Une plainte a été déposée « afin de faire toute la lumière » sur des irrégularités que l’Autorité de sûreté nucléaire
...
Connu / TG le 24/07/24 à 14:28
Comité d'orientation sur les FSOH qui débute le 28 juin prochain en région parisienne siège de l'ASN a montrouge ou ailleurs selon le nombre de participants)
...
L’ASN définit les facteurs sociaux, organisationnels et humains (FSOH) comme l’ensemble des éléments des situations de travail et de l’organisation qui ...
Les inspecteurs de l’ASN soulèvent de très grave manquement de EDF dans la surveillance et le suivi des activités sous-traités sur le site de Flamanville …
ALLO le GIFEN,
ALLO le COPSAR,
votre stratégie, va très très mal finir !
Au vu de cet examen par sondage, l’organisation définie et mise en œuvre sur le site concernant la surveillance des prestataires apparait perfectible. Les inspecteurs considèrent que des améliorations doivent être apportées à l’analyse et à l’intégration du retour d’expérience dans les programmes de surveillance. Les inspecteurs ont également identifié des marges de progrès dans la définition des programmes de surveillance, la description des modalités desurveillance et la politique de protection des intérêts…
...
Connu / TG le 11/07/24 à 11:38
Connu / TG le 16/05/24 à 14:20
Nucléaire : neuf réacteurs pourraient être particulièrement difficiles à prolonger jusqu’à 60 ans
Dans un avis préliminaire, l’Autorité de sûreté nucléaire appelle EDF à étudier « deux sujets techniques prioritaires »
...
Connu / TG le 16/06/23 à 15:04
Nucléaire : l'ASN juge prématuré d'envisager un fonctionnement des réacteurs français jusqu'à 60 ans
Il est trop tôt pour envisager un prolongement à soixante ans du parc nucléaire. D'autant que certaines pièces présentent des faiblesses (cinq réacteurs sont déjà sur la sellette). La centrale de Cruas est, pour sa part, menacée par le risque sismique.
Energie | 15.06.2023 | P. Collet
Connu / TG le 16/06/23 à 10:05
56 d’entre eux présentaient des traces de contamination, à des niveaux bien en deçà de la limite réglementaire, fixée à 20 millisieverts. (incident 01/2023) ...
Le 17 janvier 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Civaux a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN)
Connu / TG le 14/06/23 à 20:42
La demande d'autorisation, par EDF, de la mise en service du réacteur à eau pressurisée (EPR2) constituant la troisième ...
Connu / TG le 05/06/23 à 16:39
La participation du public pour le projet de mise en service du réacteur EPR de Flamanville, avec mise à ...
Connu / TG le 05/06/23 à 17:40
ndlr : répondu CONTRE / anthropocène : coopération, sobriété, pas énergie abondante et bon marché etc
Connu / https://savoie-antinucleaire.fr/2023/05/18/civaux-detection-tardive-de-limplantation-de-parametres-errones-dans-le-systeme-de-mesure-de-la-puissance-nucleaire-du-coeur-rpn/
"
Mai 18 Classé dans Nouvelles de France
Le 11 mai 2023, l’exploitant de la centrale nucléaire de Civaux a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif à la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans les systèmes RPN, cumulée à un défaut sur un capteur de pression d’un générateur de vapeur. En application des règles générales d’exploitation, cette situation a conduit EDF à replier le réacteur 2 le temps de corriger ces défauts.
Le système de mesure de la puissance nucléaire (RPN) permet d’assurer la surveillance permanente de la puissance du réacteur. En cas d’anomalie, ce système peut déclencher des alarmes en salle de commande ou l’arrêt automatique du réacteur.
Le 31 janvier 2023, une modification de paramètres informatiques a entraîné une erreur de calibration du système RPN. Cette erreur a été détectée par l’exploitant le 9 mai 2023.
