Connu / mel de cyberacteurs E-quotidien du lundi 7 décembre 2020
On va avoir un nouveau point de référence :slight_smile:
New nuclear plant at Sizewell set for green light
The BBC has learned that talks with contractor EDF have intensified in recent weeks.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 2/11/20 à 13:08 de SraM (livret énergie de LFI)
Clés : Energies renouvelables , Eolien , International , Marchés porteurs , Marchés cibles
Comment le Royaume-Uni, qui consommait massivement du charbon il y a encore dix ans, a-t-il entreprit une transformation profonde de son paysage énergétique pour devenir un leader mondial dans les énergies renouvelables et la décarbonisation ?
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2013 : Introduction d’une taxe carbone
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2014 : Des investissements massifs dans les énergies bas-carbone
... mécanisme Renewables Obligation (RO), obligeant les fournisseurs d'électricité à s'approvisionner en électricité de sources renouvelables dans une proportion croissante ... remplacé par les Contracts for Difference ... Dans le cadre de ces enchères, plusieurs développeurs sont en compétition afin d’obtenir une part du budget pour soutenir leurs projets éoliens offshore, onshore, solaire, houlomoteur, marémoteur et nucléaires
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un budget de 3 Mds EUR pour les économies d’énergie et l’efficacité énergétique.
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Les centrales au charbon ont pratiquement disparu et même la consommation de gaz a diminué d'un quart. Le pays tire désormais plus de la moitié de son électricité de sources à faible teneur en carbone, telles que le solaire, l'éolien et le nucléaire. Les énergies renouvelables ont comblé le vide laissé par les combustibles fossiles, parallèlement à la baisse de la demande d'électricité.
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L’explosion des énergies renouvelables
... leader mondial de l’éolien offshore depuis quelques années avec 8 483 MW de capacité installée et 2 016 éoliennes connectées (+1,7 GW de nouvelles installations en 2019). Le pays compte également une capacité onshore de 13 626 MW avec 8 588 éoliennes connectées.
Le secteur de l’éolien se compose de plusieurs grands acteurs locaux (Scottish Power Renewables, SSE), mais attire surtout de nombreuses multinationales étrangères dont notamment des turbiniers (Senvion, Vestas, Siemens Gamesa etc.) et des grands développeurs (Vattenfall, Ørsted, Equinor, EDF Renewables, Innogy etc.) qui mènent des projets d’envergure sur la zone. En position de leaders, les Britanniques ont développé une réelle expertise dans l’éolien et disposent aujourd’hui d’une Supply Chain mature qui cherche à s’exporter à l’international.
La filière solaire est aussi très avancée et certains leaders de la filière se sont développés à l’international dont notamment Lightsource BP et Solarcentury, la plus grande entreprise solaire du Royaume-Uni.
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La biomasse, le solaire, et l’éolien ont représenté au premier semestre 37 % du mix électrique britannique contre 35 % pour les énergies fossiles, en raison notamment de conditions météorologiques favorables.
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Le retour du nucléaire
... soutenir la stratégie globale de croissance propre du pays. L'accord prévoit :
- Un objectif de réduction de 30 % du coût des nouveaux projets de construction d'ici 2030.
- Une croissance tirée par l'innovation qui se traduit par des coûts de production réduits et une réduction de 20 % des coûts de démantèlement.
- Une chaîne d'approvisionnement plus compétitive, avec un plus grand nombre d'entreprises britanniques utilisant des méthodes de fabrication avancées (advanced manufacturing) et pénétrant un plus grand nombre de marchés intérieurs et à l’export.
Le programme Nuclear New Build constitue une véritable relance du nucléaire civil au Royaume-Uni : 8 sites pourraient potentiellement accueillir une dizaine de nouveaux réacteurs nucléaires. Il s’agit du programme nucléaire le plus ambitieux d'Europe occidentale. Enfin, la technologie des petits réacteurs modulaires (SMR) suscite beaucoup d’intérêt dans le pays. Le gouvernement a débloqué 19 M EUR de subvention à la R&D dans ce domaine.
