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Mots-clés grèves intersyndicale mouvement social Retraites
... un objectif : rendre le monde du travail ingouvernable.
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D’abord, l’ampleur des manifestations, qui s’explique en partie par l’unité syndicale, elle aussi remarquable. Les cortèges imposants ont structuré le mouvement, permis de le renouveler et donné voix à l’opposition de la population contre la réforme, avec une énergie et une créativité jamais vues depuis des décennies.
À lire aussi Créativité, endurance, joie débordante : le mouvement social a tout gagné 13 avril 2023
... les mobilisations ont su rebondir et muer ... de nouveaux publics ... notamment les étudiants, les jeunes et les lycéens.
... s’est diffusé dans la société : il s’est accompagné d’une agitation permanente et polymorphe, sous forme de blocages de sites, de manifestations spontanées et bien sûr d’un certain nombre de grèves classiques. Ces journées ont permis de créer ce « quelque chose », comme le note l’autrice Lola Lafon dans Libération : une réflexion commune, une atmosphère, une détermination, une solidarité.
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La scansion des « journées de mobilisation », multipliées comme un réflexe par l’intersyndicale, n’a pas fait bouger d’un iota le gouvernement sur le fond. À l’indifférence et au mépris s’est même ajoutée la répression ... la mobilisation massive, l’unité syndicale et le soutien de l’opinion n’ont pas débouché sur un quelconque blocage de l’économie ...
À lire aussi La réforme des retraites, symbole d’une crise de régime 6 mars 2023
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même un mouvement dur comme celui de 1995 a eu un impact mineur sur le produit intérieur brut (PIB) : 0,2 point sur le trimestre concerné.
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l’exécutif peut se permettre de tabler sur la répression et le pourrissement.
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Le risque est donc bien celui d’un épuisement du mouvement
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Organiser l’agitation économique
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l’état de la culture de la lutte n’est pas bon, y compris en France ... les conditions sont particulièrement dures. L’inflation frappe les classes populaires avec une force rare et rend l’acte de grève encore plus difficile à réaliser. ... « saisir le moment propice ». En clair : si l’on n’essaie pas, on ne peut réussir. ... tenter de prendre au sérieux le principe d’une offensive économique de grande ampleur en s’inspirant de la stratégie de « grève de masse » prônée par Rosa Luxemburg.
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implique un travail plus long et plus systématique sur la société pour organiser une forme de déstabilisation permanente du système productif. L’idée est en effet de permettre l’organisation d’un mouvement de grande ampleur fondé non pas sur un « grand moment » mais, au contraire, sur une myriade d’actions déterminées et successives dans les entreprises, venant perturber la sécurité économique et cherchant à imposer en permanence un ordre du jour politique. ... ce qui fonde le système productif, c’est avant tout la stabilité, la prévisibilité et la confiance dans l’avenir. En frappant ici, on touche l’économie en profondeur. Autrement dit, il faut porter le combat sur les lieux de travail pour que le débat politique s’amplifie. ... stratégie proposée récemment par la sociologue Aurore Koechlin. L’unité syndicale est sans doute le bon point de départ pour cet élargissement, qui permettrait de toucher des secteurs jusque-là peu mobilisés, notamment celui des services, le cœur de l’économie actuelle.
Une politisation nécessaire ?
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La politisation ne signifie pas l’entrée dans le jeu électoral, elle signifie l’élargissement du combat aux déterminants politiques et économiques qui ont produit cette réforme et ses conséquences.
Cela permet de relier concrètement les conflits salariaux à la lutte contre la réforme, d’organiser l’agitation permanente évoquée plus haut, et de déboucher sur des moments de socialisation entre les travailleurs qui renforcent et organisent l’action. La clé est la même : éviter la passivité d’une position de spectateur et d’attente au sein du mouvement social.
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aux travailleurs et travailleuses, dans leurs syndicats et en dehors, de déterminer les formes concrètes d’une telle stratégie. Mais le but est bel et bien de rendre le monde du travail ingouvernable, et de favoriser une prise de conscience qui préparera les luttes futures.
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« Rencontrer le gouvernement, pour quoi faire ? » : la stratégie des syndicats questionnée par de jeunes manifestants 6 avril 2023
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Poser sérieusement la question de la retraite revient donc immanquablement à interroger la structure de l’économie.
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construire les moyens de rendre ces défaites futures plus difficiles.
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le cadre syndical ne permet plus cette translation microéconomique de la lutte macroéconomique.
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l’unité syndicale s’est faite sur le plus petit dénominateur commun, le rejet du recul de l’âge légal de départ à la retraite ... la violence économique et sociale, symbolique et concrète, qui suivrait une défaite serait telle qu’elle rend nécessaire de tout faire pour l’éviter. Les syndicats seraient les premiers à en payer le prix.
Ndlr : quel rôle AES-PJC pour lier luttes sociales et écologiques ? ACT
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On sort les dossiers
Vit-on une crise démocratique ? Cette question a agité le monde politique ces derniers jours. C’est Laurent Berger qui a lancé la formule juste après avoir quitté la réunion qu’Elisabeth Borne voulait exploiter pour s’afficher en pleine réconciliation avec les organisations syndicales. La réforme des retraites est passée d’un coup de menton présidentiel, sans majorité parlementaire, ni soutien populaire ; nous sommes évidemment face à un problème démocratique. Mais la macronie a répondu en entonnant le refrain du “c’est légal donc ça va”.
On retrouve deux conceptions de la démocratie qui s’affrontent implicitement. L’une, rabougrie, insiste sur la seule légitimité des représentants issue de la procédure électorale. Cette réduction de la notion de démocratie risque d’entraîner le gouvernement sur la pente de l’illibéralisme du “j’ai été élu, j’ai raison, j’ai tous les droits” - a fortiori quand la soi-disant majorité politique n’est en fait qu’une fraction sociale minoritaire de la population. L’autre conception de la démocratie, élargie, ou complexifiée, donne une large place aux contre-pouvoirs, à ces différentes institutions et pratiques qui équilibrent la volonté majoritaire, et qui permettent de donner la parole au peuple en dehors des seules périodes électorales.
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Connu / TG le 24/03/23 à 18:32
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Fondé le 8 juin 1968, le Syndicat de la magistrature milite pour une justice indépendante, protectrice des libertés ...
Connu / TG le 21/03/23 à 00:49
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Samuel Legris : Étudiant en master de Sociologie, École normale supérieure Paris-Saclay / Sorbonne Université samuel.legris@ens-paris-saclay.fr
Cet article rend compte de la grande hétérogénéité des consciences sociales parmi les Gilets
jaunes. À partir d’une analyse socio-discursive des représentations du monde social de
protestataires rassemblés sur un rond-point du Berry, il vise à appréhender les conflits internes qui ont émaillé la mobilisation et leurs conséquences. À l’aune de ces résultats, la structuration du mouvement des Gilets jaunes contre ceux d’en haut est discutée.
: Gilets jaunes, mouvement social, structuration, représentations sociales, analyse socio-discursive
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Connue / tg 25/06/22 15:34 (en milieu rural)
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RÉPRESSION DU 21E SIÈCLE : CE QUE NOUS RÉSERVENT LES NOUVELLES TECHNOLOGIES
Publié il y a 3 jours • 22 vues
Avatar de la chaîne Avatar du compte Le Média Par lemediatv
Robot-patrouilleur, tour de surveillance mirador, reconnaissance faciale… Le futur de la répression s’est donné rendez-vous la semaine dernière au parc des Expositions de Villepinte à l’occasion de la 22e édition du Milipol Paris, le salon mondial de la sécurité intérieure parrainé par le Ministère français de l’intérieur.
Christophe-Cécil Garnier, journaliste à StreetPress, s’est rendu sur place et a accepté de nous livrer son témoignage.
Visibilité Publique
Publié originellement 27 octobre 2021
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : darmanin ; macron ; mouvements sociaux ; répression ; violences policières
Durée 17min 13sec
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Guillaume Deloison a retweeté Gregoire Simpson @GregoireSimpson · 11 août
Qu’est-ce que les sciences sociales nous disent du mouvement des gilets jaunes ?
Un gros thread qui vous propose un bilan sur la question, ce qui vous permettra peut-être de comparer en connaissance de cause les GJ avec les mouvements anti-pass actuels. Triangle pointant vers le basTriangle pointant vers le basTriangle pointant vers le bas
Image - 20 - 402 - 955
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@GregoireSimpson · 11 août
Le premier truc frappant, c'est à quel point ces lieux de politisation sont venus combler un manque de sociabilité, en particulier dans le monde rural où ce genre de lieux de rencontre se fait de plus en plus rare. - Image - 2 - 2 - 51
Du coup, les ronds-points emblématiques du mouvement ont été des lieux restauration de l'estime de soi, de revalorisation sociale et politique grâce aux liens et aux solidarités qui s'y sont noués.
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En tout cas qui s'est construit ce sont bien des agoras hors des institutions politiques. Ou autrement dit, des pratiques politiques autonomes et autogérées, dans lesquelles les aspirations à la démocratie était très fortes.
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Si vous voulez lire l’article en entier, vous pouvez cliquez ici pour le télécharger : https://www.docdroid.net/6UUq34i/pox-132-01771-pdf
LES SCIENCES SOCIALES EN GILET JAUNE Deux ans d’enquêtes sur un mouvement inédit Zakaria Bendali, Aldo Rubert De Boeck Supérieur | « Politix ». © De Boeck Supérieur | Téléchargé le 11/08/2021 sur...
Clés : GJ, mouvements sociaux, politisation, recension
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Social-Eco ; gilets jaunes ; mouvement social
À Paris, le 8 décembre. Pour Alexis Spire, ce mouvement « a rendu visible une population de travailleurs pauvres, qui était occultée, maintenue hors des radars ». Florent Pommier/Réa
Entretien. Auteur de Résistances à l’impôt, attachement à l’État. Enquête sur les contribuables français (Seuil), le sociologue Alexis Spire analyse les ressorts profonds de la protestation sociale en cours, ainsi que ses possibles effets politiques.
