Jacques Nikonoff est le seul dirigeant d’un parti politique à être un authentique homme du peuple tout en étant un homme d’État. Au contraire de la caste politique, il peut se prévaloir d’une expérience d’ouvrier, de chômeur, d’universitaire et d’énarque.
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Gauche et droite, sur l’essentiel, n’ayant plus de désaccords fondamentaux entre eux. Jacques Nikonoff œuvre désormais pour dépasser le clivage gauche-droite qui n’a plus aucun contenu, et le remplacer par le seul véritable clivage pertinent qui demeure celui entre le peuple et l’oligarchie. Il milite pour rassembler les « démondialisateurs », c’est-à-dire tous ceux, quels que soient leurs orientations politiques, qui veulent vraiment la souveraineté de la France par sa sortie de l’ordre néolibéral mondial et de ses institutions (Otan, euro, Union européenne, OMC, FMI…), c’est-à-dire la démondialisation.
Pour donner toute la force et l’ampleur souhaitable à cette mutation politique, il participe en février 2016 à la création du Parti de la démondialisation (Pardem) dont il devient le président.
Jacques Nikonoff a publié plusieurs ouvrages :
Existe-t-il des réservoirs d’emplois ? (Arléa-Corlet, 1996, sous sa direction).
Chômage : nous accusons ! (Arléa, 1998, sous sa direction).
La Comédie des fonds de pension (Arléa, 1999).
Pour une économie humaine (Mille et une Nuits, 2001, collectif).
Vivent les impôts ! (Mille et une nuits, 2005, coordination).
Cette constitution qui piège l’Europe (Mille et une nuits, 2005, collectif).
Ils se sont dit « oui » (Mille et une nuit, 2005, collectif).
Sortons de l’euro ! Restituer au peuple la souveraineté monétaire (Mille et une nuit, 2011).
La Confrontation. Argumentaire anti-FN, Le Temps des cerises, 2012.