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Six ans après avoir cédé à l'américain GE les turbines Arabelle, qui équipent les centrales nucléaires d’EDF, le gouvernement tente de les récupérer. Au nom du maintien de la filière nucléaire, EDF est à nouveau sollicité. Pendant ce temps, un nouveau plan social est lancé à Belfort.
Mots-clés Alstom ; EDF General Electric industrie nucléaire social
Les discussions se déroulent dans la plus grande discrétion. Après avoir accepté d’en céder le contrôle à General Electric en 2014, l’État est à la manœuvre pour tenter de récupérer les turbines Arabelle. Cet acronyme – le « A » réfère à Alstom et « bel » à Belfort, le berceau de la société – désigne la plus fiable des turbines à vapeur pour le nucléaire, sept mètres de diamètre et 4 000 tonnes, qui équipe à la fois un tiers des centrales nucléaires dans le monde, dont celles d’EDF, les sous-marins à propulsion nucléaire et le porte-avions Charles-de-Gaulle.
Conçues par Alstom, elles sont toujours fabriquées à Belfort, désormais par General Electric. Mais aujourd’hui, le conglomérat américain, mis à mal par la pandémie, sous pression de ses actionnaires, veut vendre cette activité, rachetée avec toute la branche énergie d’Alstom.
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garantir la souveraineté nationale ... « L’État français a un droit de regard sur les orientations stratégiques de cette industrie qu’il ne peut abandonner », ajoute Jean-Marie Girier, ancien conseiller de Gérard Collomb à l’intérieur, puis directeur de cabinet de Richard Ferrand à l’Assemblée nationale, devenu préfet du Territoire de Belfort en juillet. Il ne s’est pas plus étendu sur le sujet lors de son point de presse. ... l’unique action dont l’État dispose dans la société Geast, créée par Alstom et General Electric en 2014 pour regrouper les activités nucléaires de l’entreprise avant leur transfert aux Américains. Revenant sur les accords négociés en 2014 par Arnaud Montebourg ... son successeur, Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, avait jugé préférable de se contenter d’une seule action préférentielle ... Autre garde-fou, l’État conserve, à travers une autre société dédiée, une licence sur les droits de propriété intellectuelle des technologies Alstom existantes et à venir, dont, bien sûr, Arabelle ... La vente de la branche énergie d’Alstom, et notamment de ses activités nucléaires, est le dossier industriel qui hante toute la présidence d’Emmanuel Macron. Elle est devenue le symbole d’un bradage, d’une perte de contrôle industriel, de la désindustrialisation française. Nombre de craintes se sont révélées fondées. Juste après la vente, finalisée fin 2015, General Electric a démontré où était le pouvoir désormais. Le groupe américain a exercé une pression gigantesque sur EDF en cessant quelques jours la maintenance des centrales nucléaires en février 2016, afin de lui imposer un contrat plus avantageux, et notamment de réduire sa responsabilité financière en cas d’accident. Un précédent existait. Pour faire payer à la France son opposition à la guerre en Irak en 2003, les États-Unis avait alors cessé plusieurs mois les opérations de maintenance et la fourniture de pièces pour les catapultes mécaniques du porte-avions français. ... Signe que les discussions sont désormais bien engagées, Hugh Bailey, directeur général de General Electric France, a été désigné président du conseil d’administration de Geast il y a quelques semaines. Un interlocuteur que l’État connaît bien. Il était notamment conseiller d’Emmanuel Macron à Bercy quand celui-ci a autorisé le rachat d’Alstom. Il a rejoint ensuite General Electric en 2017, avant de prendre la tête de l’entité France en avril 2019, un mois avant l’annonce par le groupe de la suppression de 1 000 emplois, dont 800 dans l’entité turbines à gaz de Belfort.
Malgré un avis favorable de la commission de déontologie de la fonction publique, qui a validé ce pantouflage à condition qu’il cesse tout contact professionnel avec ses anciens collègues de Bercy, Hugh Bailey est visé en septembre 2019 par une enquête qui suit son cours pour « prise illégale d’intérêts »
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Deux options sont sur la table et seraient toujours en arbitrage. L’une d’elles est portée par Frédéric Pierucci, ancien patron de la branche chaudières d’Alstom, donc nucléaire. Il connaît très bien son dossier et le marché. Il est aussi au cœur du scandale Alstom. Arrêté par le FBI en avril 2013 à New York dans le cadre d’une enquête pour corruption d’Alstom en Indonésie – « une affaire où il n’a jamais touché un centime », a-t-il maintes fois expliqué –, il a passé 25 mois dans les prisons américaines. Dans cette affaire, il estime avoir été un otage économique dans une opération judiciaire permise par l’extraterritorialité du droit américain, visant à affaiblir l’entreprise française pour faciliter la cession de sa branche énergie à General Electric.