Auteur de Faibles et Puissants face à l’impôt (2012) et de l’Impunité fiscale (2015), Alexis Spire a signé, en septembre, Résistances à l’impôt, attachement à l’État (Seuil), une enquête quasi prémonitoire sur le mouvement des gilets jaunes.
D’où vient cette mobilisation ?
Alexis Spire : Sociologue, directeur de recherche au CNRS. Alexis Spire C’est un mouvement inédit qui synchronise plusieurs mécontentements, avec néanmoins une raison commune : l’exaspération de plus en plus forte, au sein des classes populaires et des petites classes moyennes, face à l’injustice fiscale et à un pouvoir d’achat qui s’effrite. Ces difficultés viennent de loin, mais ont été aggravées par l’augmentation des prix du carburant, ... l’augmentation est immédiatement visible ... La colère, toutefois, est ancienne : elle a été nourrie par l’accroissement des inégalités et l’augmentation des prélèvements proportionnels qui s’appliquent de la même façon, quel que soit le revenu, et qui pèsent très lourd sur le budget des ménages modestes.
Ce mouvement est-il le signe d’une résistance croissante à l’impôt de la société française ?
Alexis Spire Cette résistance progresse en effet. Pour les classes populaires, l’exaspération produite par l’injustice fiscale en est le moteur. Mais, dans les classes supérieures, il existe d’autres formes de résistance à l’impôt qui ne s’expriment pas de même façon et restent plus discrètes et individuelles : optimisation fiscale, départ à l’étranger, ou fraude… Les exemples sont connus et nombreux : Johnny Hallyday, Gérard Depardieu et, plus récemment encore, Carlos Ghosn.
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Durée de lecture : 13 minutes
Comment et pourquoi continuer de lutter pendant la pandémie ? Passé un temps de sidération, les voix dissidentes se font à nouveau entendre, même si, mesures de mise à distance oblige, les modes d’action doivent être repensés.
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Les plaintes, les mouvements de grève, les manifestations aux fenêtres et les formes d’auto-organisation fleurissent, donnant de l’écho aux voix dissidentes. https://reporterre.net/Partout-en-France-les-manifs-de-confinement-prennent-de-l-ampleur
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Comment « déconfiner » les revendications du mouvement social ?
La mise à distance sociale, « de rigueur et totalement justifiée, est antinomique de l’action collective », pour Éric Beynel, porte-parole de l’Union syndicale Solidaires. « C’est de la rencontre des corps qu’émergent des choses concrètes, comme nous l’avons vu ces derniers mois sur les ronds-points Gilets jaunes, dans les AG, les manifs ou sur les piquets de grève », enchérit Camille [], membre du collectif Cerveaux non disponibles.
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« la pandémie ne doit pas servir à étouffer les luttes ni l’esprit critique, dit Corinne Morel Darleux, conseillère régionale en Auvergne-Rhône-Alpes. Lutter nous permet de sortir de ce sentiment de sidération et d’isolement, de réinvestir nos souverainetés individuelles, d’exercer un peu de maîtrise sur nos vies ». Pour la militante écosocialiste, le coronavirus « ne remet pas les compteurs à zéro ». Les raisons de se battre sont même décuplées par « la pérennisation de l’état d’urgence, l’avènement fulgurant d’une société de surveillance et toutes les atteintes aux libertés publiques qui pourraient perdurer une fois la crise sanitaire terminée ».
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Le 31 mars, par exemple, une manifestation de confinement était organisée à l’appel du collectif Projections Covid-19 en soutien au personnel soignant, mais aussi contre les réformes des retraites et de l’assurance-chômage. https://reporterre.net/Partout-en-France-les-manifs-de-confinement-prennent-de-l-ampleur
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Investir le terrain judiciaire
... Le parquet de Paris et la Cour de justice de la République ont reçu des dizaines de plaintes visant des décideurs publics pour mise en danger de la vie d’autrui, abstention volontaire de prendre les mesures visant à combattre un sinistre, voire homicide involontaire [1]. Une plateforme, intitulée https://plaintecovid.fr/, propose des dépôts de plainte facilités à l’aide de dossiers préremplis.
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Jeudi 9 avril, quatre-vingt douze associations et collectifs se sont même associés pour saisir conjointement sept rapporteurs des Nations unies chargés des questions de pauvreté extrême, de santé, d’accès à un logement décent, à la nourriture, à l’eau potable et à l’assainissement, ainsi que des migrants et des défenseurs des droits humains. « Les personnes vivant à la rue, dans des squats ou des bidonvilles ne bénéficient pas pleinement des mesures de prévention du Covid-19 mises en place par le gouvernement et les autorités locales », dénoncent ces organisations. https://www.lacimade.org/presse/covid-19-personnes-vivant-a-la-rue-dans-des-squats-ou-des-bidonvilles/
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Solidaires, épaulé par les Amis de la Terre, a ainsi saisi le tribunal de justice de Nanterre, le mercredi 8 avril pour demander l’arrêt total de l’activité d’Amazon, certains salariés étant tombés malades dans les entrepôts du géant du numérique. https://reporterre.net/Un-salarie-d-Amazon-en-reanimation
À l’image des salariés d’Amazon, les classes laborieuses ne connaissent pas de confinement et sont surexposées au virus : les personnels soignants, mais aussi les caissiers, les ouvriers, les éboueurs, les facteurs, les postiers et les livreurs n’ont cessé de travailler. Solidaires a mis en place un numéro vert https://solidaires.org/Solidaires-met-en-place-un-numero-vert-d-appui-syndical accessible à tous les travailleurs, syndiqués ou non, pour répondre à toutes les questions liées aux droits vis-à-vis des employeurs en matière de sécurité, de retrait, d’arrêt maladie ou encore de chômage partiel. « Des patrons utilisent les nouvelles possibilités offertes par la loi d’urgence sanitaire pour continuer d’essorer les salariés, dénonce Éric Beynel. Soixante heures de travail par semaine, journées de douze heures… Certains vont jusqu’à mettre les salariés au chômage partiel tout en continuant de les faire travailler, d’autres demandent aux malades de ne pas s’arrêter. »
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« L’État ne nous protège pas et, en plus, il nous empêche de respirer, dit Youcef Brakni. Alors nous nous débrouillons nous-mêmes : nous demandons aux gens de filmer, coûte que coûte, pour que les organisations militantes puissent lancer le plus d’alertes possible. » Tombée à point nommé, une application baptisée UVP a été lancée le 10 mars dernier par le collectif Urgence notre police assassine. Celle-ci permet de filmer les interventions des forces de l’ordre sans qu’elles ne puissent effacer les images. http://cqfd-journal.org/Deux-menaces-pesent-sur-les
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Corinne Morel-Darleux contribue au réseau Covid-Entraide France : « Dans ces groupes, nous échangeons des informations, nous organisons l’autonomie alimentaire et le soutien aux producteurs locaux, l’aide concrète aux personnes isolées, aux sans-logis, aux détenus... C’est une façon de rester debout, de mener des actions justes. » Pour la militante écosocialiste, ces mécanismes d’organisation permettent de ne pas dépendre entièrement de l’État et sont « autant d’îlots de résistance supplémentaires qui rejoignent celles préexistantes, comme la Zad de Notre-Dame-des-Landes, les collectifs contre des projets inutiles ou ceux qui viennent en aide aux personnes migrantes. »
« Réhabilitons notre colère » *
... Car le monde de l’après Covid-19 est déjà sur toutes les lèvres. Et, déjà, les propositions se multiplient https://reporterre.net/Crise-sanitaire-les-propositions-se-multiplient-pour-penser-un-apres-plus-ecologique pour penser un après plus social et plus écologique. Le jeudi 9 avril, la Convention citoyenne pour le climat a transmis à l’exécutif cinquante propositions pour « porter l’espoir d’un nouveau modèle de société » en matière de logement, de déplacement, d’alimentation, ou encore de publicité. https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/convention-citoyenne-sur-le-climat/transport-alimentation-logement-ce-qu-il-faut-retenir-des-propositions-de-la-convention-citoyenne-pour-le-climat_3910747.html
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Joël Domenjoud craint « le risque important de décompensation au moment du déconfinement, un endormissement sur le besoin de consommer et d’oublier la fragilité de notre système ». Il faut, dit-il, « absolument se prémunir de l’amnésie collective, garder un potentiel de colère entier pour dire “hors de question que ça arrive encore une fois, ce système a mis notre vie en danger” ».
Nicolas Haeringer, du mouvement 350.org, estime que ce potentiel de colère « a trop longtemps été mis de côté, voire dévalorisé au sein des luttes écologiques, où l’on a parfois cherché à mobiliser autour de récits positifs » : « Réhabilitons notre colère, cessons de construire nos mobilisations comme si nous pouvions nous permettre de négocier avec le temps. Ce que l’urgence sanitaire rappelle, c’est que chaque fois que nous acceptons de négocier avec le temps, il y a des morts. Pesons de tout notre poids pour qu’il n’y ait pas de retour au business as usual, au règne de celles et ceux qui font profit de la destruction. »
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[*] Son prénom est modifié.
[1] Les collectifs Inter-Urgences et Inter-Hôpitaux, la Coordination nationale infirmière (CNI), Act-Up Paris et l’Association de défense des libertés constitutionnelles (Adelico) ont par exemple demandé au Conseil d’État de contraindre le gouvernement à réquisitionner les usines permettant de fabriquer les masques, les respirateurs, les tests et les médicaments nécessaires à la lutte contre l’épidémie.
