Tribune 15 juillet 2024 - Pas de fréquence pour les chaînes de la haine, C8 et CNews
Alors que l'Arcom a entamé une série d’auditions pour l’attribution ou le renouvellement de 15 fréquences de TNT, nous publions une lettre ouverte afin d'obtenir le non-renouvellement des fréquences publiques de CNews et C8, deux chaînes de télévision mises au service de l'extrême droite par leur propriétaire, le milliardaire Vincent Bolloré.
À M. Roch Olivier-Maistre et aux membres du collège de l'ARCOM,
Le 7 juillet, nous avons été nombreuses et nombreux à exprimer notre soulagement de voir le Rassemblement National, régulièrement annoncé grand gagnant des législatives anticipées, échouer à obtenir la majorité des sièges à l'Assemblée nationale. Pour autant, le péril demeure : le parti d'extrême droite poursuit sa progression, avec plus de 10 millions de voix et plus de cinquante élu·es supplémentaires, et il accentue son enracinement social.
...
Une pétition soutenant cette demande vous a été adressée : elle rassemble, à ce jour, plus de 200 000 signataires. Une telle décision serait une première étape dans la lutte nécessaire contre l’emprise de l’extrême droite sur le débat médiatique en France, et plus généralement, pour faire reculer les idées réactionnaires et racistes sur lesquelles le RN prospère.
SIGNATAIRES
Acrimed
NousToutes
Pablo Aiquel, secrétaire général de la SNJ CGT
Ana Azaria, présidente de Femmes Egalité
Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
François Bonnet, président du Fonds pour une presse libre
Julia Cagé, économiste, spécialiste des médias
Marie Cohuet et Laura Thieblemont co-présidentes des Amis de la Terre
Sandra Cossart, directrice de Sherpa
Caroline De Haas, militante féministe
Cécile Duflot, Directrice générale d'Oxfam
Loup Espargilière, rédacteur en chef de Vert
Antoine Gatet, président de France Nature Environnement
Murielle Guilbert et Julie Ferrua, co-déléguées de l’Union Syndicale Solidaires
Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace
Emilie Marmant, Secrétaire nationale de l'Union Sud Culture & Médias
Eva Morel, co-fondatrice de QuotaClimat
Edwy Plenel, co-fondateur de Mediapart
Kim Reuflet, présidente du Syndicat de la magistrature
Agnès Rousseaux, directrice de Politis
Suzy Rojtman, porte-parole du CNDF
Benoît Teste, secrétaire général de la FSU
Youlie Yamamoto, porte-parole d’Attac
47 recommandés - 18 commentaires
L’autorité régulatrice de la communication examine le renouvellement des autorisations de diffusion des chaînes de télévision contrôlées par Bolloré, dont C8 et CNews. Demander leur interdiction sur la TNT n’est pas attenter à la liberté d’expression, comme le clament les médias Bolloré. Il s’agit seulement de faire respecter la loi, piétinée depuis de nombreuses années par ces deux chaînes.
Info en continu Depuis ce vendredi, la webtélé d’extrême gauche Le Média est devenue une chaîne de télévision classique et compte bien tordre le cou à la concentration des médias et concurrencer les chaînes d’info en continu
L.Be.
Les micros de Cnews et BFMTV. Illustration — NICOLAS MESSYASZ/SIPA
- Le Média a eu l’autorisation de l’Arcom (ex-CSA) de devenir une chaîne de télévision à part entière sur les téléviseurs connectés et les box Internet. Par contre, elle n’est pas sur la TNT.
- L’idée est de concurrencer les grandes chaînes d’information en continu, LCI, BFMTV ou CNews, en luttant contre la concentration des médias.
- Pour l’heure, deux des opérateurs privés – SFR et Bouygues – refusent de donner un canal de diffusion à la chaîne d’extrême gauche.
