L'ANVP est l'Association Nationale des Visiteurs de Personnes sous main de justice
... reconnue d'utilité publique et agréée Jeunesse et Éducation Populaire. Elle regroupe les visiteurs de prison qui visitent des personnes en détention et les visiteurs accompagnants qui rencontrent et assistent celles qui sont condamnées à des peines en milieu ouvert (bracelet électronique, peines probatoires, placement à l'extérieur...).
Les membres de l'ANVP sont regroupés autour d'un(e) correspondant(e) d'établissement ou de groupe hors les murs, ainsi que de sections locales propres à un ou plusieurs établissements pénitentiaires, afin de mettre en commun leur expérience et d’aider à la solution de leurs difficultés éventuelles et de bénéficier de toutes les informations utiles au bon déroulement de leur activité.
Nos positions quant à la prison et aux autres peines
En qualité de témoins privilégiés, neutres car ni proches des détenus, ni membre de l'administration pénitentiaire ou de la Justice, les visiteurs de prison portent un regard intéressant sur la prison. ...
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17 rue de Châteaudun –75009 Paris
Tél. : 01 55 33 51 25 - Mail : accueil@anvp.org
Créée en 1932 ... reconnue d’utilité publique par décret du 9 mai 1951 et agréée jeunesse et Education populaire (arrêté du 30 avril 2002).
... présidée par Yves-Marie BRIENT et Directeur de publication du site
Édition du site internet assurée par la Société sas SAS all-in-web au capital de 180000 euros, immatriculée au RCS de rueil malmaison ... hébergé par Gandi
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Ndlr : n'est-il pas confondu neutralité et impartialité ? ACT
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Éclairage MARL
Fabrice Vert, Premier Vice-président au tribunal judiciaire de Paris - Vice-président de GEMME France - membre du syndicat Unité Magistrats
Michèle Guillaume-Hofnung, Professeure émérite des facultés de droit, Directrice de l'Institut de Médiation Guillaume-Hofnung (IMGH) Présidente d’honneur des Médiateurs diplômés de Paris2 Panthéon-Assas MDPA
Selon le rapport sur la justice du XXIe siècle, seulement 1 % des affaires judiciaires font l’objet d’une médiation. Le défi de la politique nationale de l’amiable, annoncée le 13 janvier dernier par le garde des Sceaux, va consister précisément à sortir la médiation de cette confidentialité. Fabrice Vert, Premier Vice-président au tribunal judiciaire de Paris et Michèle Guillaume-Hofnung, Professeure émérite des facultés de droit, estiment qu’il faut agir sur la confiance, ce qui passe en particulier par la déontologie et la formation.
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Médiation et conciliation : modes premiers de règlement des litiges ? https://www.labase-lextenso.fr/gazette-du-palais/GPL222e8 Tel est le titre d’un article de la première présidente Chantal Arens et de la professeure de droit Natalie Fricéro publié le 25 avril 2015 par la Gazette du palais
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La confiance ne se décrète pas
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Le rapport n° 3696 de la délégation pour l’Union Européenne de l’Assemblée Nationale « La médiation, un nouvel espace de justice en Europe » présenté en février 2007 par le député Jacques Floch, et le rapport « célérité et qualité de la justice, la médiation une autre voie » issu du groupe de travail sur la médiation, installé par le premier président de la cour d’appel de Paris, Jean-Claude Magendie le 11 février 2008.
Leurs explications sur les difficultés d’implantation de la médiation restent pertinentes.
Tout d’abord, en premier lieu, la médiation et les modes amiables dans le domaine judiciaire ne doivent pas être présentés comme de la déjudiciarisation ou un moyen de réduire les stocks, mais comme un enrichissement de la réponse judiciaire et une chance supplémentaire offerte aux justiciables de nouer ou renouer un dialogue et de les aider à résoudre leur litige.
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La fragilité de l’identité du cœur de la profession – la médiation – affaiblit grandement l’image du médiateur. Si on ne connaît pas la médiation comment faire confiance au médiateur ?
Il faut ensuite que la profession donne des garanties de sérieux. L’exercice s’avère délicat dans la mesure où il ne faut pas scléroser la profession par un carcan inadapté
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La médiation activité du médiateur, se présente de manière très précise et très identifiable. Elle est un processus et non pas une procédure fut-elle allégée. Elle repose sur la liberté des médiés et du médiateur. Ainsi l’expression médiation obligatoire installe un oxymore létal
... L’expression information obligatoire sur la médiation serait à la fois plus exacte et pédagogique ... ce qui est sa fonction première de créer ou de recréer le lien ... confidentiel
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Le médiateur ... un tiers impartial indépendant et neutre ... Le tiers se définit par son extériorité. Le « médiateur maison » est certainement respectable mais il lui manque l’extériorité
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L’impartialité est la qualité du médiateur à l’égard des personnes. Le médiateur doit veiller à ne pas se laisser influencer par des antipathies ou des sympathies. Il est inévitable pour un être humain d’en ressentir, mais un médiateur doit savoir les repérer et se réajuster.
La neutralité est la qualité du médiateur à l’égard des résultats de la médiation. Il doit se garder de faire prévaloir sa solution. Il doit respecter la solution des médiés. La médiation est une maïeutique, le médiateur peut trouver que le résultat dont les médiés ont accouché n’est pas celui escompté mais c’est leur résultat. Seule une objection d’ordre public justifierait de déroger à l’absolue neutralité. La neutralité du médiateur est garante de la nature éthique du processus de médiation. La médiation est un processus de communication éthique. Le médiateur garantit l’égale dignité de la parole de chacun. C’est tout mais c’est essentiel. Cela requiert de la part du médiateur beaucoup d’énergie. Il consacre son énergie à garantir le cadre.
L’indépendance du médiateur constitue elle aussi une source importante et particulièrement exigeante de confiance. Elle s’apprécie bien sûr à l’égard des médiés mais aussi à l’égard de possibles partenaires encombrants. Les attentes explicites ou implicites des financeurs de dispositifs de médiation ou des prescripteurs de médiations pèsent parfois lourdement sur les médiateurs. Les médiés lorsqu’ils le perçoivent peuvent perdre confiance.
Le métier de médiateur n’est donc pas simple, difficile de s’affirmer « médiateur naturel » ou de se croire comme Monsieur Jourdain « médiateur sans le savoir ». La maxime « la formation avant toute chose » a guidé les pionniers de la médiation. La création de la première formation à la médiation en 1987 dans le cadre de Droit de l’Homme et Solidarité DHS proposait un parcours en deux ans. Une première année enseignait un socle généraliste de 180 heures. Une deuxième année 180 heures fournissait les compléments de spécialisation dans les secteurs que nous avions identifiés comme les secteurs d’avenir.
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principes fondamentaux de la médiation, des éléments de psychologie, de sociologie, de droit et bien sûr beaucoup de mises en situations pratiques
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Une des missions du futur conseil national de la médiation
... entre dans sa mission selon la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire de proposer un recueil de déontologie applicable à la pratique de la médiation, des référentiels nationaux de formation des médiateurs et de faire toute recommandation sur la formation
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Ndlr :
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?1lMvQA
... une des caractéristiques du Fédiverse tient aux différentes couches logicielles et applications qui la constituent et qui peuvent virtuellement être utilisées par n’importe qui et dans n’importe quel but. Cela signifie qu’il est possible de créer une communauté en ligne qui peut se connecter au reste du Fédiverse mais qui opère selon ses propres règles, sa propre ligne de conduite, son propre mode d’organisation et sa propre idéologie
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chaque communauté est capable de se définir elle-même non plus uniquement par un langage mémétique, un intérêt, une perspective commune, mais aussi par ses relations aux autres, en se différenciant. Une telle spécificité peut faire ressembler le Fédiverse à un assemblage d’infrastructures qui suivrait les principes du pluralisme agonistique. Le pluralisme agonistique, ou agonisme, a d’abord été conçu par Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, qui l’ont par la suite développé en une théorie politique. Pour Mouffe, à l’intérieur d’un ordre hégémonique unique, le consensus politique est impossible. Une négativité radicale est inévitable dans un système où la diversité se limite à des groupes antagonistes14.
La thèse de Mouffe s’attaque aux systèmes démocratiques où les politiques qui seraient en dehors de ce que le consensus libéral juge acceptable sont systématiquement exclues.
Le pari fait par l’agonisme est qu’en créant un système dans lequel un pluralisme d’hégémonies est permis, il devienne possible de passer d’une conception de l’autre en tant qu’ennemi à une conception de l’autre en tant qu’adversaire politique. Pour que cela se produise, il faut permettre à différentes idéologies de se matérialiser par le biais de différents canaux et plateformes. Une condition préalable importante est que l’objectif du consensus politique doit être abandonné et remplacé par un consensus conflictuel, dans lequel la reconnaissance de l’autre devient l’élément de base des nouvelles relations, même si cela signifie, par exemple, accepter des points de vue non occidentaux sur la démocratie, la laïcité, les communautés et l’individu.
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avec la présence apparemment irréconciliable de factions d’extrême gauche et d’extrême droite dans l’univers de la fédération, les réalités de l’antagonisme seront très difficiles à résoudre ... Mastodon a été confronté à la neutralité des licences FLOSS. D’autres projets du Fédiverse, tels que les clients de téléphonie mobile FediLab et Tusky, ont également été confrontés au même problème, peut-être même plus, car la motivation directe des développeurs de Gab pour passer aux logiciels du Fédiverse était de contourner leur interdiction des app stores d’Apple et de Google pour violation de leurs conditions de service. En s’appuyant sur les clients génériques de logiciels libres du Fédiverse, Gab pourrait échapper à de telles interdictions à l’avenir, et aussi forger des alliances avec d’autres instances idéologiquement compatibles sur le Fédiverse15.
Dans le cadre d’une stratégie antifasciste plus large visant à dé-plateformer et à bloquer Gab sur le Fédiverse, des appels ont été lancés aux développeurs de logiciels pour qu’ils ajoutent du code qui empêcherait d’utiliser leurs clients pour se connecter aux serveurs Gab. Cela a donné lieu à des débats approfondis sur la nature des logiciels libres et open source, sur l’efficacité de telles mesures quant aux modifications du code source public, étant donné qu’elles peuvent être facilement annulées, et sur le positionnement politique des développeurs et mainteneurs de logiciels.
Au cœur de ce conflit se trouve la question de la neutralité du code, du réseau et des protocoles. Un client doit-il – ou même peut-il – être neutre ? Le fait de redoubler de neutralité signifie-t-il que les mainteneurs tolèrent l’idéologie d’extrême-droite ? Que signifie bloquer ou ne pas bloquer une autre instance ?
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La tolérance et la liberté d’expression sont devenues des sujets explosifs après près de deux décennies de manipulation politique et de filtrage au sein des médias sociaux des grandes entreprises ; quand on voit que les plateformes et autres forums de discussion populaires n’ont pas réussi à résoudre ces problèmes, on n’est guère enclin à espérer en des expérimentations futures.
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il se pourrait que le Fédiverse crée au mieux une forme d’agonisme bâtard par le biais de la pilarisation. En d’autres termes, nous pourrions assister à une situation dans laquelle des instances ne formeraient de grandes agrégations agonistes-sans-agonisme qu’entre des communautés et des logiciels compatibles tant sur le plan idéologique que technique, seule une minorité d’entre elles étant capable et désireuse de faire le pont avec des systèmes radicalement opposés. Quelle que soit l’issue, cette question de l’agonisme et de la politique en général est cruciale pour la culture du réseau et de l’informatique. Dans le contexte des systèmes post-politiques occidentaux et de la manière dont ils prennent forme sur le net, un sentiment de déclin de l’esprit partisan et de l’action militante politique a donné l’illusion, ou plutôt la désillusion, qu’il n’y a plus de boussole politique. Si le Fédiverse nous apprend quelque chose, c’est que le réseau et les composants de logiciel libres de son infrastructure n’ont jamais été aussi politisés qu’aujourd’hui. Les positions politiques qui sont générées et hébergées sur le Fédiverse ne sont pas insignifiantes, mais sont clairement articulées. De plus, comme le montre la prolifération de célébrités politiques et de politiciens utilisant activement les médias sociaux, une nouvelle forme de démocratie représentative émerge, dans laquelle le langage mémétique des cultures post-numériques se déplace effectivement dans le monde de la politique électorale et inversement16.
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... la veille la FNSEA, les JA et la coordination rurale dépose une autorisation de contre manifestation, mais hors délais légal, ce qui logiquement a entrainé un refus de la Préfecture de Niort, parce que c’est en 79 qu’est Mauzé/Mignon!