[2] Jeudi 19 mars, Murielle Pénicaud s’était dite « scandalisée » de voir une antenne locale de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment inciter ses adhérents à ne pas aller travailler. « Les entreprises qui se disent que l’État paiera et qu’elles n’ont pas à travailler ne sont pas dans une attitude de civisme », avait-elle ajouté.
Lire aussi : Partout en France, les « manifs de confinement » prennent de l’ampleur
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Educause est une association américaine qui fait avancer la réflexion sur l’enseignement utilisant le numérique. Elle nous propose un article The Difference Between Emergency Remote Teaching and Online Learning qui mérite d’être analysé, et complété, pour initier une analyse réflexive de ce que nous sommes en train de vivre.
Le cadre principal de l’article est que les modalités d’enseignement à distance proposées dans le cadre du confinement, se déploient dans un contexte fort différent du contexte classique de l’enseignement en ligne. Les auteurs proposent donc cette terminologie « enseignement à distance en situation d’urgence » (EDSU, emergency remote teaching ou ERT), pour distinguer cette nouvelle forme d’enseignement par rapport aux autres champs d’études liés à l’enseignement en ligne. D’un point de vue chercheur, je trouve cela tout à fait pertinent. Leur idée est également que lorsqu’il y aura des bilans de cette période si particulière, il n’y ait pas d’amalgame entre les solutions testées et vécues dans ce cadre avec les autres formes déjà existantes. Bref, de ne pas opérer une comparaison entre le face-à-face traditionnel et cette forme d’enseignement nouvelle pour en conclure n’importe quoi sur l’usage du numérique. La recherche en éducation en général, et donc aussi en intégrant les dimensions de technologies éducatives, est complexe, contextuelle, et nécessite de bien préciser les conditions d’usage.
La deuxième partie de l’article décrit un déploiement d’enseignement en ligne classique, nécessitant un temps de préparation long et une ingénierie spécifique, qui permet de produire des formations en ligne efficaces. Y sont détaillées les différentes options à prendre en compte pour le déploiement de telles formations. Les auteurs se positionnent du point de vue de l’ingénierie pédagogique cherchant à systématiser le processus de création de cours. J’aimerai donc prendre un peu de distance par rapport à leur analyse, tout en la partageant assez largement.
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sur cet aspect de l’évolution de l’institution, qu’en France au moins, nous prenons conscience que ces situations d’exception deviennent récurrentes. Les universités ont déjà subi plusieurs fois des difficultés à organiser leurs enseignements et leurs évaluations du fait de mouvements sociaux (pour faire vite). Si la crise qui se dessine est aussi dévastatrice qu’on peut le prévoir, ce seront les questions des stages, du premier emploi, et/ou de l’engagement citoyen et professionnel des étudiants qui se posera sans doute de manière aiguë.
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Connu / https://twitter.com/ClaudioCimelli/status/1248694893024808962
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François BOCQUET a retweeté Cimelli @ClaudioCimelli · 8h - 0 - 2 - 1
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26 756 vues - 557 - 289 k abonnés - 18
Avec :
0:00 Laura, cheminote à la SNCF (Sud-Rail) ; Luc Chatelain, agent de la RATP
22:30 Camille, du collectif CLAQ, des militants queers en soutien aux grévistes de l’Ibis Batignolles ; Sylvie Bertho, musicienne du chœur de Radio France (élue CGT)
49:00 Hélène Maitre, du collectif On est la tech ; Céline Guilleux d’OpenEdition et Cécile Dony, community manager à Mediapart
1:09:00 Nicolas Delalande, historien à Sciences-Po, auteur de La Lutte et l’entraide, et Jean-Marie Pernot, chercheur à l’Institut de recherches économiques et sociales, coauteur de La Grève
Catégorie Actualités et politique 71 commentaires
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32 827 vues - 1,4 k - 32 - 285 k abonnés
Avec : Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anti-capitaliste (NPA) ; François Ruffin, député apparenté à La France insoumise ; Marine Tondelier, membre d’Europe Écologie-Les Verts et candidate tête de liste à Hénin-Beaumont.
Catégorie Actualités et politique 378 commentaires
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Média indépendant, de sensibilité libertaire, faisant une place de choix aux mouvements sociaux, aux aspirations égalitaires, coopératives ou autogestionnaires.
Rapports de force propose un traitement journalistique des informations intéressant celles et ceux qui initient, participent ou rencontrent ces petits moments d’émancipation que sont les luttes sociales. L’actualité politique, économique ou internationale trouve naturellement sa place aux côtés de reportages au plus près des manifestations, des piquets de grève ou des expérimentations sociales égalitaires.
Rapports de force s’adresse à toutes celles et ceux qui ne se satisfont pas de l’état du monde dans lequel nous vivons.
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Entrés plus tard dans le mouvement, les « gilets jaunes » d’Île-de-France sont ces dernières semaines en pleine ébullition et, en faisant converger des luttes jusque-là très isolées et localisées. Du blocage de Rungis à l’intrusion sur le site d’Amazon, les actions coups de poing se sont multipliées, mais leur coordination reste complexe.
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« Au début, on ne savait pas comment l’enfiler, ce gilet jaune », reconnaît pourtant Mouloud Sarahoui. « Soi-disant, c’était des racistes, comme nous le disaient les médias… Sauf qu’on a vite vu que leur colère en elle-même, elle était plus que légitime. Alors je suis allé à la deuxième manif et puis à toutes les autres », raconte le délégué syndical, alors que son syndicat désapprouve encore un mouvement qu’il dit gangrené par l’extrême droite.
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Mots-clés Amazon Geodis gilets jaunes Île-de-France Macron mouvement social rungis violence
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43 941 vues - 4,5 k - 39 - 475 commentaires
Des vœux en direct de la salle de montage ! Bientôt sur vos écrans, « J’veux du soleil » : pour apporter notre dose à nous de beauté et de fierté dans ce début d’année qui s’annonce déjà festif…
Bon visionnage (et bonne année !)
Catégorie Actualités et politique
ndlr : gilets jaunes
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Gauthier rêvait d'une société sans limites, il est devenu citoyen de Liberland, micro-nation ultralibérale autoproclamée entre la Croatie et la Serbie. Wolfram, tiraillé entre plusieurs identités dans le sud Tyrol veut l'autodétermination pour sa région. Catharina à Copenhague tente de faire perdurer un rêve hippie.
Utopies © Radio France / Claire Braud
Bienvenue 2019 ! Et pour cette première émission, on a choisi d’appeler des gens un peu partout sur ce continent, qui ont eu l'idée folle de vouloir créer un pays, une micro-nation ou de revendiquer l’autonomie de leur territoire. Parfois leurs projets sont anecdotiques, drôles ou poétiques, parfois ils sont ambitieux ou un peu effrayants. Ils sont en tout cas intéressants parce qu’ils remettent en cause des certitudes sur la citoyenneté, sur nos droits et devoirs, sur la vie en communauté et sur la démocratie.
Leurs modèles, hors systèmes, nous interrogent, sur nos systèmes à nous.
Gauthier Lamothe est citoyen du Liberland
Pays qu'il est en train de "construire" avec des personnes originaires du monde entier. Il est en charge de la communication interne et externe du Liberland, il fait de la médiation et parfois anime l’agenda quand le gouvernement fait des réunions. Le Liberland se situe dans une courbe du Danube entre Serbie et Croatie qui n'est revendiquée par aucun de ces deux pays. Il s'agit pour le moment d'un terrain de 7 km carrés peuplé de sangliers, de cerfs, de moustiques. Une micro-nation ultra-libérale non reconnue autoproclamée en 2015 par un entrepreneur libertarien tchèque. Leur drapeau à eux, ils le veulent doré barré de noir. Le liberland serait un pays avec quasiment pas de règles imposées par l'Etat, une grande liberté et une capacité des citoyens à s'auto-réguler. Une Nation où les drogues, les armes seraient en libre circulation, où la justice serait rendue par des arbitres choisis par les parties. Ils se posent des question sur la légitimité, le vote, l'exercice de la démocratie et l'expression de la majorité.
Le site officiel du Liberland
Wolfam a 21 ans, il est germanophone, sa mère est tyrolienne. Lui revendique l'autonomie du Sud-Tyrol.
Enfant, sa grand-mère n'avait le droit de parler qu’italien, on lui interdisait de parler allemand et de retour à la maison on lui interdisait de parler italien. Il existait des écoles souterraines cachées dans des catacombes où le soir, après l’école italienne obligatoire ils apprenaient l’Allemand en secret.
Wolfram dit que lui comme sa grand-mère est donc né en Italie, mais qu’il ne se sent pas Italien, ni d’ailleurs Autriche, il se sent surtout perdu.
Le Sud-Tyrol fait partie de la région la plus riche d’Italie et ils ont obtenu un statut d’autonomie territoriale depuis 1972 qui accorde à la région un fort contrôle de sa gouvernance mais aussi seulement 10 % des impôts payés par les contribuables là bas sont effectivement reversés à Rome.
Le rêve de Wolfram ce serait que le Sud-Tyrol ait sa propre monnaie, ses propres lois, pour qu’ils puissent, comme il dit, eux-mêmes décider.
Un article du Figaro sur le Sud Tyrol
Catharina a 27 ans, elle vit à Christiania
Cet espace autonome dans Copenhague, ancien squat, connu notamment parce que la vente de cannabis y est autorisée. Elle y travaille comme guide parce que le quartier est devenu assez touristique et visité par environ 1 million de touristes par an.
Elle cohabite dans une communauté mixte avec des familles, des mères et des pères célibataires. Ils partagent une grande cuisine et un salon. Chacun a son petit appartement à l’étage, de petits espaces afin qu'un maximum de personnes puissent vivre à Christiania. Ils organisent des tours pour les tâches quotidiennes de la communauté, cuisine et ménage. Pour habiter Christiania, il faut qu'une place se libère, se porter candidat et être sélectionné par les autres habitants.
