l''avenir des batteries est peut être ailleurs que dans la technologie Lithium Ion.
et
https://www.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/batteries-sodium-ion-une-premiere-mondiale-dont-nous-sommes-tres-fiers
Après avoir livré le premier prototype de batterie sodium-ion, le réseau français RS2E ...
Connu / TG le 22/02/24 à 17:32
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L’Union européenne prévoit des assouplissements réglementaires et des facilités de financement pour ces filières décarbonées.
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269 k abonnés - 1,7k+ - 56 616 vues - Commentaires désactivés
Aurélien barrau Pablo Servigne écologie
Tr.: ... chat gpt ... la puissance d'être ... étiologique plutôt que symptomatique ...
NDLR: En médecine, l'étiologie (ou étiopathogénie) est l'étude des causes et des facteurs d'une maladie. Ce terme est aussi utilisé dans le domaine de la psychiatrie et de la psychologie pour l'étude des causes des maladies mentales .
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Depuis 2008, Frandroid a une mission : informer sur l’innovation et accompagner son lectorat avant, pendant et après l’achat d’un produit technologique
...
suivi précis et expert de l’actualité des nouvelles technologies, répondant à un lectorat pour qui la breaking news compte autant que les développements de l’équipe éditoriale pour faire comprendre le monde des nouvelles technologies.
Frandroid est fier d’être un média de recommandation
...
L’obsession historique du média pour la mobilité numérique s’est étendue au fil des ans vers de nouvelles catégories : consoles de jeux, automobile et nouveaux transports urbains, téléviseurs, son et vidéo, etc. Enfin, Frandroid est reconnu et plébiscité pour dénicher les meilleures offres du web, par des bons plans ou des comparatifs qui répondent aux attentes de son lectorat.
Manières dont Frandroid se rémunère
Notre équipe
La Rédaction
Manuel Castejon, Rédacteur en chef - Omar Belkaab, Rédacteur en chef adjoint - Journalistes tech : Cassim Ketfi, Geoffroy Husson, Grégoire Huvelin, Titouan Gourlin
Vincent Sergère, Journaliste auto - Hugo Bernard, Apprenti journaliste
Journalistes produits : Romain Ribout, Mélanie Capelli, Guillaume Sonnet
Journaliste services, Clément Gareau
Journaliste - Responsable guides d'achat Juliette Rivière
Journaliste guides d'achat Arnaud Gelineau
Responsable vidéo Anthony Wonner
Vidéastes Robin Wycke, Chloé Pertuis, Tech & Design Mathieu Menut
CTO Clément Décou
Développeur Senior E-commerce Alexis Rouillard
DevOps Manager Claire Braikeh
Designeuse Victor Glogowski
SEO & Audiences Partenariats et brand content Rémy Pivois
Directeur commercial Florian Picard
Responsable Grands Comptes Simon L'Aubin
Chefs de projet Jules Auriac, Johana Hallmann, Kevin Gainche, Clément Grandjean
Responsable affiliation Gaël Weiss
Rédacteur en chef brand content
La direction Ulrich Rozier Fondateur, CEO
bactisme Baptiste Michaud
Fondateur, Président Julien Cadot
Informations Editeur : Humanoid, SAS au capital de 68 686 euros – R.C.S. de Paris : 524 781 200
Siège social : 137 boulevard Sébastopol – 75002 PARIS
Directeur de la publication : Ulrich ROZIER
Hébergé sur les serveurs de la société OVH
NDLR : rémunéré par les tests aussi. Dérive ? vigilance
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i à https://tools.immae.eu/Shaarli/mediationpourtous?So9Ntw
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Tél : 05 59 40 46 92 - capm-pau.courrier.fct@intradef.gouv.fr
Connu / https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F36472/3_0?idFicheParent=F1398#3_0
"
Attestation des services accomplis (service militaire ou service national) - Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre situation
Aide technique, coopération ou objecteur de conscience
Votre lieu de recensement : la métropole
"
&
Lettre envoyée à partir de https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R41470
ATT rép
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Cet essai est le fruit du travail de plus d’un an du groupe d’écriture de l’Atelier paysan composé de sociétaires. Il vient éclairer plus d’une décennie d’explorations collectives en technologies paysannes, période jalonnée de nos cheminements techniques, politiques. Il situe la question des technologies agricoles dans le champ agricole et alimentaire de la famee** « ferme France »…
Aux éditions du Seuil
Reprendre la terre aux machines – Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire, l’Atelier Paysan, mai 2021.
👉 https://www.seuil.com/ouvrage/reprendre-la-terre-aux-machines-l-atelier-paysan/9782021478174
Ndlr : connue par la conférence organisée lors de la descente du clain fin juin 2023++ valoriser ACT
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Climat Entretien
Mégabassines, raffineries, chaîne logistique d’Amazon, autoroutes... Dans son nouvel ouvrage, le philosophe Alexandre Monnin rappelle comment le capitalisme nous lègue des héritages empoisonnés. Il appelle à la « désinnovation » et à une écologie de la fermeture pour ces infrastructures qui compromettent notre survie future.
...
Enseignant-chercheur et, entre autres, directeur du Master of Science « Strategy & Design for Anthropocene » à l’ESC Clermont, le philosophe Alexandre Monnin s’est penché, dans son dernier livre, Politiser le renoncement (éditions Divergences, avril 2023), sur la redirection écologique de ces infrastructures.
Comment démanteler collectivement des infrastructures vectrices d’inégalités et néfastes pour le climat ? Comment, loin des fantasmes d’une croissance verte ou d’une reconnexion à la Nature idéalisée, inventer une « écologie de la fermeture » ? Quelles modalités démocratiques pour lancer des politiques de renoncement ?
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communs négatifs pour désigner des réalités qui, à l’instar des communs, ne sont pas caractérisées par une qualité intrinsèque, ontologique, mais qu’il faut reconnaître en tant que telles afin d’en infléchir la trajectoire. Les communs, comme définis par la politologue et économiste américaine Elinor Ostrom, renvoient à des ressources bénéfiques qu’il conviendrait de faire perdurer dans le temps en se donnant des règles de gouvernance démocratique à cette fin.
Les communs négatifs qualifient a contrario des réalités dont personne ne veut, et dont il faudra s’occuper pour s’en détacher. Et ce, d’autant plus à mesure qu’elles se multiplieront : sols pollués, rivières asséchées, infrastructures à l’abandon, etc.
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dans le sillage de la crise de surproduction d’azote qui les touche et dont les effets écologiques sont désastreux, les Pays-Bas sont devenus au cours des dernières années un laboratoire du démantèlement en prenant des mesures drastiques d’ici à 2030 concernant notamment la diminution de leur cheptel – de 30 à 50 % – ou encore de leurs exploitations agricoles productivistes – 30 % seront expropriées et 30 % converties à une agriculture extensive.
Or on parle ici du deuxième exportateur agricole au monde après les États-Unis, qui est aujourd’hui plongé dans une grave crise politique pour avoir tardé à agir…
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se réapproprier collectivement la capacité à déterminer ce qui est viable et ce qui ne l’est pas afin de ne pas l’abandonner à de grandes agences privées ou parapubliques qui agiraient au bénéfice d’un maintien du statu quo par le truchement de l’adaptation au changement climatique.
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le renoncement à l’économie liée à la neige et enquêtent sur de nouvelles conditions de subsistance, on est tout à fait dans cette perspective.
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Le numérique est l’exemple même de ce que le physicien José Halloy nomme une « technologie zombie »
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L’essentiel de nos technologies sont aujourd’hui zombifiées, autrement dit s’appuient sur des stocks de ressources non renouvelables.
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Le philosophe de la technologie Benjamin Bratton nous enjoint d’imaginer un autre numérique, loin des réseaux sociaux par exemple, qu’il faudrait à mon sens socialiser et démanteler
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Le philosophe Langdon Winner parle à ce sujet de « luddisme épistémique ». À rebours du sabotage, il évoque à travers cette expression la nécessité d’expérimenter le fait de se passer de technologies, d’infrastructures, etc. Nous manquons de savoir-faire, de savoirs et de protocoles pour opérer ces nécessaires redirections.
...
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Article : Adrien D., La déshumanisation de l’école, 2022
URL : https://sniadecki.wordpress.com/2023/03/04/adriend-deshumanisation/
Publié : 4 mars 2023 à 16 h 08 min
Auteur : sniadecki
Étiquettes: 2022, Adrien D, école, enseignement, numérique, technocritique
Catégories: Article inédit, Critique du numérique
L’école se vide de son humanité et s’industrialise Au lycée, alors que le nombre d’enseignants diminue [1], le taux d’équipement technologique n’arrête pas de grimper. On manque de plus en plus de personnel d’encadrement : surveillants, infirmières scolaires [2], alors que les établissements restent bondés, le tout sur fond de crise sanitaire. Les problèmes de gestion, d’orientation, d’enseignement […]
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Asma Mhalla, spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques du numérique, enseignante à Sciences Po et Polytechnique
53 min
Et si les géants du digital avaient déjà imposé leurs lois à nos sociétés? Nos démocraties sont-elles menacées par l’accélération des évolutions du numérique? Débat avec Asma Mhalla, spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques du numérique, enseignante à Sciences Po et Polytechnique.
Avec Asma Mhalla Enseignante, spécialiste des enjeux géopolitiques du numérique.
Clés : Info Société Tech – Web
L'équipe Ali Baddou, Natacha Polony, Gilles Finchelstein, Mathilde Khlat, Marie Merier
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En direct dans 6 heures 13 février à 19:00 - Chaire de Cédric Durand : critique du capitalisme numérique #1 / Institut La Boétie
2,97 k abonnés - 16 spectateurs en attente Planifié pour le 13 févr. 2023
Rendez-vous le lundi 13 février à 19h en direct pour suivre la chaire de Cédric Durand « critique du capitalisme numérique #1 ». Cette conférence est la première d’une série de trois conférences données par Cédric Durand, titulaire de la chaire d’économie de l’Institut La Boétie, consacrée à la critique du capitalisme numérique.