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la Préf du 79 a respecté la loi en n’autorisant pas leur contre manif mais leur a donné des laissez passer pour y être tout de même…
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France Inter @franceinter .@CynthiaFleury répond à une auditrice dont la mère est complotiste : "Le complotisme, c'est le récit parfait pour ce grand temps d'incertitude. Il vient sécuriser par le pire. En plus, on ne peut pas contre-argumenter : tout signe vient renforcer la thèse émise." #le79Inter
46,5 k vues 1:20 / 2:24 8:53 AM · 20 nov. 2020·Wildmoka 377 Retweets 84 Tweets cités 973 J'aime
Tr : ... on ne peut pas contre-argumenter. Ce logos qui nous permet tout d'un coup de restaurer cette confiance, on ne peut plus l'activer car le complotisme est un délire aussi paranoïaque. Tout signe va venir renforcer la thèse émise. Et en fait, le complotisme permet de donner à ce qu'on appelle les biais de confirmation, un terrain absolu. Tout ce qui va être dit, tout ce qui va être vu, va être interprété pour venir consolider la thèse. Donc la seule manière d'être en lien, c'est de surtout pas aller sur ce terrain, de parler de tout autre chose, et de reproduire du lien empathique ailleurs, sur des objets neutres, ce qui n'est pas simple puisque, dans la thèse complotiste, rien n'est plus neutre et rien n'est plus un objet neutre.
Ndlr : faire diversion pour restaurer du lien empathique...
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The Shift Project a présenté le 9 novembre 2020 son nouveau projet sur l'intégration des enjeux climat-énergie dans les formations de l'ingénieur : « ClimatSup INSA », mené en partenariat avec le Groupe INSA.
👉 Si le sujet « Enseignement Supérieur & Recherche » vous intéresse, vous pouvez vous inscrire à la newsletter « Enseignement supérieur » du Shift sur : https://cutt.ly/rg0lP93
👉 Introduction par Jean-Marc Jancovici (Président, The Shift Project)
👉 Présentation du projet par :
👉 Table-ronde : « Comment former l’ingénieur pour la transition écologique? »
👉 Les supports de présentation sont disponibles ici: https://bit.ly/3ltrNaJ
16 commentaires
Transcription : ... nécessaire réflexion systémique ... ex. le système numérique ... co-construction avec les parties prenantes des écoles, méthode itérative RC2, INformation et formation des parties prenantes ; objectifs conditionnes à énergie et climat ... référentiel base de discussion, webinaire inter-écoles, rapport final conf de mai 2021.
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enjeux socio-écologiques ... pour l'instant vus surtout en fin de cursus et pas par tous les étudiants.
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/éthique ... béhaviorisme (maîtrise d'une notion donnée) ; cognitivisme (résolution de problème) ; constructivisme (réflexion sur et dans l'action) ... démarche plurielle, paradigme de l'ingénierie.
Concrètement : référentiel de connaissances ; référentiel de compétences ; questionnement éthique le plus important ; acquis d'apprentissage ; sémantique ; spécificités INSA ; confrontation ; co-construction (débats internes, conf et tables rondes) ;
Vision globale ... anthropocène ; controverses ; quel récit pour quelle société ?
économie circulaire ;
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Sam : énergie-climat colonne vertébrale de tous les autres sujets ; Damien ex: biodiv inclus ;
comment contribuer ? Damien : suivre l'actu, ex-étudiant faire passer l'info ; accompagner les acteurs ; le gr insa mène une réflexion plus large que l'enseignement. Travail le +utile et le +large ; institutions, cpi etc ; Janco : /état : prop de loi provocation. Faire monter les étudiants aiguillon plus rapide. /campus de la transition : manuel de la grande transition : Sam : éthique, épistémologique, ++ ; Damien : enseign dédié à intégrer sinon intégrer au maxi dans les cours actuels ; Claude : s'emparer de ces sujets, pj, interdisciplinaire ; approche globale ; lien sciences et politique dans l'obj. : /étudiants
table ronde :
Janco : Mr Raquet : de la responsabilité : 10% des ingé /an : racines du modèle insa sciences et humanités à resp sociétale ; 25% étud en grève en mars 2019 ; cible à portée de main mais pente raide => méthode, démarche scientifique, lecture pas que techno mais aussi sociétale, écon, accepter la complexité, les emplois, embarquer partenaires industriels, adhèrent à la fond insa, moteurs de leur propre transfo. On a 5 ans /réussir. /Risques : levier interne, conserver fondamentaux disciplinaires, en avance de phase /entreprises.
Mise en oeuvre : Mme Marion Fregonese ??? /fondamentaux à périmètre horaire constant ; réflexion pas facile à conduire, interdisciplinaire /q systémiques, neutralité des sciences et techniques donc enjeux politiques, acculturer ces aspects, sortir zone de confort, Leviers : /Lyon initié depuis 2 ans label drs, collectifs transition dans l'ensemble des départements, prop d'actions, sensibilisation, collecter infos ; phase institutionnelle, gt études, cadrage horaire, calendrier, accompagner l'engagement des enseignants ; collectifs à l'échelle nationale ex labo1.5 ; /chgts : /fondamentaux lesquels transformer ? les rempl par quoi ? pas facile.
Chloé Huyghe /Étudiants :attentes, réactions, enquête : étudiants concernés, pas assez formés, écoles ne sollicitent que rarement les étud. act individuelle /autoformation, solliciter les profs, pas le cas de tous les étud. ; envie de comprendre mais entreprises pas demandeuses, dc motiv perso ;
Christian Jeannot : assystem et syntec 700 000 emplois et a déjà signé charte /climat, écon et société, équilibre homme-femme ; sujet irréversible donc grand intérêt, perçoit enjeux ; /entreprises en général, fait des choix confrontés à contradictions /réglementation, états, /usages et richesse des solutions que les citoyens demandent. ex/ bâtiment, transport on est à la 7è réglementation ! on se confronte à la volonté d'usage, comprendre à la grande échelle, énerg+ à 22°C pas cohérent, /diesel met du temps à diffuser ; l'entreprise n'est pas la startup nation ; decathlon, psa, edf plébiscitées /étudiants ; mise en harmonie, horizontalité des communications, salariés heureux, permettre aux gens de se tromper, essayer, accepter l'erreur, confronter aspirartions perso et profess.
Chloé : en 5ème année, /derniers sortis : ne sait pas. /manifeste étudiant retour :
Bertrand Raquet : asymétrie temporaire pour 30 ans qui viennent /dem d'employer à 3 ans : /mine paritech emploi grandes entreprsises passées de 50 à 30% et /insa ? apprendre à apprendre tout au long de la vie ++ autonomie dans les apprentissages sur 5 ans agilité et employabilité ; /engagt lt : démarche prospective à 2040 : futurs choisis ; transformation profonde ; /enseign cherch déjà dans pratiques d'adaptation en continu : petite diminution des emplois en grands groupes, forme de volatilité ; nouv géné en quête de sens ++ exigence /entreprises ; être attentifs à la culture générale économie de la fonctionnalité, symbiotique ? pas simple, instabilités, assumé />>potentiel des élèves.
Q PUBLIC
dir insa rennes tout ne se passe pas dans les salles de cours et de tp : modèle de 5 ans manag deux cycles donne plusieurs points d'entrée, aller vers culture profonde dès le début ++
/modèle de société désirable :
Marion : 1/3 des étudiants déjà engagés et concernés, 1/3 sensibles prets à suivre et 1/3 moins concernés. Entre pairs, émulation, actions phares ex fresque du climat, initiative proposer synthèse rapport spécial giec++ /pédago placer l'étudiant au centre, acteur, objets du quotidien, pas trop inquiete, nouvelle form lycée prépare aussi déjà.
Chloé : insa strasbourg
/aspect anxiogène de la transformation Mr ??? on confond l'incertitude et le risque, l'entreprise de protège, approche scientifique modéliser l'inconnu ; approche globale, éthique, ne pas abuser des tech de communication. Modéliser systèmes complexes ; cararctériser.
/programmes on apprenait à apprendre. Apprendre à combiner dans monde horizontalisé réseau de connaissances et expériences, se nourrir /management par archipel. savoir combiner ++
zoom janco a planté !
Q : /numérique : B Raquet neuf sur ce sujet montre profondeur du travail à faire.
/impact écolo d'un livre papier ou numérique ?? dépend des usages, pas facile à prendre. !!
/entreprises : outils pour les faire accélérer ? prend du temps, former les actifs, perdurer, délivrer le juste bien à ses clients, pas lieu de labo sociologique, prise dans un champ de contraintes, développe sol /richesse des fonctionnalités demandées ; traiter datas et modéliser ++
Damien conclusion pj : concertation, resp de l'ingénieur donc non neutralité de l'ingénieur et de la technologie
JMJ : début de l'histoire ; diminuer de 5%/ rien que pour les +2°C !
chocs de plus en plus désagréables. L'ingé fr s'apprécie dans le monde. Bonne cote, donc l'adapter le plus vite possible. /Saclay apprendre à former avant les autres, ACCÉLÉRONS. TEnir à 8 milliard en harmonie.
Dates : - 02/21 rapport intermédiaire, rapp final 05/21.
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FR - Excellente interview de Philippe Martinez, Secrétaire général de la Confédération Générale du Travail (CGT): attaque terroriste tout près des anciens locaux de Charlie Hebdo à Paris, liberté d'expression, coronavirus: bars et restaurants totalement fermés à Marseille, protocoles sanitaires, situation dans les hôpitaux, télétravail, manifestation du 17 septembre, combats des employés de l'usine Jacob Delafon de Damparis (Jura) et des employés d'Auchan à Noyelles-Godault (Pas-de-Calais), réforme du Conseil économique, social et environnemental, "réforme" des retraites de Macron, "réforme" de l'assurance chômage, fermeture du site de Bridgestone à Béthune, plan de relance, Veolia veut racheter Suez: "Le chômage partiel, ce n'est pas le salaire intégral, et quand ça fait 6 mois que vous êtes payé 84% de votre salaire antérieur qui est déjà faible, ça commence à être dur, les fins de mois, ou à la moitié du mois. Il faut augmenter le SMIC, investir dans les services publics, ça, l'État a la main, on a parlé de la santé, mais aussi dans la fonction publique territoriale et de l'État, et puis investir dans des usines: Jacob Delafon, La Chapelle Darblay, Luxfer" - 27.09.2020 - Paris, France.
"Il faut se méfier de ces déclarations, y compris d'un ancien Premier ministre, ... stigmatiser une partie de la population, en l'occurence les musulmans, et ça c'est dangereux, ... le combattre. (...)
Il faut que les journalistes puissent faire leur métier, y compris dans les manifestations, et on a bien vu depuis quelques temps, depuis un temps certain, comme dirait l'autre, qu'il y a des faits qui sont inadmissibles dans les manifestations, notamment de la part des policiers. (...) il y a besoin de témoins neutres que sont les journalistes (...)
Le chômage partiel, ce n'est pas le salaire intégral, et quand ça fait 6 mois que vous êtes payé 84% de votre salaire antérieur qui est déjà faible, ça commence à être dur, les fins de mois, ou à la moitié du mois (...) (Il faudrait une prise en charge à 100%) et mettre à contribution ceux qui n'ont pas beaucoup souffert de la crise de la COVID, je pense aux assureurs, par exemple, les banques.
On parle de solidarité, mais on a l'impression que ce sont toujours les mêmes qui sont solidaires, c'est-à-dire ceux qui bossent, les petits commerçants, les petites entreprises, et puis ceux qui sont moins solidaires ce sont ceux qui ont fait pendant des années des milliards de bénéfice, de profit, ont versé beaucoup de dividendes à leurs actionnaires, et aujourd'hui, eux, ne sont pas solidaires.Là aussi, il faut que la solidarité elle soit valable pour tout le monde. (...)
Les cotisations sociales, c'est essentiel, parce que ça fait fonctionner la Sécurité Sociale. Parce que dans quelques mois, on va nous dire: ah, ben y'a plus d'argent, pour la santé, pour les retraites, pour le chômage, etc, etc. (...)
La concertation, c'est pas un coup de fil un quart d'heure avant de prendre la mesure. (...)
Masques fournis, gratuits (dans les entreprises) (...) La médecine, ça devrait être indépendant des directions d'entreprise. (...)
Nous on propose dans l'ensemble de la santé et du médico-social 400.000 embauches rapides, le plus rapidement possible parce qu'il y a de la souffrance à l'hôpital, et les services continuent à être désorganisés, ils sont épuisés.
Reconnaissance des qualifications dans les hôpitaux et dans le médico-social, je pense aux aides à domicile qui sont payé•e•s aujourd'hui comme au mois de février, vous connaissez leurs horaires, les fait d'être tôt le matin chez leurs patients et tard le soir, avec des déplacements, etc. (...)
(Télétravail) Il y a des endroits où on est loin de la 5G, on est plutôt en zone blanche. (...)
(Manifestation du 17 septembre) On ne peut pas nous reprocher d'avoir fait quelque chose pour dénoncer ce qui se passe et proposer des alternatives. (...)
... la CGT a plus d'adhérents à elle toute seule que l'ensemble des partis politiques en France (...)
(Au journaliste) Être au chômage, c'est pas un choix de vie, hein, d'accord. (...) Plus d'un chômeur sur deux ne touche RIEN. (...)
Il faut augmenter les salaires parce que quand on augmente les salaires, ça augmente les cotisations. Et puis, comment on peut verser des dividendes de plusieurs milliards à ses actionnaires, et dire: "On va être sur la paille, on n'a plus rien, il faut revenir sur les cotisations? (...)
