La première plateforme d’aide à la sélection des territoires d’exode urbain
S.A.S VivrOVert : 12, rue de la Tour de Guet, 31310 RIEUX-VOLVESTRE contact@vivrovert.fr
Présidée par Dominique Valentin, la S.A.S. Vivrovert a été fondée par 5 associés constituant une équipe pluridisciplinaire.
Dossier de presse Novembre 2020
CONTACTS
- Dominique VALENTIN, C.E.O dominique.valentin@vivrovert.fr G.S.M : 06 82 03 01 44
Originaire de Novion-Porcien, un petit village ardennais, il milite depuis de nombreuses années pour le rééquilibrage des territoires rendus possibles grâce au télétravail. En 2012, alors qu’on parlait encore très peu de télétravail, il a fondé la société Relais d’entreprises, le premier réseau de tiers-lieux d’activité en milieu rural et péri-urbain, qui vise à rapprocher l’emploi de l’habitat et ainsi à réduire les mobilités subies. - Christophe MOQUILLON, D.G. christophe.moquillon@vivrovert.fr Whatsapp : 06 01 63 69 53
Cadre supérieur du ministère de la Transition Écologique et Solidaire en disponibilité.
Originaire d’un département éloigné de Paris, il s’est passionné pour l’aménagement
du territoire et a exercé plusieurs fonctions dans ce domaine durant 25 ans. De cette
expérience, il a acquis la conviction que le rééquilibrage des territoires devenait
indispensable pour que la France soit plus résiliente.
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Ndlr : amélioration ou que greenwashing/startup ? approfondir ACT
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Ndlr : découverte : mitigée, surfait ? Promesses tenues ? On peut avoir des doutes... (site plutôt rabatteur vers ebay et autres ?) Bonne ergonomie, du baratin, mais aussi de l'info, approfondir ACT
Clés : Capitalisme ; Économie ; GAFAM ; Révélations
Par Marc Endeweld, Journaliste, auteur de l'ouvrage "Le Grand Manipulateur. Les réseaux secrets de Macron", éditions Stock.
Emmanuel Macron et la Caisse des dépôts continuent de soutenir le moteur de recherche prétendument français, censé concurrencer Google, alors qu’il fonctionne grâce à l’américain Microsoft et qu’il est mis en cause dans un rapport de la direction interministérielle du numérique. Subvention de plus de 20 millions d’euros, obligation de l’installer dans chaque administration, actionnaires sulfureux et ramifications troubles… Enquête au cœur de la start-up nation.
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Fondé en 2011 par les hommes d’affaires Jean-Manuel Rozan, Eric Léandri et Patrick Constant, souvent présenté par la presse comme le « Google français », Qwant est devenu en janvier dernier le moteur de recherche officiel de l’administration française, qui l’installera par défaut sur tous ses ordinateurs. Au même moment, la Caisse des Dépôts et Consignations (bras financier de l’Etat) a décidé de réinvestir dans la start-up, faisant suite à plus de vingt millions d’euros dépensés ces dernières années.
Sur le papier, cela pourrait passer pour une success story. Mais en réalité, Qwant ne marche pas, ou mal. Ses résultats sont tirés principalement du moteur de recherche Bing, de Microsoft ; ils sont souvent datés, peu fiables, peu pertinents, limités en nombre. C’est le constat tiré par la Direction interministérielle du numérique (DINUM) dans une note confidentielle daté du mois du 8 août 2019, que Le Média s’est procurée. Certains éléments de cette note avaient déjà été révélés dans Acteurs publics en janvier 2020 https://www.acteurspublics.fr/articles/qwant-la-dependance-a-microsoft-inquiete-la-direction-du-numerique-de-letat, mais elle n’avait pas été publiée dans son intégralité, comme s’y était pourtant engagé le secrétaire d’État au numérique, Cédric O.
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Entre 63% et 75% de dépendance à Bing...
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Qwant s’est ainsi doté depuis janvier d’un « conseil de gouvernance » présidé par Antoine Troesch, directeur de l’investissement de la Banque des Territoires, l’une des directions de la CDC. Pour remplacer Léandri, la Caisse a choisi l’ancien directeur général adjoint, Jean-Claude Ghinozzi, un ancien cadre de… Microsoft : « J’ai rejoint Qwant alors que j’étais dans un grand groupe technologique [Microsoft, NDLR], justement pour travailler sur une alternative souveraine, centrée autour du respect de l’utilisateur et de sa vie privée », déclarait-il à Libération https://www.liberation.fr/france/2020/01/09/la-bascule-de-l-administration-est-un-enorme-coup-de-pouce_1772110.