Technoféodalisme : une archéologie du futur
Le concept de Technoféodalisme trouve sans origine dans le monde du cyberpunk des années 1980, un mouvement qui associait le développement technologique avec une dégénérescence du capitalisme tardif. Cette dystopie prend l’exact contrepied de l’idéologie californienne qui alliait, d’abord, enthousiasme technologique et épanouissement individuel et, finalement, libre entreprise et radicalisation de la propriété privé.
La promesse – le mythe de la Silicon Valley – est celle d’une cure de jouvence du capitalisme. En diminuant les coûts des échanges, les technologies de l’information devaient faire naître une économie de marché de petits producteurs, équitable, dynamique et surtout débarrassée des gouvernements : le fantasme d’une start-up nation.
Si cette vision inspire un bouleversement des politiques économiques, la redynamisation espérée n’est pas advenue. Dans les années 2020, c’est plutôt le spectre de son lointain rival techno-féodal qui prend forme.
L’hypothèse techno-féodale permet d’interroger le devenir du capitalisme vieillissant. Elle montre que, par-delà la conjoncture, nous sommes pris dans un processus au long cours de reconfiguration du mode de production. Un post-capitalisme régressif est un avenir possible.
*Tr.: ... plateformes ... GAFAM ... logiciel libre ... communs ...
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Comment dégoogliser Internet avec une patate ? - Neil - Publié Il y a 1 mois / La Contre-Voie association42l
• 95 vues
Réupload de la conférence tenue aux JDLL 2022.
Bilan technique de l’infrastructure de l'association 42l, après trois ans de fonctionnement.
On va dire qu’une patate, c’est un tout petit serveur. De la taille d’une vraie patate.
Qui a dit qu’il fallait de gros serveurs pour héberger des services en ligne ?
À l’heure où notre société s’effondre et où le numérique nous échappe, il devient urgent de se réapproprier les infrastructures qui hébergent nos données, notamment à travers l’autohébergement.
Après trois ans de fonctionnement, l’association 42l, petit CHATONS étudiant, vous propose un bilan de son infrastructure présenté par Neil.
Cette conférence technique détaillera les moyens mis en œuvre, les ressources mobilisées et les déboires techniques de son activité d’hébergeur associatif de services libres, avec son infrastructure de très petite taille.
Visibilité Publique Publié originellement 01 avril 2022
Catégorie Éducation
Licence Attribution Langue Français Étiquettes 42l ; chatons ; patate ; sysadmin ; technique
Durée 55min 12sec
Technos et Innovations Industrie 4.0 IA Impression 3D Robotique Quantique Blockchain
Clés : Enquête Europe Energie Energies renouvelables
Alors que la Commission européenne lance vendredi 9 décembre l’Alliance européenne pour l’industrie solaire avec l’ambition de retrouver une souveraineté dans un marché encore chasse gardée d’acteurs asiatiques, de nombreux projets français misent sur les nouvelles technologies photovoltaïques pour se distinguer. Top-con pour Carbon, Hétérojonction chez le CEA-Ines, tandems silicium-pérovskites pour l’IPVF et Voltec Solar… chacun fait valoir ses atouts.
7 min. de lecture © Guittet Pascal
Le CEA-Ines, à Chambéry, parie sur l’hétérojonction pour replacer la France parmi les pays producteurs de cellules photovoltaïques.
Après les batteries et l’hydrogène, le solaire photovoltaïque ? C’est en tous cas l’ambition de la Commission européenne, qui lance ce vendredi 9 décembre l’Alliance européenne pour l’industrie solaire. Annoncée en octobre dans le cadre du plan Repower EU, cette dernière est portée par l’accélérateur européen EIT InnoEnergy et plusieurs organisations d’industriels du secteur afin de «construire le cadre de la réindustrialisation de l’Europe dans le photovoltaïque avec pour objectif de faire émerger 30 GW de capacités manufacturières dans le solaire d’ici 2025», explique le PDG de l’Institut Photovoltaïque d’Ile-de-France, Roch Drozdowski-Strehl, à l’Usine Nouvelle. Un objectif ambitieux, poussé par "l’électrochoc" de l’Inflation Reduction Act américain et la volonté de «faire en sorte que l’Europe puisse se battre à armes égales avec les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde», espère l’industriel. Il souligne que la crise énergétique et les prévisions de croissance des renouvelables, encore revue à la hausse par l’Agence internationale de l’énergie le 6 décembre, «ont fait tourné tous les regards vers le monde du solaire, qui ressort comme le grand gagnant de la période.»
[...]
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À Montbron, une maroquinerie est déjà installée depuis 2012. C’est l’une des trois manufactures du pôle Sud-Ouest. Archives CL 5
Par Lénaëlle SIMON - l.simon@charentelibre.fr, publié le 1 septembre 2022 à 17h51.
L’école des savoir-faire Hermès quitte Montbron, où elle est à l’étroit. Objectif : monter en puissance pour satisfaire l’important besoin de main-d’œuvre.
Le centre de formation Hermès quitte Montbron mais reste en Val de Tardoire. Il va déménager à Marthon, dans l’ancienne usine de pantoufles Degorce dans le courant du premier trimestre 2023. Pour le maire de Marthon, Patrick Borie, c’est une fierté. Et pour le maire de Montbron, Gwenhaël François, un soulagement de conserver cette activité...
Charente Montbron L'Isle-d'Espagnac Artisanat Marthon Économie Enseignement Technique Éducation Education Nationale Val de Tardoire Grand-Angoulême Actualité
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]]>Un nouveau logiciel de conversation basé sur l’intelligence artificielle bluffe les experts par ses performances, un signe des avancées de cette technologie qui va bouleverser nos vies, et même la géopolitique. Un sujet encore insuffisamment présent dans le débat public.
...
répond au doux nom de « ChatGPT3 ». Plus d’un million de personnes à travers le monde l’ont déjà testé, et sont bluffées.
Ce logiciel développé par une entreprise californienne, OpenAI, est capable de rédiger en quelques secondes des textes dans plusieurs langues, sur tous les sujets, des plus sérieux aux plus farfelus, les premiers testeurs ne s’en sont pas privés. Ce logiciel de conversation s’adapte au contexte, est capable de répondre à toutes les demandes, y compris à la question : « quel est le sens de la vie ».
Un ami a soumis à ChatGPT3 le sujet d’une de mes chroniques de la semaine dernière, et le résultat est déconcertant : il y a de l’information, ce qui ressemble à du raisonnement, et même une prudence d’analyse plus grande que la mienne. Il n’y manque qu’un point de vue, ce qui me laisse heureusement un léger avantage qualitatif s’agissant d’un éditorial.
...
enjeu politique, et même géopolitique Elon Musk, le patron de Tesla et de Twitter, qui fut l’un des premiers à soutenir financièrement la société OpenAI qui produit le ChatGPT3. Il n’est plus impliqué aujourd’hui, et OpenAI a un statut particulier d’entreprise « à but lucratif plafonné », dont le but est de développer une intelligence artificielle bénéfique à l’humanité.
...
il est temps que l’intelligence artificielle devienne un sujet de débat public, un sujet politique, avant qu’il ne s’impose à nous d’une manière ou d’une autre.
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Lancement du clip vidéo pour la valorisation des missions techniques des FDAAPPMA de l'UFBAG !
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Philosophe, anthropologue et sociologue des sciences et des techniques à la renommée internationale, Bruno Latour est mort dans la nuit du 8 au 9 octobre. Chercheur multiple, il avait 75 ans et ses idées inspirent très largement ceux et celles qui se réclament de l’écologie, mais pas seulement.
🌱 Article : 4 minutes
... il a renouvelé la pensée écologique en plaidant pour le retour des « non-humains » en politique. Bruno Latour était malicieux. Rien de pontifiant ...
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Climate change has increased the need for new technologies that produce electric energy. Hydrogen is considered the ideal chemical for energy storage. In the storage process, electrolyzers and fuel cells store peak power production and use off-peak production to deliver electricity from wind and solar power to the grid. With the COMSOL Multiphysics® software, you can set up physics-based, high-fidelity models of fuel cells and electrolyzers, and account for material transport, charge transport, heat transfer, multiphase flow, and electrochemical reactions in your simulations.
Join us for COMSOL Day: Hydrogen Technologies to learn from keynote talks, technical presentations, and a panel discussion about the benefits of using multiphysics modeling to study and design fuel cells, electrolyzers, and reactors. We will also give an overview of the relevant features in COMSOL Multiphysics® and demonstrate how the software can be used across large development teams.
Register for this free, 1-day online event!
Schedule
10:00 a.m. Welcoming Remarks
10:05 a.m. Trends in Technologies for the Hydrogen Economy
10:30 a.m. Q&A/Break
10:45 a.m. Green Hydrogen Systems: Accelerating the Global Energy Transition with Green Hydrogen
11:05 a.m. Q&A/Break
11:15 a.m. Water Electrolyzers for Hydrogen Production
11:45 a.m. Q&A
12:00 p.m. Tech Lunch
1:10 p.m. Welcome Back: Some Useful Resources
1:15 p.m. Hydrogen Fuel Cells for Stationary and Automotive Applications
1:45 p.m. Q&A/Break
2:00 p.m. Simulating Electrochemical–Mechanical Interactions to Predict Hydrogen Uptake Within Metals
2:20 p.m. Q&A/Break
2:30 p.m. Reaction Engineering in Hydrogen Technologies
3:00 p.m. Q&A/Break
3:15 p.m. Keynote Speaker
3:35 p.m. Q&A/Break
3:45 p.m. CFD and Multiphase Flow in Fuel Cells and Electrolyzers
4:15 p.m. Q&A/Break
4:30 p.m. Concluding Remarks
COMSOL Speakers
Traduction : modèles haute fidélité de piles à combustible et d'électrolyseurs, et tiennent compte du transport de matériaux, du transport de charge, du transfert de chaleur, de l'écoulement multiphasique et des réactions électrochimiques
Ndlr : questionné à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?DILfrQ
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https://www.ripostecreativepedagogique.xyz/?CoursLibre i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?feEPJA
le diaporama de la présentation : https://stph.scenari-community.org/pres/20220927-riposte-creative/ i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Sfmczg
Points remarquables :
Présentation Stéphane Crozat de Librecours, Lownum
...
4 scénarios qui arrivent au même résultat par un chemin différent :
...