Il faut augmenter le SMIC, investir dans les services publics, ça, l'État a la main, on a parlé de la santé, mais aussi dans la fonction publique territoriale et de l'État, et puis investir dans des usines: Jacob Delafon (...) La Chapelle Darblay, Luxfer, il y en a beaucoup (...)
(Suez/Veolia) On propose que ce soit d'intérêt public ; je pense qu'il faut réfléchir à des entreprises publiques, nationalisées (...)"
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Howard Zinn est mort le 27 janvier 2010. Les médias français, Le Monde et Libération en tête, ne savaient que dire de cet historien qui fut pourtant l’un des intellectuels majeurs du renouveau de l’approche universitaire historienne aux Etats-Unis. Ils le traitèrent allègrement de marginal (!), voire, sans rire, d’"autodidacte" de l’histoire… C’est dire l’état d’aveuglement des médias français…
Inlassable défenseur des droits des minorités et de la désobéissance civile, Howard Zinn aura pourtant marqué à jamais les études universitaires américaines de son empreinte. Lisez son Autre Histoire Populaire des Etats-Unis, vous le comprendrez bien assez vite !
L'impossible neutralité : Autobiographie d'un historien et militant, de HowARD Zinn, préface de Thierry Discepolo, traduction de Frédéric Cotton, éd. Agone, 14 mars 2013, Collection : Eléments, 351 pages, 12 euros
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... Désirant à tout prix se poser en défenseurs de la « démocratie » contre les formes supposées de son dévoiement actuel, ils finissent par assimiler l’ensemble des maux contemporains (personnalisation de la vie politique, « fake news », méfiance envers les institutions, désaffiliation partisane, tendances autoritaires et xénophobes, etc.) à des manifestations d’un populisme omniprésent et néfaste. Ce faisant, ils mélangent allègrement les causes et leurs effets, augmentant plus encore la confusion qui entoure le concept (et qu’eux-mêmes se délectent de dénoncer). Que nous dit un concept qui se confond avec son contraire ? ☰ Par Arthur Borriello
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il n’est pas étonnant que les deux définitions devenues canoniques soient volontairement souples et minimales. C’est le cas de l’approche « idéationnelle » de Cas Mudde, politologue néerlandais, et de celle, « discursive », d’Ernesto Laclau et Chantal Mouffe. Leur contribution est toutefois ambivalente : en proposant une définition plus étroite du populisme, ces approches ont parfois étendu la portée de son application à l’excès, rendant difficile l’établissement de critères suffisamment spécifiques que pour le distinguer d’autres concepts et phénomènes voisins. Ce faisant, elles flirtent toujours avec l’écueil d’élasticité conceptuelle dénoncé par le politologue italien Giovanni Sartori4 ; mal utilisées, elles autorisent des associations douteuses et conduisent à voir le populisme partout, ce qui revient à ne l’identifier nulle part.
« En proposant une définition plus étroite du populisme, ces approches ont parfois étendu la portée de son application à l’excès. »
On doit à Cas Mudde d’avoir conceptualisé le populisme comme une « idéologie fine » (thin-centered ideology) fondée sur la croyance en une division fondamentale du social entre un peuple bon — détenteur de la volonté générale dont l’application devrait être le cœur de l’action politique — et des élites corrompues. La variété des populismes réellement existants est aisément expliquée à partir de cette perspective : ne disposant que d’un nombre très limité de principes, l’idéologie (fine) populiste ne se suffit pas à elle-même et se trouve donc systématiquement associée avec d’autres traditions idéologiques plus « épaisses » (socialisme, nationalisme, libéralisme, etc.). D’où le fait que puissent facilement coexister les populismes de gauche, les populismes du centre et les partis de droite radicale populiste. Cette approche s’est finalement imposée comme la perspective dominante en science politique, probablement en raison de sa plasticité et de son applicabilité aux cas empiriques les plus disparates. Elle a également progressivement percolé dans la sphère politico-médiatique, comme en témoignent les nombreuses interventions de son auteur dans les médias5.
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Dans une veine très différente, la conception « discursive » du populisme proposée par Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, développée dans une perspective « post-marxiste », aboutit parfois à des impasses similaires. Pour rappel — nous avons déjà eu l’occasion de détailler les caractéristiques de cette approche ailleurs7 —, ces auteurs présentent le populisme comme une logique politique, c’est-à-dire une façon de construire des identités politiques en articulant entre elles des demandes démocratiques. Le populisme construirait ainsi un sujet populaire, un « nous », à partir d’une opposition à un adversaire (la caste, l’élite, l’establishment), tenu pour responsable de la frustration de ces demandes. L’unité du sujet n’est pas ici le fruit de caractéristiques propres que ses composantes partageraient — à l’instar du prolétariat qui, dans l’approche marxiste, est défini par la position de classe de ses membres — mais bien le résultat d’une commune opposition aux élites du système. Cette commune opposition est ce qui permet de tisser des liens (Laclau et Mouffe parleraient de « chaînes d’équivalence ») entre des demandes a priori extrêmement hétérogènes. La nature exacte du sujet populaire dépend donc d’un processus contingent de construction de la frontière politique entre « eux » et « nous ». Par conséquent, selon l’adversaire visé (les élites politiques et/ou économiques, les intellectuels, les minorités ethniques, etc.) et le type de demandes articulées, le populisme peut revêtir des formes émancipatrices ou réactionnaires.
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De la désintermédiation au « moment » populiste
... processus, à l’œuvre depuis le milieu des années 1970, et de façon plus marquée depuis les années 1990–2000, ont contribué à progressivement creuser un vide vertigineux entre les citoyens et leurs représentants, comme le politologue irlandais Peter Mair l’a montré dans son analyse magistrale12. D’une part, on a assisté à un lent processus d’individualisation et de désaffiliation dans les sociétés occidentales : les groupes sociaux se sont complexifiés, rendant leur structuration et représentation par des corps intermédiaires de plus en plus aléatoire et difficile. Outre les syndicats, les églises, les clubs et les associations, les organisations à avoir le plus souffert de ces transformations sont celles qui assuraient la représentation de ces groupes sociaux auprès de l’État : les partis politiques et leurs élites. D’autre part, en réponse à ces évolutions, ces derniers ont progressivement cherché de nouvelles formes de légitimation. Après s’être émancipés de leurs groupes sociaux respectifs (devenant ainsi des partis dits « attrape-tout »), ils se sont petit à petit réfugiés dans les institutions étatiques au point de se confondre pratiquement avec celles-ci ; en parallèle, fleurissait chez les élites un discours de défense des institutions et de la stabilité économique contre les « excès » des demandes démocratiques, discours confinant parfois à une véritable « haine de la démocratie13 ».
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Fait remarquable — car il explique bon nombre de confusions — ces trois types d’acteurs (le centre libéral-technocratique, l’extrême droite et les partis verts) présentent des caractéristiques organisationnelles communes, relatives au processus de désintermédiation touchant les sociétés occidentales dans leur ensemble. Plus elles sont récentes, plus ces formations sont enclines à se présenter comme des mouvements ou des plateformes plutôt que comme des partis (le cas Macron est emblématique à cet égard), refusent le degré d’institutionnalisation de ces derniers et sont extrêmement dépendantes de la figure de leur leader. Celui-ci est en effet seul à même d’incarner l’homogénéité de ces mouvements au vu de la quasi-absence de cadres intermédiaires qui les caractérisent — un trait qui, encore une fois, doit plus à la donne contemporaine qu’à une caractéristique intrinsèque du populisme en tant que tel.
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Sont alors apparus en Europe des mouvements populaires que l’on croyait spécifiques au contexte de l’Amérique latine, fustigeant l’oligarchisation rampante et réclamant un processus de démocratisation de nos sociétés au nom de la souveraineté populaire. L’Europe connaissait enfin son « moment populiste ».
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Ce n’est pas le populisme qui constitue le nouveau Zeitgeist du XXIe siècle16, mais bien le processus de dé-démocratisation et de désintermédiation, cette lame de fond beaucoup plus puissante et préoccupante, dont le populisme ne constitue que l’écume, au même titre que les autres nouveaux mouvements politiques à succès. Notre critique devrait donc se concentrer sur ces transformations socio-politiques que traversent les démocraties occidentales et qui, mises bout à bout, font système : la confiscation technocratique d’une partie de la décision politique (en particulier en matière d’orientations économiques), la perte de pouvoir des assemblées législatives, la dérégulation des activités financières et le détricotage des États-providence, la professionnalisation de la vie politique, la convergence idéologique des principales familles partisanes, le déclin des formes conventionnelles de participation politique, etc. Plutôt que de fustiger le populisme et de voir en lui une menace pour la démocratie17, la question normative à se poser devient celle de son potentiel réel de démocratisation, eu égard au contexte d’émergence qui est le sien et aux stratégies qu’il développe.
La fin du « moment » populiste ?
... C’est probablement en France, où les accomplissements de ces mouvements ont jusqu’ici été moindres, que leur potentiel de mobilisation reste le plus intact.
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si les familles politiques traditionnelles sont si promptes à accuser l’hydre populiste, c’est probablement parce que cela leur permet de détourner l’attention du public de leur propre responsabilité dans la dégradation de la représentation démocratique, à bien des égards nettement plus manifeste et critiquable. Il faudra aussi se prémunir contre le label de respectabilité que le qualificatif « populiste » octroie à des partis néofascistes dont la seule vocation est de fournir l’option d’un virage autoritaire et nationaliste au projet néolibéral — car, convenons-en, c’est véritablement la dernière chose dont nous ayons besoin à l’heure actuelle. Cela ne devra pas pour autant nous conduire à surestimer le potentiel de ces mouvements populistes, tant qu’ils n’offrent pas de réponse globale et cohérente à la dégradation démocratique généralisée qui touche nos sociétés. Gageons au moins que, à partir d’une perspective plus informée, nous serons cette fois en mesure de cesser de voir le populisme partout, ce qui nous permettra de l’identifier, de l’analyser et de le critiquer quelque part.
Connu / https://twitter.com/Noe_Francois/status/1272202187138117634
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Noé François @Noe_Francois 6:20 PM · 14 juin 2020·- 1 Retweet
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Apprendre d’hier pour agir demain
« Au printemps 1943, trois ans après l’invasion de la France et la capitulation vichyste, des résistants s’élevaient contre l’envahisseur. Certes, contrairement au siècle dernier, nous ne sommes pas à proprement parler « en guerre ». Cependant, les analogies sont frappantes : les résistants d’aujourd’hui – qu’il s’agisse du personnel soignant, des artisans de la vie quotidienne ou des citoyens-militants – se battent.
Les années de Résistance pourraient donc nous inspirer pour nous conduire à la Libération. Dès lors, comment organiser ce changement ? Pour y réfléchir, les grands penseurs, artistes et figures militantes de notre pays (écrivains, sociologues, politiques, économistes, réalisateurs) se sont rassemblés dans un Conseil National de la Nouvelle Résistance.
Quelles activités doit-on développer, créer ou relocaliser ? Quels moyens pour former à de nouveaux comportements ? Chacun d’entre eux livre ici, en quelques pages, son analyse pour une société plus juste. Ensemble, ils lancent un nouvel « Appel pour des jours heureux » et réclament la mue d’un système périmé que nos dirigeants, dans leur obsession du profit, ont engendré. » (Claude Alphandéry, résistant)
Cet ouvrage contient une préface de Denis Robert et la contribution d’une quarantaine de personnalités.
Collectif : Claude Alphandéry, Sabrina Ali Benali, Ludivine Bantigny, Clotilde Bato, Anne Beaumanoir, Brigitte Boréale, François Boulo, Dominique Bourg, Juan Branco, Valérie Cabanes, Aymeric Caron, Hugues Charbonneau, Pauline Londeix et Jérôme Martin, Samuel Churin, Alain Damasio, Cyril Dion, Marc Eichinger, Bernard Friot, Bruno Gaccio, Caroline Guy, en collaboration avec Julien Le Provost et Héloïse Pierre, Yannick Kergoat, Philippine Leroy Beaulieu, Priscillia Ludosky, Virginie Martin, Florent Massot, Dominique Méda, Raymond Millot, Julie Moulier, Agnès Naudin, Fabrice Nicolino, Fatima Ouassak, Antoine Peillon, Benoît Piédallu, Thomas Piketty, Monique et Michel Pinçon-Charlot, Régis Portalez, Denis Robert, Coline Serreau, Pablo Servigne, Pacôme Thiellement, Marie Toussaint.
EXTRAITS
Connu / https://twitter.com/DrSabrinaaurora/status/1266105250236239873
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Sabrina AliBenali @DrSabrinaaurora · 9h Téléchargement et impression gratuite 2 - 27 - 50
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du fil https://twitter.com/DrSabrinaaurora/status/1266104667454439424
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Tribune - Temps de Lecture 2 min.
Les deux avocats Jean-Paul Teissonnière et Sylvie Topaloff dénoncent, dans une tribune au « Monde », l’archaïsme de la loi sur les accidents du travail de 1898 qui ne permet pas aujourd’hui de régler la dette à l’égard des victimes contaminées au travail.
Il y a plus d’un siècle à propos du débat sur la loi portant réparation des accidents du travail, le professeur Louis Josserand (1868-1941) rappelait l’impossible neutralité du droit.