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coup de tonnerre est sonné par Mediapart, qui révèle qu’Eric Léandri faisait l’objet, jusqu’à la fin 2016, d’un mandat d’arrêt européen dans le cadre d’une enquête au sujet d’une escroquerie en Belgique. https://www.mediapart.fr/journal/economie/270819/qwant-les-parts-d-ombre-d-un-moteur-de-recherche-strategique
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le premier signe tangible d’une symbiose entre la Macronie et Qwant est un tweet d’Emmanuel Macron lui-même le 14 avril 2015, alors qu’il est ministre de l’Économie de François Hollande : « Bravo au nouveau @Qwantcom ! Un Google français en marche ». Une fois à l’Elysée, ses troupes continuent de soutenir à toute occasion Qwant.
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l'associé d'Eric Léandri, le financier Jean-Manuel Rozan, n’a jamais caché sa sympathie pour le président de la République, au point d’écrire un livre en son hommage : « Macron maillot jaune », sa réponse personnelle aux Gilets Jaunes. https://www.lopinion.fr/video/lopinion/jean-manuel-rozan-entrepreneur-gilets-jaunes-s-amusent-trop-que-ca-s-180237
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un petit entrepreneur du numérique, Marc Longo, fondateur dirigeant de l’Annuaire Français, critique ouvertement sur Twitter le service proposé par Qwant, contestant à de multiples reprises sa qualité de moteur de recherche souverain, révélant pour la première fois sa dépendance à Bing.
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L’étude de l’actionnariat de Qwant confirme toute l’étendue du carnet d’adresses du duo : un vrai bottin mondain de la politique et des affaires.
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Thierry Gaubert fut également le proche conseiller de l’ancien patron des Caisses d’Épargne, Charles Milhaud, lui aussi soutien de Nicolas Sarkozy. En juillet 2008, c’est d’ailleurs le groupe Caisse d’Épargne qui rachète Trustmission, une société spécialisée dans l’envoi sécurisé de documents, qu’Éric Léandri dirigeait depuis 2005.
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À la même période, un entrepreneur français, Eric Mathieu, fondateur de la société Xilopix, propose lui aussi un moteur de recherche à la française, dénommé Xaphir. Il multiplie alors les rendez-vous auprès des responsables économiques et politiques pour récupérer des investissements, sans succès. Manquant de fonds, Xilopix sera racheté pour une bouchée de pain (200 000 euros) par Qwant en 2017.
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un vrai projet anti-Google aurait besoin de centaines de millions d’euros par an pour espérer grappiller quelques parts de marché. Encore faut-il développer une technologie prometteuse… Les slogans sur la « start-up nation » et les « réseaux » politiques et d’influence ne suffiront pas. Qwant, quoi qu’en disent ses nouveaux patrons, en raison de son histoire trouble et de ses faibles potentialités, est loin de renouer avec le succès si cher à Emmanuel Macron et sa start-up nation…
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1262387464687190016
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Le Média @LeMediaTV · 1h
QWANT : LES DESSOUS CACHÉS DE LA START-UP NATION
Subvention de plus de 20 millions d’euros, obligation de l’installer dans chaque administration, actionnaires sulfureux et ramifications troubles... Enquête au cœur de la start-up nation.
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Entreprise et management
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Alors que la crise sanitaire met en lumière les besoins massifs et pressants des pouvoirs publics pour lutter contre le Covid-19, un nombre considérable d’entreprises ont sans hésiter mis leur outil de production à disposition des acteurs engagés en première ligne contre la pandémie.
Les industriels aux avant-postes
C’était l’une des premières marques de solidarité, et incontestablement l’une des plus emblématiques. Le 15 mars dernier, LVMH, le géant du luxe, annonçait que trois de ses usines ordinairement dédiées aux parfums et cosmétiques produiraient « le temps nécessaire » d’importantes quantités de gel hydroalcoolique pour faire face à la pénurie. ... Tereos, troisième producteur mondial de sucre et numéro 2 européen de la production d’éthanol, a dès le 18 mars, réorienté cinq de ses usines françaises ... Sanofi et le fonds d’investissement Tikehau Capital ... production de matériel sanitaire destiné aux personnes en première ligne dans la lutte contre l’épidémie.
Même engagement du côté des entreprises du textile. 490 000 masques alternatifs doivent bientôt sortir quotidiennement des usines françaises, grâce à une réorientation de la production d’entreprises aussi diverses que Le Slip Français (sous-vêtements) ou 1083 (jeans). Une ombre au tableau subsiste toutefois : seulement quatre entreprises françaises fabriquent des masques FFP2 et chirurgicaux, avec une capacité de production en augmentation mais ne pouvant répondre à la demande actuelle. ... respirateurs artificiels ... À l’occasion d’un déplacement le 31 mars à l’entreprise Kolmi-Hopen, spécialisée dans la fabrication de matériel médical et chirurgical, le président Macron a annoncé la mise en place d’un consortium de quatre entreprises qui fabriqueront 10 000 respirateurs d’ici mi-mai. Mené par Air Liquide, ce consortium regroupe Schneider Electric, Valéo et PSA Peugeot-Citroën, qui réorientent pour la bonne cause une partie de leur outil industriel.