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Les années 2020 et 2021 pourraient devenir des nouvelles années charnières pour l'énergie et le climat au Royaume-Uni, avec la publication cette année du très attendu Livre Blanc sur l'énergie, plusieurs fois reportée, et avec l’organisation l’année prochaine de la COP26 à Glasgow en Écosse.
Auteur : Thomas ECK - Chargé de développement Énergie & Environnement - Business France Londres
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 27/10/20 à 12:39 de rsieuz29 (livret énergie de LFI)
Ndlr : la croissance économique est-elle compatible avec la bifurcation écologique ? En d'autres termes, le nucléaire garantit-il les autres aspects que sont l'arrêt de l'effondrement de la biodiversité et la règle verte, c'est-à-dire ne pas prendre à la terre ce qu'elle ne peut pas reconstituer comme ressources ? ACT
From: Department for Environment, Food & Rural Affairs, The Rt Hon Lord Zac Goldsmith, and The Rt Hon Theresa Villiers MP
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The 30by30 initiative, which is pushing for at least 30 per cent of the global ocean to be protected in Marine Protected Areas by 2030, has so far been supported by 10 countries including:
Belize Costa Rica Finland Gabon Kenya Seychelles Vanuatu Portugal Palau, and Belgium
The Global Ocean Alliance will push for the trebling of existing globally-agreed targets so at least a third of the ocean is safeguarded in Marine Protected Areas over the next decade.
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Connu / https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1718518/environnement-protection-faune-flore-planete-ecosystemes
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La Presse canadienne Publié le 9 juillet 2020
Le Canada se joint à un groupe international d'une vingtaine d'autres pays qui travaillent à protéger les océans du monde.
L'Alliance mondiale pour les océans, fondée par le Royaume-Uni l'année dernière, cherche à protéger 30 % des océans du monde d'ici 2030.
Ses 22 membres comprennent des pays européens tels que l'Italie, l'Allemagne et la Suède, ainsi que des États insulaires comme les Fidji et les Seychelles.
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connu / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1282707626829197313
C'est un "énorme scandale" que dénonce le cinéaste. Celui d'un système de santé publique abandonné par les gouvernements du Royaume-Uni, qui laissent les sujets de sa Majesté sans protection face au coronavirus. Mais Ken Loach veut croire que cette crise nous a rendus "plus responsables les uns des autres".
Ken Loach, double palme d'or Cannes, s'est toujours mobilisé contre le démantèlement du service public au profit d'entreprises privées. © AFP / Sébastien Berda
C'est un système de santé britannique "mal préparé" qui fait face au raz-de-marée du coronavirus, a estimé l'ex-leader travailliste Jeremy Corbyn. Le prix d'une décennie d'austérité, "des années de coupes sombres" qui se paient aujourd'hui, fustige de son côté l'association des directeurs de la santé publique.
La crise du Covid-19, qui a déjà fait plus de 14 000 morts au Royaume-Uni, met en lumière le sous-financement chronique du National Health Service (NHS). Ce système de santé universel et gratuit, auquel le Premier ministre Boris Johnson avait déjà promis des milliards pendant la campagne des dernières législatives.
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Celui qui, dans Sorry We Missed You, dénonçait sans concession l’ubérisation de l’économie, estime que "cette crise a révélé un chaos absolu, qui devrait nous amener à exiger que, à l'avenir, [la santé] relève du service public" et pas de sociétés privées qui exploitent les salariés.
Olivier Poujade et Gilles Gallinaro, au Royaume-Uni pour la Rédaction internationale de Radio France, ont recueilli son sentiment sur la période exceptionnelle que vivent le monde et son pays.
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Thèmes associés Monde santé coronavirus Royaume-Uni Ken Loach hôpitaux
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La succession de Theresa May agite un Royaume-Uni toujours empêtré dans son Brexit. Depuis que la première ministre britannique a annoncé son départ, le parti conservateur, organise des élections internes pour désigner son successeur à la tête du parti et donc du gouvernement. Sur la dizaine de candidats ayant déposé leur candidature, un seul s’est détaché : Boris Johnson.
L’ancien maire de Londres a obtenu 114 des 331 voix des députés conservateurs, un score près de trois fois supérieur à celui de ses deux autres principaux adversaires : Jeremy Hunt, qui l’a remplacé au ministère des Affaires étrangères du gouvernement May (43 voix) et Michael Gove, l’actuel ministre de l’Environnement (37 voix).