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la mort, le 26 mars, d’Aïcha Issadounène, 52 ans, caissière au supermarché Carrefour de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) depuis trente ans, laisse ses proches dans une immense détresse. Un des effets de cette pandémie aura été que nous nous mettions à regarder avec reconnaissance et considération ces travailleurs autrefois invisibles. Au travers d’une juste indemnisation de ses enfants nous dirons que nous ne les abandonnons pas sur le bord du chemin une fois la crise surmontée.
Le Covid-19 est en train de produire un gigantesque accident du travail dont les conséquences en l’état actuel du droit échapperont à toute forme de régulation efficace.
Lire aussi : Coronavirus : pas de virus au bureau ni sur le bureau !
Accident du travail ? Mais comment démontrer la date de la contamination qui est une des clefs de la reconnaissance ?
Maladie professionnelle ? Mais la plupart n’atteindront pas le taux d’incapacité minimal de 25 % sans lequel la reconnaissance est impossible !
La suite est réservée aux abonnés.
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p11 is. Or, l’exploitation forestière a sur la production un effet dépressif, temporaire en cas d’éclaircie et de plusieurs décennies en cas de coupe rase. La neutralité n’est donc pas immédiate et il faut prendre en compte la perte de séquestration de carbone que les arbres auraient pu continuer à réaliser s’ils n’avaient pas été coupés (Pelletier, 2018 ; Sterman et al., 2018). Ces variations de flux de carbone doivent être intégrées dans les coefficients de substitution (Valade et al., 2017), mais ce n’est généralement pas le cas. De plus, les coefficients supposent souvent la neutralité du commerce extérieur et n’intègrent pas les pertes d’exploitation (Roux et al., 2017).
Il est donc impossible de considérer que la combustion de bois-énergie est climatiquement « neutre » comme il est souvent affirmé en France (MTES, 2018a) et parfois au-delà (EU, 2003). Ce principe de neutralité est d’ailleurs en pleine contradiction avec les déclarations annuelles d’émissions françaises à l’Union Européenne, où 20% proviennent de la combustion du bois.
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Pratiquer une sylviculture à couvert continu
Axe 2 : Préserver et augmenter les stocks dans les
produits-bois
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Conclusion
... La situation de libre évolution montre le meilleur potentiel d’atténuation entre 2020 et 2050, y compris en considérant les stocks de produits. Le scénario « extensif » optimise l’évolution des stocks dans l’écosystème, tandis que le scénario « intensif » optimise l’évolution des stocks dans les produits-bois ; ...
Laisser vieillir les arbres est non seulement une stratégie efficace pour atténuer les changements climatiques, mais aussi la meilleure option pour préserver la fertilité des sols, restaurer la biodiversité et redonner du sens aux métiers de la forêt et du bois en faisant le pari de la qualité.
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Notre stratégie paye. Les 19 000 amendements que nous avons déposés ne sont pas de l’obstruction. Il sont un outil pour forcer un vrai débat à l’Assemblée sur le projet de réforme du gouvernement. Sans eux, de nombreux sujets n’auraient pas été dévoilés en commission spéciale. Vendredi après-midi, j’ai déclenché par une simple question un débat de deux heures qui en dit long sur le saut dans l’inconnu que représente la réforme pour des millions de français.
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la fabrication d’un indicateur n’est pas neutre
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Notre présence et notre bataille ligne par ligne contre le projet de loi a jeté la lumière sur cette entourloupe. Elle révèle l’ampleur des inconnues sur lesquelles repose cette réforme des retraites. La valeur du point n’est pas connue. Son évolution repose sur un indicateur inexistant. Sauf dans le cas, non défini, où le conseil d’administration du futur système en décide autrement. Nos amis belges, qui sont venus à bout d’un projet de réforme similaire ont bien raison : la retraite à points, c’est la retraite tombola.
Repris à https://www.youtube.com/watch?v=b6xTmL04YDQ
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RETRAITES : Ce revenu moyen par tête qui... n'existe pas ! - •11 févr. 2020 / JEAN-LUC MÉLENCHON
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Lors de la tenue de la commission spéciale retraites de l'Assemblée nationale du vendredi 7 février 2020, Jean-Luc Mélenchon a levé un lièvre de taille ! La valeur du point de la retraite voulue par Macron sera définie par un indicateur... qui n'existe pas encore ! Il s'agit du « revenu moyen par tête » qui devra être défini par l'INSEE mais validé par un décret en conseil d'État, le tout devant aussi servir pour définir l'équilibre financier du nouveau régime de retraite. Un imbroglio complet mis au jour par Jean-Luc Mélenchon et les insoumis.
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... produit des résultats très positifs dans les dix territoires d’expérimentation. Le bilan intermédiaire du fonds national d’expérimentation le démontre d’ailleurs. http://etcld.fr/wp-content/uploads/2019/09/190926_ETCLD_bilan_LowRes.pdf
Ce sont plus de 850 personnes qui ont été embauchées dans les entreprises créées (EBE). Elles avaient en moyenne une durée de chômage de 54 mois et plus de 20% sont des travailleurs handicapés. 350 personnes ont retrouvé par ailleurs un emploi sans passer par les EBE. Quatre des dix territoires sont déjà quasiment à l’exhaustivité. Nous avons désormais une reconnaissance internationale à travers les premiers résultats de l’expérimentation et la Belgique va également expérimenter le projet.
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Près d’une centaine de territoires sont déjà prêts et attendent, avec les personnes privées d’emploi, la deuxième loi pour se lancer. Ils ont déjà identifié les activités à developer dans les territoires.
Mais c’est sans compter sur la langueur instaurée, voire le sabotage orchestré, depuis le Ministère du Travail.
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Acte 8 : Le 18 octobre au matin, nous découvrons avec Louis Gallois une tribune torchon de l’économiste Pierre Cahuc dans Les Échos. Il attaque l’expérimentation avec des chiffres faux et laissant penser qu’ils viennent des évaluations. C’est extrêmement choquant car Pierre Cahuc a un devoir de neutralité en tant que membre du conseil d’évaluation scientifique. Il est très proche de certains acteurs du Ministère du Travail pour avoir co-écrit « L’apprentissage » avec Marc Ferracci, « conseiller spécial » de Murielle Pénicaud. Nous avions également rencontré ce conseiller dont l’accueil avait été glacial.
Repris par https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?J_fUOQ
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En sortant du cadre les experts de la construction, Walt Disney pouvait enfin faire vivre à tout ses visiteurs (petits et grands), une journée magique.
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Expérience = émotions
Je ne referais pas toute la démonstration mais une expérience c’est avant tout émotionnel. Et quand je parle d’émotion, je ne parle pas de ce que vit l’utilisateur face à l’absence de frictions ou la simplicité d’usage. Non là, c’est juste ne rien ressentir parce que ça semble normal. C’est neutre.
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De l’intuitif avant tout
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l’UX Design (incluant la démarche centrée utilisateur) suit au mot près la méthodologie de l’ergonomie : Analyser, recueillir des données, optimiser et mesurer.
Ça ne peut pas être qu’un hasard. J’en ai déjà suffisamment parlé dans d’autres articles mais le design tel qu’il est produit aujourd’hui, n’a pas été formalisé par des designers. C’est une vue d’ingénieur, de scientifique et donc par déclinaison d’ergonome.
On est bien loin, du travail des Imagineers de chez Disney. A-t-on vraiment raison d’appeler un UX designer, un designer d’expérience dans ce cas ? Je n’ai pas l’impression.
L’UX designer ne produit pas de l’expérience mais de l’ergonomie. Et il suffit de voir les attentes des clients quand nous sommes en mission pour nous en rendre compte. Il n’est pas question de faire rire, pleurer, bondir de joie les gens mais de leur retirer une épine du pied ou améliorer la performance pour l’entreprise.
Finalement ne serions-nous que des super ergonomes ?
Written by Rémi Garcia
Designer d’expérience un peu rebelle, passionné d’éducation, touche-à-tout, illustrateur et auteur à ses heures perdues. Geek dans la vraie vie.
Connu / https://twitter.com/DesignSinking/status/1224337424572129280
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Jacky Foucher @DesignSinking · 4h
Sans cesse chercher à fluidifier l'expérience plutôt que proposer des moments de vie. La fuite en avant de "l'UX"...
Bien bel article de @remigarcia
Heureusement, il y reste des "Imagineers"... #Thread
⬇️
https://medium.com/@remigarcia/o%C3%B9-se-cache-lexp%C3%A9rience-5e563959360a
.#Design #UXDesign Où se cache l’expérience ?
Le design d’expérience tel qu’il est pratiqué aujourd’hui n’est que de l’ergonomie gonflée aux stéroïdes.
medium.com
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Les jusqu'au-boutistes sont au gouvernement ! (Retraites) / •29 janv. 2020 / FRANÇOIS RUFFIN
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Le "contrat social" est menacé pour les décennies à venir, par des amateurs. C'est pas nous qui le disons, les méchants de l'opposition, mais le très neutre Conseil d'État.
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Sur des rails
... est neutre, par exemple en lui trouvant des garants. Mais le site Internet "granddebat.fr", censé permettre de le nourrir ou d'y contribuer en ligne, montre d'inquiétants symptômes de macronisme aigu.
"Adopter une posture de neutralité vis-à-vis des participants, ne pas prendre parti pour tel ou tel raisonnement, proposition ou avis". La charte du grand débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des gilets jaunes est très claire : les discussions doivent être ouvertes et aucun biais idéologique ne doit venir les orienter. Sauf que la navigation sur le site Internet mis en place par le gouvernement pour encadrer le débat (granddebat.fr), ou y contribuer en ligne, donne l'impression que cette promesse est un vœu pieu, tant les rails qui sont déroulés sur la plateforme, à coups de questionnaires et de fiches, paraissent étroits… ... leur lecture laisse un léger goût de propagande. La plus importante, concernant "la fiscalité et les dépenses publiques", étincelle qui a mis le feu aux gilets jaunes, brosse ainsi un tableau très orienté. Voici par exemple son "diagnostic" de la situation qui fait l'ouverture sur trois pages : la France, y apprend-on dans les passages mis en valeur en gras, connaît "le niveau de dépense publique le plus élevé des pays développés lorsqu’il est rapporté au produit intérieur brut (PIB)", "le taux de prélèvements obligatoires (y) est en hausse constante depuis 50 ans et est aujourd’hui le plus élevé des pays riches" et, "sur 1000 euros de dépenses publiques, l’ensemble des dépenses relatives à l’Assemblée nationale, au Sénat et au Gouvernement représente 1 euro" (tableau détaillé à l'appui). Boum. ... un parfait résumé de la doxa libérale visant à "libérer les énergies", qui a justifié un an de politique économique macroniste. Les hypothèses d'une relance de la croissance, d'une remise en question de la règle européenne des 3% de déficit ou encore de dispositifs protectionnistes sont passées sous silence. ... s'il n'a pas encore compris la nécessité absolue de réduire les impôts, doit répondre à une question bien orientée : "Quels impôts faudrait-il, prioritairement, réduire davantage ?". ... la piste du rétablissement de l'ISF n'est évidemment pas soulevée. ... le gouvernement semble se soucier davantage de prendre le pouls du peuple que de débattre avec lui.
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2 219 - 12 - 10 - 0
Texte de la vidéo à télécharger ici mooc.jardiniersdunous.org/?WikiAdmin/download&file=Introduction_de_la_mthode_des_6_chapeaux__CcileCarceles.pdf dont
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Contribution : Cécile Carceles, Romain Vignes - Licence CC By SA
... issue du travail effectué par le docteur DeBono. Dans les années 1980, le Docteur DeBono a constaté que l'élaboration de la pensée - que ce soit seul ou en groupe se fait en mélangeant différents modes de pensée ... la "pensée spaghetti" ...
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3 idées clefs. - regrouper les différents façons de pensée
utile à un projet en 6 catégories, 6 modes de pensée, chacun représenté par un chapeau de couleur. - tous les membres du groupe travaille dans un mode de pensée à la fois. Ex. évaluation des risques - Une séance de travail est structurée par l'ordre d'utilisation des chapeaux. Ainsi en fonction de la nature de notre travail collectif, la séquence des 6 chapeaux sera différente.
bleu = organiser ; Chapeau blanc: c'est le chapeau de la neutralité. L'espace où nous énonçons les faits, sans interprétations ou jugements. Vert = créativité ; Noir = risques ; jaune = bénéfices ; rouge = intuition ... outil de réflexion pour amener les éléments d'aide à la décision ++
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Les commentaires sont désactivés.
Ndlr : reste à pondérer ces critères à la main ou à l'aide d'un logiciel comme DESKRIPTOR...
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Territoires à énergie positive @ReseauTEPOS · 3h
Claude GRIVEL, Président @AssoUnadel
: Tout ce qui permet de faire du lien (animation, ingénierie) sur les territoires est favorable à la mise en mouvement collective. Construisons, renforçons les fondations du faire ensemble ! #TEPOS2019
Julien Delalande @JulienDelalande
En réponse à @ReseauTEPOS et @AssoUnadel
"faire du lien" : merci d'ajouter #ÉTHIQUE car quel lien plus FORT que le lien MAFIEUX ?