La French Tech sous tension mais solidaire
... start-up nation ... les entreprises du numérique se mobilisent et assurent le support indispensable au désengorgement des services d’urgence.
La « licorne » Doctolib a ainsi mis en place la gratuité des téléconsultations, après qu’un décret du 10 mars a assoupli les conditions requises pour réaliser des actes de télémédecine. ... le gouvernement a annoncé des mesures fortes ... risque de faillites en série ... souveraineté numérique
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Alors que les initiatives de communication des entreprises font souvent l’objet d’accusation de « green washing » ou « social washing » selon l’enjeu, la situation actuelle montre que leur mobilisation s’inscrit en-dehors d’une campagne de relations publiques classique. ... dons de matériel de protection
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L’élan solidaire des entreprises françaises est tout à la fois rassurant et révélateur de perspectives inquiétantes. Avec près de la moitié de l’humanité confinée et des chaînes d’approvisionnement au bord de la rupture, la compétition internationale pour l’accès aux produits de lutte contre la pandémie rend la perspective de pénuries de moins en moins hypothétique.
La désindustrialisation progressive de la France, accompagnée d’un déclassement socio-économique des territoires, rend le pays dépendant d’une fourniture extérieure dans nombre de domaines essentiels. Après les tensions sur la production de masques, gel hydroalcoolique et ventilateurs, ce sont maintenant les médicaments qui pourraient faire défaut dans les semaines à venir. Le spectre d’une rupture d’approvisionnement alimentaire a pour l’instant été écarté.
Mais si inédite qu’elle puisse paraître, la crise sanitaire actuelle peut se reproduire, et il est impossible de raviver dans l’urgence une industrie et des compétences abandonnées.
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Les multiples actions concrètes de ces jours-ci montrent qu’elles ont répondu aux appels à la solidarité de manière exemplaire. Aux pouvoirs publics, maintenant, de penser l’après-crise. Et de traduire dans les faits, au bénéfice des entreprises françaises et de toute la société, la « souveraineté nationale et européenne » prônée par Emmanuel Macron.
Ndlr : le libéral reconnait la situation (besoin de planification même si le mot n'est pas prononcé, solidarité générée par la peur) même s'il élude les blouses et autres tenues sanitaire, mais pas un mot sur les causes : l'idéologie libérale n'aurait-elle aucune responsabilité dans cette situation ?! Tuer l'état en période de "beau temps", mais l'appeler au secours sous la tempête tout en reconnaissant que c'est trop tard ! déni et schizophrénie ?!
Le bénévolat est une activité non rétribuée et librement choisie qui s’exerce en général au sein d’une institution sans but lucratif (ISBL) : association, ONG, syndicat ou structure publique.
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le « Guide du bénévolat » https://www.associations.gouv.fr/IMG/pdf/guide_du_benevolat.pdf liste de nombreuses raisons pour une association de valoriser son bénévolat (lire p. 22), que le site Associathèque résume ainsi :
- démontrer, par la valorisation d’apports importants, l’autofinancement d’une partie de l’activité, le financement public se trouvant de fait atténué ;
- souligner le dynamisme d’une association en mettant en évidence sa capacité à mobiliser des bénévoles et des prestations gratuites en nature ;
- évaluer le poids financier du bénévolat, des dons et services en nature ;
- identifier la dépendance au bénévolat, et en cas de diminution de cette aide, évaluer le besoin de financement supplémentaire.
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valoriser le bénévolat pose avant tout des problèmes politiques...
les États sont gérés de plus en plus comme des entreprises ... la « Loi Travail » (dite aussi « Loi El Khomri ») de 2016 précise — parmi plein d’autres choses — le contenu du Compte Personnel d’Activité (CPA). Il comprendra à la fois le Compte Personnel de Formation (CPF), le compte pénibilité ainsi qu’un futur Compte d’Engagement Citoyen (CEC) qui permettra de bénéficier d’heures de formation en cas de volontariat ou de bénévolat, notamment pour les fonctions de direction d’association ou d’encadrement de bénévoles. ... pose le problème de la valeur d’une action bénévole, et celui de la marchandisation de la société
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Le problème de la surveillance étatique
... des formes de répressions très diverses (procès bâillon, violences policières, baisse de subventions, etc.) ...