Le projet a été fondé en 1971 et c’est encore aujourd’hui une communauté hippie. Il n’y avait pas d’infrastructures au début donc les hippies ont tout construit depuis les égouts jusqu’à l’électricité dans toutes les maisons. Les habitants paient un impôt pour la vie de la cité. La marijuana y est en vente libre.
Catharina nous raconte comme les décisions sont prises, comment rien ne se fait à la majorité mais comment la consensus est toujours recherché.
Un article du Monde sur Christiania
Programmation musicale :
William Z Villain - Something beautiful
Utopies
Utopies © Radio France / Claire Braud
L'équipe
Caroline Gillet productrice
Anne Weinfeld Réalisatrice
Martine Meyssonnier Attachée de production
Mots-clés : Monde Union Européenne Société mouvement social
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Fiché "S" parce que militant ? Jules Panetier, journaliste et militant anticapitaliste montpelliérain, a été fiché S. Il conteste aujourd'hui ce fichage devant le conseil d'Etat, et est venue sur le plateau du Média nous parler. Comment devient-on fiché S ? Comment vit-on avec et peut-on la contester ? Réponse dans l'autre interview.
Catégorie Actualités et politique
Transcription :
...
fiché S (sûreté de l'état)
sous fichier du FPR des personnes recherchées
...
condamné à de la prison ferme, le conteste
...
on lui demande "EST-CE que vous côtoyez des personnes violentes ?"
demande à ce qu'on retire le côté violent et qu'on supprime cette fiche. Lance un appel aux fichés S du mouvement social.
on adopte un comportement de fiché S : autocensure
durcissement de la société, côté oppressant, c'est pourquoi il faut se mobiliser au plus tôt
ya une radicalisation de l'État dans l'autoritarisme, la militarisation de la police, le côté judiciaire, l'augmentation des places de prison.
/démocratie : droit à un procès équitable, la prévention est un début de dictature, ça a vocation à se généraliser.
c'est pas un modèle de société souhaitable, il faut se mobiliser
invite à rejoindre les actions de blocage des GJ, tension de la police à montpellier auprès de lycéens.
/peur de continuer à se battre ça dépend de leur vie et de leur envie
la liste des fichés S est fournie au rectorat !
comment on fait pour agir collectivement et politiquement ?
il faut que ce fichage cesse.
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Le mouvement des gilets jaunes contre la hausse des carburants prend de l’ampleur sur les réseaux sociaux. Plus de 700 blocages, opérations escargot et rassemblements sont annoncés le 17 novembre. Si les initiateurs assurent n’être affiliés à aucun parti politique, l’extrême-droite tente de récupérer le mouvement. Face à ce risque d’instrumentalisation, des syndicats et associations environnementales appellent aussi à se mobiliser, en défendant une transition écologique et sociale, avec des mesures de justice fiscale et sociale immédiate ainsi que des propositions sur le long terme. Tour d’horizon des appels et propositions.
Tout est parti d’une pétition réclamant « une baisse des prix du carburant à la pompe ». Créée le 29 mai par Priscilla Ludosky, une automobiliste en colère, la pétition a depuis recueilli plus de 835 000 signatures. Priscilla Ludosky dresse plusieurs pistes comme la mise en place d’un « système permettant aux employés de travailler depuis leur domicile afin de limiter la circulation des travailleurs » ou l’allocation d’aides aux entreprises afin qu’elles s’installent en banlieue et en province, ce qui permettrait de désengorger les grandes villes et limiter les longs déplacements en voitures.
En parallèle à cette pétition, deux chauffeurs routiers trentenaires originaires de Seine-et-Marne, Eric Drouet et Bruno Lefevre, ont lancé un appel à bloquer les routes de France le 17 novembre (voir l’événement facebook) [1]. « Nous ne somme pas anti-écolo », précise Eric Drouet dans une vidéo. « Ce mouvement est un mouvement contre la taxation abusive à tout point. » Ces dernières semaines, de nombreux collectifs et événements se sont créés dans toute la France. Le site www.blocage17novembre.com dresse une carte de l’ensemble des blocages prévus (voir en bas d’article)
Droite et d’extrême-droite tentent de surfer sur le « racket des automobilistes »
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Mentions légales
Propriétaire du site : Université d’été Solidaire et Rebelle des Mouvements Sociaux et Citoyens
Responsable de publication : Elise Monge
Contenus : L’équipe de l’Université d’été Solidaire et Rebelle des Mouvements Sociaux et Citoyens
Site hébergé par : Nursit ( https://www.nursit.com/ )
Développement : Thierry Eraud
Graphisme : Charlotte Planche
Contact : contact@ue2018.org
Logiciel
Ce site utilise le SGC SPIP
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Bienvenu-e-s sur le programme de l’Université d’été ! Durant l’événement, différents formats d’activités sont proposés :
La séance d’ouverture se tiendra amphi Weil le mercredi de 17 h à 19 h et celle de clôture en amphi 1 le dimanche de 14 h à 15 h.
Les enregistrements à cette Université d’été commenceront le mercredi 22 à partir de 14 h ! Un badge vous sera alors remis (indispensable pour accéder aux bâtiments), ainsi qu’une clé pour accéder à votre chambre : Crous, Auberge de jeunesse et internat.
Programme intégral par ici !
Pas besoin de l’imprimer, il vous sera distribué sur place avec votre badge.
Thématique
Type d’activité
Créneau horaire
Modules
Jeudi 23
Ensemble, défendons les droits humains et de l'environnement face au pouvoir des multinationales !
Retraites: comprendre la réforme systémique qui vient pour être prêt-e à se mobiliser
Quelle finance nous voulons ?
Les communs : partager, contribuer et s’organiser
Comment gagner la bataille pour la justice fiscale ?
Quels espaces d'engagement politique pour la jeunesse dans les mouvements sociaux aujourd'hui ?
Crise des progressismes, résistances populaires et tournant à droite en Amérique Latine
Accompagner, défendre et soutenir les lanceurs d'alerte et l'alerte
Autodéfense numérique militante
Migrations : des causes et effets aux mobilisations citoyennes
Vendredi 24
Mobilisations sociales et répressions en Afrique
Ceta, Tafta, Jefta et les autres : nos droits et l'environnement à la poubelle
Face à l'école néolibérale, construire l'école de l'émancipation
Réinventer nos fonctionnements pour créer une utopie vivable
La métropolisation au service de qui ?
La crise systémique : ses causes et son évolution, les contre-réformes de Macron, nos alternatives
Travail et émancipation
Municipalisme, Transition, Communs et Territoires
On y vit, on agit ! Passez à l’action collective et locale pour le climat
Au coeur de nos campagnes : l'agriculture paysanne face à de nombreux défis.
On ne se taira pas ! Stratégies de résistances face à la criminalisation de la société civile
Samedi 25
Défense et alternatives pour les services publics
Les penseurs critiques du capitalisme
Tout va-t-il s'effondrer ? Résistances éco-féministes et construction d'alternatives
Reprendre la main sur la finance plutôt que lui confier la planète et notre avenir
L’engagement social et environnemental : oui ! mais pour qui et par qui? Les enjeux et pratiques des nouveaux publics de l’ECSI
Vivons les jours heureux sans attendre : le Bien Vivre en acte !
Droit à la Ville et luttes dans les quartiers populaires : défendons nos logements !
Armes nucléaires : Aujourd'hui interdites, demain l'élimination
Mouvements sociaux et alternatives systémiques
Comment résister de façon créative ? Formation à l’action et à la désobéissance civile
L’ère de la post-vérité : ce que l’on nous donne à croire.
Ateliers
Jeudi 23
L'éducation populaire en questions 1/4
Pour une gratuité d'émancipation
Des entreprises françaises complices de la colonisation israélienne !
La fabrication des humains ; des GAFA au post-humanisme
Explorer nos pouvoirs et nos privilèges dans nos groupes et au-delà
Comment construire des alliances autochtones/allochtones pour les droits des peuples autochtones, la justice climatique et la Terre Mère ? Stratégies d'action intersectionnelles & distribuées
"Introduction à la thématique de l'alimentation durable et un jeu de l'oie'limentation !"
Eau, sol, agriculture : et si c'était essentiel pour le climat et notre avenir ?
Rendez-vous du changement concret
Cultivons la participation
Le jeu "Vivre la Palestine" : un support pédagogique interactif pour comprendre le quotidien des Palestiniens
Interagir avec les élu.e.s et les journalistes
Recherche responsable et actions citoyennes : pourquoi et comment se renforcer mutuellement pour réussir la transition démocratique et écologique
Stop aux grands projets inutiles, bien vivre dans un monde soutenable
Agriculture paysanne et changement climatique : impact de notre consommation
Eau, climat, biodiversité : et si la gestion du grand cycle de l’eau était la clé ?
La Jai Jagat 2020 : changer le monde en marchant par un Forum social itinérant entre Delhi et Genève
Vendredi 24
#BalanceTonEmpruntToxique !
Reconnaissance de l'expertise de terrain : faire de la recherche participative !
Economie et droits humains
Agir pour la défense du service public, un enjeu particulier pour les femmes et l'égalité !
Comment mettre en liaison les mouvements sociaux ?
Les mouvements sociaux face à la crise des partis de gouvernement et la montée de l'extrême droite
Comment réconcilier les journalistes et les quartiers populaires ?
Alerte scientifique et réforme de l'expertise
L'éducation populaire en pratique 2/4
Du secteur formel au secteur informel : les droits des femmes au travail
Comment enquêter sur les multinationales ? (atelier pratique)
Le rôle des médias dans les mobilisations sociales. Le cas du nouvel outil de comptage des manifestant.e.s.