« Ce qui garantit un espace public sain, c’est le pluralisme », insiste Théophile Kouamouo, actuel rédacteur en chef du Média. Lancée en janvier 2018 par des proches de La France insoumise, la webtélé d’extrême gauche a débarqué – en toute discrétion – sur le petit écran ce vendredi, devenant une chaîne de télévision à part entière. Elle est désormais accessible sur le canal 350 de la Freebox. Les trois autres opérateurs français privés (Orange, Bouygues et SFR) traînent des pieds pour lui offrir une place, en dépit du feu vert de l’Arcom (ex-CSA), l’autorité régulatrice de l’audiovisuel. Les deux plus réticents étant Bouygues et SFR, eux-mêmes respectivement propriétaires de LCI et BFMTV.
Se hisser au niveau des mastodontes de l’info en continu n’est pas si simple, surtout avec une quinzaine de journalistes. Mais Le Média se réjouit de réaliser son rêve. C’est « une victoire pour la presse indépendante », écrit la chaîne pour accompagner sa campagne de financement participatif sur la plateforme KissKissBankBank. « Nous appelons à renforcer le nombre de sociétaires pour être en mesure de produire assez. A chaque créneau de la journée, représenter une alternative, c’est beaucoup d’argent », concède Théophile Kouamouo.
Un média engagé
L’enjeu est de taille : deux tiers des Français regardent la télévision sur les box, rappelle-t-il. Pour pouvoir atteindre ces téléspectateurs, Le Média s’est engagé dans une bataille de l’opinion via une pétition, intitulée « Pour le pluralisme à la télévision » qui affichait 12.700 signatures ce mardi. Il compte bien faire plier les opérateurs les plus réticents à lui trouver un canal de diffusion. « Aujourd’hui, l’écosystème de l’audiovisuel a été formaté pour que BFMTV et CNews donnent le la de la hiérarchisation de l’information, poursuit l’ancien correspondant du Monde en Côte d’Ivoire. On n’a pas les moyens de ces grosses chaînes, mais on veut aller sur le même terrain. Nous pensons qu’un soir de manifestation, de crise politique ou d’élection, le citoyen doit pouvoir zapper entre les différentes chaînes d’information. »
Sur ce point, François Jost, sémiologue et spécialiste des médias, s’étonne un peu. « Alors qu’à l’origine, Le Média revendiquait une certaine déontologie du journalisme qui devait couper avec la pratique des grandes chaînes, il passe à une télévision d’opinion. Ce qui justifie son existence, c’est presque CNews. Son ennemi n’est plus le service public comme c’était le cas, mais la télévision de Vincent Bolloré. » Pourtant, Le Média se défend d’être une chaîne militante. « Nous n’allons pas donner la parole à des personnalités avec lesquelles nous sommes d’accord, mais nous sommes un média engagé qui part d’un point de vue », précise Théophile Kouamouo. Pour lui, parler de neutralité est hypocrite. Elle est « impossible à atteindre en raison des biais naturels et parce que les entreprises de presse sont contrôlées par des intérêts privés ».
Conserver un regard neutre sur les faits ne doit pas être un gros mot, pour François Jost. Au contraire. « Quand on soutient la déontologie, on déteste généralement qu’on confonde commentaires et faits », note le sociologue des médias. « Le pluralisme doit être interne à une chaîne, ce n’est pas une chaîne de droite contre une chaîne de gauche », critique-t-il. La notion de pluralisme est d’ailleurs dans le cahier des charges de la chaîne d’information en continu. « Elle veille à l’expression pluraliste des courants de pensée et d’opinion et constitue à ce titre un lieu d’exercice et de diffusion de la démocratie », peut-on lire dans le décret publié en 2002. Le Média souhaite donner un espace « aux paroles minorisées », mais il y aura de la place pour le contradictoire.