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Laurent Costy, alias Provençal le Gaulois, présente comment la contribution collégiale autour d’un Commun a donné naissance à Bénévalibre https://benevalibre.org/ (à coups de table ronde).
sky is the limit
Allégorie du Grand Esprit Startup. @Ines Clivio
VENDREDI LECTURE // Arthur de Graves, co-fondateur de l’agence de com Stroïka, sort tout juste un pamphlet jubilatoire pour exhumer ce qui se cache sous la banderole “start-up nation”. Start-up Nation, Overdose Bullshit ne fait pas dans la dentelle. Avis aux bigots du coworking et de station F, bouchez-vous les oreilles...
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il veut ubériser les machines à laver. Jean-Blaise est un homme nouveau. C’est un travailleur, un technophile, un inventeur…! C’est un startupper.
Face à lui, le “CEO de l’entreprise France”, Emmanuel Macron prononce son mythique discours.
Notre chroniqueuse a vécu plusieurs années en Laponie suédoise et a présidé le groupe d’amitiés France-Suède à l’Assemblée nationale. C’est donc avec un regard attendri qu’elle s’est penchée sur l’histoire de la jeune militante écologiste Greta Thunberg...
Isabelle Attard a été députée écologiste du Calvados. Elle se présente comme « écoanarchiste ».
... Derrière ces moments forts, on trouve un petit génie suédois des « public-relations », Ingmar Rentzhog. L’envers du conte de fées est moins joli, mais plus intéressant.
Le journaliste d’investigation suédois Andreas Henriksson est, d’après mes recherches, le premier à avoir enquêté sur ce sujet et son article a été publié sur le blog de Rebecca Weidmo Uvell, le 11 décembre 2018. https://uvell.se/2018/12/11/pr-spinnet-bakom-greta-thunberg/
La belle histoire de Greta Thunberg commence le 20 août 2018. Ingmar Rentzhog cofondateur de la start-up We Don’t Have Time (Nous n’avons pas le temps) croise Greta Thunberg devant le Parlement suédois et publie un post émouvant sur sa page Facebook. Nous sommes le 1er jour de la grève commencée par Greta. Le 24 août, sort en librairie une autobiographie mêlant crise familiale et crise climatique, Scener ur hjärtat, corédigée par Malena Ernman la mère de Greta, Svante Thunberg son père, Beata, sa sœur, et Greta. Les parents artistes - chanteuse lyrique et acteur - sont très connus en Suède ; Greta, pas encore.
En fait Ingmar Rentzhog et la famille de Greta se connaissent déjà et ont participé ensemble à une conférence sur le climat le 4 mai 2018. Peu de place au hasard donc, dans la rencontre à Stockholm, sur le trottoir devant le Parlement entre Ingmar et Greta.
Tout a été finement programmé pour transformer la jeune Suédoise en héroïne internationale, et ce, dès le 1er article paru dans le quotidien le plus lu dans le pays, Aftonbladet, quelques heures seulement après le post Facebook de Rentzhog.
We Don’t Have Time, la start-up qu’il a cofondée en 2016, a l’ambition de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres, qui influencera les hommes et femmes politiques et les chefs d’entreprise pour qu’ils agissent davantage contre le réchauffement climatique.
... Parmi les actionnaires de la start-up, on trouve les membres de deux familles interconnectées : les Persson, enfants du milliardaire Sven Olof Persson, qui a fait fortune, entre autres, dans la vente de voitures (Bilbolaget Nord AB) et les Rentzhog. Les deux familles d’investisseurs, qui se sont rencontrées dans la région du Jämtland, n’ont aucun lien avec l’écologie, ce sont des spécialistes de la finance.
Sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation
... En mai 2018, Ingmar Rentzhog est recruté comme président-directeur du think tank Global Utmaning https://www.globalutmaning.se/ingmar-rentzhog-ny-ordforande-global-utmaning/, faisant la promotion du développement durable et se déclarant politiquement indépendant. Sa fondatrice n’est autre que Kristina Persson, fille du milliardaire et ex-ministre social-démocrate chargée du développement stratégique et de la coopération nordique entre 2014 et 2016. Via l’analyse des tweets du think tank, on observe un engagement politique fort, à l’aube des élections européennes, envers une alliance qui irait des sociaux-démocrates à la droite suédoise. L’ennemi étant « les nationalismes » émergeant partout en Europe et dans le monde. Des idées qui ne déplairaient pas à notre cher président Macron.
