture" title="Hashtag agriculture">#agriculture</a> <a href="?addtag=biologique" title="Hashtag biologique">#biologique</a> sur le CTS (couverts végétaux / travail SUPERFICIEL du sol / semis direct) SANS <a href="?addtag=glyphosate" title="Hashtag glyphosate">#glyphosate</a>.
L’Association Internationale pour la Recherche Interculturelle (ARIC) a été fondée à Genève, le 29 novembre 1984, lors d’un colloque de la société suisse de recherches en éducation, par des chercheurs de disciplines différentes (anthropologie, psychologie, sociologie, éducation…) de France, du Québec et de Suisse.
A l’assemblée générale de fondation de l’association étaient présents Pierre Dasen, Micheline Rey (Genève), Jean Retschitzki, Margarita Bossel-Lagos, Andreas Dick (Fribourg), A. Bottani, Carmel Camilleri, May Collet, Nicole Howard, Maurice Mauviel (Paris), et Fernand Ouellet (Sherbrooke). Le président élu à cette occasion fut Pierre Dasen (Université de Genève)
Le siège et le secrétariat de l’ARIC ont été installés à l’Institut de Psychologie de l’Université de Fribourg (Suisse).
L’ARIC a pour principaux buts :
- Dynamiser la recherche interculturelle.
- Promouvoir la collaboration interdisciplinaire et interculturelle.
- Faciliter l’articulation entre théorie(s) et pratique(s) interculturelle(s).
- Etablir, dans l’espace francophone, un réseau international et interdisciplinaire.
- Organiser des rencontres scientifiques d’envergure nationale internationale.