Interview par Benji today 24
Olivier Faure n'était pas opposé à la loi travail etc anticapitaliste, autogestion, autoorganisation, en Charente le NPA est 15 militants, 40 bénévoles, 2500 en France
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55 coeurs
Connu / tg 17/5/22 16:41
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Attention ça pique !
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Planète Politique
Eléonore Leprettre, collaboratrice du ministre de l’agriculture lorsqu’il était chargé des relations avec le Parlement, devient directrice de la communication et des affaires publiques de l’ex-Union des industries de la protection des plantes, au moment où des objectifs européens ambitieux de baisse du recours aux produits agrochimiques sont fixés.
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Marc Fesneau lors de sa première visite officielle depuis sa nomination en tant que ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, dans une ferme du Cher, près de Massay, le 21 mai 2022. GUILLAUME SOUVANT / AFP
Dans ses prochaines interactions avec l’association professionnelle des fabricants de pesticides, le ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, se retrouvera-t-il face à son ancienne cheffe de cabinet ? Comme l’a révélé le journal en ligne Contexte, l’intéressée quitte en effet le giron de l’ancien ministre délégué aux relations avec le Parlement pour rejoindre Phyteis (anciennement connu comme l’Union des industries de la protection des plantes), le lobby des entreprises agrochimiques.
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Présidentielle 2022 : derrière la question des pesticides, deux visions antagonistes de l’agriculture
Phyteis confirme au Monde l’arrivée d’Eléonore Leprettre au poste de directrice de la communication et des affaires publiques, à compter du 1er juin. Egalement conseillère régionale (MoDem) en Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis 2016, elle travaillait avec M. Fesneau depuis octobre 2018. Elle n’a pas répondu aux sollicitations du Monde.
La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a été saisie le 26 avril de la demande de Mme Leprettre de quitter le service public pour la principale organisation du lobby des pesticides, c’est-à-dire immédiatement après la réélection d’Emmanuel Macron. La HATVP a rendu un avis favorable le 16 mai. Celui-ci n’a pas été rendu public, mais les réserves habituelles formulées par l’autorité interdisent généralement, pour une durée de deux à trois ans, à tout agent public reconverti dans le privé d’intervenir auprès de son ancienne administration ou ses anciens collègues, tant que ceux-ci appartiennent au service public.
Objectif non tenu
Phyteis jouera dans les prochains mois un rôle-clé pour ses entreprises membres. Alors que les effets délétères pour la santé et l’environnement des pesticides sont de plus en plus précisément documentés par les scientifiques, la stratégie de Bruxelles dite « de la Ferme à la fourchette » (« Farm to Fork ») a fixé un objectif très ambitieux de baisse du recours à ces produits par l’agriculture européenne : 50 % de réduction d’ici à 2030.
Une ambition d’autant plus fragile qu’au cours de la campagne, Emmanuel Macron a déjà estimé, sans plus de précisions, que ces objectifs européens de verdissement de l’agriculture devaient être « adaptés » pour tenir compte de la guerre en Ukraine. Jusqu’à présent l’objectif national, fixé en 2008 par le plan Ecophyto, a visé à réduire de moitié les usages de pesticides en dix ans. Non seulement cet objectif n’a pas été tenu mais le recours à ces produits a augmenté depuis le lancement du plan.
Lire aussi Article réservé à nos abonnés Pesticides : les objectifs du Pacte vert européen sont menacés
Le départ de Mme Leprettre pour Phyteis n’est pas un cas isolé, dans le parti du président de la République, de reconversion dans l’agro-industrie. Mickaël Nogal, député (LRM) de Haute-Garonne, avait annoncé au cours de son mandat, auquel il a mis fin le 1er mars, son embauche à la direction générale de l’Association nationale des industries alimentaires. Contacté, M. Nogal explique qu’il n’a fait que retourner vers son secteur d’origine et assure s’être « déporté » des sujets en lien avec l’alimentation au cours de son mandat. Et ce bien qu’il ait soutenu des amendements en lien avec ces sujets.
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#Abad #Gouvernement #France - 39 419 vues - 3,6 k - 518 k abonnés - 486 commentaires
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"Qui peut imaginer un seul instant que le président de la République, monsieur Macron, que la Première ministre, madame Borne, ne savaient pas ?"
Le nouveau gouvernement plombé par l’affaire Damien Abad, les véritables raisons de la nomination de Pap Ndiaye à la tête de l’Éducation nationale et les accrocs entre le PS et la Nupes dans la 15e circonscription de Paris. C’est le sommaire du numéro 37 d’un Bourbon Sinon Rien.