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L’Élysée serait plutôt sur une autre piste et, quitte à forcer la main, insisterait pour privilégier un rachat par EDF via sa filiale Framatome, qu’il détient à 75,5 %. Problème : l’électricien, qui doit déjà éponger la faillite d’Areva, n’a aucune envie de reprendre toutes les sociétés en difficulté travaillant dans le nucléaire. L’électricien souligne qu’il est déjà fortement sollicité par son projet Hercule ... Certains soupçonnent même que l’État ne lui donnera pas le choix, n’hésitant pas à lui tordre le bras comme il l’a fait pour le renflouement d’Areva, la construction d’Hinkley Point ou le projet Hercule. ... « EDF attendait un signal fort, ce signal est venu », confie un parlementaire au fait du dossier. Lors de sa visite au Creusot du 8 décembre sur le site de Framatome, qui forge les éléments lourds de l’îlot nucléaire des centrales, Emmanuel Macron a rappelé que « le nucléaire restera la pierre angulaire de notre autonomie énergétique ». Outre l’annonce de la construction d’un nouveau porte-avions à propulsion nucléaire, il a confirmé sa volonté de voir construire six nouveaux EPR en France. Cela est sans doute censé rassurer EDF : cette possible acquisition « forcée » est supposée devenir plus acceptable grâce aux perspectives de marché qu’offre le renouvellement du parc nucléaire à courte échéance. La semaine dernière, la direction d’EDF a présenté au comité social et économique un nouveau calendrier pour le lancement de nouveaux projets de construction d’EPR : il prévoit d’en lancer dès la fin 2022, au lieu de 2023. ... Marie-Guite Dufay, présidente de la région Bourgogne-Franche-Comté ... plaide aussi, avec d’autres élus locaux, pour que l’État, via Framatome, se porte acquéreur de l’ensemble de la branche énergie de General Electric. Ce qui inclurait donc, outre le nucléaire, les activités hydroélectriques et gaz. Ce qui, en quelque sorte, reviendrait à rétablir la situation qui préexistait avant la vente à General Electric.
Mais cela ne semble pas du tout faire partie des plans de l’État ... nouveau plan social décidé par General Electric. ... se désengager de la construction de centrales à charbon qui n’ont plus d’avenir. L’entité manufacturière de production de la turbine Arabelle et des alternateurs, située à quelques pas, n’est presque pas touchée. ... Mais les compétences charbon sont presque les mêmes que celles nécessaires à la technologie nucléaire, qui produit aussi de l’électricité avec de la vapeur d’eau, font valoir les salariés ... Christian Mougenot, délégué CFDT chez Steam ... on a une réorganisation de service quasiment tous les ans ... Laurent Humbert, CFE-CGC ... proposer une solution globale de cohérence industrielle, de mutualiser des compétences proches et complémentaires et, surtout, de les maintenir, même quand des creux de charge ... Mais pour Laurent Humbert, il ne fait aucun doute que l’État, compte tenu de sa place dans Geast, a déjà validé le plan social entraînant la suppression de 238 postes à Belfort. ... General Electric est pressé. En 2018, en raison d’un retournement du marché, le groupe a déprécié à hauteur de 23 milliards de dollars sa branche énergie achetée 12 milliards d’euros à Alstom en 2015. Sa cotation boursière s’est effondrée. Ses activités aéronautiques sont lourdement frappées par la crise du coronavirus. À la suite d’une enquête de la SEC, gendarme de la bourse américaine, pour une suspicion de fraude comptable, General Electric vient d’accepter de payer une amende de – seulement – 200 millions de dollars.
Aujourd’hui, le conglomérat américain n’a plus guère d’intérêt pour les activités industrielles de l’ex-Alstom en France, après avoir centralisé tous les contrats de maintenance, les brevets, les commandes en Suisse ... ne garder que des gens qui vont vendre des pièces détachées. C’est la stratégie de GE en Europe », constate Laurent Santoire, délégué syndical central au comité européen de General Electric pour la CGT. « Les centrales nucléaires se regardent au siècle. Il faut donc des entreprises qui ont des compétences au siècle, pas au trimestre. Et quand on casse des compétences que l’on a mis un siècle à construire, on n’a plus rien. Quand on demande à quelqu’un de rentrer dans une centrale et qu’il n’a pas les plans de ce qui a été fait il y a 30 ans, il fait quoi ? », s’alarme le syndicaliste.