MERCI
#Lien #QuestionDuLien #ÉthiqueDuLien => un tiers médiateur indépendant, impartial, SANS POUVOIRS, maîtrisant le neutre sinon #InjonctionDuLien
#TEPOS2019 #Coopération #CoÉco
https://t.co/doHyU1vcHM
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La neutralité de l'internet
Un enjeu de communication
Hervé Le Crosnier et Valérie Schafer (dir.)
Les essentiels d'Hermès
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La neutralité de l'internet est un défi démocratique largement méconnu. Derrière une notion en apparence technique, se cachent des questions et des enjeux économiques, politiques et culturels (régulation, gouvernance, égalité d'accès aux données…). L'objectif de cet ouvrage est de les énoncer dans un langage clair et accessible à tous. Indispensable pour comprendre les débats actuels.
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Livre en texte intégral : https://books.openedition.org/editionscnrs/15136
Éditeur : CNRS Éditions Collection : Les essentiels d'Hermès Lieu d’édition : Paris Année d’édition : 2011 Publication sur OpenEdition Books : 20 août 2019 EAN (Édition imprimée) : 9782271072658 EAN électronique : 9782271121929 DOI : 10.4000/books.editionscnrs.15121 Nombre de pages : 176 p.
Sommaire Présentation Auteur(s)
Le débat sur la neutralité de l’internet n’est pas neutre
Valeurs et imaginaires de l’internet en question
Un peu d’histoire…
Économie et écologie de l’internet
Gouvernance et neutralité de l’internet
Des frontières politiques pour un réseau mondial
Conclusion. Neutralité de l’internet et démocratie technique
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150 citoyen·ne·s sont actuellement tiré·e·s pour rejoindre la convention citoyenne pour le climat. Mais un gouvernement obsédé par la réduction des déficits peut-il accepter de dépenser plus pour le climat ? L’exécutif est-il prêt à lâcher ses prérogatives de décisions ? Et quel crédit accorder à cette initiative face à un pouvoir qui mutile et terrorise les manifestants ? Débat.
Catégorie Actualités et politique 100 commentaires
Transcription :
... Mr Maxime Chénin chélin ? j'identifie une brèche positive et deux points qui sont vraiment problématiques. La + c'est l'esquisse de l'introduction d'une démocratie du tirage au sort. C'est nouveau et on peut s'en saisir pour pousser les feux, alimenter cette dynamique et pousser plus loin, généraliser cette démocratie du tirage au sort à l'exigence d'un tirage au sort universel de tous les élus par ex. En tout cas, commencer à installer ces questions dans le débat public avec des mandats uniques non renouvelables, des mandats impératifs. Et rappeler de ce point de vue là il faut absolument contredire l'iidéologie dominante selon laquelle l'élection serait seule démocratique alors que historiquement, l'élection, c'est une procédure aristocratique, pas démocratique. La vraie procédure de la démocratie, ça a toujours été le tirage au sort, sauf depuis qu'on a inventé la démocratie représentative ya 2 siècles. Comment agrandir cette brèche ?
Ya 2 pb potentiellement graves : Le 1er c'est le rétrécissement autoritaire du champ de délibération de l'assemblée à la seule question des émissions de gaz à effet de serre qui est une q purement technique. La démocratie délibérative, c'est de décider des questions qu'on va délibérer. Là, on reçoit un pb tombé du ciel sans doute important. Mais ya plein de manières de réduire nos ém de ges sans toucher à d'autres désastres écologiques qui sont aussi importants. Passer de la voiture à essence à la voiture électrique, ça a dû se faire en fr pourtant c'est pas du tout une solution écolo. Pareil pour un certain nbre d'énergies renouvelables industrielles. Donc le pb c'est que il faut que les citoyens qui participent à cette convention et ceux qui veulent la soutenir refusent d'être traités comme des mineurs qu'on va former avec des experts prétendus neutres parce que ya pas de neutralité du savoir scientifique.
C'est pas du tout la même chose d'aborder la q du climat et de la réduction des ges avec un ingé physicien comme jeau-Marc Jancovici ou un historien de l'environnement comme Jean-Baptiste Fressoz. ILs ne vous diront pas du tout les mêmes choses, ils n'aboutiront pas du tout aux mêmes conclusions ni préconisations. Là on a déjà un pb fort qui est que on peut pas considérer que l'assemblée est constituée de citoyens vierges de toutes convictions qui doivent être formés par des experts extérieurs. Et 2è pb : la mise sous tutelle de cette convention citoyenne par le comité de gouvernance qui est composé de 15 personnes, en gros 15 experts de la démocratie, du changement climatique, etc. Et dans la lettre de mission, ce comité doit assurer le pilotage de cette convention, superviser la mise en oeuvre de son programme de travail, définir son règlement intérieur et ses méthodes de travail. C'est quand même lourd, ça veut dire que on a un comité qui lui n'est pas du tout tiré au sort qui est constitué d'experts plutôt proches du pouvoir ou des universitaires, des savants, qui sont là pour piloter, superviser et définir les méthodes de travail de l'assemblée. Où est la démocratie ? La dém délibér c'est la liberté de déterminer par soi-même, de façon autonome ce dont on veut parler et ce qui importe.
...
=>
terminer ACT
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Cette conférence s'est déroulée lors des AMFiS 2019 avec :
La Convention citoyenne pour le climat démarrera ses travaux en octobre et les 150 citoyennes et citoyens qui la composeront seront tirés au sort dès la mi-août. Méthodologie du tirage au sort, calendrier, gouvernance… Découvrez-en les contours et son fonctionnement.
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principes dictés ci-dessous :
Neutralité : des auditions d’experts d’opinions divergentes et un comité de gouvernance composé de personnalités de la société civile intermédiaire et de citoyens.
Indépendance : un comité de gouvernance avec une maîtrise totale du processus, trois garants nommés par les trois chambres de la République. Le Président de la République n’a aucun droit de regard.
Pédagogie : une transmission de l’information et de la connaissance de façon pédagogique.
Accessibilité: une médiatisation pour rendre tout le processus visible et accessible à tous, inclusif vis-à-vis des oubliés du Grand Débat, des précaires, des minorités.
Modernité : une expérimentation démocratique pour répondre aux défis environnementaux actuels.
Incarnation citoyenne : un panel de citoyens représentatif de la diversité de la population, qui inclut les publics invisibles, les oubliés de la démocratie.
Qui seront les 150 citoyennes et citoyens ?
Les citoyennes et citoyens seront tirés au sort dès la mi-août 2019, sur la base des listes téléphoniques (85 % de portables et 15 % de fixes) et non des listes électorales pour toucher l’ensemble de la population française.
Il est également indispensable que cette Convention citoyenne soit représentative de la diversité de la société française, contrairement aux citoyens ayant participé à la consultation du Grand débat national (voir les résultats de l’Observatoire des débats sur le sujet).
Les critères seront basés sur :
Le sexe (52% de femmes et 48% d’hommes)
L’âge (des mineurs, de 16 ou 17 ans, pourraient également participer)
Le niveau de diplôme, corrigé par la profession et catégorie socio-professionnelle (près de 28% des participants seront soit sans diplôme ou titulaires du brevet des collèges)
La zone géographique (4 personnes seront issues des Outre-mer)
Un minimum de deux places seront réservées pour les personnes de grande pauvreté (SDF), qui n’ont pas forcément de téléphone.
Les citoyens qui auront été choisi seront couverts d’un demi-anonymat. Par soucis de transparence vis-à-vis du profil sociologique de chacun, tout le monde aura accès au prénom, à l’âge, à la ville et à la photo des membres y siégeant.
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Clés : Citizen Democracy Convention Citoyenne Démocratie Participative Assemblée
Connu / https://twitter.com/OpenGovFr/status/1164094695611539456
" Démocratie Ouverte @OpenGovFr · 12h "
Ndlr :
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L'histoire est indispensable pour comprendre le présent : assurément... et voilà un lieu commun somme toute rassurant. Mais quelle(s) histoire(s), faite(s) par qui, et comment ? Y-a-t-il une manière neutre d'aborder le passé, ou plus recommandable que d'autres qui seraient trop orientées ou militantes ? Les historiens peuvent-ils s'ériger en arbitres des usages du passé – en particulier de ses usages ou instrumentalisations politiques ? Le savoir et l'érudition sont-ils en mesure de dire le dernier mot sur ce qui a eu lieu, et quelles seraient les conséquences de cette prétention ?
La pensée d'un philosophe du XIXe siècle, Friedrich Nietzsche (1844-1900), aide à poser ces problèmes très actuels. En 1874, dans sa deuxième "Considération inactuelle", intitulée "De l'utilité et des inconvénients de l'histoire pour la vie", Nietzsche mettait en évidence les enjeux cruciaux de la "science historique" et de notre rapport au passé. Pour nous en parler, "La grande H." reçoit Dorian Astor, philosophe, germaniste et spécialiste de Nietzsche.
Motion design Jaques Muller, montage Bérénice Sevestre.
Une émission de Julien Théry.
Pour en savoir plus
– D. Astor, Nietzsche, Biographies Gallimard, 2011
– D. Astor, Nietzsche. La détresse du présent, Folio, 2014
– D. Astor, Dictionnaire Nietzsche, Robert Laffont, 2017
– G. Colli, Après Nietzsche, trad. fr. L'éclat, 1987, rééd. 2000.
– G. Deleuze, Nietzsche, PUF, 1965, rééd. 1999
– G. Deleuze, Nietzsche et la philosophie, PUF, 4e éd. 1974
– M. Foucault, « Nietzsche, la généalogie, l'histoire », dans Hommage à Jean Hippolyte, PUF, 1971, p. 145-172, téléchargeable en ligne : https://www.unil.ch/files/live/sites/...
– M. Montinari, Friedrich Nietzsche, trad. fr. PUF, 2001.
– M. Perrot (dir.), L'impossible prison, Le Seuil, 1980
Clés : #Nietzsche #LaGrandeH
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Transcription :
... histoire neutre, impartiale ? objectivité ? présuppose que l'histoire est une science ce qui n'est qu'une considération de l'histoire ... deux couples : la mémoire et l'oubli. la connaissance et l'action ... l'oubli permet des régénérations ... l'historien est un interprête ... neutre ... le constructivisme "nous ne connaissons que les objets que nous construisons" Les objets dépendent entièrement des structures de notre pensée. sujet / objet. ya des structures à priori avant tout rapport à l'expérience. sujet pensé en dehors. ... le christianisme et le vivant +++, le nihilisme
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Le secteur maritime est à l’heure actuelle responsable de près de 3% des émissions de GES mondiales, d’après l’Agence Internationale de l’Energie. Si le transport maritime était un pays, ça serait donc le 6ème pays le plus émissif de la planète. Devant la croissance attendue des flux maritimes, des actions concrètes très ambitieuses doivent être mises en place pour réduire l’impact environnemental du secteur. L’IMO (Organisation Maritime Internationale) s’est d’ailleurs engagée début 2018 à réduire les émissions du secteur de 50% d’ici à 2050, comparé aux niveaux de 2008 (à l’instar de l’ambition affichée par le secteur aérien).
Beaucoup de différents leviers seront nécessaires pour cela, avec notamment de nombreuses mesures d’efficacité énergétique et un recours très important à des énergies décarbonées (comme des biocarburants, des carburants de synthèse, de l’hydrogène, de l’ammoniac, etc.). Et aussi surprenant que cela puisse sembler, une mesure volontaire de sobriété apparaît dans le panorama des solutions : il est ainsi question de réduire la vitesse des bateaux, tout simplement.
En effet, une réduction de 12% de la vitesse des bateaux pourrait entrainer une baisse de 27% de la consommation de fioul et donc des émissions de GES [1]. Pour la première fois, plus de 100 industriels du secteur sont d’accord pour appliquer une telle mesure, l’encouragent même … alors que la tendance historique générale des différents modes de transports a plutôt toujours été de rechercher à aller plus vite.
Au-delà de son caractère original, cette mesure se prête tout de même particulièrement bien au transport maritime, pour lequel les temps de transports sont déjà longs, avec « un consentement à attendre » du client plus élevé que pour les autres modes. Par ailleurs, il faut remarquer que réduire la vitesse a aussi une contrepartie économique positive évidente, ce qui n’est pas neutre dans le soutien affiché par les 100 industriels promoteurs de cette mesure. Et ce qui peut aider à convaincre les derniers réticents. Nous suivrons désormais avec attention la façon dont l’IMO va s’emparer (ou pas) de cette proposition …
Enfin, cette actualité suscite une autre interrogation : une telle mesure ne pourrait-elle pas inspirer les secteurs du transport routier ou du transport aérien, puisque là aussi la réduction de vitesse des voitures, camions et autres avions entraînerait à moindre coût la réduction des émissions ? … À méditer !
Sources: [1] Quartz https://qz.com/1608527/the-shipping-industrys-emissions-could-be-cut-by-slow-steaming/
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Le dérèglement climatique change les cadres du débat politique et devient un prisme incontournable de lecture du monde, explique François Gemenne dans cet entretien. Dans ce contexte, les chercheurs ont un rôle majeur à jouer et ne peuvent pas se dérober.