Le même jour, de manière indépendante mais concomitante, le signal d’un capteur de pression d’un générateur de vapeur a été mis en défaut. L’exploitant a engagé le repli du réacteur conformément à la conduite à tenir prévue par les règles générales d’exploitation (RGE) en cas de cumul d’événements de ce type, pour corriger les défauts rencontrés.
Cet événement n’a pas eu de conséquence sur les personnes et l’environnement. Toutefois, il a affecté la fonction de sûreté liée à la maîtrise de la réactivité. En raison de la détection tardive de l’implantation de paramètres erronés dans le système de mesure de la puissance nucléaire du cœur, cet événement a été classé au niveau 1 de l’échelle INES (échelle internationale des événements nucléaires et radiologiques, graduée de 0 à 7 par ordre croissant de gravité).
Le jour même, l’exploitant a implanté temporairement un facteur de pénalisation dans le calcul des marges de pilotage et il a basculé le suivi de la pression du générateur de vapeur vers des capteurs redondants, puis il a repris la production d’électricité. Le 12 mai, l’exploitant a implanté les paramètres corrects de calibration du système RPN.
Par ASN, publié le 17 mai 2023
Clés calibration, Civaux, cœur, détection tardive, erreur, erronés, implantation, mesure, niveau 1, nucléaire, paramètres, puissance, réacteur
"
Réuni par l’ASN entre 2017 et 2021, le groupe de travail du Comité d’orientation sur les facteurs sociaux, organisationnels et humains (COFSOH) sur les ...
Connu / TG le 04/04/23 à 11:34
6781 ont interpelé leur député
Lundi 6 mars 23h, les députés de la Commission des Affaires économiques ont adopté à la va-vite deux amendements conduisant à fusionner l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN). En séparant la recherche et l’expertise qui incombait à l’IRSN de la décision administrative prise par l’ASN, ce dispositif institutionnel limitait les pressions du contrôlé, EDF, sur le contrôleur, l’IRSN.
Cette décision irréfléchie, prise dans le cadre d’un projet de loi de relance du nucléaire cherche à diminuer les exigences en matière de sécurité afin d’accélérer la construction des centrales atomiques programmées par le Gouvernement.
La dualité de l’IRSN et de l’ASN est un système qui a fait ses preuves au cours du temps. Une nouvelle fissure a été découverte à la centrale nucléaire de Penly le mardi 7 mars. Celle-ci serait de 1500mm de large et de 23mm de profondeur, bien plus grande que les micros-fissures découvertes détectées sur d’autres réacteurs plus tôt. C’est à partir de cette expertise que l’ASN a sommé EDF de « réviser sa stratégie de contrôle » car cette fissure affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur.
...
Nous appelons les députés à revenir sur la décision de fusionner l’IRSN et l’ASN, qui risquerait de causer un affaiblissement de l’expertise, ce qui mettrait en péril la robustesse, l’indépendance et la transparence nécessaires à la prise de décisions solides en matière de sûreté et de sécurité. Dès lundi 13 mars, les députés auront à voter définitivement cette fusion en séance plénière.
Sans une mobilisation citoyenne d’ampleur, les députés vont fragiliser notre système de sûreté nucléaire au détour d’une loi de relance du nucléaire.
Le 6 mars 2023, EDF a transmis à l’Autorité de sûreté nucléaire une mise à jour de sa déclaration ...
Connu / TG le 07/03/23 à 22:09
Autorité de sûreté nucléaire (ASN) EDF Réservé aux abonnés - 1 min. de lecture
Une importante fissure par corrosion sous contrainte a été détectée sur le circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly. Dans une note publiée mardi 7 mars, l’Autorité de sûreté nucléaire ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» en matière de contrôle et de réparation.
La fissure s’étend sur 155 mm et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm, explique l'ASN.
Nouveau coup dur pour EDF. L’énergéticien a décelé une fissure par corrosion sous contrainte sur un circuit de secours du réacteur 1 de la centrale nucléaire de Penly, située en Seine-Maritime, a-t-on appris dans une note d’information publiée sur le site web de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) mardi 7 mars.