Connu / mel de cyberacteurs E-quotidien du lundi 7 décembre 2020
Conversation La Coop des Communs @CoopdesCommuns Niveau 1 :
Nous publions aujourd'hui le rapport "Plateformes coopératives : des infrastructures territoriales de coopération" #platformcoop
Et si on soutenait les communs numériques pour construire les outils post-covid?
Index pointant vers la droite https://platformcoop.fr Image
Banque des Territoires et 8 autres personnes
2:39 AM · 20 oct. 2020·Twitter Web App 22 Retweets 4 Tweets cités 28 J'aime
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 2 :
Le rapport présente l'économie sociale, et en particulier le coopérativisme, comme une forme d'entreprenariat à soutenir (vraiment) pour le développement du numérique en France.
Billet de banque avec le symbole du dollar
modèles éco ⚖ modèles juridiques Ampoule électrique stratégies d'alliance
8 recommandations Revers de main avec index pointant vers le bas
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 3 :
.#1 - Renforcer la visibilité de l’ESS comme modèle entrepreneurial d’avenir pour le numérique. Aujourd'hui, il n'y en a que pour les startups.
Croix
Ça favorise les modèles prédateurs de valeur au détriment des usagers et des territoires
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Les Scop
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 4 :
.#2 - Diversifier les modes de financement de l’entrepreneuriat numérique dans l’économie sociale en investissement et en exploitation et les agréger au service de l’intérêt général.
Ampoule électrique
Les coops sont trop risquées pour investir ? Mutualisons les risques et finançons les usagers.
Groupe VYV et 9 autres personnes
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 5 :
Par ailleurs, 7 milliards pour l'économie numérique dans le plan de relance. De combien pourrait bénéficier le développement des #platformcoops pour le bénéfice des territoires ? Par quels leviers?
Image Cédric O et 5 autres personnes
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 6 :
.#3 – Encourager l’expérimentation des modèles économiques assurant la protection et l’utilisation des données pour l’intérêt général.
Explorons les coopératives de données pour se prémunir contre la prédation des plateformes #tadata #platformcoop Image Mobicoop - La mobilité partagée
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 7 :
.#4 - Créer un incubateur dédié aux plateformes coopératives dans une logique d’accompagnement en pair à pair.
Biceps en flexion
Des dizaines d'incubateurs pour les startups et les "entreprises à impact" mais rien pour les coops du numérique. On a besoin de renforcer l'ingénierie. On le fait?
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La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 8 :
.#5 - Construire un récit commun et fédérer un réseau autour d’une identité forte : proposition de #plateformcoop
Les pieds dans le plat : il faut simplifier la communication pour que les gens comprennent ce que l'on veut dire et faire des #Platformcoops des objets politiques.
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Stroïka et 6 autres personnes
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 9 :
.#6 - Soutenir les dynamiques de recherche autour des plateformes coopératives.
Et #enmêmetemps, on a besoin d'y voir plus clair sur la grande diversité des modèles...
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Corinne Vercher-Chaptal
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 10 :
.#7 - Concevoir des stratégies d’alliances avec les autres acteurs œuvrant vers une transition écologique et solidaire.
Poignée de mains
On y arrivera pas seuls. Faisons des #platformcoops des outils à disposition de acteurs de la transition écologique et solidaire
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FranceTiersLieux et 8 autres personnes
La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 11 :
.#8 - Créer et animer un observatoire des plateformes coopératives pour en objectiver l’impact sur les territoires.
Femme mage
C'est l'époque de l'evidence based management : investisseurs et les collectivités ont besoin de chiffres qui objectivent l'impact. #EvidenceBasedManagement
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La Coop des Communs @CoopdesCommuns · 20 oct. Niveau 12 :
Discutons de tout cela le 2 décembre prochain! C'est le forum des plateformes coopératives à la bourse du travail.
Forum Plateformes en Communs 2020 - La Coop des Communs
Le Forum 2020 des Plateformes Coopératives permet de rassembler l’écosystème des plateformes coopératives, les mettre en avant et de rencontrer leurs pairs.
coopdescommuns.org
La nouvelle élue et son équipe d’adjoints et de maires délégués. Photo CL 1
Sandrine Précigout a été élue, lundi soir, maire de Terres-de-Haute-Charente. Elle sera à la tête de la plus grosse commune nouvelle de Charente limousine.
