Connu / TG le 14/02/24 à 8:27
Clés : Nucléaire ; coûts du nucléaire ; réacteur nucléaire ; Sûreté nucléaire ; Rapports
Consultant en environnement et énergie
Veille
Le bureau E&E Consultant (sarl) publie en mars 2024 une enquête technique et industrielle sur les petits réacteurs nucléaires SMR.
Il comprend 110 pages plus les résumés et annexes.
Connu / https://twitter.com/sdnfr/status/1773032242740113790
"
Sortir du nucléaire @sdnfr
Un nouveau rapport déconstruit les mythes autour des #SMR en analysant des données et faits remettant en cause leur pertinence.🧐Conclusion des 110 pages? "Trop tard, trop cher, trop risqué et trop incertain, les SMR ne sont pas une technologie d’avenir"
· 1 849 vues
"
dont "« Trop tard, trop cher, trop risqué, trop incertain »298"
Un ingénieur, expert auprès du Giec, a planché sur les SMR, ces miniréacteurs nucléaires modulaires vantés par le chef de ...
Connu / TG le 19/03/24 à 17:25
SMR, SMR, les informations ont fait tourner en boucle ce nouvel acronyme de l'industrie nucléaire.
Mais qu'est-ce donc qu'un SMR ? Quelles questions est-on en droit de se poser à son sujet ?
Réponses dans ce premier épisode de la nouvelle saison d'un déjeuner chez Bernard.
...
Connu / TG le 15/12/23 à 16:30
Auditionnés au Sénat, les dirigeants d’EDF, du CEA et d’Orano ainsi que le gendarme du nucléaire ont alerté sur la nécessité de préparer
...
Connu / TG le 25/12/23 à 14:29
Un réacteur nucléaire sur le Port de Marseille ? &qu...
L’annonce d’Emmanuel Macron a "stupéfait" les associations engagées de longue date pour une sortie du nucléaire.
Connu / TG le 02/07/23 à 17:42
La Commission a présenté jeudi un arsenal législatif destiné à édifier et à subventionner une industrie européenne à zéro
...
La question du nucléaire a été particulièrement difficile. Au fil des jours, l’atome disparaissait, puis réapparaissait du projet de loi. Plusieurs commissaires, dont les trois vice-présidents, Frans Timmermans, Margrethe Vestager et Valdis Dombrovskis, ont jusqu’au bout tenté de l’exclure du dispositif.
Dans la dernière ligne droite, la France a finalement obtenu de la présidente, Ursula von der Leyen, un arbitrage moins dur : in fine, seules les technologies du futur, comme les petits réacteurs modulables, seront éligibles au statut d’industrie verte, mais l’atome ne figure en revanche pas dans la liste des projets stratégiques.
...
Connu / TG le 20/03/23 à 09:59
Nucléaire Rubriques Territoire de Belfort Start up EDF
Fondé à l’automne 2022, Neext Engineering ambitionne de décarboner l’industrie en se positionnant sur les petits réacteurs nucléaires modulaires, les fameux SMR. L'entreprise s'associe avec Westinghouse, General Electric et le CNRS pour mener à bien son projet Sparta et le soumettre à l’appel à projets France 2030 sur les réacteurs nucléaires innovants.
Réservé aux abonnés
2 min. de lecture - 0 Commentaire
Photo © EDF/Philippe Eranian
La solution de Neext Engineering permettra aux réacteurs de produire, en plus de l'électricité, de l'hydrogène ou de l'énergie à partir d'autres combustibles.
Après avoir affiché en septembre 2022 son ambition de «proposer de nouveaux designs disruptifs de SMR de quatrième génération», la jeune pousse Neext Engineering passe à l'action. Cette start-up, née de l’association de plusieurs experts de l’énergie du Territoire de Belfort, a annoncé mardi 14 mars qu'elle s’associait à Westinghouse Electric Company, General Electric et au laboratoire réactions et génie des procédés du CNRS pour mener à bien son projet Sparta, dont l’objectif est de contribuer à la décarbonation de l’industrie. Concrètement, il s’agit pour la société et ses nouveaux partenaires de proposer «une solution énergétique intégrée disruptive construite autour d’un petit réacteur modulaire basé sur une technologie nucléaire polyvalente et durable Cette solution sera soumise à l’appel à projets France 2030 sur les réacteurs nucléaires innovants.