Le 16 janvier 2019, Global Utmaning était fière d’annoncer sur les réseaux sociaux sa nouvelle collaboration avec Global Shapers, une communauté de jeunes dirigeants de 20 à 30 ans « dotés d’un grand potentiel pour jouer un rôle dans l’avenir de la société et qui travaillent à améliorer la situation des populations autour d’eux ». Ce réseau a été créé de toutes pièces par le Forum économique mondial en 2011. Ses leaders entendent bien sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation. Tout un programme.
Je résume. Nous avons d’un côté une plateforme numérique en construction, We Don’t Have Time, qui a pris un réel essor il y a quelques mois grâce à Greta Thunberg, « jeune conseillère » de la fondation dirigeant cette plateforme. J’ai oublié de préciser au passage que les centaines de milliers d’adresses mail collectées par Rentzhog valent de l’or. Et de l’autre, nous avons une famille de milliardaires comptant une ex-ministre qui investit dans cette start-up, puis qui embauche Ingmar Rentzhog dans un think tank développant les thèmes de la croissance verte, de l’économie circulaire, bref, de greenwashing.
... Greta Thunberg se retrouve à conseiller ceux qu’elle fustige. Comme disait l’auteur du Guépard, « si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change » (Guiseppe Tomasi Di Lampedusa).
... le combat de cette adolescente et de tous les jeunes qui lui emboitent le pas, partout dans le monde, est sain et une formidable source d’espoir pour la prise de conscience écologiste.
Par contre, je pense qu’il ne faut pas être dupe du rôle de certains adultes autour d’elle, spindoctor, mentor, spécialistes du greenwashing, de la croissance verte et du capitalisme. Pour lutter efficacement, ne pas être dupe est une nécessité.
La jeune militante du climat Greta Thunberg répond à ses détracteurs* https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?ktUflQ
Business #Tech4Good
Sauver la Terre du dérèglement climatique ou rendre le système éducatif plus inclusif : les startups à impact veulent marquer la société de leur empreinte. Et les investisseurs leur font de plus en plus confiance, comme en témoigne le fourmillement de structures qui se lancent dans le secteur.
...
L’entrepreneuriat à impact, l’ESS 2.0
Les startups à impact connaîtraient-elles leur âge d’or ? « Il y a clairement une prise de conscience mondiale ces derniers mois qui incite les entrepreneurs à se tourner vers des projets à fort impact et encourage les investisseurs à placer des fonds dans ces projets« , estime Florent Ducos, qui rappelle cependant que « l’Entrepreneuriat Social et Solidaire existe depuis 15 ou 20 ans« . En témoignent des structures d’accompagnement comme Antropia http://antropia.essec.fr/ ou Ticket For Change https://www.ticketforchange.org/ ou encore le fonds d’investissement Alter Equity https://www.alter-equity.com/, qui soutiennent tous les projets destinés à faire bouger les lignes dans l’éducation ou l’énergie.
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La startup suisse Energy Vault a mis au point une nouvelle solution simple et astucieuse pour stocker l’électricité. Une alternative bon marché aux stations de pompage-turbinage (STEP) et aux batteries. Elle combine surtout plusieurs avantages : un très bon rendement énergétique, elle peut être implantée à peu près partout et ne nécessite que peu de capitaux.
Pour accompagner la transition énergétique, les capacités actuelles de stockage d’électricité dans le monde devront tripler au cours des 20 prochaines années. Dans un rapport de 2016, Bloomberg New Energy Finance estimait que le montant des investissements nécessaires d’ici 2030 pour le stockage d’énergie s’élevait à plus de 100 milliards de dollars. Actuellement 96 % des capacités mondiales de stockage sont assurées par des stations de pompage-turbinage. La France dispose de 6 centrales de ce type, d’une puissance totale de 5 GW. En Belgique, la centrale de Coo permet d’injecter 1,3 GW sur le réseau pendant 5 heures. Ces stations ont été construites en même temps que le parc nucléaire pour parer au manque de souplesse des réacteurs dont la puissance ne peut pas varier aussi rapidement que la consommation sur le réseau.
Mais peu de sites se prêtent à la construction de nouvelles STEP, leur implantation n’étant possible qu’en montagne ou sur les reliefs accidentés. Leurs lacs de rétention d’eau occupent beaucoup de place et l’édification d’un barrage pose souvent de gros problèmes environnementaux.
Ces derniers temps, les batteries électrochimiques ont la cote en matière de stockage d’électricité. L’utilisation de batteries usagées de véhicules électriques est notamment une solution intéressante. Mais cette technologie est encore chère et le stockage stationnaire par batterie entre en concurrence avec le développement attendu de la mobilité électrique qui nécessitera aussi de grandes capacités de stockage. Le spectre d’une pénurie des matières premières nécessaires à leur fabrication pourrait provoquer une hausse des prix.
En outre la capacité de stockage des batteries diminue dans le temps et leur longévité est limitée à moins de 20 ans.