«La fissure s’étend sur 155 mm, soit environ le quart de la circonférence de la tuyauterie, et sa profondeur maximale est de 23 mm, pour une épaisseur de tuyauterie de 27 mm», détaille l’ASN qui ordonne à EDF de «réviser sa stratégie» de contrôle et de réparation. L’autorité classe au niveau 2 sur l’échelle de l’INES (qui comporte 8 niveaux de gravité, de 0 à 7) cet incident qui «affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur» et augmente «la probabilité d’une rupture».
Une double réparation jugée responsable
Le gendarme du nucléaire explique que la ligne située en branche chaude du système d’injection de sécurité près de laquelle se trouve la fissure était considérée par EDF comme non sensible à la fissuration par corrosion sous contrainte. Toutefois, l’ASN note que la double réparation de la soudure subie lors de la construction du réacteur est de nature à «modifier ses propriétés mécaniques et les contraintes internes du métal au niveau de cette zone».
EDF explique, dans une note publiée sur son site internet le 24 février, que le défaut a été détecté lors d’une expertise qui visait à contrôler cette soudure. La fissure aurait été générée, selon le fournisseur d’électricité, lors des «opérations ciblées de «double réparation» lors du premier montage des tuyauteries».
Ce nouveau défaut représente une très mauvaise nouvelle pour le parc nucléaire français et son gestionnaire qui a accusé une perte financière record en 2022. L'année a été marquée par les mises à l’arrêt de nombreux réacteurs (dont Penly 1) en raison du phénomène de corrosion sous contrainte qui a forcé EDF à réaliser des opérations de contrôle et de réparations de grande ampleur, menaçant l'approvisionnement électrique français.
Sélectionné pour vous
Framatome annonce 100 millions d’euros d’investissements au Creusot pour relocaliser la fabrication des internes de cuves
[Matière à penser] Entre renouveau du nucléaire et inquiétudes géostratégiques, l’uranium se réveille
[Entracte-Cinéma] "La syndicaliste" de Jean-Paul Salomé ou l'histoire vraie d'une lanceuse d'alerte d'Areva qui en savait trop
SUR LE MÊME SUJET
- Depuis la centrale nucléaire de Penly, Bruno Le Maire (re)demande à EDF de construire un premier SMR dès 2030
- Comment EDF espère régler son problème de corrosion dans les réacteurs nucléaires avant l'hiver
- L’ASN salue la stratégie d’EDF pour tenter de comprendre la corrosion qui touche certains de ses réacteurs nucléaires
Le gouvernement a annoncé son intention de fusionner l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), son bureau d’expertise technique, dans une ...
Connu / TG le 26/02/23 à 03:57
Electricité Autorité de sûreté nucléaire (ASN) - 1 min. de lecture
Pour lire l’intégralité de cet article, testez gratuitement L'Usine Nouvelle - édition Abonné
L’Autorité de sûreté nucléaire considère les résultats des premières analyses effectuées par EDF pour mieux cerner le phénomène de corrosion sous contrainte affectant ses réacteurs «encourageants». Mais reste vigilante face à des connaissances qui restent «évolutives».
Réservé aux abonnés
L'Autorité de sûreté nucléaire rend ses conclusions sur la gestion des déchets radioactifs
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a publié lundi son avis sur les déchets les plus radioactifs, relativisant l'intérêt de l'entreposage temporaire à faible profondeur et jugeant pas crédible la piste de la possible transmutation des déchets.
...
Ndlr : parle plus bas de "transmutation" : encore une solution magique ?
Durée de lecture : 4 minutes - Clés : Nucléaire, Déchets nucléaires
Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a décrit le 19 janvier les « fragilités du cycle du combustible et du parc nucléaire ». Il a ouvert l’hypothèse d’arrêter à terme le retraitement des combustibles usés, une particularité de l’industrie française.
...