Stph :... Le plus grand enjeux, c'est d'arriver à mettre en place de l'accompagnement humain, car les contenus ne sont jamais suffisants en eux-mêmes. Mettre en place des mécanismes d'entrée pour ça serait un plus. Demande à des participants de s'engager à encadrer pour les suivants
...
Référence du colloque : https://www.sictdoctoralschool.com/
https://stph.crzt.fr/res/sict-lownum-1.pdf
https://stph.crzt.fr/res/sict-lownum-2.pdf
...
D'un côté, travailler sur les imaginaires et se forcer à faire des récits. D'un autre, voir ce que ça donne dans le réel.
Forçage à des logiques de publication, de confrontation : sortir les étudiants d'un rapport apprenant descandant à un rapport confrontant
...
Proposition Fête de la science : Un téléphone qui dure toute la vie ? Lifephone https://md.picasoft.net/s/bxdEAkdg5
Sujet 1 : LifePhone, Un smartphone pour toute la vie
/ document en construction, donc ATTENTON à ne rien écraser ;)
Projet ClimatChange pour utiliser des outils LowTech en afrique en particulier : https://climatechangelab.org/
Ndlr : approfondir ACT
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Les clubs techniques de la SEE se focalisent sur les différents domaines couverts par la SEE.
Durée : 2018 – 2021
Un des grands défis dans le domaine de la sécurité et de la sûreté des populations est de progresser dans la compréhension et la capacité à anticiper les comportements humains, individuels et collectifs, face à des menaces et des catastrophes complexes et de toutes origines. La façon de prévoir ou anticiper les réactions humaines dans leur dimension spatio-temporelle détermine la manière dont nous gérons les situations d’urgence (Drury et Reicher, 2011).
...
Ces recherches s’inscrivent dans les priorités 1 (comprendre les risques de catastrophe dans toutes leurs dimensions […]) et 3 (investir dans la réduction des risques de catastrophe aux fins de la résilience) du cadre d’action de Sendai des Nations Unies.
... trois volets complémentaires et fondamentaux :
– Production et analyse de données empiriques permettant l’identification, la description et la classification des comportements humains, et ce, quelle que soit l’origine de l’événement ;
– Modélisation mathématique de la dynamique spatio-temporelle des comportements sur la base des expérimentations, des études empiriques et statistiques réalisées ;
– Développement d’une plate-forme web cartographique de simulation des réactions humaines destinée à la communauté scientifique, aux professionnels en charge de la sécurité et sûreté des citoyens et au public dans un cadre de formation et d’amélioration de la culture du risque.
Deux terrains d’étude retenus : un tsunami local sur le littoral azuréen et un accident technologique sur l’agglomération havraise.
...
rassemble des chercheurs de plusieurs disciplines : géographes, géophysiciens, géomaticiens, mathématiciens, informaticiens et psychologues issus des UMR Géoazur, UMR ESPACE (Étude des Structures et des Processus d’Adaptation et des Changements de l’Espace), UMR Géographie-Cités, LMAH (Laboratoire de Mathématiques Appliquées du Havre) et LPPL (Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire). Il bénéficie de partenariats avec des structures institutionnelles et opérationnelles en charge d’assurer la sécurité et la sûreté des citoyens et des territoires.
...
labellisé par le Safe Cluster https://www.safecluster.com/.
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Le dimanche 10 avril, je ne veux pas qu'on ait de regrets. Que tout soit fait pour emmener le candidat de gauche au second tour, qu'on ait droit à un débat Macron-Mélenchon, que ça cause de santé et d'égalité, plutôt que d'insécurité et d'identité.
Un bulletin, c'est comme un tournevis : c'est un outil, ça peut servir de levier, on te demande pas de l'aimer.
Tr.: ... volonté populaire pour la victoire ... lettre de Macron, choix suicidaire tech+capital entraîne plus vite dans la chute ou changer la société ... ma prime rénov, 250 ans pour rénover les appartements (2000 ans selon fond emmaüs) ... Roosevelt, économie guidée par l'État ... croit à l'initiative privée, être en guerre climatique ... la dépression, alliée de Hitler, animer, résister, énergie du rire ...
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N° 246 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2021-2022 Enregistré à la Présidence du Sénat le 1er décembre 2021
PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE
sur l’inclusion du nucléaire dans le volet climatique de la taxonomie européenne des investissements durables, TEXTE DE LA COMMISSION DES AFFAIRES ÉCONOMIQUES (1)
(1) Cette commission est composée de : Mme Sophie Primas, présidente ; M. Alain Chatillon, Mme Dominique Estrosi Sassone, M. Patrick Chaize, Mme Viviane Artigalas, M. Franck Montaugé, Mme Anne-Catherine Loisier, MM. Jean-Pierre Moga, Bernard Buis, Fabien Gay, Henri Cabanel, Franck Menonville, Joël Labbé, vice-présidents ; MM. Laurent Duplomb, Daniel Laurent, Mme Sylviane Noël, MM. Rémi Cardon, Pierre Louault, secrétaires ; MM. Serge Babary, Jean-Pierre Bansard, Mmes Martine Berthet, Florence Blatrix Contat, MM. Michel Bonnus, Denis Bouad, Yves Bouloux, Jean-Marc Boyer, Alain Cadec, Mme Anne Chain-Larché, M. Patrick Chauvet, Mme Marie-Christine Chauvin, M. Pierre Cuypers, Mmes Marie Evrard, Françoise Férat, Catherine Fournier, M. Daniel Gremillet, Mme Micheline Jacques, M. Jean-Marie Janssens, Mmes Valérie Létard, Marie-Noëlle Lienemann, MM. Claude Malhuret, Serge Mérillou, Jean-Jacques Michau, Mme Guylène Pantel, MM. Sebastien Pla, Christian Redon-Sarrazy, Mme Évelyne Renaud-Garabedian, MM. Olivier Rietmann, Daniel Salmon, Mme Patricia Schillinger, MM. Laurent Somon, Jean-Claude Tissot.
...
Fait valoir que l’engagement pris par l’Union européenne de mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles et l’électrification croissante des usages nécessitent de disposer de plus d’électricité décarbonée, stable et compétitive ;
Estime que la lutte de l’Union européenne contre le changement climatique doit nécessairement s’appuyer sur une diversité de sources d’énergie décarbonées ;
Juge que l’énergie nucléaire, qui contribue déjà à la décarbonation de l’approvisionnement énergétique de près de la moitié des États membres, doit permettre à d’autres États membres de sortir de l’utilisation des énergies fossiles, pour atteindre l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050 ;
Relève que les conclusions des différents rapports techniques et scientifiques approfondis d’experts de l’Union européenne, publiés en 2021, considèrent que la production d’électricité nucléaire peut contribuer à l’objectif d’atténuation du changement climatique, qu’elle ne porte pas atteinte aux autres objectifs environnementaux et qu’elle peut par conséquent être qualifiée d’activité durable au sens du règlement sur la taxonomie ;
...
Prend acte de la décision de la Commission européenne d’adopter un acte délégué complémentaire pour les activités de certains secteurs de l’énergie qui ne sont pas encore couvertes par l’acte délégué relatif au volet climatique de la taxonomie de l’Union européenne, dont l’énergie nucléaire ;
Demande à ce que l’acte délégué complémentaire prévu à l’article 10 du règlement (UE) 2020/852 sur la taxonomie :
– inclue l’énergie nucléaire à la taxonomie, en veillant à reconnaître les activités économiques liées à la construction ou à l’exploitation d’installations de production d’électricité à partir de cette énergie en tant qu’activités durables ;
– maintienne une neutralité technologique entre l’hydrogène issu de l’énergie nucléaire et celui issu des énergies renouvelables ;
– ne soumette pas les activités économiques liées à la construction ou à l’exploitation d’installations de production d’électricité à partir de l’énergie nucléaire à des obligations d’information autres que celles applicables à toute activité durable ;
– soit pris avant le 31 décembre 2021, afin d’entrer en vigueur de manière concomitante avec les autres dispositions de la taxonomie.
Invite le Gouvernement à faire valoir cette position dans les négociations au Conseil.
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Bioéconomie - 4 min
COMMUNIQUE DE PRESSE - Le développement de la production de gaz renouvelables dans les territoires repose aujourd’hui essentiellement sur le procédé de méthanisation, technologie la plus mature(1). Pour quantifier les impacts environnementaux de la production de biométhane issu des résidus agricoles, les experts d’INRAE Transfert, mandatés par GRDF, ont réalisé une étude ACV - Analyse du Cycle de Vie(2). Cette étude d’une ampleur inédite s’appuie sur les travaux de plusieurs équipes de scientifiques d’INRAE. Elle compare les impacts de deux scénarios, l’un avec méthanisation et l’autre sans, dans différents contextes agricoles orientés vers la polyculture ou vers l’élevage. La méthanisation agricole est évaluée sur la base de 16 indicateurs clés. L’étude conclut à des impacts environnementaux majoritairement bénéfiques ou neutres en cas de méthanisation, avec des résultats contrastés selon les indicateurs analysés. Cette étude pose ainsi des bases solides pour assurer une bonne gestion environnementale des installations de méthanisation, et vient répondre à de nombreuses questions soulevées dans le rapport de la mission d'information sénatoriale(3) publié cet automne.
...
Les 16 indicateurs ACV : changement climatique, destruction couche d’ozone, formation d’ozone photochimique, particules fines, acidification, eutrophisation terrestre, épuisement ressources énergétiques (fossiles et nucléaires), radiation ionisante, toxicité humaine avec effets cancérigènes et non cancérigènes, eutrophisation eau douce, eutrophisation marine, écotoxicité eaux douces, occupation des terres, épuisement ressources en eau, épuisement ressources métalliques et minérales.
...
la méthanisation d’intrants agricoles tels que les résidus de cultures, les effluents d’élevage et les Cultures Intermédiaires à Vocation Energétique (CIVE). Ces substrats pourraient assurer 50 à 75% de la production de gaz renouvelable.