Des batteries « de béton »
... même principe que celui qui est appliqué dans les stations de pompage-turbinage ... le moteur électrique de la grue devient un alternateur qui, en freinant la descente des blocs, produit de l’électricité et l’injecte sur le réseau. L’énergie potentielle a donc été transformée en énergie cinétique d’abord (due à la vitesse de descente des blocs) puis en énergie électrique. Ici, c’est un principe similaire à celui du freinage régénératif, utilisé dans les véhicules électriques et hybrides, qui s’applique.
... L’ensemble du processus est piloté par un algorithme ... détermine à tout instant l’endroit où doivent être placés les blocs et les capacités de stockage nécessaires en fonction de paramètres multiples, comme les prévisions de consommation, les prix de l’électricité ou la météo qui impacte la production des énergies renouvelables. Le logiciel qui pilote la grue est aussi conçu pour éviter les oscillations des blocs provoquées éventuellement par le vent. Ils doivent en effet être déposés au centimètre près pour préserver la stabilité de la tour ... garantir la sécurité et la fiabilité de la technologie quelles que soient les conditions météo.
Avantage de cette solution : elle peut être mise en œuvre à peu près partout puisqu’il suffit d’un terrain plat d’un diamètre de 100 mètres. L’installation peut par exemple être implantée à côté d’une ferme solaire ou éolienne pour compenser la variabilité de sa production d’électricité. Évidemment, la grue et la tour de béton d’une hauteur de 120 mètres ne passeront pas inaperçues dans le paysage et on peut imaginer que des riverains éventuels ne seront pas heureux en cas d’une construction proche de leur lieu de vie. C’est un des seuls désavantages de cette technologie.
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Rendement et rapidité de réaction
Selon Energy Vault, le rendement énergétique du processus est d’environ 90 %, c’est-à-dire que 90 % de l’énergie utilisée pour lever les blocs est réinjectée sur le réseau. Par comparaison, le rendement d’une STEP n’est que de 75 %.
Autre grand avantage du concept : en cas de risque de déséquilibre du réseau, l’installation peut démarrer en l’espace de quelques millisecondes et elle atteint sa pleine puissance après seulement 2,9 secondes. Cette rapidité de réaction permet d’entrevoir pour cette technologie la possibilité de fournir des services de régulation du réseau, en corrigeant de brefs déséquilibres électriques tels que des écarts de fréquence ou de tension. Ces services, très utiles aux gestionnaires de réseau sont rémunérés avantageusement.
Coût et rentabilité
Andrea Pedretti, Chief Technology Officer de la startup. Pour la fabrication des blocs de béton – qui sont coulés sur place – il est prévu d’utiliser des déchets de construction, ce qui réduit les coûts et les impacts environnementaux. ...
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Sujet : Votre Magazine Révolution Énergétique
Date : Fri, 18 Jan 2019 19:05:46 +0000
De : Michaël - Révolution Énergétique michael@saabre.com
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Comment stocker l’électricité renouvelable sans barrage ni batterie ? © Energy Vault
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Stockage d’énergie : l’invention géniale d’une startup suisse
Actualité Classé sous :énergie renouvelable , stockage d'énergie , stockage d'électricité
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Céline Deluzarche Journaliste
Oubliez les barrages et les batteries géantes ! La startup suisse Energy Vault a imaginé un moyen étonnant pour stocker l’énergie renouvelable : empiler des blocs de béton comme dans un Lego géant. Une solution low cost et très efficace.
Imaginez un barrage hydraulique servant à stocker l’énergie, mais où l’eau aurait été remplacée par d’énormes blocs de béton de 35 m3 qui s’empilent les uns sur les autres comme des Legos, montés et descendus dans un étrange ballet de grues. Voilà l’idée un peu loufoque de la startup suisse Energy Vault, qui vient de conclure début novembre son premier contrat commercial avec le géant indien Tata. En 2019, ce dernier sera ainsi équipé d’une unité de stockage low cost capable d’injecter de l’électricité sur le réseau en moins de 3 secondes.
Une technologie de stockage low cost : aucun matériau coûteux comme le lithium ou le platine, mais de simples blocs de béton issus de la récupération de déchets de construction. © Energy Vault
L’énergie cinétique transformée en énergie potentielle
Comment ça marche ? Lorsque l’électricité est excédentaire, une grue à six branches monte les blocs de béton en haut de la tour, jusqu’à une hauteur de 120 mètres : l’énergie cinétique est transformée en énergie potentielle. En cas de besoin, les blocs sont redescendus par les grues, alimentant une turbine grâce à l’énergie cinétique restituée. Le tout géré par un algorithme spécialement développé par la startup, qui calcule en temps réel où doit être placé le bloc et le stockage nécessaire en fonction de multiples paramètres, comme les prévisions de demande, les prix de l’électricité ou la météo qui influe sur la production des autres énergies renouvelables.
