QUOI ?
Accompagner la mise sous contrôle de la trajectoire d’évolution du changement climatique par les décideurs mondiaux. En d’autres termes veiller à ce que les mesures conservatoires soient prises à temps à la hauteur des enjeux, pour nous-mêmes et les générations futures.
POURQUOI ?
Le comportement individuel et collectif des êtres humains sur terre depuis au moins deux cent ans nous a mis dans une situation telle qu’elle menace jusqu’à la vie sur terre.
COMMENT ?
- Par l’articulation des sciences (climatologie, science de la terre, dynamique des systèmes, sciences humaines et sociales, sciences du vivant et des écosystèmes, etc) avec notre capacité d’intelligence individuelle et collective.
- Par la hiérarchisation des enjeux et des priorités.
- Par tout ce qui pourra contribuer à mettre en mouvement et à accélérer jusqu’à l’atteinte des objectifs, comme l’activation des dualités (local/global, en vis-à-vis/en ligne, etc).
REMARQUE : C’EST DONC AU FINAL UNE PROBLÉMATIQUE DE PILOTAGE D’UNE TRAJECTOIRE D’UN SYSTÈME COMPLEXE. C’EST DONC D’ABORD ET AVANT TOUT DE L’AUTOMATIQUE. AVEC UNE DIFFICULTÉ REMARQUABLE :
LES VARIABLES D’ACTION (les manettes de pilotage) SONT LA RÉSULTANTE DES ACTIVITÉS HUMAINES ET SOCIALES SUR TERRE À CHAQUE INSTANT.
CETTE PROBLÉMATIQUE DE COCONSTRUCTION ET DE COPILOTAGE EST DONC TYPIQUEMENT UNE PROBLÉMATIQUE DE MÉDIATION DES POUVOIRS.
COMMENT CONTRIBUER CHACUN À SA PLACE ET AVEC SES COMPÉTENCES ?
- Poursuivre le travail engagé et exposé dans la genèse qu’on peut résumer par "partir de toutes les initiatives positives déjà engagées, contribuer à les amplifier et à les articuler au point de les faire converger à un niveau tel que les décideurs n’auront plus le choix : se soumettre ou se démettre.
- Constituer des groupes d’action locaux et en ligne, etc.
Cependant, il faut d’abord verrouiller le dispositif par la constitution d’une petite équipe centrale garante de l’éthique et du sens de la démarche.
TELLE EST LA PRIORITÉ
Rendez-vous à PINET le samedi 27 octobre 2018 !
http://mediation.internetrie.fr/spip.php?article78
Je rassure celles et ceux qui ne pourrons pas être présents à l’occasion de ce lancement, cette opération a vocation à se développer à terme dans chaque quartier et chaque village, ainsi qu’en ligne, donc vous pourrez participer largement. D’autant plus que sans l’implication du plus grand nombre nous ne parviendrons jamais à la mobilisation de TOUS.
GÉNÈSE ?
-
Un homme qui a pu et su développer cette double compétence d’ingénieur et médiateur, il n’y a donc pas de hasard.
Son CV est en pièce jointe. -
Déclaration d’intérêt :
Suite à certaines remarques, il est utile de préciser que :
. tout médiateur peut avoir dans sa vie personnelle des avis, des opinions, des engagements, etc. En tant que médiateur, une notion très importante est la neutralité. Elle a fait l’objet d’une publication récemment par un collectif de recherche. Elle démontre qu’ être neutre en médiation est impossible et parfois même non souhaitable . Le devoir du médiateur est de "maîtriser la question du neutre", c’est-à-dire de mettre à distance tout ce qui vient de lui (son intériorité, ses valeurs, ses idées, ses projets, etc) et de se focaliser sur les autres, leur altérité. Il doit veiller à objectiver en permanence son niveau de lucidité afin de vérifier qu’il est bien en état de décider si dans l’instant, la situation nécessite qu’il soit neutre ou non. Et l’expérience permet même de doser cette décision comme l’équivalent d’un curseur. Dans le cas contraire, il doit pouvoir mettre fin à la médiation ou à tout le moins le signaler aux parties prenantes.
Par exemple, comment rester neutre face à un agresseur ? Tel est le cas de l’urgence climatique. Le sens de cette médiation est de comprendre les enjeux et de contribuer à informer, alerter, mobiliser, régler, etc. La responsabilité du médiateur est sur la définition et la tenue du cadre éthique de la médiation. Cette médiation de l’urgence climatique va nous occuper pendant des années : jusqu’à ce que la preuve que l’humanité est sur la bonne trajectoire soit apportée.
Donc, le médiateur, tout médiateur qu’il est, vit, participe par ailleurs de la vie de la cité. Il peut avoir d’autres fonctions professionnelles, il peut avoir une ou des fonctions électives, il peut être membre d’un parti politique, d’un syndicat, d’associations, etc.