...
ses trois fonctions associées : production d’énergie, gestion d’effluents et fertilisation des sols
...
de meilleures performances sur 7 indicateurs pour le scénario « culture » et 9 indicateurs pour le scénario « élevage »
...
potentiel de mobilisation des CIVE, semées en période d’interculture ... adopter des nouvelles pratiques en cohérence avec la transition agro-écologique et énergétique.
...
Des chiffres
Au 1er novembre 2021, 333 unités de méthanisation injectaient leur production de biométhane dans les réseaux gaziers, pour une capacité de production de 5 833 GWh/an https://opendata.reseaux-energies.fr/explore/dataset/points-dinjection-de-biomethane-en-france
Référence :
Esnouf A., Brockmann D., Cresson R. (2021) Analyse du cycle de vie du biométhane issu de ressources agricoles - Rapport d’ACV. INRAE Transfert, 168pp.
L’étude s’est appuyée sur les savoir-faire et les connaissances d’INRAE dans les domaines de l’ACV et de la méthanisation.
Pour aller plus loin, consultez notre dossier méthanisation https://www.inrae.fr/bioeconomie/place-methanisation
(1) Technologie comparée à celle de la pyrogazéification et à l’électrolyse-méthanation (ou power-to-gas) (ADEME, 2018c)
(2) L’étude présentée remplit l’ensemble les exigences des normes ISO 14040 et 14044 relatives à l’ACV, incluant une revue critique réalisée par un panel d’experts indépendants.
(3) Mission d’information « La méthanisation dans le mix énergétique : enjeux et impacts » – présidée par Pierre Cuypers (LR), rapporteur Daniel Salmon (Écologiste-Solidarité et Territoires). Rapport «Méthanisations : au-delà des controverses, quelles perspectives ? » n° 872 (2020-2021) - 29 septembre 2021.
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53 minutes
La France a été le premier pays au monde à interdire obsolescence programmée en 2015. Au niveau européen, les choses bougent aussi avec le rapport d'inititative pour un marché intérieur durable.
Qu'est-ce que l'obsolescence programmée et ses dégâts ? © Getty / Paula Daniëlse
L’obsolescence programmée est la réduction volontaire de la durée de vie d’un produit afin d’en accélérer le renouvellement.
La France a été le premier pays au monde à interdire cette pratique en 2015. Elle peut être punie de 2 ans d’emprisonnement et 300 000 € d’amende et jusqu’à 5% du chiffre d’affaires annuel moyen.
Il en existe multiple facettes :
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Avec pour en parler
INRAE, l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement est né le 1er janvier 2020. Il est issu de la fusion entre l’Inra, Institut national de la recherche agronomique et Irstea, Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture.
Une ambition pour la vie, l'humain, la terre
L’humanité et la planète font face à un changement global qui crée de nouvelles attentes vis-à-vis de la recherche : atténuation et adaptation au changement climatique, sécurité alimentaire et nutritionnelle, transition des agricultures, préservation des ressources naturelles, restauration de la biodiversité, anticipation et gestion des risques. S’y ajoutent des enjeux plus territorialisés qui incluent les conditions de vie et de rémunération des agriculteurs, la compétitivité économique des entreprises, l’aménagement des territoires, l’accès à une alimentation saine et diversifiée pour chacun.
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les sciences de l’eau, les approches à l’échelle des territoires, la conservation et la restauration de la biodiversité, l’anticipation et la gestion des risques ou l’agriculture numérique.
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NOS THÉMATIQUES Agroécologie Alimentation, santé globale Biodiversité Bioéconomie Changement climatique et risques Société et territoires
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EPST, Etablissement public à caractère scientifique et technologique
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Siège : 147 rue de l'Université 75338 Paris Cedex 07 - tél. : +33(0)1 42 75 90 00
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Ses statuts sont publiés dans le code rural et de la pêche maritime (articles R831-1 et suivants) ;
Il est représenté par son Président Directeur général, M. Philippe MAUGUIN.
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RÉPRESSION DU 21E SIÈCLE : CE QUE NOUS RÉSERVENT LES NOUVELLES TECHNOLOGIES
Publié il y a 3 jours • 22 vues
Avatar de la chaîne Avatar du compte Le Média Par lemediatv
Robot-patrouilleur, tour de surveillance mirador, reconnaissance faciale… Le futur de la répression s’est donné rendez-vous la semaine dernière au parc des Expositions de Villepinte à l’occasion de la 22e édition du Milipol Paris, le salon mondial de la sécurité intérieure parrainé par le Ministère français de l’intérieur.
Christophe-Cécil Garnier, journaliste à StreetPress, s’est rendu sur place et a accepté de nous livrer son témoignage.
Visibilité Publique
Publié originellement 27 octobre 2021
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : darmanin ; macron ; mouvements sociaux ; répression ; violences policières
Durée 17min 13sec
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Durée de lecture : 7 minutes - Agriculture Culture et idées
L’agriculture industrielle nourrit mal la population, et ses alternatives inoffensives ne sont destinées qu’aux classes aisées, défendent les auteurs du livre « Reprendre la terre aux machines ». Pour eux, les alternatives (bio, Amap) doivent s’inscrire dans un projet politique dépassant la seule question agricole : rompre avec les logiques de marché et de technologisation.
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ouvrage collectif de L’Atelier paysan paru pendant la crise du Covid-19. Avec une explosion du nombre de demandeurs d’une aide alimentaire — en octobre 2020, 26 millions de personnes déclaraient ne pas avoir les moyens de manger comme elles le souhaitent —, celle-ci a dramatiquement mis en lumière un problème structurel : l’agriculture industrielle ne nourrit pas les gens.
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les revenus dérisoires, la chute drastique de fermes et les suicides ... « clivage de classe autour de l’alimentation » plus marqué que jamais. D’un côté, les classes aisées peuvent consommer une nourriture de qualité chez Biocoop ; de l’autre, les classes populaires doivent se contenter d’Aldi, quand ce n’est pas des Restos du cœur.
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viser au contraire « des communautés paysannes technologiquement autonomes », à l’abri des banques et des industriels. En second lieu, rompre avec les logiques de marché auxquelles ont souscrit bon nombre d’alternatives agricoles en initiant une véritable socialisation de l’alimentation. S’inspirant de la Sécurité sociale telle qu’elle existait aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, les auteurs ambitionnent une Sécurité sociale de l’alimentation allouant à chaque citoyen une somme lui permettant de se nourrir décemment et, surtout, de leur donner le choix de ce qu’il mange et de la manière dont on le produit. Une telle mesure permettrait, au bout du compte, la réorganisation complète de la filière agricole, en accord entre citoyens et paysans.
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Nourrir enfin les personnes, et non plus les banques.
Reprendre la terre aux machines. Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire, de L’Atelier paysan, aux éditions du Seuil, collection Anthropocène, mai 2021, 288 p., 20 €.
Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1430150407905595489
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Les Soulèvements de la Terre a aimé
Reporterre @Reporterre · 8h - 33 - 58 - 81
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6 janvier 2021 à 09h39 Mis à jour le 8 janvier 2021 à 09h25 / Celia Izoard (Reporterre)
Durée de lecture : 7 minutes - Clés : Libertés Numérique Chine 5G
Si la Chine est un régime totalitaire, explique l’autrice de cette tribune, ce n’est pas seulement parce que le numérique donne des moyens de contrôle supplémentaires au Parti dictatorial. Ces dispositifs électroniques sont aussi porteurs de leur propre logique de régulation sociale, qui s’étend à l’ensemble de la planète.
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Huawei, qui a désormais l’autorisation d’équiper les réseaux 5G de Bouygues et de SFR en France, travaille avec les autorités dans la province du Xinjiang pour parachever la surveillance des moindres faits et gestes des Ouïghours, dont un million auraient déjà été déportés dans des camps depuis 2017. Dans le Xinjiang, note Strittmatter, « les décisions d’arrestations sont de plus en plus souvent prises par des systèmes technologiques, on n’examine pas les cas individuels » : ce sont des algorithmes qui calculent, à partir des habitudes de vie renseignées par les données, qui doit être arrêté.
Plus qu’une dictature, un système totalitaire
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un régime totalitaire ne s’arroge pas seulement un monopole de la sphère publique ; comme l’a montré Hannah Arendt, il tente de soumettre et d’exploiter à ses propres fins toutes les sphères de l’existence, jusqu’aux plus intimes. Le système du crédit social mis en place pour lutter contre la « malhonnêteté », en cours de déploiement à l’ensemble du pays, permet ainsi d’ajuster en permanence la note de chaque citoyen en fonction du moindre de ses actes
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la grande majorité se sent en sécurité parce qu’elle sait que la technologie est entre de bonnes mains. »
Cela prêterait à rire si on ne retrouvait pas là mot pour mot les formules rassurantes qui entourent chez nous le déploiement des mêmes technologies : vidéosurveillance, biométrie, smart city, smart mobility — la centralisation des données en moins. Ces expressions toutes faites visent à maintenir une séparation purement théorique entre, d’un côté, la technologie, et, de l’autre, l’intentionnalité politique qui guiderait son déploiement. Mais existe-t-il vraiment une version « libérale » de cette infrastructure de big data ? Un monde « libre » où les millions de capteurs, de caméras, et toutes les données collectées ne serviront « qu’à » nous proposer de nouveaux services, à affiner le ciblage marketing, à nous bombarder de messages incitant à des comportements vertueux ?
La plongée que nous offre Kai Strittmatter dans la Chine de Xi Jinping permet de comprendre que ce régime n’est pas une simple mise à jour high-tech de la dictature maoïste. Il est le fruit du croisement de deux idéologies totalitaires : le nationalisme hérité du maoïsme incarné par le Parti, et le techno-solutionnisme porté par l’industrie des nouvelles technologies du monde entier. Car ce dernier ne peut être réduit à un simple appareillage du pouvoir. Tout autant que le premier, il porte en lui une vision de l’organisation sociale et du devenir humain.
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Les conclusions du rapport du GIEC – plus précisément de son Groupe de travail 1 – sont on le sait effrayantes tant elles décrivent un monde pris dans la catastrophe environnementale en cours. Cet article de Daniel Tanuro les analyse précisément et ouvre des perspectives radicales, anticapitalistes, seules à même d’empêcher le désastre.