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François Gemenne, chercheur en sciences politiques, rattaché à l’université de Liège et enseignant à Sciences Po. Ses recherches sont essentiellement consacrées aux migrations et aux déplacements de populations liés aux changements de l’environnement, notamment aux catastrophes naturelles, ainsi qu’aux politiques d’adaptation au changement climatique.
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Le chercheur doit être honnête, il ne doit pas être neutre. La science n’est pas neutre. Quand on travaille sur des phénomènes aux implications sociales aussi importantes que le changement climatique ou les migrations, on ne peut pas publier ses résultats dans des revues académiques et ne pas prendre part au débat. Le climatologue qui fait des mesures de concentration de gaz à effet de serre et qui voit que ça s’emballe, ne peut pas se contenter de publier ses travaux dans Global Environmental Change. Bien sûr qu’il doit sonner l’alarme, bien sûr qu’il doit s’impliquer dans le Giec ! Je me reconnais tout à fait dans la démarche du Giec : fournir un condensé de la science, et laisser les politiques prendre leurs décisions.
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En coulisses - Grand débat : on fait le bilan
1 700 000 contributions, des milliers de réunions partout en France, des thèmes qui s’imposent comme la justice fiscale, le pouvoir d’achat et l’écologie... Et, une question : Comment sortir du grand débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des gilets jaunes ? Entre Chartres, Paris et Troyes, les reporters de C politique étaient la semaine dernière dans les coulisses de la dernière semaine de débat. En plateau, décryptage de Camille Girerd.
Catégorie Actualités et politique 6 commentaires
Transcription :
... 7:42 les garants critiquent l'omniprésence du président de la république et des ministres la non neutralité dès le début, dont Pascal Périneau ... rejoint chantal jouaneau manque d'impartialité ...
ndlr :
C politique S10 : Gilets jaunes : la guerre souterraine entre mouvements d'ultra gauche et d'ultra droite
diffusé le dim. 17.02.19 à 18h35 disponible jusqu'au 19.03.19 politique - 77 min - tous publics
présenté par : Karim Rissouli
Karim Rissouli, entouré de Camille Girerd, Thomas Snégaroff et ... style="font-family: 'Arial',sans-serif;">Luc Hermann, propose de revenir sur les temps forts de l'actualité en présence d'un invité fil rouge. Invitée fil rouge : Dominique Schnapper, sociologue, auteure de « La citoyenneté à l'épreuve » (Gallimard) et « L'Abécédaire de Raymond Aron » (ed. de l'Observatoire). En Coulisses : La bataille des ultras C Politique vous emmène dans les coulisses de ces mouvements d’ultra gauche et d’ultra droite qui se sont affrontés en marge des manifestations des Gilets jaunes. Qui se cache derrière ces groupuscules ? Reportage à Lyon, théâtre de violents affrontements la semaine dernière, et décryptage en plateau avec Camille Girerd. Sur le terrain : La marche du RIC Acte XIII du mouvement des Gilets jaunes ce samedi. Leur revendication principale : le RIC, le Référendum d’Initiative Citoyenne. Certains Gilets jaunes ont donc commencé une grande marche qui part de plusieurs villes de France et qui doit tous les mener à Paris le 17 mars prochain. Maxime Darquier était sur le terrain samedi au coup d’envoi de cette marche à Marseille. Qui est Ismaël Emelien, l’ancien bras droit d’Emmanuel Macron qui a démissionné cette semaine ? C’est l’autre actu de la semaine : la démission d’un homme de l’ombre mais qui était considéré comme l’homme le plus influent dans l’entourage du président, son plus proche conseiller : Ismaël Emelien. Le stratège d’Emmanuel Macron, 31 ans seulement, n’a quasiment vu aucun journaliste depuis l’élection du président. Mais cette semaine, il a choisi une journaliste du Point pour annoncer sa démission. La femme qui l’a rencontré, Laureline Dupont, est l’invitée de C Politique.
Et la suite : https://www.youtube.com/watch?v=FaoM6pxYybQ
TRANSCRIPTION :
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la presse n'était pas neutre après guerre / choha génocide contre les juifs, antisémitisme ... grande marche du RIC
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Marianne Compte certifié @MarianneleMag 10 hil y a 10 heures
Philippe-Joseph Salazar : "L'Etat impose son langage"
4 réponses 15 Retweets 22 j'aime"
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https://www.marianne.net/debattons/entretiens/grand-debat-l-etat-impose-son-langage
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Le grand débat ?
Société
Grand débat : "L'Etat impose son langage"
Publié le 20/01/2019 à 13:00
Emmanuel Lemieux
Le "grand débat" ? C'est mal parti. Selon le philosophe Philippe-Joseph Salazar, la difficulté de débattre est une spécificité française. Ce pays...
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Politique Grand débat national
Nommés par le gouvernement et les présidents du CESE, de l’Assemblée nationale et du Sénat, les cinq « garants » devront « garantir l’indépendance » de la grande consultation lancée par le gouvernement le 15 janvier.
Temps de Lecture 3 min.
Jean-Paul Bailly, Pascal Perrineau, Nadia Bellaoui, Guy Canivet et Isabelle Falque-Pierrotin ont été désignés, jeudi 17 janvier, « garants » du grand débat national voulu par Emmanuel Macron. Outre ces cinq « garants », qui veilleront donc à l’indépendance du débat, deux membres du gouvernement, le ministre Sébastien Lecornu (collectivités territoriales) et la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon (transition écologique), sont chargés de « faire vivre le débat et d’en suivre l’évolution ».
« C’est un exercice inédit qui doit permettre aux Français de dire ce qu’ils souhaitent. Il faut que ce soit bien organisé, avec des principes de transparence et d’impartialité », avait déclaré le premier ministre, Edouard Philippe, en début de semaine. L’exécutif, chargé de désigner deux « garants », a complété jeudi soir les trois premiers noms communiqués par les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique, social et environnemental.
Jean-Paul Bailly et Isabelle Falque-Pierrotin choisis par Matignon
Ancien président de la RATP et de La Poste (entre 2002 et 2013), Jean-Claude Bailly, 72 ans, était pressenti pour être désigné par l’exécutif depuis plusieurs jours. Le deuxième choix du gouvernement s’est porté sur la conseillère d’Etat Isabelle Falque-Pierrotin, 58 ans, actuelle présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), où elle supervise notamment l’application du Réglement général de protection des données personnelles (RGPD) en France.
Entretien avec Isabelle Falque-Pierrotin : « Le but de la CNIL n’est pas la sanction tous azimuts »
Pascal Perrineau nommé par Gérard Larcher
Le politologue et spécialiste de sociologie électorale Pascal Perrineau a été choisi par le président du Sénat, Gérard Larcher. Ancien directeur du Cevipof, le centre de recherche politique de Sciences Po, Pascal Perrineau, 68 ans, s’est notamment spécialisé dans l’étude de l’extrême droite en France et en Europe.
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M. Larcher ... « le terme de “garant” ne [lui paraissait] pas approprié ». « Nous n’avons rien à garantir mais à observer le bon déroulement de ce débat », a-t-il ajouté, citant « les conditions du débat, son déroulement, sa neutralité et sa sincérité ». « ... je ne suis pas dupe non plus, a prévenu, jeudi, M. Larcher. Nous n’avons pas été associés à la façon dont il a été imaginé ni à la façon dont il a été organisé. » Mais, ... après deux mois de crise politique et sociale, « il nous faut retrouver ce qui fait le ciment de notre nation, les valeurs qui fondent notre pacte républicain ».
L’ancien magistrat Guy Canivet désigné par Richard Ferrand
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Nadia Bellaoui, la préférence du CESE
La secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement, Nadia Bellaoui, a été nommée par le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Patrick Bernasconi. « Agée de 43 ans, Nadia Bellaoui a, tout au long de son parcours, marqué un profond engagement dans le mouvement associatif, au service de l’intérêt général, fil conducteur de son engagement citoyen », a expliqué le président du CESE, troisième assemblée (consultative) de la République, justifiant son choix. Mme Bellaoui a été notamment « membre du Haut Conseil à la vie associative puis présidente du Mouvement associatif et administrateur de la fondation La France s’engage », ajoute-t-il.
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le chef de l’Etat avait adressé une lettre aux Français pour tenter de cadrer les enjeux de cette grande consultation.
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L'invité de 8h20 : le grand entretien
Richard Ferrand, président de l'Assemblée nationale, est l'invité du Grand Entretien de France Inter, alors qu'Emmanuel Macron lance le premier jour du débat national, dans l'Eure.
Richard Ferrand est d'abord revenu sur la question du "grand débat" organisé dès aujourd'hui par le gouvernement : "C'est d'abord une grande respiration démocratique : que les Français prennent la parole, c'est ça l'enjeu, que permettent que des questions surgissent, pas que les question des responsables publics (...) Que l'on partage les complexités."
Et pour répondre aux critiques émises par Chantal Jouanno, après la fin de mission de la Commission nationale du débat public qu'elle présidait :
"Il faut bien qu'à un moment donné, quelqu'un tienne le manche de l'organisation (...) Le comité des garants veillera à sa neutralité (...) Il ne faut pas commencer les choses avec le point qui pourrait jeter le doute."
Le grand débat permettra-t-il de revenir sur la question de l'ISF ? "Pourquoi s'accrocher à l'ISF ?" répond Richard Ferrand. "L'enjeu n'est pas de détricoter l'ensemble de ce qui a été mis en place (...) Il faut écouter ceux qui s'expriment mais aussi se souvenir que la majorité est souvent silencieuse."
Il faut arrêter d'en faire un totem (...) aussi longtemps qu'il a existé, il n'a pas servi à notre économie
Le président de l'Assemblée Nationale veut aussi "que sur un certain nombre de débat, on tire des conclusions concrètes, évaluées, débattues et mises à l'œuvre (...)", qu'il faut "se saisir des grands sujets de notre société, de ce qui fait débat (...) L'expression de la démocratie (...) n'est pas l'empilement de plusieurs minorités".
Tous les sujets peuvent être abordé (...) Dès qu'on ouvre un débat, on ne fait pas a priori le tri
Richard Ferrand croit à la vertu pédagogique de ce grand débat : "La première vertu du dialogue, c'est d'être un antidote à la violence dont on sait qu'elle ne mène nulle part (...) On entend moins l'exaspération qui monte d'un certain nombre qui dit 'y en a marre de ces manifestations de gilets jaunes' (...) Le dialogue est le garant de la paix civile."
À chaque fois qu'un pays connait des convulsions sociales douloureuses comme celles que nous avons vécu, assez rapidement la détestation des élus apparaît
"Ce sera peut être l'occasion d'expliquer le travail parlementaire, comment fonctionne notre démocratie" espère Richard Ferrand. "La perception des Français de la personnalité d'Emmanuel Macron est aux antipodes de l'Emmanuel Macron que je connais (...) il faut repartir de la manière la plus humble qui soit, avec le dialogue."
Sur le contrôle des frais de mandat des députés de LREM
Sur l'enquête menée par la cellule investigation de Radio France sur les frais de mandat de Anne-Christine Lang, députée LREM, accusée de détournement de son enveloppe parlementaire à des fins personnelles : Richard Ferrand évoque "des fait déroulés sous la précédente législature."
Cette députée va rembourser ce qui a fait l'objet, selon elle de négligence, et elle s'entretiendra avec la déontologue de l'Assemblée
"100 % des parlementaires seront contrôlés pendant cette mandature sur l'usage des frais de mandat" ajoute le président de l'Assemblée, qui évoque des contrôles lancés "dès le 30 janvier" et s'interroge aussi sur ce travail d'investigation :
Cette enquête (...) constitue la traduction d'un désir de transparence, mais aussi une contribution aux dénigrements des parlementaires sur la nécessité desquels je m'interroge
Légende du visuel principal: Richard Ferrand © AFP / Thomas SAMSON / AFP
Les invités
Richard Ferrand
Président de l'Assemblée Nationale
L'équipe
Nicolas Demorand Journaliste
Léa Salamé Journaliste
Mots-clés : Info Richard Ferrand La République en marche ! Gilets jaunes Politique Emmanuel Macron Chantal Jouanno débat
Transcription :
.... l'indépendance et la neutralité sera totale ... cinq garants ... les cahiers avec déjà 3200 contributions ... tenir le manche de l'organisation concrète ... c'est le comité des garants qui tiendra indépendance et neutralité. Chacun pourra conduire le débat qui lui convient ... la confiance ne se décrète pas ... saisi de la question des garants hier soir ... doute / parler de tout mais pas l'isf, on n'y reviendra pas. mais il n'y a pas de sujet tabou ... 100 00 fr manifestent mais la majorité est silencieuse 21 millions d'électeurs (au 2è tour fait remarquer Lea Salamé. ... ne sait pas encore comment sera coclu ledébat sic ... démocratie expression d'une majorité ... 80 km/h par décret ... le débat pour mieux expliquer ... letri, on e fera collectivement et en toute transparence (sic) ... crise de la démocratie représentative ... yen a marre de ces gilets jaunes ... le dialogue garant de la paix civile ... démocratie participative ... pas de conclusions hâtives ... dépasser les clichés ... expliquer le travail parlementaire ... sursaut civique ...