Sandrine Précigout, élue avec une large majorité (23 voix) face à son adversaire Jean-Marc Capoïa (6 voix), dont la liste occupe six sièges sur les 29 du conseil municipal, est la nouvelle maire de Terres-de-Haute-Charente (TdHC). Une commune nouvelle de plus de 4 000 habitants, mise en place depuis le 1er janvier 2019 et qui réunit les communes historiques de…
Clés : Charente Limousine ; Articles abonnés ; Terres de Haute Charente ; Actualité
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C’est une crainte très fréquemment exprimée : les parcs photovoltaïques (PV) au sol soustraient des terres agricoles à leur vocation première ou principale - selon les visions - qui est de produire des aliments, pour les humains et les cheptels. Quelle est la part de responsabilité des parcs photovoltaïques au sol dans la perte de terres agricoles aujourd’hui ? Quels sont les besoins d’espaces pour les parcs au sol dans les années à venir ?
... deux dynamiques différentes. L’urbanisation au sens large, c’est-à-dire la construction de bâtiments et la création d’infrastructures (routes, transports collectifs, zones d’activités, équipements) est le phénomène le plus connu, le plus visible. Il a affecté et affecte encore des terres agricoles, en ceinture des villes et des aires urbaines et en périphérie de villages. Phénomène moins connu, la perte de terres agricoles dans les arrière-pays et dans les zones de montagne. Abandonnées par l’agriculture, ces terres retournent peu à peu à la forêt.
... besoin cumulé de surfaces de l’ordre de 30 000 à 40 000 hectares d’ici à 2030. Ces surfaces peuvent être des friches industrielles, des friches militaires, des parkings, etc.
Par ailleurs, des projets plurifonctionnels qui concilient production d’énergie et activités agricoles commencent à voir le jour, et leurs performances analysées.
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Conclusion :
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Une analyse rigoureuse des projets au cas par cas paraît préférable à une sanctuarisation a priori de toutes les terres abandonnées par l’agriculture, dans la mesure où des synergies entre la production d’électricité et de nouvelles activités agricoles peuvent se créer, avec l’adhésion des agriculteurs et des communautés d’acteurs dans les territoires.
Si effectivement les sols couverts par les parcs photovoltaïques ont changé d’utilisation et peuvent être qualifiés d’artificialisés, cette artificialisation est toute relative : il est bien plus facile de démonter un parc au sol pour la « rendre » si besoin à la biodiversité ou à l’agriculture, que de transformer un lotissement en terre à blé.
Les premiers retours d’expérience devraient nous fournir très prochainement des références nationales sur l’agrivoltaïsme.
Par ailleurs, la récente création de l’observatoire sur l’artificialisation des sols, dans le cadre du Plan biodiversité, fait partie des dispositifs de vigilance qui permettront d’objectiver les enjeux9.
Enfin, de plus en plus de porteurs de projets de toutes tailles font appel à l’investissement participatif et citoyen, ce qui devrait faire monter ces projets en qualité, transparence, et acceptabilité.
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article est issu d’un travail collectif mené par Enercoop, Energie Partagée et Terre de liens pour comprendre et donner des clés de réponse sur les liens entre transitions agricole et énergétique, en s’appuyant sur le travail de décryptage de l’Association négaWatt et Solagro, et avec le soutien de l’Ademe https://energie-partagee.org/transition-agricole-transition-energetique-les-citoyen-ne-s-font-le-lien/
Sources et références
Service de la statistique et de la prospective et Statistique agricole annuelle : http://agreste.agriculture.gouv.fr/la-statistique-agricole/
Artificialisation : de la mesure à l’action, Ministère de l’Environnement, de l’énergie et de la mer – CCGD Analyse THEMA, janvier 2017, disponible sur : https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/sites/default/files/Th%C3%A9ma%20-%20Artificialisation.pdf
Données obtenues par extrapolation des surfaces qualifiées de terres agricoles et occupées par les parcs photovoltaïques au sol dans le cadre de l’appel à projet CRE 3 à l’ensemble des appels d’offres.