Dans le détail, le quatuor indique que leur proposition permettra aux SMR de produire, en plus de l'électricité, de l’hydrogène ou de l'énergie à partir d'autres combustibles tels que l’ammoniac, et de dessaler l'eau pour les «réseaux décentralisés» et les «grands clients industriels». Les quatre entreprises expliquent que la technologie de réacteurs à neutrons rapides refroidis au plomb de quatrième génération, autour de laquelle ils travailleront, offre des capacités nouvelles et améliorées.
Le numérique pour configurer la centrale à la demande
En 2021, Nicolas Thiollière, spécialiste de la modélisation de réacteurs et de parcs nucléaires, et enseignant-chercheur à l’IMT Atlantique et au laboratoire Subatech, listait auprès de L’Usine Nouvelle les avantages de cette génération de réacteurs nucléaires. Selon lui, ils améliorent «la durabilité pour économiser les ressources naturelles et minimiser les déchets, la compétitivité économique, la sûreté et la non-prolifération». Mais entre les contraintes techniques et les difficultés réglementaires, cette nouvelle génération ne devrait être déployée à l’échelle industrielle que bien après 2050, jugeait le même expert…
La technologie de réacteur à neutrons rapides vise à réutiliser et à valoriser dans les réacteurs les combustibles usés radioactifs (dont le plutonium et l’uranium appauvris) que produisent les centrales classiques. Un moyen de limiter le volume de déchets radioactifs. Neext Engineering justifie l’emploi du plomb liquide pour refroidir les réacteurs autour desquels elle innovera. Grâce à son point d’ébullition très élevé et sa haute conductivité thermique, ce métal offrirait une évacuation plus efficace de la chaleur produite par le cœur du réacteur. De plus, le plomb représente une barrière naturelle contre les radiations.
Aux côtés de Westinghouse Electric Company, spécialisé dans la production des réacteurs à neutrons rapides refroidis au plomb, de la branche nucléaire de General Electric, en passe d’être rachetée par EDF, et du CNRS, Neext Engineering compte également développer des outils numériques innovants permettant de «configurer la centrale à la demande, rationaliser la préfabrication, optimiser la livraison et enfin faire fonctionner le système». Objectif ultime, selon Jean Maillard, président et cofondateur de la start-up: «Mieux répondre aux besoins nouveaux et émergents de l'industrie et des sociétés».
Sélectionné pour vous
- [L'instant tech] Comment les start-up du CEA, Hexana et Stellaria, comptent s’imposer dans les mini-réacteurs nucléaires
- Pourquoi les nouvelles fissures de fatigue thermique à Penly 2 et Cattenom 3 inquiètent moins EDF et l’ASN
- Le CEA se lance dans la course aux mini-réacteurs nucléaires avec les start-up Hexana et Stellaria
SUR LE MÊME SUJET
- Les ambitions de la start-up belfortaine Neext Engineering dans le domaine des petits réacteurs nucléaires modulaires
- Neext Engineering veut un SMR pour l’industrie
- [2021 en mots-clés] Les SMR, ces petits réacteurs nucléaires au coeur d'une compétition mondiale
Connu / TG 9:59
"
La propagande pro nuke SMS sur Arte
“Bienvenue aux centrales naines et leurs bébés réacteurs, friandises d'uranium super vitaminées”. Connaissez-vous le nouveau nucléaire ? Benoît Forgeard, lui, a une petite idée.
"
Une start-up d’ingénierie de petits réacteurs modulaires nucléaires va prochainement voir le jour à Belfort,
Autorité de sûreté nucléaire (ASN) @ASN · 23 juin
@ASN soutient cette initiative @iaeaorg pour créer un cadre multilatéral favorable au déploiement sûr des petits réacteurs modulaires #SMR
Citer le Tweet
IAEA - International Atomic Energy Agency
@iaeaorg
· 23 juin
🤝 Through NHSI, we're gathering industry players & nuclear regulators from around the world to increase collaboration, to establish common approaches on technical and policy issues, to pave the way for greater harmonization in licensing and deployment of #SMRs. ⚡
Afficher cette discussion
1 - 0 - 2
Tr.: Nucleair Harmonization & Standardization Initiative ...