Le sujet brûlant de la concentration des médias
L’arrivée d’une chaîne d’information « indépendante » et marquée très à gauche va-t-elle renverser le PAF ? « L’impact sera efficace le jour où dans ce pays on sera capable de voter des lois qui protègent de la concentration et du monopole, juge Noël Mamère, qui a collaboré avec Le Média à sa création en 2018 avant de le quitter quelques mois plus tard à l’heure du limogeage de la présentatrice Aude Rossigneux. On est confrontés à des gouvernements, en particulier celui-ci, qui est d’une grande permissivité avec un certain nombre de capitaines d’industrie qui investissent dans les médias pour renforcer leur capacité d’influence. »
La question de la concentration des médias s’est imposée comme un sujet brûlant au mois de juin dernier. Le Journal du Dimanche a été secoué par une grève historique de la rédaction, pendant quarante jours, contre la nomination à sa tête fin juin de Geoffroy Lejeune, ancien directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles, marqué à l’extrême droite. Cette arrivée a été attribuée par de nombreux observateurs à Vincent Bolloré, milliardaire aux opinions réputées ultra-conservatrices.
Son groupe Vivendi, qui détient Canal+ et ses chaînes (dont CNews et C8), est en train d’absorber Lagardère, propriétaire du JDD, de Paris Match et d’Europe 1. Les trois titres étant chacun en train d’opérer un virage éditorial marqué à droite. Le Média va-t-il changer le game du pluralisme ? Encore faudrait-il qu’il récupère un canal sur toutes les box.
Médias
«QG, le média libre»: Aude Lancelin lance sa webTV militante après avoir quitté Le Média
Médias
Le site «Le Média» lance son mensuel papier «99%»
Clés : Entertainment ; Médias ; Télévision ; Vincent Bolloré ; CNews ; BFM TV ; La France insoumise (LFI) ; LCI
À lire aussi
- Denis Robert, journaliste et ecrivain francais. 13/09/20 | REORGANISATION « Le Média » demande à Denis Robert de renoncer à diriger la rédaction
- Aude Lancelin, auteure de «La pensée en otage» 31/10/19 | MILITANTISME D’anciens cadres de LFI rejoignent « Quartier général », la web-télé… Illustration du « Journal du dimanche ». 09/10/23 | PRESSE LIBRE « JDD » : Des anciens du journal lancent une association pour…
109 commentaires 51 partages
Commentaire de Pierrick Louin. il y a 6 jours
Etre indépendant ne veux pas dire être neutre par contre être dépendant de milliardaires maintenant ça veut souvent dire de droite voire d'extrême droite. C'est assez facile à vérifier.
Heureusement, il existe des patrons comme Xavier Niel et Matthieu Pigasse, qui ont une déontologie de respect de la liberté de la presse. Sans doute ce qui explique que seul Free a naturellement permis la diffusion du Média sur sa box. Pour l'heure, le refus des 3 autres opérateurs - Bouygues, Orange et SFR - d'en faire autant est signifiant.
...
• 10 vues
🔴 NE JETEZ PAS VOTRE TV, LE MÉDIA ARRIVE !
👉 https://onchangetout.lemediatv.fr
Le 19 septembre dernier, Le Média démarrait son antenne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Avec pour objectif de débarquer très rapidement sur les télévisions de dizaines de millions de Français. Depuis un peu plus d’un mois, nous prenons l’antenne 4 fois par jour. C’est un véritable exploit pour notre petite équipe, qui dispose de moyens extrêmement limités. Nous sommes donc très fiers de battre le pavé de l’information, tous les jours en direct de 13h à 20h. Mais malheureusement, cette montée en puissance est mise en danger aujourd’hui.
Le contexte économique nous rattrape comme il rattrape une grande majorité de Français.e.s. Nous n’allons probablement pas pouvoir continuer notre antenne 24/7 le mois prochain. Pour pouvoir supporter les énormes dépenses que celle-ci engendre, nous avions besoin de réunir 12 500 abonné·e·s payants avant la fin octobre. Nous n’avons pour le moment pas atteint ce seuil. Malgré des retours enthousiastes, malgré 800 000 abonné·e·s sur notre chaîne YouTube, malgré des audiences qui atteignent des records sur nos différents canaux, nous n’avons plus les moyens de faire face. La solution la plus aisée serait sans doute de vendre notre âme et notre média à quelque riche évadé fiscal, comme le font tant d’autres. Nous préférons disparaître plutôt que nous y résoudre. Notre liberté ne se négociera jamais sur un coin de chéquier.