Atelier / jeu de rôle « Où va l'argent de ma facture d'électricité ? »
25 ans de lutte contre une pollution majeure : l’affichage publicitaire
Impact de l’occupation militaire sur les enfants palestiniens et résilience
Initiatives citoyennes, intérêt général et communs
Un Observatoire et un Laboratoire pour renforcer les acteurs de l'Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale
Les guerres de dislocation et la "sécuritisation" du monde
Quels modèles économiques pour les médias indépendants ?
“Thé palabre" : un autre accueil est possible ?
Militant·es : se protéger contre les surveillances illégitimes
L’indépendance : un défi économique pour les médias, un enjeu social pour les journalistes
Avant-Première du Grand Quizz de l'Alter'consommation
Samedi 25
L'éducation populaire en pratique 3/4
Accords et désaccords autour du revenu d'existence
Migrations : quelles solidarités ? Quelle autre politique migratoire ?
Sortir du piège de la dette
En route vers la citoyenneté active
Syrie, revolution et guerres
Jusqu'où faut il changer pour vivre dans une société soutenable ?
Faut-il aller vers un autofinancement des acteur.trices du mouvement social ?
On ne naît pas homme, on le devient
Présentation de OpenStreetMap
Formation « Faire la différence entre électricité verte et électricité verte ! »
En finir avec l'Union européenne néolibérale ! Quelles alternatives ?
Démocratie, citoyenneté, pouvoir d'agir : quels moyens pour quels résultats ?
France / Israël, l'argument sécuritaire en question
Le revenu d’existence et les différentes propositions d’expérimentation, de transition ou d’alternatives
Le libre échange en Afrique, un néocolonialisme économique
Inégalités et justice environnementale : comprendre et agir
Acteurs et actrices de solidarité locale et de solidarité internationale : comment travailler ensemble pour sensibiliser et mobiliser plus largement ?
Résistances à la financiarisation et à la Thatchérisation du logement en France et en Europe
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Dimanche 26
L'éducation populaire en pratique 4/4
"Reliance" entre acteurs locaux et nationaux souhaitant s'engager ensemble et durablement pour que prospèrent les initiatives "Municipalisme, Transition et Territoires"
Le FN et les classes populaires
Lutte pour le logement social et public
En route vers le Forum Social Mondial des Migrations de Mexico : Dialogues Europe-Amérique Latine sur les migrations
La crise migratoire des deux côtés de la Méditerranée
Produire des alternatives en coopérative : ils l'ont fait ! et après ?
Synergie numérique
Audit de la dette de l’assurance chômage, luttes, droits et revenus des chômeurs et précaires
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Forums
Jeudi 23
Migrations : actions locales et mobilisations collectives aux niveaux national, continental, international
Quelles alternatives face au libre-échange et à la guerre commerciale ?
Faire face aux restrictions de l'espace civique et à la régression démocratique
Vendredi 24
Quand les féministes font bouger les lignes
Libérons-nous du travail ou libérons le travail ?
Penser l’antiracisme, l’inscrire dans la contre-offensive
L’indépendance des médias, un défi politique, économique et citoyen
Samedi 25
Vers la justice climatique
Droit au logement et droit à habiter la ville. Contre la financiarisation du logement
Que faire de l’Europe ?
Quelle stratégie des mouvements sociaux face au pouvoir autoritaire et néolibéral en place ?
Plénières
Mercredi 22
Séance d'ouverture
Dimanche 26
Séance de clôture
Hors les murs
Mercredi 22
Spectacle de Fred Dubonnet : Puisque nous devons vivre ensemble
Jeudi 23
Balade révolutionnaire
Le Cabaret de la Crise
Droit au logement pour touTEs et lutte contre les expulsions
MeetUp Carto
Apéro ATTAC
Françafrique : la France, pompier pyromane en Côte-d’Ivoire
Le Rouge et le vert. Impromptu théâtral et citoyen pour enfin parler de demain !
Vendredi 24
Visite d’un habitat groupé participatif
Déambulaction BDS dans le centre-ville de Grenoble
Vivre et habiter autrement
Promenade sonore : « Afrique-Europe : Le rêve en exil »
Vélorution - Etape du Tour Alternatiba
Soirée festive avec Alternatiba
Conférence : «Climat: est-ce déjà trop tard?» Alternatives et résistances pour agir concrètement.
Le mystère du journalisme jaune
Samedi 25
Parcours « Balade révolutionnaire »
Village des Alternatives d'Alternatiba Grenoble
Exposition « Au fil de l’eau »
Exposition "L'art au flux des migrations : l'aventure"
Sculpteurs de mondes, l’expérience d’un marcheur colporteur
Le Climat est dans l’assiette
Balade du Matrimoine
Formation à l'action non violente
Bien lotis
Festivités militantes au Jardin de Ville !
]]>Avec qui ?
Présentation des organisateurs locaux et nationaux
350.org est une organisation non gouvernementale environnementale internationale, fondée en 2007 aux États-Unis par le journaliste, auteur et militant écologiste Bill McKibben. Son action se concentre sur la lutte contre le réchauffement climatique ; elle est notamment connue pour promouvoir le désinvestissement des énergies fossiles. Le nom de l’association provient du seuil de 350 parties par million (ppm) de CO2 dans l’atmosphère défini notamment par le climatologue américain James Hansen comme taux maximum à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement climatique trop important (ce taux a dépassé les 400 en 2014).
https://350.org/fr/
Cette association est laïque, indépendante de tout parti politique, groupement confessionnel ou organisation syndicale et a pour objet de s’opposer au projet de création d’une plate-forme aéroportuaire à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), d’informer les adhérents et la population des zones concernées par ce projet, y compris sur les équipements connexes nécessaires à cette réalisation (aménagements routiers et ferroviaires, constructions diverses...), de faire prendre conscience de toutes les transformations qui en découlent, aussi bien pour les zones urbanisées que pour les espaces ruraux et de contribuer et de participer à la réflexion sur le développement du transport aérien
https://www.acipa-ndl.fr
Fondée en 1983, la fédération Peuples Solidaires est une association française de solidarité internationale. Elle soutient les femmes et les hommes qui, partout dans le monde, luttent pour leurs droits économiques, sociaux et culturels.
L’association travaille avec des organisations (ONG, syndicats, etc.) du Sud pour dévoiler les exactions commises par les multinationales et les pouvoirs publics. Les missions de Peuples Solidaires sont d’informer le public, de mobiliser les citoyennes et citoyens, d’alerter les médias, de faire pression sur les décideurs pour faire entendre la voix des organisations de la société civile du Sud.
http://www.peuples-solidaires.org/
Créée par des urbanistes, économistes, cadres d’entreprises, juristes…, l’Aitec est une association de solidarité internationale engagée pour la justice économique, sociale et écologique. À travers la recherche, le plaidoyer et l’appui aux campagnes et aux mobilisations des mouvements sociaux et citoyens, l’Aitec participe à la construction d’une expertise ancrée dans la résistance et l’action critique. Elle s’efforce aussi de proposer des perspectives et des politiques alternatives.
http://aitec.reseau-ipam.org
« Alternative », en basque, est un mouvement citoyen de mobilisation sur le dérèglement climatique. Il promeut des initiatives concrètes qui visent à construire une société durable, tout en s’opposant aux projets qui entravent le développement de cette société. Depuis 2013, Alternatiba varie les modes de mobilisation : « villages des alternatives », tour sur des vélos multiplaces pour valoriser les initiatives locales, ou encore actions de désobéissance civile non violente.
En 2018, le mouvement prépare un nouveau Tour Alternatiba de 5800 km et 200 étapes, associant développement des alternatives et résistance non violente, du 9 juin au 6 octobre. Le Tour s’arrêtera à Grenoble pendant l’Université d’été, le 24 août : l’occasion de nous rassembler et de converger !
https://alternatiba.eu/
La fédération des Amis de la Terre a participé à la fondation du mouvement écologiste français et à la formation du premier réseau écologiste mondial Friends of the Earth International, présent dans 77 pays et réunissant 2 millions de membres sur les cinq continents.
En France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
http://www.amisdelaterre.org
Il est minuit. Le film « Les Jours Heureux » de Gilles Perret vient de se terminer. Nous sommes une douzaine réunis dans un petit coin des Alpes, dans une petite ferme au pied du Vercors, un week-end de décembre 2015 animés par la volonté que notre société s’oriente résolument vers le bien-être de toutes et tous. Nous sommes de toutes les générations, avec une plus grande proportion de jeunes, engagés depuis des années dans la vie associative.
On partage nos ressentis sur les témoignages des résistants. Non seulement, ils ont libéré la France occupée mais aussi ont bâti un formidable projet politique, le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) intitulé « Les Jours Heureux ». Ce programme en mettant en place la subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général orientait la société vers le bien-être de tous. Aujourd’hui, cet héritage est d’une grande actualité tant on constate de plus en plus de mal-être, de désespérance, de précarité, d’inégalités et donc la nécessité d’inventer à nouveau un bien vivre ensemble.
http://osonslesjoursheureux.net/
L’Association France Palestine Solidarité œuvre à la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien. Elle entend agir pour une paix réelle et durable, fondée sur l’application du droit international.
http://www.france-palestine.org/
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice sociale et environnementale, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature. Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations… En 2018, Attac est présente dans une cinquantaine de pays ; Attac France compte plus de 10 000 membres et une centaine de comités locaux qui agissent partout en France.
https://france.attac.org/
Le Comité local isérois d’Attac France est également impliqué.
https://local.attac.org/attac38/spip/
La batucada est un genre de musique reposant sur des percussions traditionnelles du Brésil dont les formules rythmiques en font un sous-genre de la samba. La BatukaVI est une batukada de jeunes du secteur 6 de Grenoble (Villeneuve-Village Olympique). Elle vise, à travers la pratique musicale à lutter contre les idées reçues, à revaloriser l’image de ces quartiers régulièrement stigmatisés notamment dans les médias, et à renforcer la fierté d’appartenance à ces quartiers chez les jeunes.