Tension sur l’espace villageois contemporain. Les mécanismes de prévention des conflits liés à l’implantation de parcs solaires en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Baggioni V., 2017, thèse de sociologie, Aix-Marseille Université, disponible sur : https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-02050292
Tableau de bord : solaire photovoltaïque SDES, Service de la donnée et des études statistiques, 2019, disponible sur : https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/
La ruée vers le photovoltaïque, nouvel or bleu, THOMANN S., 2012, in J. Dubois. et S. Thomann (dir.), Tensions sur les champs et les bois. L’essor des énergies vertes en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Éditions de l’Aube, p. 17-91
Programmation pluriannuelle de l’énergie, disponible sur : https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/programmations-pluriannuelles-lenergie-ppe
Évaluation du gisement relatif aux zones délaissées et artificialisées propices à l’implantation de centrales photovoltaïques – Ademe Transénergie, avril 2019, rapport et synthèse, disponibles sur : https://www.ademe.fr/evaluation-gisement-relatif-zones-delaissees-artificialisees-propices-a-limplantation-centrales-photovoltaiques
http://www.ign.fr/institut/actus/observatoire-suivi-lartificialisation-sols et https://artificialisation.biodiversitetousvivants.fr/
Clés : photovoltaïque ; artificialisation ; terres agricoles ; agriculture ; panneaux photovoltaïques
Connu / https://twitter.com/decryptenergie/status/1272470762675417090
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@EnergiePartagee et @SolagroFR reviennent sur cette question récurrente dans un #webinaire d'une heure, organisé dans le cadre d'un travail collectif mené par @Enercoop_SCIC @Terredeliens et @EnergiePartagee
avec les contributions de @SolagroFR et de @nWassociation
Décrypter l'énergie @decryptenergie · 10h ➡ Article détaillé - 0 - 1 - 1
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Ndlr : est-ce convainquant ? approfondir ACT
Global temperature change (1850 - 2017)
Connu / https://avenirclimatique.org/energieclimat/
Sciences - Environnement et nature - 99 min
Disponible du 02/06/2020 au 07/08/2020 - Prochaine diffusion le vendredi 3 juillet à 09:25
De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.
Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.
Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.
Réalisation : Jean-Robert Viallet Pays : France Année : 2019
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“Such an epic film. Spine tingling, potentially life changing.”
“It is extraordinary to see something so raw in a film today. It felt as the viewer is being treated to a sacred glimpse of the source of life...”
“I sobbed from the first minute to the last: in grief, sadness and joy. What a gift.”
“The film has impacted me on a core level and resonates in every cell. And I am sure this will create a giant, beautiful wave.”
“This was the most intense cinematic experience of my life. I’m going to have to watch it again.”
“This film is a beautiful opportunity for self transformation.”
The Twelve is a feature length documentary that gives a voice to wisdom traditions
through the words of twelve Elders that united in a council at the United Nation in November 2017. This film is about giving them the opportunity to speak their truth and let the world know about what they did for the benefit of all. It is also about
highlighting how wisdom traditions can be an amazing source of inspiration and solutions
for ourselves and our modern society.
Les douze anciens ; Aamo Bombo (Népal) ; Gabon, Japon, Australie, Colombie, Brési, Mexique, Botswana, Sibérie, Alaska
Marie-Christine Rumen a partagé un post dans le groupe Actualités juridiques il y a 3 heures Public
aussi à https://www.youtube.com/watch?v=rUCTbY7_wkk
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Défendre la Terre - VPRO Documentaire - 2015 - 7 914 vues - 139 - 3 - 184 k abonnés
Titre original: The Earth's Lawyer
Notre monde connaît quatre crimes internationaux: les crimes de guerre, le génocide, la torture et les crimes contre l'humanité. Le juge d'instruction espagnol Baltasar Garzón et l'avocate écossaise
Polly Higgins croient que cette liste de violations graves du droit international devrait être élargie avec un cinquième crime: l'écocide. Est-ce que Higgins et Garzón finiront par trouver suffisamment de soutien afin d'obtenir la reconnaissance de l'écocide?
Lorsque l'ecossaise Higgins a proclamé que la Terre avait besoin d'un avocat pour la première fois, tout le monde a ri. Mais elle est convaincue que ceux qui causent la destruction écologique doivent tenus responsables, et donc poursuivis, convoqués et punis. À l'origine une avocate de première instance, Higgins consacre entièrement sa vie et son travail à la Terre, en tant qu'éco-militante légale. Depuis 2011, elle dirige le mouvement international contre l'écocide. Il s'agit de la destruction à grande échelle de nos écosystèmes.