Alors, nous demandons à celles et ceux qui le peuvent, à celles et ceux qui ont encore les moyens de donner pour que Le Média non seulement continue d’exister mais débarque à la télé. Sans jamais oublier d’où il vient et ce qu’il est. D’ici le 31 décembre, il nous faut réunir 200 000 euros de dons, qui peuvent être défiscalisés. Cela peut paraître énorme mais c’est juste le minimum pour pouvoir affronter les Cnews et autres BFM TV, sous perfusion constante des milliardaires. Alors donnez au Média, aidez-nous à garder la tête haute et le micro levé.
Visibilité Publique
Publié originellement 07 novembre 2022
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu Étiquettes Durée 2min 43sec
Aucun commentaire
ANFR-Les différentes bandes de fréquences de la 5G et ...
https://www.anfr.fr/publications/dossiers-thematiques/la-5g/les-bandes-de-frequences-de-la-5g/
En France, il est prévu que la 5G se déploie sur plusieurs bandes de fréquences : celles déjà utilisées pour les réseaux actuels 2G/3G et 4G (dites "bandes basses") et deux nouvelles bandes jusque-là non attribuées aux réseaux mobiles, celle de 3,5 GHz et celle de 26 GHz.
La 5G, des fréquences, des antennes et des craintes
https://reporterre.net/La-5G-des-frequences-des-antennes-et-des-craintes
Les chaînes de la TNT sont de leur côté diffusées sur une bande comprise entre 470 et 800 MHz. Quant au réseau téléphonique, il utilise les fréquences allant de 700 à 2.600 MHz. Dans le cas de la 5G, les opérateurs vont dans un premier temps utiliser la bande comprise entre 3.400 et 3.800 MHz, soit entre 3,4 et 3,8 gigahertz (GHz). La 5G offrira un débit plus important, même s'il demeure difficile d'estimer avec précision le gain pour le consommateur final.
Tout savoir sur les fréquences de la 5G - Ariase
https://blog.ariase.com/mobile/dossiers/5g-frequences
La bande de fréquences des 3,5 GHz (3,4 - 3,8 GHz) est celle qui sera utilisée en priorité pour le réseau mobile 5G. C'est la bande coeur de la 5G. Sur les 400 MHz de largeur de spectre, 310 MHz...
Fréquences 5G : procédure d'attribution de la bande 3,4 ...
https://www.arcep.fr/la-regulation/grands-dossiers-reseaux-mobiles/la-5g/frequences-5g-procedure-dattribution-de-la-bande-34-38-ghz-en-metropole.html
La bande 3,4 ‑ 3,8 GHz constitue la « bande-cœur » de la 5G, dont le déploiement doit permettre d'améliorer la compétitivité des entreprises, de développer l'innovation en France ainsi que de répondre aux attentes des utilisateurs d'accéder à des services mobiles toujours plus performants.
5G - Les technologies mobiles de cinquième génération ...
plenipotentiary.itu.int/web/pp-18/fr/article/5g-les-technologies-mobiles-de-cinquime-gnration
Celui-ci est divisé en bandes de fréquences, qui sont attribuées aux services de radiocommunication de telle sorte que chaque bande ne puisse être utilisée que par des services pouvant coexister. La prise en charge d'un trafic accru et d'un débit plus élevé dont la 5G a impérativement besoin nécessitera des technologies beaucoup plus efficaces sur le plan spectral, ainsi que des ...
Vers la fin des antennes râteaux avec l'arrivée de la 5G ...
[Rechercher dans le domaine www.femmeactuelle.fr/deco/maison-pratique/fin-antennes-rateaux-arrivee-5g-2017333] https://www.femmeactuelle.fr/deco/maison-pratique/fin-antennes-rateaux-arrivee-5g-2017333
En effet, les fréquences 5G, plus fortes et plus longues, peuvent potentiellement augmenter votre intolérance électromagnétique… Le groupe Orange a obtenu une autorisation d ...