Pour lutter contre les préjugés et tisser des liens entre les cultures, la BatukaVI se produit régulièrement à l’extérieur de l’agglomération, et parfois même à l’étranger : le groupe a notamment joué au Burkina, au Maroc, au Brésil, au Portugal et dans de nombreuses villes en France.
La BatukaVI est un projet initié par l’association Afric’Impact.
http://afric-impact.org/BatukaVI/
Le Collectif des associations citoyennes (CAC) est né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur seule dimension économique et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative.
http://www.associations-citoyennes.net
Le Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde est un réseau international qui milite pour la satisfaction universelle des besoins et le respect des libertés et des droits humains fondamentaux.
Son angle d’attaque est l’annulation de la dette extérieure publique des pays de la Périphérie (tiers monde et ex-bloc soviétique) et l’abandon des politiques d’ajustement structurel imposées par le trio Fonds monétaire internationaI (FMI), Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce (OMC). Il s’agit de mettre un terme à la spirale infernale de l’endettement et de parvenir à l’établissement de modèles de développement socialement justes et écologiquement durables.
Le CADTM Isère est le groupe local du CADTM France. Il organise des conférences, des projections ou des mobilisations.
http://www.cadtm.org/
La campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) a été lancée par la société civile palestinienne en 2005, suite à des dizaines d’années de lutte contre Israël et sa politique d’apartheid.
Les Palestiniens font appel aux citoyens de conscience du monde, afin que prenne fin le plus long conflit de l’histoire récente, en leur demandant de boycotter tous les produits israéliens, mais aussi de pratiquer un boycott sportif, culturel et universitaire. De nombreuses associations et organisations françaises ont répondu à l’appel au « Boycott, Désinvestissement et Sanctions » (BDS) lancé par les palestiniens le 4 juillet 2005 et se sont regroupées au sein de la Campagne BDS France.
https://www.bdsfrance.org
Depuis 55 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte durablement contre la faim en s’attaquant à ses causes, des plus locales aux plus globales. Il soutient plus de 697 projets initiés par des acteurs locaux dans 66 pays.
Le CCFD-Terre Solidaire s’appuie sur un réseau de 15 000 bénévoles pour sensibiliser les Français à la solidarité internationale et agit auprès des décideurs par des actions de plaidoyer pour construire un monde plus juste.
https://ccfd-terresolidaire.org
Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.
L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.
Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.
http://www.cgtisere.org/
http://www.cgt.fr/
Centre de documentation interculturel, association de solidarité locale et internationale.Créé en 1980, le Centre d’Information Inter-Peuples (CIIP) est une association de solidarité locale et internationale. Ses objectifs sont de mieux faire connaître les réalités, les cultures des pays et des peuples des cinq continents, de lutter contre les atteintes aux droits de l’Homme, contre toutes les formes de discrimination et de racisme, de promouvoir un monde solidaire et un développement durable.
Le CIIP organise ou co-organise régulièrement des manifestations interculturelles, des festivals, des rassemblements militants.
Il s’agit également d’un centre de ressources ouvert au public avec des périodiques, des journaux militants, des dossiers de presse et de synthèse, une bibliothèque, des usuels, des vidéos, des expos, des valises et jeux pédagogiques sur les problématiques internationales, les rapports Nord-Sud, les cultures du monde.
Le CIIP édite un journal mensuel, Inter-Peuples, avec un agenda militant et interculturel, des informations locales, nationales, mondiales, des récits de voyage… Il est membre du Réseau d’information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale Ritimo.
http://ciip.fr/
Membre du réseau européen Clean Clothes Campaign, le collectif Éthique sur l’étiquette agit en faveur du respect des droits humains au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats.
https://ethique-sur-etiquette.org/
Le collectif des Associations de Solidarité Internationale du Grésivaudan organise pour la troisième année consécutives des animations lors de la Semaine. Son objectif est de faire connaître les actions des 25 associations membres par le biais de divers événements locaux, en lien avec des établissements scolaires, salles de spectacles, Centre Sociaux, collectivités, en allant chaque année au devant de nouveaux publics.
https://www.festivaldessolidarites.org/acteurs/collectif-asi-gresivaudan
https://www.festivaldessolidarites.org/
Créée en 1997, Commerce Equitable France représente et fédère les principaux acteurs du commerce équitable en France. Défendre et promouvoir le commerce équitable sont nos principales missions.
Instance de concertation et de mobilisation, Commerce Equitable France rassemble plus d’une trentaine d’entreprises et d’associations d’envergure nationale engagées dans le secteur : labels de commerce équitable, fabricants, importateurs, distributeurs, ONGs, mouvements d’éducation populaire, etc.
https://www.commercequitable.org
NAJE est une compagnie théâtrale professionnelle pour la transformation sociale et politique. Elle pratique le Théâtre de l’Opprimé méthode Augusto Boal (théâtre forum, théâtre images, théâtre et thérapie, théâtre invisible, théâtre journal).
Naje intervient dans les champs de la culture, du social, du politique, de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’environnement, de la justice, de l’habitat, de la citoyenneté, du développement social.
http://www.compagnie-naje.fr/
La Confédération paysanne est, depuis 1987, un acteur majeur du syndicalisme agricole français qui porte des valeurs de solidarité et de partage. Le projet pour une agriculture paysanne qu’elle défend avec constance depuis sa création est cohérent et global. Il intègre pleinement les dimensions sociales, agronomiques et environnementales dans la production agricole. C’est une alternative réaliste à un modèle d’agriculture industrielle qui élimine trop de paysans et de structures agricoles diversifiées.
http://www.confederationpaysanne.fr
Le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations de solidarité internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunies autour d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le partenariat et l’éducation au développement.
Le CRID cherche à promouvoir des actions de sensibilisation à la solidarité internationale menées en lien avec différents acteurs comme les autres ASI, les Organisations de Solidarité Internationale issues de la Migration (OSIM), les mouvements d’éducation populaire, les associations de l’économie solidaire, les syndicats, les collectivités territoriales, etc.
https://www.crid.asso.fr/
L’association Droit au logement a pour but de permettre aux populations les plus fragilisées d’avoir accès à un logement décent, en exerçant leur droit au logement. Les revendications du DAL sont « l’arrêt des expulsions sans relogement », « le relogement décent et adapté de toute famille et personne mal-logée ou sans logis » et « l’application de la loi de réquisition sur les immeubles et logements vacants ».
http://www.droitaulogement.org/
L’objet de l’association consiste à animer la réflexion collective et l’expression publique des économistes opposés à « l’orthodoxie néo-libérale ». Leur action se traduit par des publications (notes, articles, communiqués, livres) et des interventions lors de réunions publiques dans les médias qui les sollicitent. Ils proposent des alternatives aux politiques d’austérité.
Ils publient en 2010 le Manifeste d’économistes atterrés, dans lequel ils font une présentation critique de dix postulats qui inspirent, selon eux, les décisions des pouvoirs publics partout en Europe, et mettent en débat vingt-deux contre-propositions.
www.atterres.org
Emmaüs est né il y a 66 ans pour trouver, avec les personnes victimes de phénomènes d’exclusion, les solutions qui leur permettent de redevenir acteur de leur vie. Fidèle à la volonté de l’abbé Pierre, Emmaüs est devenu à la fois une fabrique d’innovations sociales et de solidarités pour aider des publics en situation de grande précarité, et un front engagé et militant en faveur d’une société plus humaine et plus juste.
http://emmaus-france.org/
Artisans du Monde est une association française fondée au début des années 1970 et qui défend un modèle basé sur le commerce équitable. Sa spécificité est d’être structurée autour d’associations locales où des militants bénévoles distribuent divers produits, artisanaux ou alimentaires en provenance des pays du Sud, informent sur les règles du commerce mondial et font du plaidoyer pour une évolution de ces règles.
https://www.artisansdumonde.org/
Le slogan de Finance Watch, « Pour une finance au service de la société », résume sa mission. L’association aspire à l’instauration d’un système financier durable et au service de la société, qui favorise l’investissement plutôt que la spéculation. Ils souhaitent un système bancaire résistant et efficace, orientant les crédits vers un usage productif sans pour autant dégager de rentes économiques ou transférer ses risques à la société tout entière, et des marchés financiers qui encouragent l’investissement productif dans l’économie réelle et dissuadent tout type de spéculation excessive ou nuisible.
http://www.finance-watch.org
Depuis sa création en 1995, l’association Finansol a pour objet de promouvoir la solidarité dans l’épargne et la finance.
A travers des actions de sensibilisation et des outils de communication divers, Finansol fait prendre conscience à chacun qu’il peut jouer un rôle dans l’instauration d’une finance utile, équitable et raisonnée.