Journaliste : Serge Faubert
Reportage : Antoine Etcheto, Laetitia Lallement et Emma Barrier
Montage : Lucie Dulois Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Ndlr : la sortante refuse la décision de la NUPES, le PS la soutient :-(
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legrumph il y a 1 jour
quand est-ce que vous invitez un panel d'éditorialistes de la gauche (genre Le Media, Blast, Mediapart, etc.) pour juger des partis et des candidats LREM, LR, RN ? ça nous changerait. Là, c'est un peu "'les bourgeois parlent aux bourgeois", en mentant factuellement sur un certain nombre de points et en ratant complètement des analyses pourtant assez simples - vous n'auriez pas la moyenne en IEP, messieurs-dames...
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Pour ce Bulletin spécial, j'invite dans ma cuisine Hayat, accompagnante d'enfant en situation de handicap à Amiens-Nord. Et je suis vraiment très heureux qu'elle ait accepté d'être ma suppléante pour les législatives ! Parce que construire un statut et des revenus pour les AESH, ce sera un combat de mon prochain mandat.
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Il s'engage pour le blocage des prix.
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Pour cet étudiant, les enjeux écologiques sont essentiels. Se nourrir convenablement.
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Dans ce portrait-vidéo, nous vous proposons de découvrir la candidate de la 2e circonscription de l'Ardèche : Estelle Berger !
La question de l'eau est centrale pour elle.
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Vidéo/clip de présentation de la candidature.
Le 12 juin, votez Alexandre Raguet et Hélène Topouria !
Ndlr : expression claire de l'extrême gauche qui prouve que la NUPES est radicale mais pas extrême
- ne croit pas au nouveau PS... Même pas leur donner une chance :-(
Nantes Révoltée @Nantes_Revoltee · 1h
En Irlande, le Conseil pour les libertés civiles – ICCL – a réalisé une enquête sur l’ampleur du phénomène numérique appelé RTB, soit real-time bidding ou «offre en temps réel» en français.
- Ce procédé consiste, pour Google et les autres grands acteurs tech, à nous géolocaliser presque en permanence. Particulièrement en cause, le RTB qui est un type de publicité reposant sur la mise aux enchères d’un espace de diffusion.
- L'enquête se base sur des chiffres publics, mais aussi certaines sources confidentielles.
- Concrètement, lorsqu’un utilisateur consulte une page web avec un encart publicitaire, son profil est automatiquement analysé par différents annonceurs potentiels, qui ont alors accès à plusieurs informations le concernant, et notamment sa géolocalisation.
- En croisant un certain nombre de données, les entreprises se livrent alors à une vente aux enchères, qui déterminera par la suite quelle publicité afficher en fonction du profil utilisateur et du prix mis sur la table. Cette opération ne prend qu'une fraction de seconde.
- Google partagerait ainsi 71 milliards de géolocalisations RTB en Europe chaque année. Un Européen est donc géolocalisé en moyenne 376 fois par jour.
- Et ce chiffre est de moitié inférieur à celui enregistré aux États-Unis, où aucun règlement ne garantit la sécurité des données en ligne. Selon l’ICCL, ces résultats sont d’autant plus inquiétants qu’ils pourraient être très en dessous du nombre réel.
- Les chiffres du rapport indiquent en effet qu’il s’agit là d’une «estimation basse», qui n’inclut pas les diffusions RTB de Facebook ou Amazon. Ni la géolocalisation qui peut être organisée par les institutions de surveillance étatiques...
- Lire l’étude de l’ICCL : iccl.ie
ICCL report on the scale of Real-Time Bidding data broadcasts in the U.S. and Europe
New report: the $127 billion "Real-Time Bidding" online ad industry tracks & shares what people view online, and their locations, 178 Trillion times a year in the U.S. & Europe.
10:04 PM · 26 mai 2022·- 4 Retweets 9 J'aime
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Élections législatives 2022
Pour le leader de La France insoumise, et homme fort de la Nouvelle Union populaire, écologiste et sociale, les législatives sont l’occasion de démanteler le présidentialisme et faire de la majorité parlementaire le pivot politique du pays. Un pas vers la VIe République ?