Lorsque l’électricité est excédentaire, la grue monte les blocs de béton. Lors d’un pic de demande, les blocs sont descendus en alimentant une turbine qui produit de l’électricité. © Energy Vault, YouTube
Stocker l’énergie renouvelable, un casse-tête technologique et économique
Selon l’Agence Internationale de l’Energie (IEA), les énergies renouvelables couvriront 40 % de la production électrique mondiale en 2050. Le problème est que l’éolien et le solaire sont des énergies intermittentes, dépendantes du vent ou de l’ensoleillement. La question du stockage est donc cruciale si l’on veut continuer à augmenter leur part. Les possibilités actuelles sont encore très limitées. La plus simple et la moins chère est le barrage hydroélectrique. EDF exploite ainsi six STEP (Station de transfert d'énergie par pompage) en France soit près de 5 gigawatts (l'équivalent de cinq réacteurs nucléaires) activables en une dizaine de minutes. Mais un barrage ne peut pas s'installer n’importe où. En France, le nombre de sites possibles est d’ailleurs quasi à saturation, et dans le monde, la construction de grands barrages soulève des oppositions en raison de leur impact sur les écosystèmes. D’autres entreprises, à l’instar de Tesla, misent sur les batteries lithium-ion. HDF Energy a, de son côté installé, la plus grande batterie du monde en Guyane, qui fonctionne à l’hydrogène. Mais ces technologies coûtent encore très cher et leur durée de vie n’excède pas 20 ans.
Les unités de stockage sont destinées à être implantées à côté des fermes éoliennes ou solaires pour assurer une production électrique 24h/24. © Energy Vault
Une durée de vie supérieure à 40 ans
Face à ce dilemme, les arguments de la startup Energy Vault ont de quoi séduire. Ici, pas de matériaux coûteux comme le lithium, mais du béton récupéré des déchets de construction. Pas de déperdition d’efficacité énergétique au fil du temps, comme avec les batteries : le système affiche une durée de vie supérieure à 40 ans. Le coût de maintenance est presque nul et le rendement de 90 %, supérieur à celui d’un barrage hydroélectrique. La station peut être installée n’importe où (à condition de disposer d’un espace de 100 mètres de diamètre) et fonctionne par tous les temps. Celle installée en Inde pour Tara Power disposera d’une capacité de 35 MWh, pour une puissance comprise entre 2 et 5 MW. Le chiffre peut donc sembler modeste (par comparaison, la puissance en turbine du barrage de Super-Bissorte en Savoie est de 730 MW), mais de petites unités de stockage très rapidement mobilisables, c’est justement ce qu’il faut pour rendre autonomes les fermes solaires ou éoliennes et décentraliser la production énergétique.
Parallèlement à son contrat avec Tata, la startup a annoncé un partenariat stratégique avec le cimentier Cemex pour mettre au point des nouveaux types de béton spécialement optimisés pour cet usage et à l’empreinte carbone la plus faible possible. Energy Vault prouve en tout cas que les meilleures idées ne nécessitent pas forcément une technologie de pointe ; il suffit parfois d’ingéniosité pour faire avancer le monde !
Ce qu'il faut retenir
La startup Energy Vault a inventé un système de stockage low cost reposant sur des blocs de béton.
Le Projet
... objectif de développer une solution plug-and-play, open source, durable, low-tech, frugale et adaptable qui vous permette de créer votre propre énergie renouvelable et de participer à la transition énergétique, individuellement et collectivement.
Qui sommes nous ?
Présentation du fondateur
Gaël est ingénieur et a fait presque toute sa carrière dans l'industrie énergétique. Au fil des ans il s’est trouvé confronté aux limites des gros projets industriels, qui se traduisent par des coûts humains et environnementaux très élevés. Profondément marqué par ce constat et la nécessité de questionner notre rapport à l'énergie, Gaël a commencé à réfléchir aux moyens de produire de l'énergie en milieu urbain.
Il décide de lancer Skavenji fin 2016 à Nice, et de rassembler des partenaires pour mettre au point un boîtier qui permette à chacun.e de participer à la transition énergétique, en expérimentant, en apprenant et en produisant sa propre énergie renouvelable chez soi.
Présentation de l’entreprise
SKAVENJI est une petite startup niçoise en émergence qui a pour mission de démocratiser l’autoconsommation énergétique.
Elle se propose en effet de permettre à n'importe qui de produire et consommer directement de petites quantités d’électricité, aussi simplement et librement que l’on cultive son propre potager.