Le président de la République devait initialement présenter avant la fin 2021 le détail de sa stratégie de relance de nouveaux réacteurs. Des atermoiements qui rappellent que sa position a souvent varié sur le sujet.
...
Connu / tg du 16/01/22 à 9h45
Asie Chine Recherche
Les deux géants chinois, China Huaneng Group et China National Nuclear Corp, ont annoncé la connexion au réseau du premier mini-réacteur nucléaire de quatrième génération de Shidaowan, qui a la particularité de fonctionner à très haute température. A terme, la centrale de démonstration, composée de deux réacteurs, produira 1,4 térawattheure d'électricité par an.
Réservé aux abonnés
2 min. de lecture - 2 Commentaires
...
ses premiers watts issus d’un réacteur de quatrième génération, dit à lit de boulets à très haute-température
... taille est réduite ... plus de sécurité et permet de réaliser des économies sur les coûts d’exploitation ... centrale de démonstration à échelle industrielle de Shidaowan, composée de deux réacteurs de 250 mégawatts thermiques chacun, permettra de générer une puissance de 210 mégawatts électriques via une unique turbine. La centrale a été construite conjointement par les deux géants de l’électricité détenus par l’Etat, la China Huaneng Group et la China National Nuclear Corp, ainsi que l’Institut du nucléaire et des technologies des énergies nouvelles (INET) de l’université de Tsinghua ... réacteurs à haute température (HTRC) ... utiliser la chaleur produite non seulement pour générer de l’électricité mais pour être mis au service d’autres industries ... 750 °C ... des centaines de milliers de billes composées d'uranium et de graphite (pour modérer la réaction en chaîne). Le réacteur compte par ailleurs sur de l'hélium et non de l'eau sous forme pressurisée (habituellement utilisée dans les réacteurs de troisième génération) pour transporter la chaleur produite.
...
douze pays dont la Chine et la France ont défini en 2001 les caractéristiques des six catégories - dont les HTRC - de réacteurs nucléaires de quatrième génération
...
Par un communiqué du 22 octobre 2021, Mme Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la Loire, se prononce en faveur de l'implantation d'une "petite centrale nucléaire" (SMR, acronyme de Small Modular Reactor) à Cordemais, entre Nantes et Saint Nazaire. Mais a-t-elle conscience de l'absurdité et de la dangerosité de sa proposition?
[ 2 337 participations ] - 46 commentaires
Proposée par Sortir du nucléaire Pays nantais
En partenariat avec Au 2 novembre 2021: Comité Bure en Retz, NDDL Poursuivre ensemble, Sortir du nucléaire 49, Sortons du nucléaire Mayenne, Sortir du nucléaire 72, Association pour la cohérence environnementale en Vienne (ACEVE), Stop nucléaire 56 Trawalc'h, Fédération antinucléaire Bretagne (FAN Bretagne), Collectif anti-nucléaire Ouest (CAN ouest), Collectif Loire Vienne Zéro nucléaire (Collectif LVZn), Réseau Sortir du nucléaire, Tchernoblaye-ADN33, Collectif Arrêt du nucléaire
...
ne verrait le jour, au mieux, qu'en 2035 :
- bien trop tard pour assurer la continuité de l'activité de production électrique de la centrale thermique à flamme de Cordemais dont la fermeture est programmée plus tôt (2024 ou 2026),
- bien trop tard face à l'urgence climatique.
Par ailleurs, le coût du kWh issu de SMR serait hors de prix par rapport au coût du kWh issu des énergies renouvelables.
Mme Morançais, dans son communiqué (https://www.paysdelaloire.fr/sites/default/files/2021-10/cp_21-10-22_region_une-petite-centrale-cordemais.pdf ), prétend de façon irresponsable que ce type de réacteur nucléaire serait, entre autres, “utile pour l'environnement” et “propre”. Elle semble ignorer l'existence des déchets radioactifs ingérables et de la production continue d’effluents radioactifs liquides et gazeux, nocifs pour la santé, tout comme elle semble ignorer les risques de catastrophe nucléaire rendant la vie impossible sur un territoire.
Cette annonce s’ajoute à un subventionnement scandaleux aux industriels du nucléaire (Naval Group, CEA, etc.) par le Conseil régional des Pays de la Loire qui dure depuis plus de 10 ans!