VPRO Backlight suit Polly Higgins et ses «gardiens de la terre» sur leurs missions tout au long de 2015, une année qui, plus que toute autre année, offre une «fenêtre d'opportunité». Avec: Baltasar Garzón (juriste), Michael Baumgartner (gestionnaire de campagne Greenpeace Suisse), Bronwyn Lay (avocat environnemental, Australie).
Crèdits:
Réalisateur: Kees Brouwer
Recherche: William de Bruijn / Gijs Meijer Swantee / Henneke Hagen
Producteur: Jeroen Beumer / Helen Goossens
Éditeurs de mise en service: Marije Meerman / Doke Romeijn
Sous-titres Anglais, Français et Espagnols: Ericsson.
Les sous-titres Français et Espagnols sont co-financés par l’Union Européenne.
Catégorie Actualités et politique 13 commentaires
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La Via Campesina gardera la mémoire du massacre #EldoradoDosCarajás au Brésil et de notre lutte continue contre l’impunité des entreprises et des États. La crise COVID-19 nous montre que le moment est venu d’exiger des réformes structurelles des systèmes agroalimentaires au niveau mondial.
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a Via Campesina marque cette journée en publiant une version illustrée de la Déclaration des Nations unies sur les droits des paysans et autres personnes travaillant dans les zones rurales (UNDROP). Nous avons choisi de relayer leur tribune ici. https://viacampesina.org/fr/illustrations-droitspaysans/
Cette terre, cette eau, cette forêt – c’est nous !
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COVID 19 n’est pas un problème en soi, mais simplement un symptôme. L’espèce humaine vivait déjà au bord du gouffre, les émissions de gaz à effet de serre (GES) atteignant un niveau record et la terre se réchauffant à un rythme sans précédent.
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Poussés par la cupidité humaine et favorisés par de puissants intérêts corporatifs – les défenseurs du capitalisme ont remplacé la nature par des briques d’usine, des cheminées et des serres industrielles. Ils ont conçu les villes comme moteurs de l’activité économique, en se souciant peu de la biodiversité de la planète. Ce faisant, ils ont négligé les villages, les côtes, les forêts et les gens qui y vivent.
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Le capitalisme a créé ce monde polarisé, où la concurrence a remplacé la solidarité.
Cependant, tout espoir n’est pas perdu. Une riposte des peuples, menée par les personnes les plus touchées par ces crises et s’appuyant sur la force de l’internationalisme, de la solidarité et de la diversité, peut démanteler le capitalisme et nous redonner un monde socialement juste et égal. ... La Via Campesina a proposé et commencé à faire campagne pour un instrument juridique international qui défend les droits des peuples sur leurs territoires, leurs semences, leur eau, leurs forêts.
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Le 18 décembre 2018, ces efforts ont finalement porté leurs fruits et l’Assemblée générale des Nations unies a adopté la Déclaration des Nations unies sur les droits des paysan·ne·s et autres personnes travaillant dans les zones rurales (UNDROP).
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Le cœur de la Déclaration est centré sur le droit à la terre, aux semences et à la biodiversité, ainsi que sur plusieurs “droits collectifs” ancrés dans la Souveraineté alimentaire.
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Il incombe désormais aux États membres des Nations unies, aux mouvements sociaux et à la société civile de tous les coins du monde d’adapter et de mettre en œuvre cette déclaration dans différents contextes nationaux.
Encourageant l'économie circulaire et le travail de la terre, ces boîtes à dons accueillent plantes, semences, outils et livres de jardinage...
Preuve que nature et solidarité font très bon ménage, la ville de Rouen a installé des boîtes à dons… consacrées au jardinage. Lumière sur une très belle idée qui incite à remettre les mains dans la terre tout en dynamisant l’économie circulaire.
Ces boîtes à dons ont fait leur apparition au Jardin des plantes de Rouen au début du mois de février. Une initiative qui fait suite à un appel à projets citoyens lancé par la ville de Rouen en 2018.
Dans ces petites cabanes en bois ouvertes à tous, on trouve des boutures, des graines, des livres et des outils de jardinage. En fait, chacun peut y déposer ce qu’il souhaite… et emporter ce dont il a besoin !
Et si l’on veut faire don d’un objet trop volumineux pour entrer dans ces cabanes, on peut toujours y laisser un mot avec ses coordonnées.
La ville de Rouen, sur son site : https://rouen.fr/evenement/2020/02/jardinage-a-portee-dons
Connu / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1234131555989250048
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Greenpeace Québec @greenpeaceQC · 2h
Réutiliser. Partager. Créer du lien. - 4 - 5
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Histoire
Le "deal" imposé par Donald Trump aux Palestiniens constitue l'ultime mouture des plans qui ont émaillé un siècle de guerres successives. Retour sur les raisons d'un échec toujours recommencé.