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solution miracle : l’augmentation de la part des « technologies bas carbone » (nom de code pour le nucléaire, notamment les « microcentrales) et, surtout, le déploiement des dites « technologies à émissions négatives » (TEN – ou CDR, pour Carbon Dioxyde Removal), censées refroidir le climat en retirant de l’atmosphère d’énormes quantités de CO2 à stocker sous terre. C’est l’hypothèse dite du « dépassement temporaire du seuil de dangerosité » de 1,5°C.
Sur le nucléaire, inutile de s’étendre après Fukushima. Quant aux « technologies à émissions négatives », elles n’existent pour la plupart qu’au stade du prototype ou de la démonstration, et leurs effets sociaux et écologiques promettent d’être redoutables (on y revient plus loin). Qu’à cela ne tienne : on veut nous faire croire qu’elles sauveront le système productiviste/consumériste et que le marché libre se chargera de les déployer. En vérité, ce scénario de science-fiction ne vise pas avant tout à sauver la planète ; il vise avant tout à sauver la vache sacrée de la croissance capitaliste et à protéger les profits des plus grands responsables du gâchis : les multinationales du pétrole, du charbon, du gaz et de l’agrobusiness.
Le GIEC entre science et idéologie
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le résumé du GT1 cautionne l’idée que les technologies à émissions négatives pourraient ne pas être déployées uniquement pour capter les « émissions résiduelles » des secteurs où la décarbonisation est techniquement difficile (l’aviation par exemple) : elles pourraient aussi être mise en œuvre à une échelle massive, pour compenser le fait que le capitalisme mondial, pour des raisons qui ne sont pas « techniques » mais de profit, refuse de renoncer aux combustibles fossiles. Le texte continue d’ailleurs en vantant les avantages de ce déploiement massif comme moyen d’arriver à des émissions nettes négatives dans la seconde moitié du siècle :
« Le CDR conduisant à des émissions négatives nettes mondiales réduirait la concentration de CO2 atmosphérique et inverserait l’acidification de la surface des océans (degré de confiance élevé). »
Le résumé formule une réserve, mais elle est sibylline :
« Les technologies CDR peuvent avoir des effets potentiellement étendus sur les cycles biogéochimiques et le climat, ce qui peut soit affaiblir soit renforcer le potentiel de ces méthodes pour éliminer le CO2 et réduire le réchauffement, et peut également influencer la disponibilité et la qualité de l’eau, la production alimentaire et la biodiversité (degré de confiance élevé). »
En clair, il n’est pas certain que les TEN soient si efficaces que cela, certains « effets » pourraient « affaiblir (leur) potentiel pour éliminer le CO2 ». La dernière partie de cette phrase fait allusion aux impacts sociaux et écologiques : la bioénergie avec capture et séquestration du carbone (la plus mature des TEN à l’heure actuelle) ne pourrait réduire significativement la concentration atmosphérique en CO2 que si une superficie égale à plus d’un quart des terres en culture permanente aujourd’hui servait à produire de la biomasse énergétique – au détriment des réserves en eau, de la biodiversité, et/ou de l’alimentation de la population mondiale1.
Ainsi, d’un côté le GT1 du GIEC se base sur les lois physiques du système climatique pour nous dire que nous sommes au bord du gouffre, sur le point de basculer irréversiblement dans un cataclysme inimaginable ; de l’autre, il objective et banalise la fuite en avant politico-technologique par laquelle le capitalisme tente, une fois de plus, de reporter devant lui l’antagonisme irréconciliable entre sa logique d’accumulation illimitée du profit et la finitude de la planète. « Jamais un rapport du GIEC n’aura laissé sourdre à ce point l’angoisse suscitée par l’analyse scientifique des faits à l’aune des lois incontournables de la physique », écrivions-nous au début de cet article. Jamais non plus un tel rapport n’aura illustré aussi clairement qu’une analyse scientifique qui considère la nature comme un mécanisme et les lois du profit comme des lois physiques n’est pas vraiment scientifique mais scientiste, c’est-à-dire, partiellement au moins, idéologique.
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lire le rapport du GT1 du GIEC en ayant à l’esprit qu’il est à la fois la meilleure et la pire des choses ... diagnostic rigoureux ... La pire, parce qu’il sème à la fois la peur et l’impuissance ... Son idéologie scientiste noie l’esprit critique dans le flot des « données ». Elle détourne ainsi le regard des causes systémiques, avec deux conséquences : 1°) l’attention se focalise sur les « changements des comportements » et autres gestes individuels – pleins de bonne volonté mais pathétiquement insuffisants ; 2°) au lieu d’aider à combler le fossé entre conscience écologique et conscience sociale, le scientisme l’entretient.
Écologiser le social et socialiser l’écologie est la seule stratégie qui peut arrêter la catastrophe et faire renaître l’espérance d’une meilleure vie. Une vie du prendre soin des personnes et des écosystèmes, maintenant et dans une vision de long terme. Une vie sobre, joyeuse et chargée de sens. Une vie que les scénarios du GIEC ne modélisent jamais, où la production de valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins réels, démocratiquement déterminés dans le respect de la nature, remplace la production de marchandises pour le profit d’une minorité.
Article écrit pour le site de la Gauche anticapitaliste (Belgique)
Photo: G. Blevins, Reuters
Connu / https://twitter.com/SRContretemps/status/1425104122932563975
Ndlr : tant que le GIEC et l'IPBES N'AURONT Pas fusionné dans une approche holistique et holomidale on aura des pb ? ACT
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Au-delà du logiciel libre 25 pages
Tous pirates ? C’est ce que la propagande contre les échanges de fichiers musicaux voudrait nous faire accroire. Mais ceux qui prennent aveuglément parti pour la « propriété informationnelle » devront lutter sans fin contre les nouveaux modes de création. Or ceux-ci, fondés sur la resocialisation de l’acte de créer et sur des coopérations inédites rendues possibles par l’avènement d’Internet, sont de plus en plus puissants.
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Des chercheurs ont établi de façon convaincante la supériorité de la « production sociétale par les pairs sur la base des biens communs » pour une large classe de créations et d’innovations informationnelles (5). Cette formule de Yochai Benkler recouvre la production coopérative de résultats dont chaque étape est librement utilisable et modifiable par tout un chacun, et constitue en ce sens un bien commun, souvent protégé contre la réappropriation par un acteur particulier.
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se réjouir de quelques succès : la résistance aux brevets logiciels en Europe ; l’émergence, à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et à l’Unesco, de coalitions regroupant organisations non gouvernementales d’intérêt général et pays pauvres ou émergents. Destinés officiellement à contrer les liens entre contrefaçon industrielle et criminalité organisée, des textes – comme la directive européenne dite « sur le respect des droits de propriété intellectuelle (10) », complétée, le 12 juillet dernier, par une proposition de « dispositif pénal européen contre les atteintes à la propriété intellectuelle » – facilitent en fait la multiplication des procédures abusives contre les médicaments génériques, les logiciels libres, le partage volontaire des créations ou la possibilité pour les citoyens de critiquer la télévision.
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le facteur essentiel de crédibilité pour une coalition des biens communs tient dans la capacité de celle-ci à articuler son projet avec celui d’une redomestication générale du capitalisme. Il s’agit de mettre fin à cet étrange renoncement qui fait considérer le changement technique comme une donnée extérieure ne relevant pas de l’action et des préférences humaines.
Philippe Aigrain
Animateur du mouvement en faveur des biens communs, auteur de Cause commun, Fayard, coll. « Transversales », Paris 2005.
Connu / https://twitter.com/mdiplo/status/1414565773037776896
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Le Monde diplomatique @mdiplo
2:42 PM · 12 juil. 2021·- 27 Retweets 2 Tweets cités 29 J'aime
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10h En réponse à @mdiplo
Citer le Tweet
Jérémie Zimmermann Cœur croissant Plusieurs notes de musique Morceau de fromage @jerezim · 14h
Je viens d'apprendre le décès de Philippe Aigrain, dans sa maison à la montagne, près d'Argeles.. je suis si triste.
Philippe avait été mon inspiration pour mes recherches sur les brevets sur les logiciels lorsque j'étais étudiant.
1/..
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• 7 vues adaptation radicale
Enregistrement de la rencontre mensuelle du mouvement Adaptation Radicale du 26.05.2021 sur le thème "La redirection écologique : un cadre d'action pour des réalisations concrètes en cours". Lors de cette rencontre nous avons recu Alexandre Monnin, Diego Landivar et Emmanuel Bonnet à l'occasion de la sortie de leur livre "Héritage et fermeture".
Un lien direct vers le livre sur le site de son éditeur:
https://www.editionsdivergences.com/livre/heritage-et-fermeture
Les temps en lien ci-dessous vous permettent d'aller directement aux différentes parties de la video :
Visibilité Publique Catégorie Militantisme Licence Attribution - Utilisation non commerciale - Partage dans les mêmes conditions Langue Français Étiquettes ras Durée 1h 48min 46s Connue / mel
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Sujet : Replay Adaptation radicale : La redirection écologique Date : Fri, 28 May 2021 09:53:08 +0200 De : JL
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Tr.: ... d'abord se déconnecter de la technosphère donc redirection écologique ... dd concept caduque ... pas techno-solutionnisme ... tenir le diagnostic de l'anthropocène et que des milliards de personnes dépendantes de la technosphère. Donc tenir les deux bouts pour proposer un atterrissage.
EMM Bonnet travail en usine puis thèse en sciences de gestion sur des situations extrêmes où pérennité menacée, critique l'innovation intensive, de rupture, doute installé suite à enquêtes, trouble, clichés effondrés, a renc diego a connecté l'enjeu de l'anthropocène en terme de mutations cosmologiques, effondrement des clichés du capitalisme mondial intégré.
Alexandre Monnin, philosophe thèse sur la philosophie du web, anthropocène, remise en cause du numérique, vecteur de communs, d'utopies, chercheur chez inria,
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à Londres, ville tentaculaire, chealsy, que vont devenir cette ville monde associée à un empire ?
que faire des infrastructures actuelles ?
hériter de l'existant mais refuser de faire parvenir certains projets ?
Élément d'exploration de la réalité.
