Il y avait près de 250 personnes ce samedi matin dans la rue piétonne d'Angoulême pour manifester leur désir de protéger la planète.
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A part pour Notre Dame des Landes, Vanessa Vigier n’était pas une grande revendicatrice. Mais voir Nicolas Hulot pleurer sur sa solitude ministérielle, ça l’a touchée. «Je voulais lui dire, si, on est là. Et j’espère qu’on va nous entendre», se motive l’ex peintre en bâtiment qui se reconvertit en microfermière en permaculture.
Dans la rue piétonne, on a beaucoup entendu Elodie Boussiquault. Naturaliste à Charente Nature, c’est elle qui a fait le lien entre l’initiative personnelle de Vanessa Vigier et l’association. Quand elle a présenté le projet aux administrateurs, les vieux militants qui ont usé le pavé angoumoisin depuis tant d’années, lui ont confié les clefs. «Je n’ai pas eu le choix», rigole-t-elle. «C’est la première fois que j’organise un événement comme ça». Les historiques de la lutte écolo avaient de quoi être rassurés sur la relève.
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ndlr : encore protéger la planête :-( c'est la vie qui est en danger, pas la planète !