Cet article est à retrouver dans le magazine n°1197 pages 64-67 http://pveventsla5.immanens.com/fr/pvPageH5B.asp?puc=003229&nu=1197#64
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Parallèlement à l'essor du mouvement sioniste - fondé par Theodor Herzl au congrès de Bâle en 1897 -, les achats de terres démarrent. ...
Pour défendre des zones sauvages ou agricoles, des citoyens créent des ZAD pour occuper ces terres ou des collectifs pour les racheter. Ici, tout un village s'est mis à racheter des terres de façon collective.
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)• Crédits : Inès Léraud
A Trémargat, dans les Côtes-d’Armor, un village où les quelque deux cents habitants sont âgés en moyenne de trente ans, la mairie a initié en 2013 une SCI (Société Civile Immobilière) pour acquérir les terres dans et autour de la commune.
La terre va appartenir aux habitants et ils pourront donc la gérer de façon collective. Ça a un sens idéologique assez fort.
Les producteurs locaux peuvent ainsi continuer leurs activités, souvent de l’agriculture biologique, et écouler leur production localement.
Nous distribuons tous nos légumes dans les alentours : l’épicerie et les restaurants du village les achètent et les enfants les mangent dans la cantine du village voisin.
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)• Crédits : Inès Léraud
Merci à Bruno Jégou, Alain le Flohic et Claude, Baptiste Gilbert et Anne-Marie, Marilia Petite et Pauline. Ainsi qu’Éric Hamon, conseiller municipal.
En savoir plus
Lien vers le site de l'association "Terre de liens" https://terredeliens.org/-un-mouvement-trois-piliers-.html
Lien vers un article du site Reporterre Les zadistes veulent acheter les terres de Notre-Dame-des-Landes https://reporterre.net/Les-zadistes-veulent-acheter-les-terres-de-Notre-Dame-des-Landes
Transcription : ... un squatt a permis de proposer un projet pour valoriser un local d'entreprise abandonnée, aux habitants. Ça a permis à chacun d'incuber ses idées et des réaliser ses projets réparation de voiture, etc
Règlement européen
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Les technologies solaires photovoltaïques actuellement commercialisées n'utilisent pas de terres rares. Parmi les batteries couramment utilisées, seules les batteries nickel-hydrure métallique (NiMH) comprennent un alliage de terres rares à la cathode, mais leur utilisation restera très marginale dans la transition énergétique.
A notre connaissance, aucune autre technologie de conversion des énergies renouvelables n'utilise les terres rares de manière significative.
Documents à télécharger
https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/fiche-technique-terres-rares-energie-renouvelable-stockage-energie-2019.pdf
Comment faire prospérer les projets collectifs quand le système n’entend que la propriété privée individuelle ? À Notre-Dame-des-Landes comme à Clayrac (commune de Bio, Lot), en passant par le Réseau pour les alternatives forestières, de multiples projets communs se sont emparés d’un outil juridique né sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le fonds de dotation. ... petit bijou du libéralisme : une structure juridique, aussi facile à créer qu’une association, qui peut ensuite recevoir sans aucune limite des dons de biens ou d’argent, avec une déduction fiscale de 66 %, afin de les redistribuer à des initiatives d’intérêt général. ... c’est les pouvoirs d’une fondation avec la facilité de gestion d’une association. ... pensé comme un outil de défiscalisation massive et un levier du désengagement de l’État.