Ses actions contribuent, notamment à travers la promotion du label Finansol, à faire connaître les différents produits d’épargne solidaire disponibles. Ces placements permettent de faire fructifier son argent tout en soutenant l’accès à l‘emploi et au logement pour les personnes qui en sont exclues, le développement d’activités écologiques avec l’agriculture biologique et les énergies renouvelables, l’entrepreneuriat dans les pays en développement…
https://www.finansol.org/
Focus on the Global South est une organisation altermondialiste, qui d’un côté élabore et diffuse des analyses, propositions et des moyens d’information afin de promouvoir la soutenabilité sociale et écologique de nos sociétés, et qui de l’autre côté multiplie les plaidoyers ainsi que l’organisation d’actions de base, en premier lieu dans les pays d’Asie du Sud. Depuis sa fondation en 1995, Focus on the Global South a développé ses projets de recherche et ses campagnes d’actions en Thaïlande (son quartier général se trouvant à Bangkok), en Inde (à partir de son bureau de New Delhi) et aux Philippines (à partir de son bureau de Manille).
https://focusweb.org/
Depuis 1998, la Fondation Copernic travaille à « remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers ». Soucieuse de son indépendance et restant par principe hors du jeu électoral, Copernic n’est liée à aucun parti politique, aucun syndicat, aucune association, mais s’adresse à toutes les organisations politiques, syndicales et associatives, et surtout à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral.
http://www.fondation-copernic.org/
France Amérique Latine s’attache à faire connaître l’histoire, la culture, les mobilisations et revendications des peuples d’Amérique Latine et de la Caraïbe dans toutes leurs richesses et diversité. C’est en faisant connaître et en soutenant leurs combats et expériences collectives en faveur du respect des droits humains, de la démocratie sociale et politique, pour le développement économique et le respect du « bien vivre » ou de l’environnement, que nous leur manifestons notre solidarité.
http://www.franceameriquelatine.org/
Créée par Danielle Mitterrand en 1986, France Libertés est une fondation reconnue d’utilité publique, à but non lucratif et dotée du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies. La Fondation Danielle Mitterrand défend les droits humains, notamment le droit fondamental d’accès à l’eau pour tous, et les biens communs du vivant pour contribuer à la construction d’un monde plus solidaire.
http://www.france-libertes.org
La F.S.U est une fédération de syndicats nationaux de le fonction publique.
Elle rassemble des syndicats regroupant les personnels intervenant dans les champs de l’Enseignement, l’Éducation, la Recherche, la Culture, la Formation, l’Insertion et plus généralement dans deux des trois fonctions publiques.
http://fsu.fr/
Ingénieurs sans frontières est une association française de solidarité internationale créée en 1982.
Si l’association a été initialement créée dans le but de servir d’assistance technique pour des projets de développement dans les pays du Sud et sensibiliser le monde des ingénieurs aux problèmes de ces pays, son projet a largement évolué en plus de 35 ans d’expérience.
Pour construire à l’échelle nationale et internationale une société sans exclusion et ouverte, il faut changer les manières de voir, les habitudes de penser et les façons de faire. Fortes de ce projet et considérant nécessaire de s’inscrire dans une dynamique de changement pour un monde plus solidaire, six associations de solidarité internationale ont décidé de faire converger leurs efforts et de créer le Réseau Initiatives Pour un Autre Monde – IPAM.
http://www.reseau-ipam.org/
La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen, plus communément appelée Ligue des droits de l’homme ou LDH, est une association (loi de 1901) visant à l’observation, la défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de la République française, dans tous les domaines de la vie publique.
https://www.ldh-france.org/
Association créée en 1986. Premier réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science. Premier réseau national d’éducation au développement durable.
http://www.lespetitsdebrouillards.org/
En France, l’association à but non lucratif Max Havelaar France se charge de promouvoir et développer une forme de consommation responsable. Elle gère le label Fairtrade / Max Havelaar apposé sur des produits de différentes entreprises engagées. Elle n’achète ni ne vend aucun produit, mais accompagne les acteurs économiques dans leur démarche et sensibilise l’opinion publique.
https://www.maxhavelaarfrance.org/
Le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB) est une association créée en mars 2013, à l’occasion de l’initiative citoyenne européenne pour le revenu de base. Le MFRB se donne pour mission de promouvoir le revenu universel dans le débat public, jusqu’à son instauration.
https://www.revenudebase.info
Le Mouvement National des Chômeurs et Précaires est né en 1986. Il est l’héritier du premier syndicat des chômeurs, créé par Maurice Pagat en 1981, quand par le biais d’un article paru dans « Le Monde », celui -ci invitait les chômeurs à se rassembler, jugeant qu’il était « urgent et indispensable d’inviter les chômeurs à refuser la solitude, à résister, à se défendre, à s’organiser et à prendre enfin la parole ».
http://www.mncp.fr/site/
Le Mouvement de la Paix est une Organisation non-gouvernementale créée en 1948 et agréée « Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire ». Association loi 1901 à but non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour la réduction des budgets militaires.
https://www.mvtpaix.org/wordpress/
Le « Mouvement UTOPIA » est une association d’éducation populaire à but non lucratif, qui vise notamment à élaborer un projet de société solidaire, écologiquement soutenable et convivial dont l’objectif est le « buen vivir ».
Le Mouvement Utopia soutient depuis sa création en 2000 la déconstruction des aliénations de nos sociétés : le dogme de la croissance comme solution à nos maux économiques, la croyance en la consommation comme seul critère d’épanouissement individuel, la centralité de la valeur travail comme seul mode d’organisation de la vie sociale.
http://mouvementutopia.org/site/
La Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle. Sa mission est de fournir à ses sociétaires et clients les moyens d’être acteurs de la transition écologique et sociale de notre société. Fidèle à son principe fondateur « Pour que l’argent relie les hommes », la Nef crée des outils financiers de participation citoyenne pour mettre en marche et accompagner des nouvelles façons de produire, de consommer, d’entreprendre, d’habiter.
https://www.lanef.com
Notre affaire à tous est une association ancrée dans la lutte pour la préservation de la nature, l’association oeuvre à l’instauration d’une justice climatique. Ses actions doivent permettre de faire face aux changements climatiques, au désastre nucléaire, à la disparition des ressources, etc. L’objectif principal de Notre affaire à tous est donc de faire respecter et améliorer le droit en vigueur, notamment celui de l’environnement.
https://notreaffaireatous.org
No Vox est un réseau d’associations, de mouvements et d’organisations, qui mènent concrètement des luttes sociales sur le terrain. Fondé lors du 1er Forum social européen à Florence, le réseau a pris une dimension internationale lors du 1er Forum mondial de Porto Alegre en 2003. Ces mouvements de lutte sont composés de femmes et d’hommes qui s’auto-organisent pour la défense et l’application des droits fondamentaux définis par la déclaration universelle des droits de l’homme et pour faire naître de nouveaux droits.
http://www.no-vox.org/
Oxfam France est une association de développement qui lutte contre les injustices et la pauvreté.Oxfam France est membre de la confédération internationale Oxfam, un réseau de 20 organisations de solidarité internationale qui travaillent ensemble dans plus de 90 pays pour trouver des solutions durables à la pauvreté.
http://www.oxfamfrance.org
Créée en 1993 dans le contexte des accords d’Oslo, la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine a pour objectif de mobiliser pour la reconnaissance des droits des Palestiniens, notamment celle d’un Etat palestinien souverain, sur les lignes dites de 1967.
Aujourd’hui, la Plateforme rassemble 42 associations, dont 29 sont membres et 13 sont membres observateurs.
https://plateforme-palestine.org
Le ReAct est né en 2010 d’une analyse partagée : les injustices sociales et environnementales ont pour cause principale la domination des intérêts des grandes entreprises sur ceux de la majorité des personnes. Pour cela, le ReAct souhaite contribuer à organiser les personnes affectées par ces abus afin de construire un pouvoir social à même de défendre les droits et intérêts du plus grand nombre.
http://www.projet-react.org/fr/
Le Réseau Action Climat est le représentant français d’un réseau mondial et européen d’ONG, qui regroupe près de 1100 membres à travers la planète. Avec pour objectif de parler d’une seule voix pour peser davantage sur les décideurs, le Réseau Action Climat couvre de par son travail l’ensemble des secteurs responsables du dérèglement climatique : les transports, la production d’énergie, l’agriculture et l’alimentation, l’habitat, etc. Il travaille principalement à l’élaboration de mesures alternatives et ambitieuses pour lutter contre les changements climatiques et ses impacts et veille à ce que ses propositions ne portent pas atteinte à l’environnement, à la sécurité et aux droits humains.
https://reseauactionclimat.org/association/
Chercheurs, journalistes et militants peuvent-ils s’essayer, ensemble, à décrire le monde social et contribuer au débat d’idées ? C’est le pari lancé par la revue Mouvements : se constituer en espace d’information critique, d’enquêtes sociales, de travaux théoriques et d’interpellation politique afin d’intensifier les échanges entre travaux de recherche, espaces de résistance et de proposition politique. Ni journal en ligne, ni liste de diffusion partisane, ni blog collectif, mouvements.info est un espace réactif de réflexion politique et théorique.
http://mouvements.info/
Un réseau d’information et de documentation pour la solidarité et le développement durable, Depuis plus de 30 ans, le réseau Ritimo regroupe en France des lieux et des organisations (centres de documentation, lieux ressources, médias et projets documentaires en ligne…) engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale.
Notre mode d’action principal est la collecte, la sélection et la diffusion d’une information critique, plurielle et diversifiée, privilégiant l’expression des citoyens, des associations et des mouvements sociaux de tous les continents.
https://www.ritimo.org/
Sciences Citoyennes a pour objectif de favoriser et prolonger le mouvement actuel de réappropriation citoyenne et démocratique de la science, afin de la mettre au service du bien commun.
https://sciencescitoyennes.org
Le Secours Catholique-Caritas France est une association loi 1901 à but non lucratif, reconnue d’utilité publique depuis 1962. Service de l’Église Catholique, elle fonde son action sur l’Évangile et la doctrine sociale de l’Église.