...
Entretien EDF Organisation industrielle Ain - 5 min. de lecture
Emmanuel Macron a annoncé le 9 novembre vouloir lancer de nouveaux réacteurs nucléaires en France. Quelques jours auparavant, le directeur exécutif en charge de la direction ingénierie et des projets nouveau nucléaire d’EDF, Xavier Ursat, revenait pour L’Usine Nouvelle sur l’avancée des projets EPR2 et SMR, les calendriers et les coûts prévus.
Pour les futurs EPR français, EDF entre seulement dans "la phase de « detailed design », où l'on fait les plans détaillés", explique Xavier Ursat, directeur Ingénierie et nouveau nucléaire d'EDF.
Edition du 01 octobre 2021
Le dernier numéro
L'Usine Nouvelle - La France va construire de nouveaux réacteurs nucléaires. De quoi parle-t-on exactement ?
Xavier Ursat - A partir d'une demande politique exprimée en 2018, EDF a travaillé sur une proposition de construction de trois paires de réacteurs de type EPR en France, avec une première paire sur le site de Penly en Normandie, une deuxième sur le site de Gravelines près de Dunkerque, et la troisième dans un site en Rhône-Alpes, soit à Bugey (Ain), en amont de Lyon, soit à Tricastin (Drôme). Le choix de ces sites, tous des sites nucléaires existants, reste à confirmer par le pouvoir politique. Mais nous sommes prêts à lancer la construction de ces réacteurs, grâce au travail réalisé depuis plusieurs années avec Framatome et les autres entreprises de la filière, dans le cadre du plan excell.
Quel est le calendrier envisagé ?
Nous sommes à un niveau d'études techniques très avancé sur le modèle que l'on appelle l'EPR 2, qui est au même niveau de sûreté que l'EPR et utilise les mêmes composants. Nous avons tout fait pour que l'EPR 2 ne soit pas une tête de série. Mais nous avons intégré tout les retours d'expérience des EPR précédents, en standardisant le plus possible le modèle, y compris en s’appuyant sur les fournisseurs, pour faciliter la construction et réduire les coûts. Nous devons poursuivre ce travail technique et continuer d’embarquer la filière en préparant les appels d'offres. Des projets de cette taille nécessitent également de consulter les citoyens, au travers de la Commission nationale du débat public. Il faut compter six à huit mois de préparation des dossiers entre la saisie et le début des débats. Un troisième train d'actions, très important, concerne le financement, la régulation et les autorisations européennes. Nous sommes en discussion depuis plusieurs mois avec les différentes administrations, notamment celles du ministère de l'Économie et des Finances pour définir le financement le plus adapté, qui impliquerait probablement à la fois l'État et EDF. Plusieurs options sont en cours d'étude, il faudra choisir la plus adaptée. Il faudra aussi une régulation car, pour définir un financement, il faut savoir à quel prix l'électricité produite sera vendue. Sur l'EPR 2, nous avons atteint les cibles de coût de production au mégawattheure que nous nous étions fixées dans la proposition remise aux pouvoirs publics [soit 65 euros par MWh, ndlr].
[...]
Cet article est réservé aux abonnés
#Énergies #Jancovici #Écologie - 82 459 vues - 5,9 k - 192 - 282 k abonnés - 2 004 commentaires
Comment apprendre à vivre en univers contraint ? Comment imaginer notre futur énergétique ? Et comment la France peut-elle se placer dans ce défi planétaire ?
Paloma Moritz reçoit Jean-Marc Jancovici, ingénieur et consultant énergie / climat, pour évoquer les grands enjeux énergétiques dans le monde (partie 1 : 00:00 - 29:42), les enjeux autour du nucléaire : les centrales nucléaires au thorium et sels fondus testées en Chine, les petits réacteurs nucléaires (Small Modular Reactors) voulus par Emmanuel Macron et les externalités négatives liées au nucléaire en France (partie 2 : 29:42 - 57:03), les enjeux politiques et de formation: la politique climatique français, le manque de formation sur ces enjeux et le plan de transformation de l'économie français pensé par le SHIFT (partie 3 : 57:03 - 01:19:23).