Diego
/dd transition, resp sociale
Mr ?? (chem à pois)
/clichés : enraciné dans la vision du monde, dd et rse images sensori-motrices, forcer le possible, ex des stations de ski de moy altitude : absence de neige. épuisement du possible, les clichés ne peuvent plus fonctionner.
Mr mince maillot beige clair :
rse cadre les conséquences, limite les dommages, pas de percolation entre le stratégique et les conséquences. que amoindrir les dommages... les conséquences néfastes rejetées à l'extérieur. Ne pose pas le coeur des orgas ex faire du chocolat qui déforeste.
FAIRE DES enquêtes pour aller au coeur des choses. Des Communs,
/résilience de + en + critiquée now cf anglosaxons cadre discutable émanation néolibérable, laisser faire ex fukushima vivre dans un monde toxique, innovation sociale pour survivre... double épuisement de la nature au nom de la résilience !
Concept critique
/Nos chantiers : collectif de 105 mairies / terminal 4 de roissy / avenir des départements. Grenoble : protocoles de renoncement. Entreprise bâtiment arrêt des constructions neuves en idf. économie de la maintenance/réhabilitation. Sortir de la propriété privée/communs. Eurométropole de strasbourg. démobilité avec l'ademe. Entreprise rse comment aller + loin ? sobriété numérique. Mieux disant écolo dans les filières. ch rég ess de la région nouvelle aquitaine guide régional. Gestion parking. Le travail sous l'anthropocène. cohabitation homme/requins. Les lowtechs et modèle économique. ++
Questions :
Bertrand : /réno logements enjeu co2, artificialisation des terres, ensemble de critères. zéro artificialisation ++
/ résilience du capitalisme : face à un effondrement maintenir une action collective, reconstruire du sens. Inverse du renoncement. Maintenir, quoi ?
Livre antifragiles
idée d'amélioration du monde, son habitabilité. passer au devoir-être pour que les réalités soient souhaitables, désirables. approche du design.
/Destoration : contraire d'instauration. Hériter de l'état actuel, diminuer leur intensité pour passer à des ruines non dangereuses.
/Commun négatif : réalité problématique, politiser des réalités toxiques ou
/protocole de renoncement : /développementisme pensée décoloniale anthropologie dév écon idéologie sur 2 plans - cosmologique, - prises politiques pour agir. Pluraliser. /projet, innovation sociale, inventer une autre anthropologie ex zad. c lévy-strauss. Pas des invariants des peuples humains. Opérer la fermeture. versant de l'imaginaire. Comment l'organiser. ex ferm néolibérale, ferm renoncement au sapin de noel, penser l'écologie depuis les supermarchés, le diesel, etc. le plus difficile à défaire. entités zombies caduques sur le plan écolo mais vivantes par injection de modes de dépendance. Le drame écolo est là. comment on sort de ces dépendances. Prendre soin de cet art de la fermeture. Révéler tous les réseaux. On comprend ensuite. Dénouer ces réseaux de dépendances, penser ces politiques publiques, effet d'accompagnement.
/mvt GJ /taxe carburants : a démontré ce qu'on dit. politiques désincitatives ne marchent pas. Comprendre d'abord les réseaux de dépendances, d'attachement. Penser l'écologie depuis ces situations là. Dépendances socio-matérielles.
/gestion modèle écnomique mettre les mains dans le camboui. Les dépendances du tourisme de masse / ex. Reconsidérer la gestion.
Autre Q / exprimer dans le langage de l'entreprise faisable ?
On se comprend bien en fait, entreprise confrontée à épuisement du possible. Le travail c'est avec la direction.
/ferm usine :
/refus robotisation chaine de production. Monter coalition prouver que bête car crée conflits sociaux, avec chercheurs, ingénieurs inventer un protocole de renoncement.
/effondrisme : sensibilisés /giec ipbes patrons effondrés, faire face à ces murs. ex la mode, etc, les voitures, etc. Mener une réflexion stratégique en interne ++
casser les clichés.
Q /analyse stratégique : revisiter l'instrumentation de gestion. Revisiter au regard du vide stratégique, critique de l'approche managériale. Penser la finitude. sortir du business as usual.
/Elon Musk : comme Trump clarifie les débats. Contrairement à Macron et son en même temps !
assumer la conflictualité. Politiser l'écologie. Ex des patrons effondrés. pret à penser le démentèlement entreprise laitière /relocaliser garder un capitalisme financier. Q ultra politique.
Conclusion.
Nadège.
Sujet au coeur des débats, comment renoncer concrètement, se mettre en mouvement.
CF LE LIVRE HÉRITAGE... ++
Julien Lecaille :
On a progressé. élu, embêté car ne croyait plus au dd, était en peine. Heureux de ces travaux pour cadres actionnables, retrouver décision, autonomie.
/conflictualisation avant penser la réconciliation. Oser le conflit. Assumer.
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Connue / https://framasphere.org/posts/11977334
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Dom Mabb - il y a environ un jour
TOUS SURVEILLÉS : UNE ÉTAPE À ÉTÉ FRANCHIE AVEC LA PA#NDÉMIE
#surveillance #pandémie #Tesquet #technologie #économie #libertés 1 J'aime
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Tr.: ... Livre de oliver Tesquet "État d'urgence technologique"
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La startup Mecaware, incubée par PULSALYS et portée par Arnaud Villers d’Arbouet, recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares. Ce procédé vert, unique au monde, se base sur le captage du CO2 et répond à deux problématiques environnementales : la réduction du CO2 et le recyclage des matériaux stratégiques non accessibles mais indispensables à l’industrie des nouveaux outils technologiques. Après avoir déjà séduit Lyon Vallée de la Chimie en 2021 lors de l’AMI « les Ateliers Cleantech », Mecaware effectuera sa première levée de fonds dans les prochains mois afin de poursuivre son développement.
Une innovation de rupture unique au monde issue de la recherche publique française
Le procédé chimique mis au point par le Professeur Julien Leclaire du Laboratoire Chimie Supramoléculaire Appliquée de Lyon (ICBMS : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, CPE Lyon et CNRS) fait intervenir des amines et du CO2 présent dans les fumées industrielles pour générer un ensemble d’extractants qui vont s’associer de manière distincte à chaque molécule métallique. Les caractéristiques physiques et chimiques différenciées de chaque métal permettent leur sélectivité et leur extraction.
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ne rejette pas d’effluent et est peu énergivore, donc économiquement performante, mais également évolutive en s’adaptant au gisement. Simple à mettre en œuvre, elle permet de produire un métal compatible avec les filières industrielles.
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A l’heure des nouvelles technologies, le recyclage de tous ces produits est déterminant pour assurer un cycle vertueux contribuant au développement durable. » souligne Sophie Jullian, Présidente de PULSALYS.
Le soutien décisif de 2 SATT pour aboutir à la création de la startup
... 3 brevets ... mise en relation entre le chercheur et l’entrepreneur ...
l’inventeur Julien Leclaire
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Une levée de fonds pour industrialiser le processus dans une future usine
... la startup Mecaware, acronyme de MEtal CApture for WAste REcycling, apporte sa contribution à l’émergence de filières de production de produits technologiques et spécifiquement à la mise en place de la filière européenne de batteries de nouvelle génération dans une logique d'économie circulaire et de souveraineté industrielle.
... Son procédé ayant fait l’objet de plusieurs PoC (preuve de concept) ... les premiers partenariats industriels et commerciaux (2021-2022) ... la future usine (2022-2023) ...
Connu / https://twitter.com/Pulsalys/status/1390247468407873537
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PULSALYS @Pulsalys
Ce matin, nous présentions à la presse la startup #Mecaware, boostée par @Pulsalys & @SATTse_, qui recycle les batteries pour récupérer écologiquement les métaux stratégiques et les terres rares. Elle s'appuie sur une innovation issue de @ICBMSLyon
Sophie Jullian et 9 autres personnes
12:10 PM · 6 mai 2021·- 12 Retweets 14 J'aime
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Ndlr :
... (blue energy en anglais) est l'énergie qu'il serait possible d'obtenir au voisinage des estuaires (où l'eau douce fluviale se mélange à l'eau salée de la mer), en exploitant le phénomène d'osmose qui se produit en continu au niveau d'une membrane appropriée séparant des masses d'eau de salinité différente.
Deux technologies, l'électrodialyse inverse (RED) et l'osmose à pression retardée (PRO) font l'objet d'un usage commercial aux Pays-Bas (RED)1 et en Norvège (PRO)2.
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AMARIS réunit les collectivités accueillant sur leurs territoires des activités générant des risques industriels majeurs.
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Dans Revue interdisciplinaire d'études juridiques 2010/2 (Volume 65), pages 207 à 228
Le terme de gouvernance est à la mode. Et pourquoi s’en étonner ? La gouvernance désigne un concept commode. Une idée descriptive de la réalité, mais aussi un idéal normatif associé à la transparence, à l’éthique, à l’efficacité de l’action publique. La gouvernance devient dès lors un mot-talisman paré de tous les fantasmes associés à l’action publique, tout en revêtant le vocabulaire rassurant de l’objectivité technique. Le mot « gouvernance » fait sérieux tout en promettant des lendemains qui chantent aux théoriciens de l’action publique. Ce faisant, le discours de la gouvernance fait l’objet d’une double confusion. La première tient aux vertus qui lui sont associées, la seconde aux défauts qui lui sont imputés.
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La première partie de cette courte analyse décrira les raisons pour lesquelles la gouvernance est apparue comme une idée nécessaire pour répondre aux insuffisances de la théorie moderne de l’État. La seconde partie de cette analyse définira quant à elle la gouvernance comme une technique de gestion sociale visant à produire des règles collectives à partir de l’orientation des conduites des acteurs plutôt que par des normes commandant et sanctionnant directement leurs comportements. Nous terminerons cette note en suggérant le rapport qu’entretiennent les concepts de gouvernance et de transparence, dont un examen plus approfondi pourra faire l’objet d’un prochain texte.
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Natacha Polony reçoit le reporter et député LFI François Ruffin, il vient de faire paraître Leur progrès et le nôtre (Seuil). Quelle place pour le progrès dans une pensée de gauche? Le progrès technique nous fait-il systématiquement régresser ?