Le processus de désignation du successeur devrait s’étendre jusqu’à la fin du mois de juillet. D’ici là, en cinq tours de vote, les députés conservateurs auront dégagé deux candidats qui seront présentés au vote des 160.000 membres du parti conservateur. Le vainqueur de ce duel deviendra le nouveau premier ministre.
Boris Johnson est donc bien parti pour arriver au moins jusqu’à ce duel final. Reste à savoir si sa personnalité excentrique et ses positions dures sur le Brexit (et sur l’Europe en général) seront un atout ou un handicap pour séduire les adhérents du parti conservateur. Si Boris Johnson a assuré qu’il ne viserait pas une sortie sans accord, il a aussi déclaré « ne pas partager le pessimisme des milieux économiques sur les conséquences d’une sortie sans accord ».
Le Brexit, dont la nouvelle date est fixée au 31 octobre, pourrait tout de même avoir des répercussions importantes sur l’économie britannique, mais pas uniquement. La France pourrait ainsi être un des six pays les plus touchés par le Brexit et certains économistes vont même jusqu’à prédire une perte de 3,2 milliards d’euros d’exportations pour les entreprises françaises.
Alors, le possible avènement de Boris Johnson à la tête du gouvernement britannique est-il forcément synonyme d’un Hard Brexit ? Faut-il craindre la mise en place d’un nouvel axe américano-britannique suite à l’adoubement de Boris Johnson par Donald Trump ? Comment la France peut-elle tirer son épingle du jeu en cas de Brexit sans accord ?
Invités :
Jean-Dominique GIULIANI, président de la Fondation Robert Schuman
Patrick MARTIN GENIER, auteur de « L’Europe a-t-elle un avenir ?
Catherine NORRIS-TRENT, journaliste britannique, France 24
Jon HENLEY, correspondant pour « The Guardian »
Catégorie Divertissement
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lien redif https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/929925-c-dans-l-air.html
Le 29 mars 2019 ne rentrera pas dans les livres d’histoire comme le jour où le Royaume-Uni a quitté l’Union européenne. Après de longues heures de négociations, les dirigeants européens ont finalement décidé hier soir d'accorder au Royaume-Uni un report du Brexit, fixant désormais au 12 avril, voire au 22 mai, le divorce. Ce nouveau calendrier qui a été accepté par la Première ministre britannique, Theresa May prévoit en effet deux scénarios : si les députés britanniques approuvent la semaine prochaine l'accord conclu en novembre avec l’Union, la sortie du Royaume-Uni aura lieu le 22 mai c’est-à-dire à la veille des élections européennes pour ne pas perturber le scrutin. En revanche, si la Chambre des communes rejette le texte pour la troisième fois, Londres aura jusqu'au 12 avril pour proposer un nouveau projet aux Vingt-Sept ou quitter l'UE sans accord. Cette date n'a rien de fantaisiste puisqu'elle correspond à la date limite au-delà de laquelle le gouvernement britannique peut prendre un décret pour participer aux élections européennes. Les européennes constituent le pivot de la réflexion des Vingt-Sept qui se sont une nouvelle fois montrés unis face au chaos britannique. Même le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, dont le parti Fidesz vient d’être suspendu temporairement du Parti populaire européen (la formation qui rassemble les conservateurs), s’est tenu à la ligne de l’UE vis-à-vis de Londres, à savoir le refus d’un report au 30 juin. Le feuilleton du Brexit n’est donc pas terminé et la lassitude gagne les Britanniques et les Européens. Alors deal, no-deal, nouveau deal ou no-divorce... à quoi faut-il s'attendre maintenant ? Si en Europe, à l’image de Donald Tusk, le président du Conseil européen, l’on considère que tout peut arriver d’ici au 12 avril, outre-Manche, les anti-Brexit entendent profiter de ce délai pour se faire entendre. Ainsi, alors qu’une centaine d’entre eux se sont élancés samedi 16 mars, de Sunderland, dans le nord-est de l'Angleterre, pour une longue marche de protestation vers Londres, une pétition contre le Brexit a réuni près de 3 millions de signatures en deux jours, ce qui oblige le Parlement à débattre de l'idée de rester dans l'UE…
Invités :
- Pascal Boniface, directeur de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques
- Patrick Martin-Genier, professeur de droit public, spécialiste des affaires européennes
- Sophie Fay, journaliste, chef du service Economie à L’Obs
- Jon Henley, journaliste, correspondant aux Affaires Européennes pour le Guardian.
Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Axel de Tarlé prend le relais le vendredi et le samedi.
Diffusion : tous les jours de la semaine à 17 h 45
Rediffusion : tous les jours de la semaine à 22 h 30
Format : 65 minutes
Présentation : Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
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Vu sur https://www.youtube.com/watch?v=MNDVW7joglw
Report du Brexit : l'Europe doit-elle céder ? #cdanslair 15.03.2019 - Ajoutée le 16 mars 2019 / C dans l'air
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La date du 29 mars prévue pour la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) n’est peut-être plus gravée dans le marbre. Hier soir, les députés britanniques ont voté en faveur d’un amendement demandant un report du Brexit et un nouveau vote parlementaire la semaine prochaine sur l’accord de départ. Après deux journées marquées, mardi, par un deuxième rejet par la Chambre des communes de l’accord sur le Brexit conclu avec l’UE et, mercredi, par le rejet d’une sortie sans accord, cette décision offre un répit relatif à Theresa May mais prolonge l’incertitude.
En effet si le 19 ou le 20 mars, la Première ministre finissait à la troisième tentative par faire adopter par la Chambre des communes le traité de divorce négocié avec les Vingt-Sept depuis plus de deux ans, elle réclamerait à Bruxelles un report court : jusqu’au 30 juin, précise l’amendement qu’ont voté les élus à Westminster, hier, par une large majorité. En revanche, dans l’hypothèse où les élus britanniques rejetaient l’accord du divorce une troisième fois, Theresa May devrait demander au Conseil européen des 21 et 22 mars un report plus long qui devrait être solidement motivé. Car la réponse européenne est loin d’être automatique.
Selon l’article 50 du traité de l’Union européenne, la procédure encadrant une sortie de l’UE est limitée à deux ans. Elle peut être prolongée, mais à l’unanimité des Vingt-Sept. Une éventualité qui n’a jamais été une ligne rouge pour les Européens à condition de recevoir de Londres une demande "motivée", et de faire en sorte que le délai ne vienne pas perturber les élections européennes du 26 mai prochain…Pour l’UE, le temps presse donc et une certaine lassitude se fait entendre. "La solution à l'impasse actuelle est à Londres, l'Europe doit continuer à avancer", a ainsi déclaré mercredi Emmanuel Macron ajoutant : côté européen, "nous ne devons pas perdre de temps parce que le monde, lui, ne nous attend pas". De son côté, Michel Barnier, négociateur européen pour le Brexit, a jugé que "la situation est grave. Il faut se préparer à cette option que nous ne souhaitions pas, qui est celle d’un échec et d’une sortie de la négociation sans accord", a expliqué le négociateur européen pour le Brexit.
Alors que vont décider les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept la semaine prochaine ? Londres veut gagner du temps mais pour quoi faire ? Quels sont désormais les scénarios possibles ? Les expatriés français à Londres doivent-ils s'inquiéter ?
Invités :
Jean-Marc DANIEL - Economiste
Philip TURLE - Journaliste, chroniqueur britannique à France 24
Sylvie MATELLY - Directrice adjointe de l’IRIS
Dominique MOïSI - Politologue, conseiller spécial à l’Institut Montaigne
Catégorie Divertissement
#Liverpool - 5 474 vues - 706 - 3
Jean-Luc Mélenchon a rencontré Jeremy Corbyn à #Liverpool le 24 septembre 2018.
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Actualités et politique
96 commentaires
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Philippe Wagner
il y a 3 jours
Merci Luciole :-)
41
Alexandre .A
il y a 3 jours
Que de réjouissances en vue de cette coalition européenne contre le système technocrate de Bruxelles ! L'internationalisme renaît au travers de l'alliance ''Maintenant le peuple'', et bientôt les européistes béas découvriront avec effroi et crainte l'élan populaire qui fera face au règne de la finance et des privilèges de quelque uns vis à vis du grand nombre. La Révolution citoyenne s'avance, et avec elle un nouveau souffle démocratique et social !