Pour aller plus loin :
Les rapports intermédiaires du shift - Plan de transformation de l’économie française https://theshiftproject.org/crises-climat%25e2%2580%2589-plan-de-transformation-de-leconomie-francaise/
Enquête sur la vie et la pensée de Jean Marc Jancovici par Reporterre (3 volets) https://reporterre.net/On-ne-parle-pas-assez-du-genie-de-Jean-Marc-Jancovici
https://reporterre.net/Jean-Marc-Jancovici-Je-ne-suis-pas-un-scientifique
https://reporterre.net/Jean-Marc-Jancovici-polytechnicien-reactionnaire
Actualité : entretien sur France Inter https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-jeudi-21-octobre-2021
Apprendre et s’engager :
Calculer son empreinte carbone : https://nosgestesclimat.fr
https://bonpote.com/les-meilleures-sources-sur-lenvironnement-et-le-climat-tous-niveaux-confondus/
00:00 - 29:42 : Les grands enjeux énergétiques dans le monde
29:42 - 57:03 : Les enjeux autour du nucléaire : les centrales nucléaires au thorium et sels fondus testées en Chine, les petits réacteurs nucléaires (Small Modular Reactors) voulus par Emmanuel Macron et les externalités négatives liées au nucléaire en France
57:03 - 01:19:23 : Les enjeux politiques et de formation: la politique climatique français, le manque de formation sur ces enjeux et le plan de transformation de l'économie français pensé par le SHIFT
Journaliste : Paloma Moritz
Montage : Lucie Dulois Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat
Réseaux Sociaux : Maxime HectorProduction : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven
Ndlr : terminer >59:19 ACT
EN DIRECT
TechnicAtome, au sein d’un partenariat français soutenu par l’Etat, développe un petit réacteur modulaire (ou Small Modular Reactor - SMR) qui s’appuiera sur une chaufferie de moins de 200 MWe. Réunis autour d’EDF, chef de file de la filière électronucléaire française, TechnicAtome, le CEA et NAVAL Group travaillent au développement de cette offre française.
...
Les étapes du projet de SMR français
2012-2014 : Etudes de faisabilité amont
mi 2017 à mi 2019 : pré-APS (Avant-Projet Sommaire)
mi 2019 à fin 2022 : Avant-Projet Sommaire et mise en place d’une coopération internationale
2022 – 2025 : Basic Design
2025 – 2030 : Phase de concept avancé – certification – construction de la chaine industrielle
2030 : Construction de la tête de série
A l’occasion de la conférence européenne sur les réacteurs de recherche RRFM, TechnicAtome a présenté en avant-première sur son stand une animation en 3D du projet de réacteur électrogène modulaire compact innovant « F-SMR » auquel elle contribue.
Connu / https://twitter.com/MachinaSosa/status/1447918630503596043
"sosa machina @MachinaSosa @AvecRoussel et 2 autres personnes 3:34 PM · 12 oct. 2021"
Ndlr : pas de prototype industriel opérationnel avant 2030 : TROP TARD ! DÉNONCÉ / https://twitter.com/JulienDelalande/status/1450439010577534980
SMR, TechnicAtome
TechnicAtome, au sein d’un partenariat français soutenu par l’Etat, développe un petit réacteur modulaire (ou Small Modular Reactor - SMR) qui s’appuiera sur une chaufferie de moins de 200 MWe. Réunis autour d’EDF, chef de file de la filière électronucléaire française, TechnicAtome, le CEA et NAVAL Group travaillent au développement de cette offre française.
...
filière des réacteurs à eau pressurisée, filière éprouvée à la fois pour la production d’électricité et la propulsion navale.
...
le SMR dispose de mécanismes de sûreté passifs, en respectant toutes les exigences de sûreté de la Génération III et offrant des marges complémentaires
...
fournir de l’électricité au réseau en semi-base, accompagnant en particulier le déploiement d’énergies renouvelables sur les réseaux d’électricité, à travers son fonctionnement en grappe de plusieurs réacteurs (2, 4, 6 voire 8 réacteurs). Il sera à même de pouvoir alimenter des sites isolés
...
- étapes du projet de SMR français*
2012-2014 : Etudes de faisabilité amont
mi 2017 à mi 2019 : pré-APS (Avant-Projet Sommaire)
...
2030 : Construction de la tête de série