Thèmes abordés : Francois Ruffin ; La France Insoumise ; Progrès ; Gauche ; Politique
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Nucléaire, la catastrophe qui dure - 20 commentaires
Le Japon annonce qu’il va rejeter dans l’océan Pacifique l’eau contaminée issue de la centrale. Pour l’auteur et théoricien Sabu Kohso, c’est une « catastrophe éternisée » dont les effets nourrissent un « capitalisme apocalyptique ».
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Y persistent au moins soixante-deux nucléides, dont du strontium-90 et du césium-137, à des niveaux supérieurs aux normes environnementales, selon l’Autorité japonaise de régulation du nucléaire ... Pour Pékin, « l’océan est la propriété commune de l’humanité » et le rejet des eaux « n’est pas une question qui relève des affaires intérieures japonaises ». Le gouvernement chinois estime qu’une telle mesure ne devrait pas pouvoir être prise « sans autorisation » ni sans consultation et accord avec « les différents pays concernés » et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
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Mots-clés Capitalisme dystopie Fukushima Sabu Kohso technologie
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/le-monde-du-13-avril-2021-le-rejet-des-eaux-radiocatives
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Je n'invite pas, surtout, à "freiner la science", mais à définir par la règle commune, démocratiquement ce qu'on fait de la technologie, quelles sont ses fins. On ne peut plus simplement continuer "d'accélérer", "aller plus vite", "aller de l'avant" sans se demander : où veut-on aller ensemble ?
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État d'urgence
Si, en apparence, de nombreux dirigeants politiques et plusieurs capitaines d’industrie donnent l’impression d’avoir intégré “la règle verte”, un lent écocide se poursuit. Contre le greenwashing, Rémi-Kenzo Pagès enquête et décrypte.
Malgré la contestation, le Conseil de Paris a voté le mercredi 10 mars pour le déploiement de la 5G dans la capitale.
Une charte parisienne de téléphonie mobile a été adoptée par la ville de Paris. Mercredi 10 mars 2021, le Conseil de Paris a voté en faveur du déploiement de la 5G dans la capitale après avoir trouvé un accord avec les opérateurs Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR. Ces derniers peuvent activer leurs antennes dans le respect d'une charte qui encadre leur déploiement alors que les opérateurs ont déjà signé un contrat avec l'État. Celui-ci les autorise normalement à s'étendre sans l'assentiment des communes.
C'est l'aboutissement de plusieurs mois de discussions au sein de l'institution parisienne et de négociations avec les opérateurs de téléphonie mobile. Pourtant, plusieurs acteurs demandaient un moratoire concernant l'ultra haut débit mobile. Ce déploiement se réalise sans consultation massive des parisiens, et questionne le rapport des technologies à la démocratie.
A Paris, une conférence citoyenne métropolitaine a été organisée par la mairie fin 2020. 80 personnes, sélectionnées en respectant la parité, une diversité géographique, d'âge et professionnelle ont discuté du déploiement dans la ville-lumière, se mettant d'accord sur un rapport. Mais cela suffit-il pour estimer que ce choix technologique a été pris démocratiquement ? La 5G doit-elle être débattue plus largement et faire l'objet de consultations ?
Pour en discuter, Le Média a reçu Yaël Benayoun, cofondatrice de l'association le Mouton Numérique. Elle a participé en tant qu'experte du numérique et consultante à la conférence citoyenne métropolitaine. Elle est aussi l'auteure, avec Irénée Régnauld de “Technologies partout, démocratie nulle part”, qui questionne le rapport de la technologie à la démocratie.
*Tr.: ... promesses de la tech non prouvées, biaisent le débat, rien n'est neutre, déperdition du savoir-faire, 125 milliards d'objets connectés en 2030 ! à La Courneuve, on a découvert qu'il y a des data centers partout. La 5G est une infrastructure avec risques d'incendies, partir des besoins des territoires et des territoires, pb d'inégalités, impunité, conf citoyenne à Nantes sur ces sujets, la pollution du numérique rendue visible récemment, requestionner la norme juridique pour aller vers plus de démocratie, principe de précaution, soutenir le tissu associatif fait remonter les pb, soutenir la rech en sciences humaines pour éclairer les angles morts, les villes premier niveau de compétences, pj de smart city pb de modèle économique avec caméras partout, filiale de google baissait les couts pour faire une vitrine, le marché fonctionne tout seul est un mythe, ya une puissance publique, défiscalisation, favoriser, économie mixte avec l'état, amener les industriels à se positionner sur d'autres objets ... miniaturisation diminue recycler, questionner besoins, usages ex caisses automatiques augm pénibilité plutôt que caisses de bavardage, inverser la pensée des choix technologiques.
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Technos & Medias Télécoms | 492 mots - Lecture 3 min.
Stéphane Richard, le PDG d'Orange. (Crédits : Reuters)
Dans le sillage du vote d’une nouvelle charte sur la téléphonie mobile par le Conseil municipal de Paris, Stéphane Richard souligne que la 5G sera une réalité dans la capitale dans les prochains jours.
Paris sera bientôt couverte en ultra-haut débit mobile. Au lendemain du vote d'une nouvelle charte sur la téléphonie mobile par le Conseil municipal de la ville, Stéphane Richard, le PDG d'Orange, a confirmé que l'opérateur historique proposera très bientôt la 5G dans la capitale. « C'est parti, a indiqué le dirigeant ce jeudi au micro d'Europe 1. Je peux vous dire que la 5G sera allumée à Paris avant la fin du mois de mars. C'est pour les prochains jours. »
Concrètement, les antennes de l'opérateur historique sont déjà en partie déployées. Il ne lui...
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Après avoir réalisé l'analyse de cycle de vie de six technologies photovoltaïques, PwC estime que l'industrie française pourrait tirer son épingle du jeu, grâce à son meilleur bilan carbone. Une piste pour les pouvoirs publics ?
"Quelle que soit la technologie de panneau photovoltaïque, les quantités d'émissions de gaz à effet de serre générées sur l'ensemble du cycle de vie sont nettement inférieures à celles générées par la consommation d'énergie électrique du mix de l'Union pour la coordination du transport de l'électricité (UCTE)". Voilà le premier enseignement d'une étude de PricewaterhouseCoopers (PwC), qui passe au crible les principales étapes du cycle de vie de six technologies photovoltaïques : le silicium monocristallin (Sc-Si), le silicium polycristallin (Mc-Si), le silicium en ruban (ribbon), le tellurure de cadmium (CdTe), le Cuivre/Indium/Gallium/Sélénium (CIGS) et le silicium amorphe (a-Si).
Autre enseignement d'importance : "L'argument de performance environnementale est un moyen de différenciation favorable à la filière française, qui a pour avantage de bénéficier d'un mix électrique faiblement carboné". Si le lieu de production est peu impactant sur l'ensemble du bilan carbone des technologies classiques à base de silicium, il est en revanche important pour les technologies couches minces dont la fabrication est très consommatrice d'électricité.
Et de conclure : "De façon générale une production intégrée, c'est-à-dire concentrant l'ensemble de la chaîne de valeur (matières premières, composants et assemblage), pourrait tirer profit d'une énergie peu intense en carbone telle que l'énergie française".
Globalement, les technologies à couche mince consomment moins d'énergie primaire et émettent moins de gaz à effet de serre au cours de leur cycle de vie (production, installation, utilisation et fin de vie) que les technologies à base de silicium.
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"La localisation de la production a une influence importante sur les émissions de gaz à effet de serre liées à la phase de production des panneaux photovoltaïques. En effet, ces émissions peuvent varier d'un facteur 10 d'un pays à l'autre (c'est le cas pour la Chine dont le mix est composé à 78% de charbon et la France dont le mix est composé à 76% d'énergie nucléaire)"
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https://pages.investisseur-sans-costume.com/hold-up-linsupportable-vent-de-revolte/
Sans doute avez-vous entendu parler du documentaire qui fait hurler la presse.
Mais plus ça cause et moins on en dit.
L’indigence des détracteurs comme des soutiens de HOLD-UP est affligeante. C’est pour, c’est contre, mais cela n’a pas travaillé.
C’est une insulte faite à ce film radical, polémique, spéculatif qui exige discernement, analyse, travail, contradiction et approfondissement.
Car Pierre Barnerias, le réalisateur, a travaillé, lui.
J’entends aujourd’hui faire une CRITIQUE de Hold-Up, passer au crible un certain nombre d’éléments du film, c’est-à-dire séparer le bon grain de l’ivraie. En particulier, de ma position d’observateur économique et financier, j’entends porter ma critique sur les liens que fait le film entre santé, gouvernance mondiale, big tech et finance. #holdup #covid19 #vaccin
HOLD-UP : Comme un vent de révolte https://www.youtube.com/watch?v=p-86riKDjUE
Références :
Voir le film Hold-Up : https://planetes360.fr/holdup-retour-sur-un-chaos-avant-premiere/
Attali l’ordre cannibale : https://www.youtube.com/watch?v=GWamYYKXznY
Code is Law en français : https://framablog.org/2010/05/22/code-is-law-lessig/
L’arnaque du Grand Reset : https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ
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Tr. : ... Guy de la Fortelle, L'investisseur sans costume ...
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Etats-Unis , Nucléaire , Climat , Framatome , Technos et Innovations
Framatome a annoncé le 13 octobre un partenariat avec l’américain General Atomics Electromagnetic Systems pour développer un concept de petit réacteur nucléaire modulaire de 50 MWe. Commercialisation possible vers 2035.
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En septembre 2019, on apprenait que le consortium français Nuward, constitué en 2017 par le CEA, EDF, Naval Group et TechnicAtome, allait collaborer avec l'américain Westinghouse pour développer un SMR de 170 MW tout intégré afin d’être prêt à le produire en série en 2030. Si TechnicAtome maîtrise bien la conception de réacteur nucléaire de puissance embarqué dans les sous-marins, le CEA et EDF disposent de la technologie et de l’ingénierie et Naval Group d’un outil industriel ad hoc, il leur manquait une brique, celle de de sûreté passive, pour faire fonctionner les mini-réacteurs avec un minimum de maintenance. Cette brique, l’américain Westinghouse en dispose. L’accord avec lui devrait aussi permettre d’accélérer les procédures auprès des autorités de sûreté américaine et canadienne.