Cela ne peut pas et ne doit pas lui être reproché. L’important est qu’il déclare les éléments qui peuvent avoir une influence sur la médiation, de près ou de loin, et que chacun puisse en juger, afin de décider ou non de confier ou maintenir la mission de médiateur.
Dans le cas de l’initiateur, en plus des éléments fournis dans son CV, il est membre notamment du mouvement La France Insoumise. C’est pourquoi, en déroulant les liens ci-après cela apparaîtra à un moment donné. Cette déclaration d’intérêt est un devoir de transparence vis-à-vis des parties prenantes de la médiation, ici, tous les citoyens du monde.
- Des initiatives résumées par :
http://mediation.internetrie.fr/spip.php?article73
qui reprend https://wp.me/p7HNdj-2x
Rendez-vous à PINET les 27 et 28 octobre 2018 !
Documents joints
Curriculum vitae de JLuc Poitoux
Statistiques
Dernière mise à jour
samedi 20 octobre 2018
Publication
14 Articles
Aucun album photo
32 Brèves
3 Sites Web
9 Auteurs
Visites
11 aujourd'hui
89 hier
32294 depuis le début
3 visiteurs actuellement connectés
PLPDLA pour Prendre le Parti De L’Anthropocène
à Pinet situé en région lyonnaise
- localisation exacte fournie après inscription.
La date : les 27 et 28 octobre 2018
APPEL À FINANCEMENT PARTICIPATIF
Trop tard...
Merci d’envoyer un chèque du montant des repas + 10 € pour le chapiteau + don éventuel à l’ordre de l’association MÉDIATION POUR TOUS
Le faire parvenir à :
MÉDIATION POUR TOUS ANTENNE MARTHON
19, Grand’rue 16380 MARTHON
Le paiement sur place restera possible.
MERCI DE REMPLIR CE QUESTIONNAIRE
(pardon pour le graphique, je cherche quelqu’un-e pour illustrer l’événement...)
Accès direct au lien
Le formulaire pour s’inscrire
https://framaforms.org/inscriptions-rencontres-jluc-plpdla-avec-vous-a-pinet-1958-2018-2058-2158-etc-1539394788
ou par la fenêtre intégrée ci-dessous
...
Références :
Lancement de MÉDIATION DE L’URGENCE CLIMATIQUE
http://mediation.internetrie.fr/spip.php?article79
Bonjour,
merci pour cette note et sa promesse d'innovation low-tech :
"
... elle pourrait être un véritable accélérateur de la nécessaire transition écologique et énergétique, basée sur une technique au service de l’homme, créatrice d’emplois locaux, participant à la résilience des territoires et porteuse d’un nouveau récit positif.
"
Cependant, en première lecture, je suis surpris que :
-
dans :
"
« Cour de défense du bien commun »
"
il n'est en fait pas question de "commun" ni de "bien commun". Ne vouliez-vous pas dire plutôt "intérêt général" ? -
dans
"
Notre système technique et économique se heurte aux limites de la planète, qui n’a plus la capacité de lui fournir les ressources nécessaires et d’en absorber les rejets, comme le démontrent le changement climatique et la pollution généralisée irréversibles.
"
vous éludez l'extinction massive des espèces et les risques pour l'homme lui-même. -
dans
"
E- Proposition 2 : Faire de la France la première « low-tech nation », championne de la réparation, du réemploi et du zéro déchet
Nous proposons d’impulser une véritable dynamique en soutenant les démarches low-tech, en en faisant la promotion et en en mesurant les progrès, à toutes les échelles territoriales : quartiers, communes, métropoles, régions 57.
"
vous n'avez pas inclus "aller vers le zéro fossile VITE" qui me semble bien plus majeur que "zéro déchet"...
Cela me semble contradictoire avec
"
concept de low-tech – ces technologies qui se veulent plus sobres, plus résilientes, plus autonomes –
"
+
"
Nous le savons désormais, notre système technique et économique se heurte aux limites planétaires à double titre d’une part, la capacité limitée des écosystèmes à absorber ses conséquences (émissions de gaz à effet de serre et changement climatique, effondrement de la biodiversité, déchets et polluants persistants, dégradation, destruction ou artificialisation des sols...) ; d’autre part, le fait que ce système repose encore essentiellement sur la consommation de ressources non renouvelables (énergies fossiles, métaux, minéraux...) avec un risque, difficile à évaluer mais indéniable, de pénurie à plus ou moins long terme, car la production issue de l’exploitation d’un stock fini ne peut se maintenir en croissance exponentielle, elle doit nécessairement passer par un maximum puis décliner.
"
Il me semble que les éléments suivants sont erronés :
-
la phrase suivante est erronée :
"
ou la manière « d’atterrir » vers un système soutenable, un nouvel « âge » qui ne soit pas celui de l’Anthropocène, où l’humanité est devenue une force géologique.