Bernard Doroszczuk ... la France est le seul pays, avec la Russie, à retraiter les combustibles usés sortis des réacteurs nucléaires. Lancé dans les années 1960, cette série très lourde d’opérations visait à isoler le plutonium, matière indispensable à la fabrication des bombes atomiques. Depuis, le besoin est devenu moins pressant. Mais alors que presque tous les autres pays recourant au nucléaire ont arrêté le retraitement (États-Unis, Royaume-Uni) ou ne l’ont jamais mis en œuvre (Allemagne, Japon, Belgique, Suède, Finlande, etc.), la France a continué. Résultat : au lieu d’avoir une seule catégorie de déchets radioactifs, les combustibles usés, elle a en toute une série. Chacun pose un difficile problème de gestion : plutonium (on n’arrive pas à utiliser tout le stock), actinides mineurs, uranium de retraitement, Mox usé, etc. En évoquant la fin du retraitement, M. Doroszczuk s’attaque donc à une vache sacrée des nucléaristes français.
...
plusieurs de ses maillons sont engorgés :
• la piscine de l’usine de La Hague (Manche), dans laquelle sont stockés pour l’instant les combustibles usés, arrive à saturation ;
• l’usine Melox d’Orano, dans laquelle on recycle une partie du plutonium pour en faire du combustible, dit Mox, marche très mal : « Nous avons trop de pannes. L’an dernier, nous avons produit entre 50 et 60 tonnes alors que le carnet de commandes affiche 120 tonnes par an », a dit à Usine Nouvelle Régis Faure, porte-parole du site Orano Melox ...
• enfin, a révélé le président de l’ASN, « la corrosion plus rapide que prévu des évaporateurs de l’usine d’Orano La Hague fragilise les capacités de retraitement ».
Il recommande donc d’anticiper la crise, et soit de choisir la poursuite du retraitement, soit son arrêt. Dans les deux cas, cela impliquera des investissements très conséquents, auxquels il faut réfléchir dès maintenant.
« Un accident nucléaire est toujours possible »
... il n’est pas du tout acquis que les réacteurs pourront fonctionner au-delà de cinquante ans, a indiqué M. Doroszczuk. Et la filière manque de compétences, tant pour gérer le parc actuel et son démantèlement à venir que la gestion des déchets : il faudrait « former 4 000 ingénieurs par an ». On en est loin.
...
de l’anticipation. »
Connu/ TG 21/1/22 17h52
... Sur les 56 réacteurs de notre parc, 40 produisent actuellement du courant et 16 sont en maintenance. L’énergie nucléaire se révèle capricieuse, difficile à gérer, en plus de ses tares fondamentales : chère, dangereuse et polluante.
...
De source EDF, ASN (autorité de sûreté nucléaire), IRSN (institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), on sait que :
Sur la tranche n°1 de Civaux, en visite décennale, les inspections de routine aux ultra-sons ont révélé la présence de fissures sur des soudures de coudes. Il s’agit de tuyaux de refroidissement connectés au circuit primaire. En cas de rupture, une brèche pourrait se produire et provoquer un manque de refroidissement du cœur…et au pire un accident majeur. Pour pallier ce dysfonctionnement, EDF entreprend le remplacement de 4 coudes, ce qui va repousser le redémarrage de la tranche à fin avril 22.
Sur la tranche n°2 de Civaux, inspectée en urgence, les mêmes défauts sont apparus. Le cœur du réacteur a été déchargé pour permettre le dépannage qui doit se terminer fin mars 22.
La centrale de Chooz vient d’être stoppée pour vérifier les mêmes soudures. On saura prochainement si le défaut est véritablement générique.
Pourquoi des fissures sur ces soudures spécifiques ?
... corrosion sous contrainte
...
questionnement indispensable pour évaluer la gravité de l’incident avec justesse et son impact sur la sûreté des installations. Il a été soumis à EDF. On attend les réponses avec impatience et intérêt.