5G sur les 26 GHz : le casse-tête de la libération et de l ...
https://www.nextinpact.com/article/28665/106912-5g-sur-26-ghz-casse-tete-liberation-et-attribution-frequences
En plus des 3,5 GHz, la 5G sera également déployée sur les bandes actuelles de la 4G - avec un intérêt « assez limité » pour le grand public - mais aussi sur des fréquences millimétriques. Par abus...
Réseau 5G : quelles conséquences et bénéfices
https://www.notre-planete.info/actualites/3087-5G-reseau-ondes-consequences-sante
Les fréquences déjà utilisées par les précédentes générations de téléphonie mobile (2G, 3G, 4G) seront exploitées, ainsi que deux nouvelles bandes de fréquences : dans un premier temps, la bande 3,5 GHz pour la couverture en téléphonie mobile 5G dans des zones géographiques étendues, puis les années suivantes, la bande 26 GHz pour la communication entre des objets connectés ...
Fréquences 5G : l'Arcep face aux choix techniques, un ...
https://www.arcep.fr/actualites/les-prises-de-parole/detail/n/frequences-5g-larcep-face-aux-choix-techniques-un-acteur-unique-envisageable.html
Il y a un discours qu'on entend souvent des équipementiers télécoms qui est de dire que pour faire de la bonne 5G il faudrait une largeur de spectre de 80 MHz par opérateur » sur la bande des 3,5 GHz. Avec quatre grands opérateurs, le total monterait à 320 MHz. Or, dans le cas du choix des bandes de garde, cette limite n'est pas atteinte, alors qu'elle l'est tout juste avec la synchronisation.
Fréquences 4G et 5G : comment assortir au mieux téléphone ...
https://www.frandroid.com/comment-faire/410587_frequences-4g-optimales-telephone-operateur
La bande 3,4 ‑ 3,8 GHz constitue la « bande-cœur » de la 5G, vérifiez donc que votre smartphone est compatible n78 (3500). Notez également que les bandes de fréquences des 700 MHz (n28) et 2,1 GHz...
Ndlr : toujours la même promesse néolibérale inadaptée à l'ANTHROPOCÈNE :-(
Le pylône de TDF avait été incendié lundi dernier, revendiqué par le "Comité pour l’Abolition de la 5G et Son Monde" (CLA5GSM) dans un courriel adressé au quotidien Le Populaire du Centre selon https://www.charentelibre.fr/2021/01/12/pylone-incendie-a-limoges-une-partie-de-la-charente-sans-tele-ni-radio,3694915.php
C'est qui le patron ?! lance son média pour les citoyens et consommateurs - Il y a 24 heures - L'ADN
.#consommation collaborative #marques #Médias
La marque qui a secoué les codes de l'agro-alimentaire se lance dans une nouvelle aventure citoyenne.
La marque C'est qui le patron ?! se lance dans un nouveau projet : le lancement de La Chaîne des Consommateurs et des Citoyens. Dans la lignée de l'histoire de la marque, ce nouveau média indépendant aura pour mission de faire connaître et mettre en lumière les coulisses de notre consommation.
La chaîne sera officiellement lancée le 20 mars - en partenariat avec les 22 chaînes de la TNT locales du réseau VIA. Objectif : tout savoir sur les coulisses de notre alimentation et mettre en valeur ce qui se fait de bien en matière de qualité, d’équité, de bien être animal, d’environnement, de nutrition etc.
Découvrez le nouveau média de la consommation citoyenne https://www.youtube.com/watch?v=eOgDDE_Jy4Q
c'est qui le patron Lire aussi C'est qui le patron ?! Découvrez la marque au succès fulgurant qui secoue l'agroalimentaire https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/case-study/cest-qui-le-patron-la-marque-au-ca-fulgurant-qui-secoue-lagroalimentaire/