En France, le Secours Catholique couvre l’ensemble du territoire, grâce à ses 3700 équipes locales réparties en 75 bureaux locaux appelés "délégation".
https://www.secours-catholique.org
Depuis 38 ans, SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires appuie, sur le long terme, des initiatives créées pour et par des organisations locales en Inde, en France et au Sénégal. L’association a pour objectif de participer à la satisfaction des besoins essentiels des agriculteurs paysans et à la valorisation de leur rôle dans la société. SOL agit sur deux volets d’interventions : l’accès à une agriculture paysanne et la protection des ressources naturelles et de la biodiversité.
https://www.sol-asso.fr/
Starting-Block mobilise les jeunes adultes et les initie à la réalisation de projets collectifs tournés vers les autres et basés sur des méthodes d’éducation active et participative. Elle leur propose des animations, des formations et des outils pédagogiques afin qu’ils deviennent des citoyens engagés, acteurs de la sensibilisation de leurs pairs.
https://www.starting-block.org/
Survie est une association créée en 1984 qui dénonce toutes les formes d’intervention néocoloniale française en Afrique et milite pour une refonte réelle de la politique étrangère de la France en Afrique. Survie propose une analyse critique et des modalités d’actions encourageant chacun à exiger un contrôle réel sur les choix politiques faits en son nom. Elle rassemble les citoyens et citoyennes qui désirent s’informer, se mobiliser et agir.
https://survie.org
Fondé en 1974, le TNI est un réseau international d’experts–activistes engagés à analyser de façon critique les problèmes globaux d’aujourd’hui et de demain, avec l’objectif de fournir un soutien intellectuel aux mouvements qui cherchent à orienter le monde dans une direction démocratique, équitable et environnementalement durable.
https://www.tni.org/en
L’Union syndicale Solidaires est composée de fédérations et syndicats nationaux, et d’Unions locales et régionales. Elle existe depuis 2003 mais a des racines bien plus anciennes dans le syndicalisme.
Elle défend les travailleurs et les travailleuses en France, quelle que soit leur origine et leur culture, et travaille avec les organisations de jeunes, de chômeur et chômeuses, de paysans, d’habitants.
Elle entretient des relations fraternelles avec de nombreuses organisations syndicales et d’associations à l’étranger pour faire vivre la solidarité internationale.
https://www.solidaires.org/
Solidaires 38 est la branche de l’Isère de l’Union Syndicale Solidaires
https://solidaires.org/Solidaires-Isere-38
Un espace des « médias indépendants » sera organisé pendant l’Université d’été, avec :
Politis est un hebdomadaire généraliste indépendant fondé en 1988. Aucun sujet ne lui est étranger : de la politique à la société, de l’économie à la culture. Chaque jour, chaque semaine, Politis revient sur les faits marquants de l’actualité, les commente et les met en perspective. La parole est donnée à des chercheurs, des intellectuels, des artistes, des élus, des acteurs de l’innovation citoyenne et de l’économie sociale et solidaire.
Indépendant, sans publicité, il appartient à ceux qui l’écrivent, le fabriquent et lisent. Il n’est adossé à aucun groupe industriel ou financier.
Basta ! (www.bastamag.net) est un média indépendant en ligne qui publie quotidiennement des enquêtes, reportages, entretiens, sur les questions sociales, environnementales, économiques et démocratiques. Nous souhaitons produire et diffuser une information d’intérêt général, accessible à toutes et tous, qui revient à ses fondamentaux : enquêter, décrypter, raconter et expliquer. Basta ! est animé par une équipe de sept journalistes permanents et propose une information à prix libre, en faisant le pari de devenir un média au financement 100% participatif.
Le « quotidien de l’écologie » veut proposer des informations claires et pertinentes sur l’écologie dans toutes ses dimensions, ainsi qu’un espace de tribunes pour réfléchir et débattre. Dans toutes ses dimensions signifie que pour nous, l’écologie est politique, et ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution - même si nous suivons attentivement ces questions vitales. L’écologie engage le destin commun, engage l’avenir, sa situation découle largement des rapports sociaux : c’est donc bien une écologie politique et sociale que Reporterre présente et discute.
Sans Transition ! est une revue bimestrielle consacrée aux alternatives en matières économiques, sociales et écologiques dans les territoires. Son objectif : mettre en lumière des actions concrètes s’inscrivant dans les champs de l’environnement, de l’Économie sociale et solidaire (ESS) et de la participation citoyenne. Agriculture biologique, éco-construction, économie circulaire, insertion des personnes en situation de fragilité, transports doux font partie des thèmes traités par Sans Transition !
Alternatives économiques a pour ambition d’offrir à ses lecteurs, à travers ses différentes publications, une information indépendante et de qualité sur toutes les questions qui sont aujourd’hui au cœur du débat public.
L’indépendance d’Alternatives Economiques à l’égard de tous les pouvoirs s’ancre dans son statut de coopérative (Scop) : Alternatives Economiques appartient à ses salariés et à ses lecteurs. Une exception dans l’univers de la presse.
Cette indépendance lui assure une liberté de ton qui rencontre aujourd’hui un échos de plus en plus important avec plus d’un million de lecteurs par mois
Radio Parleur, c’est le son de toutes les luttes. Un média journalistique libre et indépendant. Un site d’information sonore sur internet disponibles en podcast pour raconter les mobilisations, les actions, les alternatives, les défis qui questionnent notre société et provoquent ces évolutions. A travers nos reportages, nos émissions, nos captations de conférences, nous vous donnons à entendre toutes les personnes qui agissent et se mobilisent pour défendre leur opinions et de leurs convictions. Un cadre pour parler des luttes, de toutes les luttes, qu’elles soient sur le pavé, à l’intérieur des cortèges, ou sur les lieux de vie, de sociabilisation et de travail.
Après avoir existé entre 1885 et 1886, Le Postillon a ressurgi depuis mai 2009, avec pour unique business plan d’occuper le créneau porteur et néanmoins complètement délaissé de la presse locale critique. Devant l’ampleur de la tâche, nous nous concentrons sur des sujets locaux et parlons presque exclusivement de Grenoble et sa cuvette. Aucune association, organisation ou parti politique n’est parvenu jusqu’ici à nous convaincre de devenir son journal de propagande. Et malgré les nombreuses sollicitations, nous avons refusé toute entrée dans notre capital : nous sommes donc complètement indépendants.
Mediapart est un journal numérique d’information politique et générale, d’investigation, indépendant des pouvoirs politiques et économiques, participatif et financé par ses abonnés, sans subventions ni publicité.
Premier pure player indépendant d’actualité de la région grenobloise, Place Gre’net est un média reconnu service de presse en ligne d’information politique et générale (IPG) par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP).
S’appuyant sur un modèle économique mixte (vente d’abonnements et d’encarts de communication), Place Gre’net est indépendant de tout groupe économique ou politique et ne perçoit aucune subvention locale, départementale ou régionale. Il est par ailleurs membre du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil).
Radio Campus Grenoble, c’est la radio associative qui se trouve au premier étage du bâtiment EVE et qui émet sur le 90.8 depuis 25 ans, 24h/24h et 7j/7j. La programmation musicale de la radio est éclectique et exigeante. Ses magazines et émissions traitent de manière originale des actualités étudiantes, culturelles, associatives et citoyennes. Un seul mot d’ordre : la découverte !
Radio Campus Grenoble se donne l’exigence d’apporter des compétences et des expériences liées aux pratiques culturelle, à la communication et aux médias, à la gestion de projets pour nos multiples interlocuteurs : bénévoles, salariés, stagiaires... Radio Campus Grenoble est membre du réseau Radio Campus France (http://www.radiocampus.fr/).
TV Bruits est une web-télévision locale, indépendante, à vocation régionale. C’est une structure associative et non commerciale composée de personnes et d’associations. Depuis 15 ans, elle réalise et diffuse, sur internet et en projections publiques, des reportages, des documentaires, des films et des émissions télévisuelles. Elle propose des ateliers audiovisuels auprès de différents publics à Toulouse et en Occitanie. Elle initie et forme toute personne intéressée par le domaine de l’audiovisuel et de l’information, en plus des bénévoles de l’association ou de ses partenaires.
Le Ravi est une mensuel associatif régional d’enquête et de satire basé à Marseille et qui sévit en Provence-Alpes Côte d’Azur depuis maintenant 15 ans.
Un journal qui a envie de faire entendre d’autres voix et de montrer d’autres voies. Un journal qui ne se contente pas de produire de l’information : débats, festivals, éducation aux médias, ateliers de journalisme participatif...
le Ravi, avec la coordination permanente des médias libres et Médias Citoyens Paca, essaye de la jouer collectif pour faire vivre la presse et les médias "pas pareils" en Paca mais pas que. Après 15 ans, il est encore vivant. Et c’est déjà pas mal !
Silence est une association qui publie la première revue écologiste collaborative, indépendante française, créée en 1982 à Lyon. Travaillant principalement autour de trois thématiques : l’écologie, les alternatives et la non-violence, Silence diffuse 11 numéros par an. Écrite par des journalistes professionnel·les et par des bénévoles (plus de 1 000 en 36 ans) la revue Silence est distribué par abonnements, via un réseau de 200 dépositaires, et sur des événements (foires, salon,… ) aux quatre coins de la France. Porteuse des valeurs de l’écologie politique, elle associe dans ses recherches théories, concepts et alternatives pratiques, questions sociales et questions de genre.
Le Media
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Hervé Le Crosnier a retweeté
Nicolas Haeringer
@nicohaeringer
12 hil y a 12 heures (19/08/2018)
B.A.D.A.B.O.U.M. ! Tout va-t-il s'effondrer. Perspectives éco-féministes et construction d'alternatives : une discussion organisée à l'Université d'été des mouvements sociaux. Samedi 25 août, à Grenoble / Saint Martin d'Hères. Avec que du beau monde !
350 France, 350 dot org, Attac France et 6 autres
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https://t.co/QvIwmmeMVc
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Créé en avril 2013, en présence de Jacques Delors, et présidé par le député Dominique Potier, cercle politique à l'interface de la société civile et des décideurs politiques, il réunit des élus, des personnes engagées dans le mouvement social et dans le monde de l'entreprise.
Héritier à gauche de la tradition du christianisme social, est ouvert à tous ceux qui, dans la diversité de leur sensibilité, de leur croyance ou de leur non-croyance, partagent la culture humaniste inspirée du personnalisme. Dans le sillage de la pensée de Mounier, Levinas et Ricoeur.
espritcivique@gmail.com
Bureau 7646, 126 rue de l’Université 75355 PARIS SP07
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