« Le droit français est réactionnaire, il ne reconnaît pas la propriété collective »
... Société civile immobilière ou groupement foncier agricole restent « des structures capitalistiques, où chacun a des parts qu’il peut vendre ». ... la foncière Antidote, « un fonds de dotation qui aide à la collecte de fonds pour racheter des lieux collectifs, dans différents endroits, et qui les met en réseau », selon Nico. Dans leur ligne de mire, l’achat d’un café associatif, d’un centre social autogéré, ou d’un tiers lieu en milieu rural comme la Talvère. ... le terrain ou la maison remis à un fonds de dotation devient un bien commun ... L’ensemble de l’économie ayant payé pour ce bien, il appartient alors à la communauté, laquelle en confie l’usage à une ou plusieurs personnes ». Et quand ces personnes s’en vont, d’autres arrivent, sans avoir à payer le ticket d’entrée de l’achat immobilier. La propriété privée se change alors en propriété d’usage. Autrement dit, celles et ceux qui habitent et usent du lieu ont des droits, une forme de propriété, mais qui prend fin dès lors qu’ils ne l’utilisent plus. Ainsi, une fois la Talvère achetée, les habitants de la fermette signeront un bail emphytéotique de 99 ans avec le fonds de dotation, un contrat qui leur donnera des droits d’usage et un devoir d’entretien contre un loyer symbolique. ... Fin 2017, le Réseau pour les alternatives forestières a lancé son fonds, Forêts en vie, « pour préserver les forêts sur le long terme ». Cette année, Mediapart a choisi de placer « 100 % de son capital dans une structure à but non lucratif qui, en le sanctuarisant, le rendra inviolable, non cessible et non achetable ». ... à Notre-Dame-des-Landes ... dès début 2017, bien avant l’abandon de l’aéroport, se rappelle Geneviève Coiffard-Grosdoy, activiste historique de la lutte. Nous voulions pérenniser la Zad, ce qui signifiait préserver les terres, afin qu’elles ne retournent pas à l’agrandissement et permettent au contraire de nouvelles installations paysannes ... les « 6 points pour l’avenir de la Zad » https://reporterre.net/IMG/pdf/6pointszad-a3-2.pdf ... Les statuts de ce fonds baptisé « La terre en commun » https://encommun.eco/ ... de nombreuses critiques, auxquelles les défenseurs de La terre en commun ont répondu dans un texte, Prise de terres https://reporterre.net/IMG/pdf/ete_livret_nb.pdf, publié cet été ... des gens se rendent compte que la logique capitalistique est nuisible à nos constructions collectives et qu’il faut s’en défaire ... moyen de « gagner en citoyenneté active » ... On va aller chercher des particuliers qui ont envie de mettre des petites et des moins petites sommes, qui se retrouvent dans les valeurs du fonds, mais on a aussi une ambition de publicité assez large, pour chercher des mécènes, des soutiens au-delà du lieu lui-même
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Prise de terre(s), Notre-Dame-des-Landes, été 2019 - i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Z_qRoQ
Lire aussi : Autour de la Zad, la bataille politique de la propriété privée https://reporterre.net/Autour-de-la-Zad-la-bataille-politique-de-la-propriete-privee
earth-challenge - défi environnement - 150 min - tous publics
présenté par : Nagui, Anne-Elisabeth Lemoine
Sur Twitter via #LemissionPourLaTerre. Face à l'urgence climatique, France Télévisions se mobilise pour une émission spéciale en partenariat avec la fondation Nicolas Hulot. Durant cette soirée, les téléspectateurs seront invités à devenir acteur du changement et vont apprendre dix gestes simples mais fondamentaux pour répondre aux problématiques environnementales. Par exemple, acheter des fruits et des légumes de saison, remplacer les bouteilles en plastique par des gourdes ou supprimer les mails inutiles des messageries sont des actions déjà efficaces. Lors de cette soirée, les promesses de dons seront remplacées par les promesses d'actions. Les Français, les entreprises et les collectivités sont invités à s'engager concrètement en faveur de l'environnement.
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Sur le retour des vacances, sur la rocade d'Amiens, des garages, des supermarchés, des entrepôts s'étaient encore installés, avaient bouffé de la bonne terre de Picardie. Comme avec Europacity...
Entretien avec Dominique Damour et Dominique Potier.
Dominique Potier est député socialiste de la Meurthe-et-Moselle, auteur avec Pierre Blanc et Benoît Grimponprez de "La terre en commun, plaidoyer pour une justice foncière".
Dominique Damour, membre de l'association "Non à EuropCity".
François Ruffin est red'chef bénévole de Fakir, réalisateur de films et député de la Somme .
Tournage : Sébastien Verlet, Valentin Curtet, Vincent Rochette
Remerciements à Richard et au personnel du restaurant du Pavillon des Tuileries.
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Catégorie Actualités et politique 32 commentaires
B Mb il y a 4 jours
Que les Mulliez, Vinci et Cie soient d'une voracité mortifère, ce n'est pas surprenant. Mais que l’État, qui devrait représenter un bouclier face à eux, prenne systématiquement leur parti contre nous et contre l'avenir, est absolument intolérable ! Intolérable, dans le cas d'EuropaCity, que ce soit l'État qui fasse appel...
Il faut que la mobilisation soit maximale les 4 & 5 octobre !!