Elle est depuis début 2017 accompagnée par l'Incubateur Paca Est et hébergée au CEEI – Nice Côte d’Azur, et partenariat avec l’INRIA à Sophia-antipolis.
SKAVENJI appartient par ailleurs au Mouvement des Entrepreneurs Sociaux (Mouves), ainsi qu'à l'association Nice Start(s)Up et reste membre du Coworking Les Satellites à Nice.
Mentions légales
SAS Skavenji 61 avenue Simone Veil 06200 Nice
Société au capital de 10 000 euros
Immatriculée au RCI de Nice sous le numéro 823206883
Numéro de TVA intracommunautaire : FR 79 823206883
Responsable de rédaction et de publication : Gaël Desperries
mail : contact@skavenji.fr
Hébergeur : ONLINE SAS BP 438 75366 PARIS CEDEX 08
Connu par :
https://www.open-elearning.com/magano/magano-education/monumentuss/
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Deux projets de reprise s’affrontent depuis des mois pour poursuivre l’activité : l’un incluant une startup locale, Crosslux, et un autre porté par deux anciens cadres de la société. Selon la CGT, c’est ce dernier, intitulé « e-vision », qui aurait reçu l’aval de la direction de la société lors d’une table ronde en sous-préfecture vendredi. Le projet doit encore être validé en conseil de surveillance de Nexcis.
Le syndicat s’étonne que « seuls 13 salariés soient retenus dans le projet » sur les 77 que comptait l’entreprise dont EDF a annoncé la fermeture en avril. Le plan de sauvegarde prévoyait la possibilité d’une reprise, avec la mise à disposition gratuite pendant 3 ans des brevets et des installations.
Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire - Par Elsa Bembaron - Mis à jour le 09/01/2017 à 10:18
CES 2017 - Avec la technologie de cette start-up allemande, les façades des immeubles se transforment en générateur d'électricité.
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Heliatek a déjà équipé une trentaine de bâtiments dans le monde. Elle s'apprête à passer à la vitesse supérieure avec la mise en service d'une deuxième machine qui lui permettra de produire des films jusqu'à 1,2 mètre de large, contre 30 cm actuellement. Le film, très léger, peut être posé sur une façade, ou sur un toit, y compris sur une structure gonflable.
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Levée de fonds
a levé 80 millions d'euros en septembre dernier. Lors de cette opération, Engie a pris 6,6% du capital de la start-up allemande.
«Le partenariat avec Engie nous permet de bénéficier de leur portefeuille de clients», explique Thibaud Le Séguillon, le PDG d'Heliatek. C'est aussi dans le cadre de ce rapprochement qu'Engie a choisi d'accompagner Heliatek au CES de La Vegas. La start-up de Dresde est une des onze jeunes pousses emmenées par le groupe énergétique français cette année sur le salon.
ndlr : Nexcis ne l'avait-elle pas inventée avant ?!
Je poste
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Julien Delalande
Bonjour,
affirmer que "Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire" est mensonger puisque ce concept existait déjà en 2015 à Marseille.
Quelques références ici :
https://del.icio.us/search?p=Nexcis&jtf=Y&partial_type=N
EDF avait abandonné cette filiale à l'époque sans que les raisons aient vraiment été objectivées.
Les deux technologies mériteraient une comparaison fine.
Mais de grace, chers amis journalistes, chère Elsa Bembaron, faites vous aider pour donner du recul à vos articles !
sur Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire
04:54, le 13/01/2017 Répondre Refusé
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Pas passé
nouvelle tentative avec
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Bonsoir,
il est écrit dans cet article que "Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire". Cela me semble inexact puisque ce concept existait déjà en 2015 à Marseille grâce à la société Nexcis.
La photo en milieu de cet article https://marsactu.fr/nexcis-une-reprise-dans-lombre-de-lfoundry-et-de-fralib/ montrant une fenêtre solaire toute installée, le prouve.
D'autres articles sont consultables ici par exemple : https://framabee.org/?q=Nexcis&categories=general
Sincèrement.
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ok ce 2è a été pris en compte.
Un commentaire précise que c'est "cellules photo-voltaiques sont faites avec un matériau organique. Alors que la majorité des cellules photovoltaïques sont faites a partir du silicium minéral."
un autre du successeur de Nexcis sunpartner ?! :
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Morphéus M.
Ils ne sont pas les seuls, il y a aussi onyxsolar, SolarWindow, et la société d’ingénierie Aixoise Sunpartner Technologies qui produit le WYSIPS qui est français et le plus avancé en la matière. Mais faire la promotion d'entreprises françaises n'intéressent visiblement pas les journalistes.
Le 06/01/2017 à 18:42
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