Q : Stéphane /ISF réd fiscale /pme innovantes supprimé car accompagnait l'ISF donc contrevérité /mise au rebut du rapport Borloo Rép : intéressant ... déni /th du ruissellement ...
Claire : retraitée a voté Macron vit bien /LREM n'a pas réussi à contacter l'antenne locale !
ndlr :
la_république_en_marche-LREM
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By Collectif on 1 janvier 2019 Laïcité
Depuis 113 ans, la Loi de séparation des Églises et de l’État est un texte fondateur de notre République. Cette loi et nulle autre, assure la liberté de conscience et affirme sans ambiguïté ni faux-semblants que la République ne reconnaît, ne salarie, ne subventionne aucun culte. Elle garantit le libre exercice des cultes assuré par des associations dont l’objet et le patrimoine doivent être strictement cultuels.
Par l’esprit et la lettre, elle œuvre au rassemblement des êtres humains par-delà leurs différences. Avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, elle est au cœur du fonctionnement de notre vie collective, elle est le moteur du développement de nos libertés, elle contribue de manière décisive à l’égalité entre tous les citoyens quelles que soient leurs convictions.
La Loi de 1905 est la clé de voûte de l’édifice démocratique et républicain qui nous abrite et l’expression de l’idéal de justice et de fraternité universelle qui nous anime. Le principe de laïcité qui en découle est si fondamental qu’il a été inscrit à l’article 1er de notre Constitution.
Par l’universalité des principes qu’elle affirme et des dispositions qu’elle édicte, la Loi de séparation s’applique à tous les cultes et pose le principe de leur adaptation à la société républicaine. Non l’inverse.
Les signataires de l’appel sont conscients des inquiétudes soulevées par les menées communautaristes et par les dérives intégristes de l’islamisme politique, qui affaiblissent la société française. L’organisation du culte musulman, la transparence de ses financements et le contrôle du respect de l’ordre public par les organes cultuels sont les trois préoccupations que met en avant le gouvernement pour envisager la révision de la Loi de séparation.
En aucun cas la modification de cette Loi ne saurait être l’un des moyens de droit permettant de résoudre ces graves problèmes. L’organisation d’un culte et a fortiori ses principes théologiques ne regardent pas l’État mais les croyants et les pratiquants. La transparence du financement privé des cultes peut être assurée par des mesures de police fiscale et par des contrôles étroits autorisés par les lois françaises. La police des cultes est déjà entièrement contenue dans la Loi de 1905. Quant à la lutte contre les menées subversives et terroristes, elle ne relève pas de cette loi.
Au moment où l’unité citoyenne et la paix sociale sont mises en péril, il ne peut être question d’affaiblir leurs fondations en ouvrant la voie aux exigences de tous les groupes de pression et en relativisant le caractère inviolable de leurs principes.
C’est pourquoi les signataires demandent à tous les citoyens et toutes les citoyennes, toutes les associations, tous les syndicats, tous les partis politiques républicains de se rassembler autour de cet appel pour en faire une très large pétition nationale exigeant le respect de la Loi de Séparation des Églises et de l’État du 9 décembre 1905.
ASSOCIATIONS
Agir pour la laïcité et les valeurs de la République ; Association des libres penseurs de France (ADLPF) ; Association Européenne de la Pensée Libre (A.E.P.L) ; C.A.E.D.E.L. – Mouvement Europe et Laïcité ; Comité 1905 PACA ; Comité Laïcité République (CLR) ; Conseil National des Associations Familiales Laïques (C.N.A.F.A.L) ; EGALE ; Esprit Laïque ; Fédération française du Droit Humain ; Fédération nationale des DDEN ; Forces Laïques ; Fraternelle parlementaire (FRAPAR) ; Grand Orient de France ; Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité ; Grande Loge Féminine de France (GLFF) ; Grande Loge Mixte de France (GLMF) ; Grande Loge Mixte Universelle (GLMU) ; la Ligue du Droit International des Femmes (LDIF) ; Laïcité Liberté ; Le Chevalier de la Barre ; Les VigilantEs, réseau féministe universaliste et laïque ; Libres MarianneS ; Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA) ; Lumières laïques – Cercle Maurice Allard ; Ni Putes Ni Soumises ; Observatoire de la Laïcité de Provence (O.L.P.A) ; Observatoire de la Laïcité de Saint-Denis ; Observatoire de la Laïcité du Val d’Oise ; Regards de Femmes ; Réseau 1905 ; Syndicat de l’inspection de l’Éducation nationale (SI.EN-UNSA) ; Union des Familles Laïques (UFAL) ; Viv(r)e la République
univers(a)(e)l(i)(s)(m)(t)(é)(l)(e)(s)
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Le mouvement des Gilets jaunes est remarquable, à bien des titres, spécialement parce que les aspirations à plus de justice sociale y apparaissent fortement associées à l’attente d’une transformation profonde de la démocratie, dans toutes ses dimensions. Le système institutionnel bien sûr, mais aussi la représentation de toutes les catégories sociales, ou encore les formes multiples de la participation démocratique et la prise en charge d’intérêts structurellement marginalisés sont questionnés.
Nous, chercheuses et chercheurs en sciences humaines et sociales assemblé·e·s au sein du Groupement d’intérêt scientifique « Démocratie et participation », sommes interpellé·e·s par ce que nous interprétons comme un appel à une république plus « participative » et par des pratiques qui s’attachent d’ores et déjà à la mettre en œuvre au quotidien, entre citoyennes et citoyens. Sans être formulé dans ces termes – la démocratie participative n’étant pas explicitement revendiquée – cet appel prend cependant forme au croisement de propositions plus ou moins creusées qui s’y rattachent fortement : assemblée citoyenne, référendum d’initiative populaire, débats décentralisés. Ces revendications démocratiques, leur émergence comme leur structuration via l’usage des réseaux sociaux ou l’organisation d’assemblées populaires, témoignant d’une profonde défiance à l’égard de la représentation et d’une aspiration à l’horizontalité, ne sont pas en elles-mêmes nouvelles. Ce qui est plus original, c’est qu’elles ne sont pas portées par le petit cercle de leurs promoteurs habituels. Autrement dit, alors que nous observons et contribuons depuis des années à des expériences participatives souvent pensées et pratiquées du haut vers le bas, une forme de demande sociale s’exprime sous nos yeux.
Il serait tentant d’annoncer aux Gilets jaunes que les dispositifs participatifs ne manquent pas et que nous sommes prêt·e·s à leur en livrer le mode d’emploi. Ce serait pourtant contraire à notre posture de chercheuses et chercheurs en participation, et présomptueux, de considérer que les réponses institutionnelles et procédurales aux attentes démocratiques des Gilets jaunes existent, que nous n’avons pas besoin de leurs propositions et qu’il suffirait d’élargir ou de généraliser ce qui se fait déjà. De surcroît, l’aspiration à une vie démocratique ne saurait être enfermée dans quelques solutions procédurales vite digérées. D’autant moins que de multiples expériences participatives, aussi étudiées et renseignées soient-elles, montrent d’importantes limites tant dans leur capacité à élargir le spectre de « ceux qui participent » que dans leur influence réelle sur les décisions. Par contre, l’observation et l’étude de ces dispositifs, que les chercheuses et chercheurs réuni·e·s au sein du Gis mènent depuis plusieurs années, peuvent fournir de précieux éléments sur les opportunités mais aussi sur les risques de ce qui va se construire dans les semaines et les mois qui viennent.
Prise au sérieux, la participation conduit d’abord à ouvrir de vraies possibilités de débats pluralistes, d’interpellation et de proposition pour les citoyennes et citoyens, et à garantir leur indépendance en dehors des échéances électorales. Cela peut concerner l’ensemble des politiques publiques (notamment économiques, fiscales et monétaires), et ce à tous les niveaux. Elle conduit ensuite à reprendre à nouveaux frais la question de l’articulation de cette démocratie participative avec la démocratie représentative, dont les limites sont bien établies à tous les échelons territoriaux, de la commune à l’Europe. De plus, la participation ne saurait conduire à délégitimer les autres formes d’expression ou d’expérimentation démocratiques, y compris celles qui s’expriment sur un mode radical. Nos recherches montrent à cet égard que la vitalité des formes plus conflictuelles d’interpellation est bien souvent une condition d’épanouissement des dispositifs participatifs comme d’aboutissement de décisions mieux ajustées à l’état réel de notre société. Enfin, pour être crédible, la concertation à venir doit s’entourer de toutes les garanties désormais bien identifiées (marges de manœuvre politique, moyens financiers et humains cohérents, animation neutre et indépendante, calendrier réaliste…). La réunion de ces conditions suppose à minima l’assurance de la transparence des échanges et un contrôle démocratique sur le traitement, les synthèses et les comptes rendus de l’immense matériau qui sera rassemblé, ainsi qu’un retour sur l’usage qui en sera fait dans les décisions publiques, justifiant ce qui est gardé ou non des propositions faites dans le débat.
Au-delà de cette expérimentation à laquelle nous sommes prêt·e·s à contribuer, nous réaffirmons l’urgence sociale, politique et environnementale d’une vie démocratique, parce que celle-ci conditionne la capacité de nos sociétés à aborder de front les déchirures qui la traversent et à relever les défis à venir.
La direction collégiale et le Conseil scientifique
du Gis Démocratie et Participation
ndlr :
L’affaire Séralini et la confiance dans l’ordre normatif dominant de la science
Florence Piron, Université Laval et Thibaut Varin, Université Laval
cet article est sous licence CC BY SA
Vous pouvez télécharger pour le lire en intégralité en pdf
http://www.implications-philosophiques.org/pdf/Piron-Varin.pdf
sinon, la suite
http://www.implications-philosophiques.org/actualite/une/laffaire-seralini-22/
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Info Marianne
Gilets jaunes : les 8 porte-parole poursuivent finalement l'aventure
Par Alexandra Saviana
Publié le 26/11/2018 à 19:48, modifié le 27/11/2018 à 19:33
Après l'annonce, ce lundi 26 novembre, de la nomination de huit "communicants officiels" du mouvement des gilets jaunes, le profil de l'un d'entre eux, un ex-journaliste syndiqué, a posé problème. Ce mardi, les gilets jaunes nous ont rappelés pour nous dire que son cas avait été résolu.
Jason Herbert continue l'aventure !Mise à jour, mardi 27 novembre
Après réflexion, les gilets jaunes nous ont rappelés ce mardi soir pour nous indiquer que la participation de Jason Herbert à la délégation ne serait finalement pas remise en question. Plaidant un problème de communication entre les membres, l'un des huit porte-parole désignés, Maxime Nicolle, nous a assuré que le Charentais resterait bien "communicant officiel". Concernant son appartenance syndicale qui faisait tiquer lundi, comme nous vous l'expliquions dans l'article ci-dessous, le cas a été résolu en s'appuyant sur le communiqué publié par le mouvement, selon lequel "le soutien des syndicats est accepté à l'unique condition qu'il ne serve par les intérêts d'une branche d'activité qu'ils représentent, mais seulement des citoyens". "Or, poursuit Maxime Nicolle, Jason nous a expliqué qu'il n'afficherait pas ses convictions syndicales, il a donc été décidé qu'il restait". Une première médiation efficace.
...
"nous avons découvert qu'il y a une personne sur les huit qui aurait apparemment caché qu'elle était syndiquée". Et de promettre : "Si c'est vérifié, la personne sera sortie de la délégation (…), elle ne pourra pas rester".
Cette personne, c'est Jason Herbert, un Charentais de 25 ans, ex-journaliste, aujourd’hui chargé de communication et… membre du Conseil national des journalistes de la CFDT-Journalistes. Difficile, pourtant, de dire que son engagement syndical était "caché" : une simple recherche sur Internet permet de trouver un article du site de la CFDT qui lui est consacré, indiquant qu'il y est "inscrit depuis le 29 mars 2017". Une recherche un peu plus approfondie nous apprend encore qu'il est devenu en début d'année l'un des plus jeunes conseillers prud'homaux de France.
Un engagement qui suffit à rendre le jeune homme suspect aux yeux de certains gilets jaunes… "On veut à tout prix préserver la neutralité du mouvement. Il n'y a que comme ça que l'on pourra garder notre crédibilité auprès de gens qui se battent tous les jours pour leur survie", plaide Maxime Nicolle. Gloups.
Lire aussi
"Guerre", "peste brune", "honte" : Macron et le gouvernement lâchent leurs mots face aux gilets jaunes
....
par Alexandra Saviana
@alex_svn
Journaliste société
Clés : Gilets jaunes syndicats
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Nos valeurs
L’objectif d’un atelier Saisir n’est ni de mettre tout le monde d’accord, ni de rétablir une hypothétique lecture objective des faits.
C’est un échange horizontal, qui se nourrit des expériences, des connaissances, des lacunes et contre-sens de chacun pour améliorer notre compréhension de l’actualité et de la place qu’on y occupe en tant que citoyen.
