SUD INDUSTRIE 16 ... CHEZ SAFT, FILIALE DE TOTAL, LE CADMIUM TUE
POURQUOI perdre sa vie à vouloir la gagner ?
Grace à l'audience, qui s'est bien laissée désirer, le moral des parties civiles et des soutiens, comme nous, est bien remonté.
Leur avocate fut brillante et le journaliste de Ouest France a rapporté fidèlement les faits des intervenants :
https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?js8j5g
Et petite vidéo du camarade de l'UL CGT postée sur un réseau social que j'exècre.
Reste à attendre le délibéré qui sera rendu le 18 avril prochain...
Continuons à les soutenir et à chercher à comprendre ce qui s'est tramé dans cette affaire et ce qui continue sur le site et plus généralement dans ce secteur d'activité important qui touche à l'économie, aux conditions de travail et aux conditions environnementales (mines en amont, consommation d'énergie pendant l'utilisation, recyclage en fin de vie, etc). Aujourd'hui, en Charente, comment sont fabriquées nos batteries d'équipement portables ?
Voici quelques éléments :
SAFT NERSAC devenue Arts Energy https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?searchterm=nersac&searchtags=#MNKWfQ
— Permalien
La sortie du confinement en France ne pourra être envisagée sans risques majeurs que si l'on donne aux individus les moyens d'être responsables, en les informant de leur statut sérologique, et des conditions sanitaires de la région où ils résident.
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Dans beaucoup de domaines, les libertés individuelles, auxquelles nous tenons tous, ont été étendues sans qu’on maintienne en parallèle l’exigence de rendre au collectif un peu de ce qu’il vous a donné. C’est le sens du consentement à l’impôt qui aujourd’hui fait problème, précisément parce que les puissants ont abusé de leur pouvoir et que les gens ne perçoivent plus d’équité dans le rapport entre contributions et rétributions. Le souci de se protéger et le souci d’autrui ne se décrètent pas. Quand on le sollicite, dans notre pays, même devant la catastrophe sanitaire, le ressort de la responsabilité répond mal. On peut sortir de cette crise par le bas, avec une destruction de nos solidarités et un discrédit accru de l’État-providence, mais on peut aussi en sortir par le haut. Il faut pour cela réarmer le citoyen pour pouvoir exiger de lui qu’il fasse effort pour le bien commun. Il nous faut hélas adopter une cote mal-taillée, un compromis mêlant responsabilisation et coercition et prenant acte de la diversité des situations régionales et locales.