Un projet américain
Cette fois, c’est Framatome, filiale à 75 % d’EDF, qui vient d’annoncer un partenariat avec un américain, General Atomics Electromagnetic Systems (GA-EMS), pour développer son SMR. Ce sont ses équipes aux États-Unis qui travailleront à la conception de plusieurs structures, systèmes et composants critiques de ce SMR, dont les options technologiques sont très différentes de celles de Nuward.
Le duo franco-américain veut construire un réacteur modulaire rapide (FMR) de 50 mégawatts électriques (MWe) à sûreté passive et refroidi à l'hélium, un gaz chimiquement inerte qui n'est ni explosif, ni corrosif, et qui ne s'active pas. Il pourra être fabriqué en usine, puis monté sur site, pour réduire les coûts financiers et augmenter sa capacité. Le combustible fonctionnera pendant environ 9 ans avant d'être remplacé. L'équipe, dirigée par GA-EMS, voudrait finaliser la conception du FMR dès 2030 pour une utilisation commerciale au milieu des années 2030, précise General Atomics dans son communiqué.
Framatome déjà partenaire d'Holtec
Ce n’est pas la première incursion de Framatome dans les SMR. À l’origine, avec Siemens, de la conception du réacteur nucléaire de troisième génération français EPR, le français a aussi une activité dans les phases aval de la production de combustibles. En mai 2020, il a annoncé avoir été retenu par l’équipementier nucléaire américain Holtec International a pour fournir du combustible nucléaire à son petit réacteur modulaire SMR-160. "L’inclusion de Framatome dans notre programme SMR-160 garantit qu’un futur propriétaire de centrale utilisant un SMR-160 aura facilement accès à une solide chaîne d’approvisionnement internationale en combustible", expliquait alors l’entreprise américaine dans un communiqué. Holtec aurait déjà des prospects sérieux pour ses SMR, notamment Energoatom en Ukraine.
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Ndlr :
État d'urgence
Si, en apparence, de nombreux dirigeants politiques et plusieurs capitaines d’industrie donnent l’impression d’avoir intégré “la règle verte”, un lent écocide se poursuit. Contre le greenwashing, Rémi-Kenzo Pagès enquête et décrypte.
On imagine souvent le secteur numérique comme dématérialisé. Pourtant, son impact est réel. La consommation énergétique du numérique augmente de 9% par an et il représente déjà 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Or, la consommation énergétique est devenue une véritable préoccupation en vu des enjeux climatiques. Le sujet mérite donc le détour et l'intérêt des associations écologistes.
Le think tank The Shift Project, présidé par Jean-Marc Jancovici, publie son troisième rapport sur la pollution numérique. Pour la troisième année de suite, le think tank qui oeuvre pour une économie décarbonée met en lumière cette pollution et présente l'avancée de ses travaux sur un sujet peu médiatique : l'impact environnemental du secteur numérique, particulièrement énergivore. Intitulé "Déployer la sobriété numérique", le document explique en détail la méthodologie de The Shift Project et des moyens à mettre en oeuvre. Le rapport interroge aussi : "comment évaluer si le déploiement d'une technologie connectée est vraiment pertinente d'un point de vue énergétique?", "comment forger des systèmes informatiques sobres?"
Pour en discuter, Le Media reçoit Hugues Ferreboeuf, chef de projet numérique et co-auteur du rapport. Cet ingénieur définit la sobriété numérique, et les moyens de prioriser "l'allocation des ressources en fonction des usages afin de se conformer aux limites planétaires".
Transcription : ...
impact n'est plus négligeable, augm de 3.5 à 4% des ém de GES /an sur des usages de loisir et pas essentiels (obésité numérique, surconsommation) plus que la capacité des progrès technologiques => réguler mes usages (vidéos, achats de nouvel équipement, etc)
2 - ressources rare, prioriser nos usages /applications à impact positif sur d'autres secteurs, ni abstinence, ni que bonnes pratiques aussi un système
Le numériqeu n'est pas dématérialisé, rematérialisation ex cloud équipements matériels => matières et énergie pour les construire
/empreinte carbone du numérique estimable basé sur des modèles
des procédés de fabric de plus en plus énergivores 90% du smartphone consommé à la fabrication ; intégrer les achats d'équimenet car resp de la moitié de l'empreinte carbone du numérique
On va dans le mur. /usages qui facilitent la transition et ne la compliquent pas / div /2 jdans les 10 ans qui viennent sinon >2°C >2050
pas que sur la 5G mais arrive en 2020, il est encore possible de définir comment les usages viennent
/smartcity tech connectées : ne déclenche pas forcément économies d'énergies, faire preuve de rationnalité, il y a des cas à ce potentiel mais dépend de la politique d'usage que l'on va conduire. S'assurer que règles de réalisation effectives sinon effet rebond qui supplantera l'effet initial. avoir des bilans prévisionnels pour tout pj
/ville du futur pas que technol déf à quoi on veut qu'elle ressemble, comment s'adapter au changement clim déjà effectif ? comment rendre la ville plus intelligente mais se défier de tentation que nos pb solubles avec tech .
Choix d'un avenir sociétal, choix technol en aval, pas en amont. ... en terme de politiques publiques ... pas approche individuelle mais produit d'un système GAFAM, Opérateurs télécom, datacenters, consommateurs (ménages, entreprises, coll publiques) interagissent dc util influencés. /réf à règles du jeu des politiques publiques (régul indép soit état) /évol usages accélérer /pol publ dissuader commport peu vertueux, récompenser ce qui va dans le bon sens, MAINTENANT
/GOUV dissonances cognitives pas perturber le jeu du marché risque /compétition mondiale, craintes /5G ; craintes déséquilibrer position industriels tirer croissance vers le bas.
"
Ndlr : Terminer transcr ACT
choix sociétal afin de respecter la règle verte (ne pas prendre à la nature plus que ce qu'elle peut donner)), donc l'URGENCE EST POLITIQUE d'abord ! ACT
Cela valide-t-il le programme politique de LFI ? en grande partie... Complètement ? approfondir ACT
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Si vous n’avez rien suivi aux discussions agitées sur la 5G, cette émission est faite pour vous. A priori, la question de la mise en place de cette nouvelle génération de réseaux mobiles revêt un caractère bien plus technique que politique et pourtant, les partis de gauche se sont engouffrés dans ce débat et comptent bien jouer avec les peurs des Français pour avancer leurs pions. S’agit-il d’une simple récupération opportuniste ? C’est la question que l’équipe d’Ouvrez les Guillemets s’est posée cette semaine.
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Connu / https://twitter.com/MaisOuVaLeWeb/status/1313151229711863809
"
Hervé Le Crosnier a retweeté Mais où va le web ? @MaisOuVaLeWeb · 5 oct.
Pour @UsulduFutur, il faut se réjouir de la récupération du débat sur la #5G par les partis politiques, justement parce que leur boulot est aussi de politiser les questions techniques. On ne dit pas autre chose dans "Technologies partout, démocratie nulle part" avec @Geensly ! - 1 - 6- 21
"
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Les coûts écologiques de la technique (déchets, pollution) sont rendus invisibles par la délocalisation de la production industrielle. Ils devraient nous inciter à promouvoir une technologie sobre et résiliente.
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Il faudra enfin mener une réflexion sur nos modes de production, privilégier des ateliers réimplantés près des bassins de consommation, un peu moins productifs mais plus intensifs en travail, moins mécanisés et robotisés, mais économes en ressources et en énergie, articulés à un réseau de récupération, de réparation, de revente, de partage des objets du quotidien.
Face aux forces en présence et aux tendances de fond, cela paraît bien utopique. Mais peut-être pas plus que le statu quo, un maintien ad vitam aeternam de notre civilisation industrielle sur sa précaire trajectoire exponentielle. La robotisation et l’intelligence artificielle nous promettent un chômage de masse à des niveaux inégalés tandis que nous serons rattrapés par l’effondrement environnemental. Pourquoi ne pas tenter plutôt la voie d’une transition post-croissance vers un nouveau « contrat social et environnemental » ?
Philippe Bihouix,
ingénieur centralien.
Spécialiste de l’épuisement des ressources minérales
et promoteur des low-tech.
Il est membre du conseil d’administration de l’Institut Momentum.
Article publié dans la revue Esprit n°443, mars-avril 2017.
[1] Bjorn Lomborg, l’Écologiste sceptique, Paris, Cherche Midi, 2004.
[2] Jeremy Rifkin, la Nouvelle Société du coût marginal zéro, Paris, Les Liens qui libèrent, 2016.
[3] Henry Hobhouse, les Graines du changement. Six plantes qui ont changé l’humanité, trad. Patricia Barbe-Girault, Orléans, Regain de lecture, 2012.
[4] Karl Polanyi, la Grande Transformation. Aux origines politiques et économiques de notre temps [1944], trad. Catherine Malamoud et Maurice Angeno, préface de Louis Dumont, Paris, Gallimard, coll. « Tel », 1983.
[5] André Guillerme, les Temps de l’eau. La cité, l’eau et les techniques, Ceyzérieu, Champ Vallon, 1983.
[6] Jean-Baptiste Fressoz, l’Apocalypse joyeuse. Une histoire du risque technologique, Paris, Seuil, 2012
[7] Georges Duhamel, Scènes de la vie future, Paris, Mercure de France, 1930, p. 135.
[8] Marc Levinson, The Box. Comment le conteneur a changé le monde, trad. Antonine Thiollier, Paris, Max Milo, 2011.
[9] Lewis Mumford, Technique et civilisation [1934], trad. Natacha Cauvin et Anne-Lise Thomasson, préface d’Antoine Picon, Marseille, Parenthèses, 2015.
[10] Voir Yves-Marie Abraham et David Murray (sous la dir. de), Creuser jusqu’où ? Extractivisme et limites à la croissance, Montréal, Écosociété, 2015 ; Alain Gras, le Choix du feu, Paris, Fayard, 2007.
[11] Baudouin de Bodinat, la Vie sur Terre. Réflexions sur le peu d’avenir que contient le temps où nous sommes, tome I (1996) et tome II (1999), suivis de deux notes additionnelles, Paris, Encyclopédie des nuisances, 2008.
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