Aux valeurs d’objectivité et de neutralité qui présupposent l’existence d’une vérité exclusive, nous préférons celles de fiabilité, de réflexivité, de considération et d’émancipation – individuelle et collective.
L’équipe projet
Saisir est une association loi 1901 dont les membres fondateurs se sont réunis autour d’un intérêt commun pour les conditions d’émergence d’une citoyenneté active.
Forts de plusieurs années d’expérience professionnelle dans le champ de la participation citoyenne, ils ont piloté et animé de nombreux dispositifs participatifs : débats publics, jurys citoyens sur des politiques publiques, co-construction de projets urbains, formation de citoyens, d’agents territoriaux et d’élus à la participation, concertation sur des grands projets d’infrastructures…
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Damien Fauvel
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1) Croiser les expériences pour enrichir la méthodologie d’intervention
2) Travailler et garantir le positionnement idéologique de l’association
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On ne peut pas contester la filière nucléaire française. C’est le constat fait par l’auteur de cette tribune, qui raconte comment les opposants — dont lui-même — au projet d’enfouissement des déchets nucléaires Cigéo, dans la Meuse, connaissent quotidiennement les pressions policières et des condamnations autoritaires.
... Face à l’ordre atomique, la neutralité serait une caution du pouvoir. On ne peut rester insensible à la désertification de ce territoire et à l’avancée inexorable du monstre nucléaire. On ne peut rester neutre face à l’obscénité politique qui impose ce projet.
Gaspard d’Allens est opposant au projet d’enfouissement de déchets nucléaires Cigéo. Il est aussi journaliste — il travaille notamment avec Reporterre — et écrivain, coauteur de Bure, la bataille du nucléaire et de Les Néopaysans, tous deux aux éditions Le Seuil-Reporterre.
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Les dérives autoritaires se répandent comme une marée pestilentielle
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Je rappelle que la propriété du bois est contestée. Qu’un flou juridique plane sur cette forêt et que l’Andra a été condamnée pour avoir effectué des travaux illégalement. Je m’étais ainsi opposé à l’arrivée d’une pelleteuse, le 23 janvier 2017, en me mettant symboliquement devant elle. Un journaliste de France 3 était là pour filmer. Où se trouvait la violence ? Une opposante a été molestée par des vigiles. Sa plainte, classée sans suite. Les bulldozers ont rasé des cabanes alors que les occupants n’étaient pas encore expulsables… Que fait-on du droit, de la légalité ? En février 2017, le tribunal administratif allait juger que l’Andra n’était pas propriétaire du bois…
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La filière nucléaire n’accepte pas la contestation. Et c’est quand on lui donne de la visibilité qu’elle déploie toute sa violence. Qu’elle écrase, qu’elle atomise. Je sais que c’est pour cette raison que je suis ciblé, ce jugement pour entrave n’est qu’un prétexte pour nous intimider et nous faire taire.
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Dans l’opposition à Cigéo, une militante historique de 60 ans s’est retrouvée en garde à vue pendant 50 heures au début de l’été. Un maraîcher a eu un procès pour avoir transporté un opinel et une pelle à tarte dans son camion. Le 20 juin 2018, notre avocat a été interpellé, mis en garde à vue et son cabinet fouillé. Une association de malfaiteurs plane sur la tête des opposants. On compte au total une cinquantaine de procès, deux ans de prison ferme cumulés, 26 interdictions de territoire…
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Comment se fait-il qu’un sujet aussi majeur soit autant invisibilisé ? Comment se fait-il que l’État ait distribué plus d’un milliard d’euros dans la région avant même l’existence légale de ce projet ? Comment se fait-il que les bilans du débat public en 2005 qui concluaient à la nécessité d’un stockage en surface n’aient pas été respectés ? Comment se fait-il qu’on ne parle jamais des deux travailleurs morts au cours du chantier ? Comment se fait-il que l’Andra offre aux notables du coin des parties de chasse dans de magnifiques domaines forestiers ? Pourquoi organise-t-elle des sorties scolaires dans son laboratoire ? Comment se fait-il que le conseil municipal de Mandres-en-Barrois ait voté l’échange du bois Lejuc avec l’Andra en 2015 alors que la population s’était prononcée contre ?
Je ne veux pas vivre le journalisme de manière désincarnée et hors-sol.
... Cigéo vise à enfouir le problème plus que les déchets, à 500 mètres de profondeur, dans le déni et l’hypocrisie.
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L’État, après avoir séparé les individus les uns des autres par sa politique néolibérale, voudrait maintenant séparer les individus en eux-mêmes. On ne pourrait pas être avocat et militant, journaliste et opposant. Il faudrait choisir. Se couper en deux, faire de nous des êtres atrophiés, des « hommes unidimensionnels », comme l’écrivait Herbert Marcuse.
Je refuse cette mutilation. Je suis autant journaliste qu’opposant au projet Cigéo. Cela ne rend pas moins légitime mon discours. Chercher une vérité qui se donne dans un quotidien plus qu’elle ne s’objective. Que je me retrouve aujourd’hui devant la justice ne m’inquiète pas. Je continuerai mon travail.
Ce qui me fait peur, c’est que nous sommes tous incarcérés dans une société nucléaire qui impose son pouvoir comme jamais un tyran n’y était parvenu. 24.000 ans, c’est la demi-vie du plutonium 239. Un fardeau dont chaque génération héritera, sans possibilité de s’en délivrer.
Alors, que dire face à la justice qui essaye de nous mettre dans des cases, de nous transformer en malfaiteurs ? Que dire si ce n’est que nous ne partageons pas le même monde, le même langage ? Les mêmes espérances.
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OpdOp est un projet d'opérateur d'opérateurs coopératif dont la mission est d'accompagner le développement d'opérateurs locaux, avec des garanties d'indépendance et de neutralité.
Mutualisation
OpdOp permet aux opérateurs locaux de se concentrer sur leur développement local tout en bénéficiant d'une solidarité inter-régionale. Pour ce faire OpdOp mutualise des infrastructures réseau sur le territoire et les détaille dans son catalogue.
Il s'agit d'apporter, en toute neutralité, les services et le support dont les nouveaux opérateurs ont besoin, un peu partout.
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Paris FON
Volet historique de la mutualisation d'infrastructures, une boucle en fibre noire sur Paris et RP interconnecte les principaux datacenters et permet aux opérateurs de diversifier leurs implantations tout en maitrisant au mieux leur backbone.
Un service de longueur d'onde niveau 1 (simplement allumée) est le fer de lance de ce premier volet régional.
Une SARL OpdOp a donc été créée à l'été 2013, par trois associés (Laurent Guerby, Bruno Spiquel et Sylvain Vallerot) aucun n'était plus majoritaire et les principes coopératifs déjà statutairement inscrits.
Cette SARL a muté sous statut de Société Coopérative d'Intérêt Collectif durant l'été 2014, suite à la décision de l'assemblée du 13 juin 2014.
La SCIC va récupérer progressivement les activités initialement développées par ManyOnes, lorsqu'elles seront stables et mutualisables. C'est l'acitivité de LIR qui est la première à bénéficier de cette migration en 2014.
La SCIC est ouverte à l'entrée de nouveaux membres coopérants, merci de nous contacter pour recevoir le dossier d'adhésion, qui sera ensuite examiné par le bureau.
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Les membres
Les opérateurs qui souhaitent devenir membres partagent notre vision d'un «réseau» commun. Ce «réseau» est un outil auquel participent ses membres pour les services de mutualisation d'infrastructure, d'interconnexion et de support ou de ressources qu'il leur apporte, mais sans objectif lucratif. Il est géré de manière coopérative.
Il accueille les opérateurs de toutes tailles, qui s'expriment dans des collèges différents selon leur usage du réseau. Les question de concurrence, de marché, de relations commerciales entre membres n'ont pas d'intérêt sur ce réseau. Il a une visée nationale motivée par la nécessité de l'apport d'alternatives en régions pour permettre l'émergence d'initiatives locales. Il ne cherche l'exclusivité ou la situation de monopole en aucune manière.
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Opdop SCIC
OpdOp est immatriculée au Registre de Commerce de Paris sous le numéro 795 177 484 depuis 2013, sous la forme d'une Société Coopérative d'Intérêt Collectif à capital variable minumum de 560 euros.
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ManyOnes SARL
ManyOnes existe sous forme de SARL immatriculée au Registre de Commerce de Paris sous le numéro 449 031 574 depuis 2005.
Elle a opéré en 2009 un virage stratégique afin de rendre son infrastructure disponible pour l'accueil de projets de mutualisation d'infrastructure neutres, notamment en se débarassant de tout service de type IP qui pourrait constituer une concurrence vis-à-vis de ses membres. À ce jour ManyOnes n'opère plus ni AS, ni adresses IP.
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Devenir des services
Les activités de développement d'infrastructures partagées que ManyOnes a développées entre 2009 et 2013 sous la marque OpdOp continuent à être exploitées et développées sous ce nom, et seront cédées à la SCIC OpdOp lorsque leur maturité le permettra. Cette migration a déjà été réalisée pour les services de LIR et doit l'être dès que possible pour les services mutualisés de longueur d'onde.
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Ajoutée le 29 avr. 2018
Matérialisme dialectique et historique
--PLAN --
La pensée marxiste et son actualité : 170ème anniversaire du manifeste Café Marxiste 03 mars 2018 - Loïc Chaigneau
Introduction
Manifeste (exposé théorique) Du parti communiste (Pratique)
I - Philosophie de l’histoire de Hegel (Marx – Dietzgen)
Marxisme (Materialisme Dial-Hist) subjectif, objectif ? Adhésion de principe ? idéologie ?
II – Penser transformer présent : enjeu lutte des classes.
LE PROLÉTARIAT - P.65
III – Forces politiques à gauche :
CCL : Reconstruire le parti de la classe révolutionnaire / héritage de droit / Homme total et division du travail.
Catégorie
Éducation
]]>ndlr : rapport intéressant fait (un peu par des tiers médiateurs sur l'aspect accueil, écoute des parties, impartialité des points de vue, documentations recueillies et analysées avec objectivité), mais surtout sur une posture d'audit et de propositions. Une grosse exception : la non prise en compte du fait social des zadistes à peine esquissé, ce qui introduit un gros biais politique partial. Pourquoi avoir auditionné de nombreux experts mais, sauf erreur, de ne pas avoir intégré de sociologues ? Soit c'est dû aux médiateurs, soi cela ne faisait pas partie de la commande et les médiateurs on accepté ce cadre biaisé. Sans les zadistes, les paysans historiques n'auraient pas pu tenir aussi longtemps, c'est une une très grosse erreur.
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De plus en plus de structures publiques et privées sollicitent les médiateurs numériques pour intervenir lors de rencontres dans le but d'effectuer des animations et des présentations ludiques sur le sujet de l'IoT (Internet Of Thing).
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Médiation(s)
C'est une posture : "Se mettre en empathie pour... "
La médiation est une pratique ou une discipline qui vise à définir l'intervention d'un tiers pour faciliter la circulation d'information, éclaircir ou rétablir des relations. Ce tiers neutre, indépendant et impartial, est appelé médiateur. La définition de cette activité varie selon les contextes d'application. Néanmoins, des constantes existent à chaque fois qu'un tiers intervient pour faciliter une relation ou la compréhension d'une situation et des éléments de pédagogie et de qualité relationnelle se retrouvent dans les pratiques de la médiation.
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Mots-clés > Climat, Taxation des transactions financières (TTF), Marchés financiers
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http://g3l.org/le_site/index.php?dlm/16/103 … (odt) http://g3l.org/le_site/index.php?dlm/16/104 … (pdf) cc @framasoft
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Shnoulle Thierry Thomas jfmourgues jdll_lyon
22:07 - 5 avr. 2017
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https://twitter.com/mmu_man/status/849715189859659776
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Bâtissons ensemble un Internet libre, neutre et décentralisé
Auto-Hébergement
simple boîtier VPN couplé à un serveur - créer un tunnel - serveur nomade - dissident politique, journaliste, qui souhaiterait se protéger des dérives sécuritaires
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Suite à la mise en place de la campagne Dégooglisons Internet, Framasoft souhaite impulser la création d’un Collectif d’Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires (C.H.A.T.O.N.S. !)
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CHATONS serait un peu aux services libres ce que la Fédération FDN est aux fournisseurs d’accès internet libres : un moyen de rassembler, de mutualiser, de décentraliser, de donner de la visibilité, de fédérer autour de valeurs communes, de faciliter l’essaimage, mais sans pour autant centraliser, rigidifier, contrôler ces structures.
Clés : chaton, chatons, Degooglisons, GAFAM, Google, Planet, RezoTIC
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Qui sommes-nous ?
La fédération FDN regroupe des Fournisseurs d'Accès à Internet associatifs se reconnaissant dans des valeurs communes : bénévolat, solidarité, fonctionnement démocratique et à but non lucratif ; défense et promotion de la neutralité du Net.
À ce titre, la fédération FDN se donne comme mission de porter la voix de ses membres dans les débats concernant la liberté d'expression et la neutralité du Net.
Elle fournit à ses membres les outils pour se développer et répondre aux problématiques qui concernent l'activité de fournisseur d'accès à Internet.