"
En effet, ne laisse-t-elle pas entendre que nous pourrions sortir de l'anthropocène, ce qui est bien sûr impossible avant très très très longtemps... -
mauvaise formulation à mon sens de " mobilité électrique ou hydrogène... " car la mobilité hydrogène EST AUSSI électrique donc je dirais plutôt "mobilité électrique avec vecteur hydrogène ou non".
-
sur "les logiciels libres sont bien meilleurs que les logiciels propriétaires car ils consomment moins de ressources de calcul donc provoquent moins d’obsolescence « systémique » entre software et hardware (ils sont aussi plus « appropriables » et vont donc dans le sens d’une plus grande autonomie et d’une certaine résilience)" :
bien qu'étant un inconditionnel des logiciels libres, cette affirmation est fausse :
le fait qu'un logiciel soit libre n'amène pas en tant que tel de garanties sur sa qualité en terme d'usage, de performance ou autre.
En d'autres termes, il y a de bons et mauvais logiciels, qu'ils soient libres ou privateurs. Par contre, un logiciel libre défini par quatre libertés, donne des propriétés supplémentaires que n'aura pas un logiciel privateur comme la possibilité d'étudier le code, de le modifier et même de le redistribuer. Par contre, consommer moins de ressources de calcul est lié à la manière dont le code est écrit et au système matériel et logiciels qui va l'exécuter, et non pas au fait qu'il soit un logiciel libre ou privateur. Sur l'autonomie, rendre disponible le code source d'un logiciel offre une potentialité d'appropriation. Mais pour qu'elle soit effective, il convient d'avoir le bagage suffisant.
Quant aux notions d'obsolescence systémique, d'appropriabilité, de résilience, elles me semblent si complexes qu'on ne peut rien déduire à priori lorsqu'elles s'appliquent à un logiciel libre ou privateur car elles sont multifactorielles et il faudrait donc faire des études singulières pour isoler chacun des facteurs, voire faire un plan d'expérience. Donc, à vous de préciser votre pensée afin que le lecteur comprenne mieux.
...
je n'ai pas fini, je vous adresse donc cette première réaction et la compléterai dès que possible .
...
Avant de conclure, si je réfléchis à votre note, au fond, j'ai le sentiment qu'elle est destinée à ménager les susceptibilités, voire à amener des propositions pré-établies. Je le ressens dans un certain délayement de formules alambiquées ou de quelques lieux-communs ou formules toutes faites. Ne le prenez pas mal car votre démarche est à encourager. C'est pourquoi je vous invite à chercher une méthodologie, un fil conducteur, afin de pousser la confrontation des idées, de mettre à distance les idéologies sous-jacentes. Et je me tiens à votre disposition pour y contribuer dans la limite de mon temps et de mes capacités.
J'en viens maintenant à ma conclusion personnelle directement inspirée de ce que j'ai compris de votre note et de tout ce que j'avais déjà travaillé notamment dans le billet cité ci-après où j'avais intégré les travaux de Philippe Bihouix notamment :
Si nous voulons sauver un maximum des apports scientifiques et technologiques de la période "industrielle", notre seule chance est de minimiser nos besoins à l'essentiel et de nous focaliser d'abord sur la sobriété , ensuite sur l'efficacité et enfin, sur les énergies renouvelables. Dans ces trois domaines, les "low_tech" que je traduis par "approche à basse intensité technologique" me semble un élément clé, mais pas le seul et moins important que l'approche "zéro fossile" et/ou la médiation, pour garantir que le meilleur de nos acquis sera transmis à nos descendants sur le très long terme. Dit autrement, le low-tech est une condition nécessaire à un développement VÉRITABLEMENT durable . Et plus nous sommes capables de convaincre les citoyens du monde de prendre des mesures conservatoires radicales (en intensité et en vitesse), plus nous réussirons à sauver l'essence des high-tech pour les générations futures. Il me semble que nous avons là LE MESSAGE À FAIRE PASSER AUX ENTREPRISES ET AUX INNOVATEURS DE TOUS POILS...
C'est exactement ce que propose l'approche PRENDRE LE PARTI DE L'ANTHROPOCÈNE dont la première opération aura lieu à Lyon les 27 et 28 octobre 2018. Il serait important qu'une personne vienne parler des low-tech ou réponde aux questions, voire tenir un stand. MERCI vive des low-tech CO-CONSTRUITES !
Jean-Luc Poitoux il y a 21 heures
"
ndlr :
- pour PLPDLA LYON voir
http://mediation.internetrie.fr/spip.php?article78 - pour accéder en ligne au commentaire :
http://www.lafabriqueecologique.fr/notelowtech
Un drôle de Dimanche Bourvil Belmondo 1958 complet - Ajoutée le 24 déc. 2013 / willy jesse - YouTube
896 661 vues
1,4 k
164
un bon film avec les débuts de Jean Paul Belmondo et le grand Bourvil
Catégorie
Films et animations
242 commentaires