La question écologique se doit d'être placée au centre du jeu. Elle doit surpasser les intérêts particulier au profit de l'intérêt général. Individuellement, rien n'est possible, alors il nous faut faire face au grand défis écologique ensemble, sans tarder, et avec toute l'abnégation requise au fonctionnement ardu mais vertueux de la Démocratie (Démos Kratos) et de la nécessité d'une société respectueuse de l'environnement nécessaire à la vie humaine !
C'est pourquoi je voterai avec conviction et admiration pour nos députés européens coalisés !
62
Nathalie Combase
il y a 3 jours
En avant vers l'internationalisme!
...
ndlr :
intéressante pour quiconque veut comprendre qui est vraiment JLM: humanisme, sensibilité, humour, intellectuel, homme d'organisation, stratège enfin ++
fier de le soutenir ACT
Deviens le meilleur de toi-même...
Au service d'un monde meilleur !
NOTRE VISION
Offrir un tremplin vers la citoyenneté dont les seuls critères sont l'âge et l'envie de s'ouvrir au monde
Become signifie "devenir" en anglais.
En français, selon le dictionnaire, devenir signifie passer d'un état à un autre, c'est à dire commencer à être ce que l'on n'était pas...
BECOME veut permettre à la jeunesse de devenir plus confiante, plus capable, plus concernée.
Le programme donne toute sa place à la jeunesse en permettant à chacun de comprendre qu'il est possible d'être acteur de sa vie et du changement de la société. Il s'agit d'impulser chez les participants l'envie d'entreprendre, de réaliser leur potentiel et de contribuer à une société plus juste par des actions solidaires concrètes.
NOTRE INSPIRATION
Une success story britannique hors des murs de l'école
BECOME est directement inspiré du service citoyen britannique, le National Citizen Service (NCS), un programme à échelle national au Royaume-Uni qui a déjà mobilisé plus de 300 000 jeunes. Au fil des ans, le modèle a progressivement grandi et il rassemble désormais près de 100 000 adolescents chaque année en Grande-Bretagne.
Le succès de ce parcours éducatif et citoyen hors des murs de l'école est à l'origine de notre ambition d'adapter ce modèle au contexte français. Nous proposons avec BECOME un parcours pour des jeunes de 14/15 ans, généralement en transition entre le collège et le lycée pour qui il n'existe que peu de dispositifs aujourd'hui.
Notre programme s'inscrit en amont et en complément du Service Civique français existant, destiné quant à lui aux jeunes de 16 à 25 ans.
NOTRE AMBITION
Donner confiance et permettre l'acquisition de compétences utiles
BECOME représente un premier pas vers l'engagement social.
C'est aussi un parcours unique pour apprendre en mode projet et acquérir des compétences essentielles au monde de demain, à savoir la créativité, l'esprit critique, la capacité à travailler en groupe, la communication et la confiance en soi.
Nous souhaitons à la fois incarner et transmettre les valeurs que nous prônons dans un esprit positif et authentique :
Curiosité : Attiser l’esprit critique en permettant l’exploration et l’expérimentation
Confiance : Apprendre à faire et donner confiance afin de révéler le potentiel de chacun
Respect : Favoriser l’écoute et la bienveillance pour se considérer les uns les autres
NOTRE ÉQUIPE
Favoriser l'engagement bénévole des jeunes
Avant de lancer cette nouvelle initiative, l'équipe de CitizenCorps, via le programme RockCorps, a impliqué près de 35 000 jeunes dans plus de 600 projets associatifs ponctuels partout en France.
EN SAVOIR PLUS
SE PRE-INSCRIRE
ndlr : doutes sur l'idéologie sous-jascente (anglicismes, bienveillantisme, positivisme, compétivisme, etc), risque de détection de talents formatés ? => questionner ACT
- DANS LA VIDÉO https://vimeo.com/260733580
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lundi 19 mars 2018 06:19 EST via Parallel Uploader
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