Emmanuel Macron et Jean-Luc Melenchon au Palais de l'Elysée à Paris, le 6 février 2019. (Denis ALLARD/Photo Denis Allard pour Libérat)
par Jean-Luc Mélenchon, député La France insoumise, ex-candidat à la présidentielle.
publié le 26 mai 2022 à 17h40
Le lancement de notre campagne législative s’est fait à l’occasion d’une émission de télévision située pourtant entre les deux tours de l’élection présidentielle. Il s’agissait d’utiliser un contexte pour repartir à la conquête démocratique du pouvoir malgré notre élimination du second tour. Nous partions de l’observation de l’état d’esprit du grand nombre à la suite des résultats du premier tour de cette élection. Six mois auparavant, nous étions donnés inexistants et la gauche en voie d’extinction. Là, stupeur des commentateurs : notre candidature échouait de très peu à passer la barre d’entrée au second tour. Et on découvrait que l’ensemble de nos votes ajoutés à ceux des partis de la gauche traditionnelle constituaient un bloc électoral à peu près équivalent à celui de la majorité de la droite et des libéraux d’un côté, et de l’autre à celui de l’extrême droite.
Un tel tableau montrait que le second tour de la présidentielle se déroulerait entièrement comme une élection par défaut. Il produirait une présidence sans mandat. C’est-à-dire qu’il ne purgerait aucune des tensions du pays et n’installerait au…
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RaphJ « Le pire des maux est que le pouvoir soit occupé par ceux qui l’ont voulu » (Platon). Abonné·e de Mediapart - 12 Billets - 0 Édition - 5 recommandés
Les derniers sondages confirment une possibilité de plus en plus tangible : l'union de la gauche est en mesure de rafler la majorité absolue à l'assemblée et d'imposer une cohabitation à Macron.
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les français, fatigués par le quinquennat de Macron, et las de voter par défaut, pour la deuxième fois, en "barrage" à l’extrême droite, ne souhaitent pas voir Macron gouverner 5 ans de plus.
Ils sont ainsi 64% à vouloir imposer une cohabitation à Macron.
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577 mini-élections à deux tours, avec un seuil de 12.5% pour le deuxième tour, incluant l’abstention. La plupart des instituts de sondages se contentent donc d'une estimation globale des résultats du premier tour. Quelques instituts fournissent également des projections en siège au second tour, mais sans détailler leur méthodologie.
Plusieurs acteurs indépendants tentent de combler cet écueil. Ainsi Alessio Motta https://twitter.com/MottaAlessio1, maître de conférence en sciences politiques à l'Epitech, publie régulièrement sur son site https://www.mobilisations.org/projection-legislatives des projections en nombre de sièges, en partant des sondages du 1er tour. Sa méthodologie prend en compte les élections de 2017 & 2022, une estimation de l'abstention, un inventaire détaillé des "candidatures dissidentes", et une matrice de report de voix. Le collectif les577 https://twitter.com/Les5774 lui a récemment emboîté le pas et publie aussi des projections détaillées et des "zoom" par circonscription.
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explorer le champ des possibles et de présenter des scenarios plausibles.
En particulier, ces projections mettent en évidence plusieurs réalités :
- La majorité présidentielle n'est pas certaine
- La majorité (relative ou absolue) de la NUPE est de l'ordre du possible
- Les résultats dépendent beaucoup du taux d'abstention
Ainsi, cette projection du sondage Cluster17 du 20 mai https://cluster17.com/barometre-hebdomadaire-s20-legislatives-2022/ donne l'union de la gauche au coude à coude avec la majorité présidentielle. La fourchette haute donne même NUPES à 295 sièges, soit au delà du seuil de majorité absolue (289 sièges).
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Une dynamique à gauche sous estimée par les sondeurs
... captent mal les changements majeurs de l'échiquier politique et s'appuient sur des expérience passées de scrutins similaires.
Sauf que l'union de la gauche n'est pas un scénario classique : la France n'a pas connu une telle union depuis des décennies.
Ainsi, l'abstention, qui joue un rôle crucial dans cette élection est sans doute sur évaluée à gauche.
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ont largement sous estimé le score de Mélenchon au premier tour des présidentielles, de 3 à 6% : largement au delà des marges d'erreur. Même Cluster17, pourtant accusé de favoriser la gauche avait sous estimé le score de la FI de 3%.
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Les fâchés-pas-fachos : une réserve de voix pour l'union de la gauche
... en cas de duel NUPES-LREM, les sondages des présidentielles montrent que l'union de la gauche bénéficierait de 2 fois plus de report de voix du RN que Macron.
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Une prophétie auto-réalisatrice
... le narratif du "3e tour" et de "Mélenchon premier ministre" est en mesure de rendre ce scrutin bien plus tangible, et de mobiliser fortement l'électorat de gauche.
La perspective d'une possible victoire lutte contre l'abstention et rend celle ci d'autant plus probable.
Connu / https://mamot.fr/@RaphJ/108369186722079714 alias #RaphaëlJolivet développeur en autogestion Nice #GiletsJaunes 06 selon https://twitter.com/DanielR71061987/status/1163581045050093574
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