Billet de blog 15 juin 2025
Retrouvez les grands débats du festival en vidéo. Samedi 7 juin, vous étiez 3 300 personnes réunies au Point Fort d’Aubervilliers, entre débats, concerts, rires et partage.
Les Rendez-Vous de Mediapart
Journaliste à Mediapart
Les grands débats : une série de débats, animés par la rédaction de Mediapart, sur les grands engagements du journal et les sujets qui font l'actualité.
Lutter contre la précarité, se nourrir sainement : les pistes de la Sécurité sociale de l’alimentation.
Avec Boris Tavernier, député écologiste de la 2 ème circonscription du Rhône, Pauline Sherer de la SSA (Sécurité sociale de l'alimentation) de Montpellier, Fergus Kinghan de la future SSA de Flers et Jean-Claude Montier, adhérent de la SSA du XXème arrondissement. Un débat animé par Amélie Poinssot et Faïza Zerouala, journalistes à Mediapart.
2005-2025 : les quartiers populaires dans la même galère ? © Mediapart
Avec Aly Diouara, député LFI de Seine-Saint-Denis, Sarah Bennani, présidente de l’association Jeunesse populaire et engagée dans l’Essonne, Hind Ayadi, militante associative à Garges-lès-Gonesse, fondatrice de l’association Espoir et Création et Nordine Nabili, journaliste, ancien directeur du Bondy Blog. Un débat animé par Ilyes Ramdani, journaliste à Mediapart.
De l’Ukraine à la Palestine, la bataille du droit.
Avec Hanna Perekhoda, historienne et chercheuse à l'université de Lausanne, Johann Soufi, avocat spécialisé en droit pénal et Amer Nasser, photographe et vidéaste gazaoui. Un débat animé par François Bougon, journaliste à Mediapart.
#MeToo : le risque de backlash.
Avec Marine Turchi, journaliste à Mediapart, Claude Vincent, avocate dans le cadre du procès Depardieu et membre du Syndicat des Avocats de France, Rokhaya Diallo, journaliste et autrice ainsi que Nadège Beausson-Diagne, actrice et autrice. Un débat animé par Lénaïg Bredoux, co-directrice éditoriale de Mediapart.
Le trumpisme à l'assaut des sociétés.
Avec Caterina Froio, enseignante à Sciences Po et spécialiste des extrêmes droites européennes, Cole Stangler, journaliste franco-américain, Maya Kandel, historienne et David Cormand, député européen. Un débat animé par Yunnes Abzouz, journaliste à Mediapart.
...
Connu / TG le 17/06/25 à 21:11
1.480 signatures
Auteur(s) : STAA CNT-SO & MeTooBD
Destinataire(s) : Association du FIBD
...
Depuis plusieurs mois, nous, professionnel·les de la bande dessinée, auteur·ices et autres travailleur·euses du milieu, interpellons l’Association du FIBD d’Angoulême sur la nocivité du contrat qui la lie avec la société 9eArt+, depuis près de 20 ans.
Une société dont les pratiques managériales ont été questionnées dans plusieurs articles de presse, dont une enquête de L’Humanité magazine qui révèle notamment le licenciement d’une employée après qu’elle a dénoncé un viol lors de la 51e édition.
...
Connue / https://mastodon.top/@STAA@piaille.fr/114358048266575007
"
1 j STAA @STAA@piaille.fr
Désertons le FIBD dAngoulême !
À l'initiative du STAA CNT-SO et de MeTooBD, des professionnel•les, collectifs, maisons d'éditions liés au milieu de la BD appellent au boycott du FIBD d'Angoulême.
#petition #boycott #fibd #bd #angouleme #festival
Désertons le FIBD d'Angoulême
... Lors de la dernière réunion de l’ADBDA du 3 avril, l’Association du FIBD a évoqué la possibilité de dénoncer le contrat qui la lie avec la société 9eArt+, mais elle n’a pas manifesté le souhait de soumettre la gestion du festival à un appel à projets impartial. Elle semble au contraire vouloir concrétiser son projet de fusion en SAS avec 9eArt+, qui deviendrait, de fait, gérant illimité du festival. Nous voulons rappeler très fermement à l’Association du FIBD que si en plus de 50 ans d’existence, le festival d’Angoulême est devenu un événement incontournable de la BD, c’est grâce aux acteur·ices qui le font vivre et qui l’animent : travailleur·euses de la BD, auteur·ices,
éditeur·ices, traducteur·ices, journalistes et critiques… et bien entendu les lecteur·ices, par leur fidélité à cet événement. Celui-ci appartient désormais à la collectivité et, à ce titre, il est devenu un événement d’intérêt public pour la survie de notre medium. Il serait donc inadmissible de le corseter d’intérêts personnels ou de choix autoritaires. Il serait inacceptable que la gérance de cet événement soit à nouveau confiée pour une décennie supplémentaire, voire plus, et sans consultation des parties qui font sa vitalité et sa diversité, à une entreprise qui soulève de nombreuses interrogations sur ses prérogatives. Face à cet aveuglement et à cette obstination, face à cette appropriation insupportable et face au mépris affiché à l’égard de nos interpellations répétées, NOUS, travailleur·euses de la BD, informons l’Association du FIBD, ainsi que tous ses partenaires, publics et privés, que si elle ne se décide pas à dénoncer ce contrat en bonne et due forme et à faire un appel à projets pour la gestion du festival, nous appellerons à boycotter massivement la prochaine édition du festival en 2026. Sans nous, cette édition sera une coquille vide !
Signer la pétition.
STAA CNTSO, Article à retrouver également sur notre site : https://staa-cnt-so.org
"
Voir aussi https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?OI8kiA